J'esp�re prouver ma reconnaissance lut troid, pluvieux, et la soir�e, bien envers Dieu et envers lui, mon pere. avanc�e pour les paisibles habitants S1--�s5rr.;v j'y. compte, mon"'enfant'. Il pourrait . de I.' rn� dunkerquoise^-le. d�sir de ��Bfe--hien te venir quelques peines du cot�.Tr�ched'�viterle publicit� ne -se'trou-v. de ton mari, non pas que je le croie vait donc pas r�ahs�. Elle se rappela i m�chant ; mais, enfin, il t'�pouse par. alors, (souvenu- terrible) qulin mois � soumissions son p�te, et monsieur1 auparavant, il lui-avait aussi lallu sou-���'������".' Fr�d�ric devait justement pr�tendre a tenir ces icgards. qui per�aient son �ne personne au-dessus^e toi. par la coeur comme autant de fl�ches aigu�s, naissance et l'�ducation, affronter cette curiosit� si cnielle pour Je sais cela, p�re. les nulheureux, et que devraient in "iSgS'h Sois donc douce., patiente, r�sign�e; terdire les plus simples notions de la �^.'J'V^T: ��'. Je suis bien d�cid�e, [�re, a remplir charit�. ; Quel changement s'est op�r� ce que je cro�s �tre mon devoir.,' dans les sentiments de ceux. qui Le ciel te .b�nira alors, mon enfant, �piaient peut-�tre alors sa honte et comme je te 'n�n s. , ." ses larmes, comme ils sympathisent � ^S&SfX Amttt'idit Mitje,� <n- .essuyant une pr�sent avec sa joie ! la r�action est r�w&K: larme, mais en voila assez sur ce sujet-; compl�te : autant on avait mis de mon homme ; car tu ne veux pas sans j promptitude � condamner la, pauvre doute faire pleurer c�rte enfant, le jour| jeune fille, autant on serait dispos� de ses noces, ce qui est regard� com-. maintenant � l'acclamer. Cependant v," m� un mauvais signe.. 'Pr�che � tou- au milieu de ces groupes se. trouvaient 1 '�� jours ete. Dieu merci, une brave fille, n�cessairement quelques envieux qui et elle sera heureuse femme, ; n'est-ce remarqu�rent que la mari�e �tait bien �"�'.""� pas, madame Deconinck ? et .'sur^ce, paie et Basennes�Moscr toute sou venez fiiilii-f-->,*r votre m�re.. ! eieuse. ........... Treche courut.se jeter dans les bras j Kn entrant dans la salle ou devait
successif*, puis les clous et (a 81 des coutures Riant r-nlev�, ou transforme Je -uir 1t; une pnlp-- tr�s fine. Cette pulpe est ensuite press�e sur une couche de papier �pais, ou en fait les beaui cuirs � tapisserie'.
�iirreu89-classi�cation des: -vois ;
Voler S1,000,000 est un trait de g�nie ; voier $5,000 est un cas � proc�s : $C"i,000 un cas d'insolvabi-Dl� ; $10,000 un cas d'irr�gularit� ; 15,000 tut cas de d�falcation jSI.OOO un cas de corruption-; $500, uu cas de malversation ; SI00 uu cas de malhonn�tet� : $u0, un vql simple; $25 une preuve de profonde d�pr�-vallon, et volefi un jAiinoN est une d�claration de guerre � la soci�t�.
de la bonne femme, qui la; retint �trtii / .:'. tement press�e. (Je. entendit'. alors le. �-'-�l% bruit d'une voiture qui s'arr�tait � la ffi"'- porte, et pr�squ'au m�me instant. Fr�: d�ric e.-r.ra. :'; Comment ; vous n'�tes pas.'pr�te, ditii avec un peu d impatiente'; mon p�re et nos t�moins nous attendent � la mairie. -_- � : - ZI -^-_�j_-r -:-i y Je-n'ai plus qu'A mettre mon vojle. ;. i' r�pondit doucement Th�r�se. ... Est-ce que ce voile est bien n�ces-saire, demanda le marin d un ton cha-grin, si tu le rempla�ais par un bon-y : net, mon enfant, , crois-tu que ta ne .l.V'srais pas tout aussi bien ? ; " -Lt Mais non, c'est impossible, repartit . vivement Fr�d�ric : h�tez vous; Th� |g�;r�se, le temps presse.
Hans soupira. pS" � C'est dr�le, se disait Mitje, il me I cette 3*j3-5emble que monsieur Fr�d�ric rt'a pas j agiti
seulement regard� sa fianc�e ; Th�r�se! i est cependant bien jolie, dans sa toilette de mari�e �! :
avoir lieu le mariage. Th�r�se salua-Bar bara, qui ne r�pondit � son affectueux sourire qu'en "inclinant un peu la t�te, mais elle ne fit aucun mouvement pour se rapprocher de la gentille mari�e, que cette froideur surprit p�niblement. Monsieur Doconinck, au contraire, adressa � sa future belle-nue quelqus expressions empre�ntes-d-'une-cordialit�qui: alla droit au cce::r'de Th�r�se.
Je lui prouverai que je ne suis pas ind gne de son estime, murmura t elle.
Le maire arriva, ceint de T�charpe officielle, et apr�s avoir �chang� quel ques paroles de politesse avec Y teur.il annon�a qu'il allait proc�der 1 importante c�r�monie. Fr�d�ric prit la main 4e sa future pour la conduire � l� place qu'elle devait occuper aain tremblait comme la l�nilli par un vent d'orage. '
Crise Minist�rielle.
RETOUR de la REINE, LES DIFFICULTES APLANIES, SALISBURY PREMIER MINISTRE.
M. GLADSTONE REFUSE UN TITRE.
LA REBELLION
CAPTURE DE PROVISIONS. Kt-.lilition de Kaiivnge�.
o. Ajn.rjrTRF."
U'itre <.oiii|iroin<'ilanie do Ki�l-
Le mariage civil n'a rien qui �raeu-s; il ne parle que de devoirs et de �soumission, il est froid comme la toi
�:J- �'/.Et pour'la premi�re fois un. doute he mariage religieux l'ait appel aux fi�p�nible vint agiter, lec�ur de la m�re, meilleurs sentiments de l'homme � et elle se demanda si son enfant serait j de la femme : a c�t� du devoir il pla ;-' �'�a'*"** * ice l'amour, qui sait, l'adoucir:et le
'._ Th�r�se achevait d'a� ranger son [rend plus, facile: l'un n'est qu'un con . voile au moment o� Louison entra I trat, l'autre a �t� �lev� � la dignit� de dans la chambre. [sacrement.
; . Ne dirait-on pas, s'�cria la brave! Apr�s avoir.lu les formules ordinai-fille, que Th�r�se a �t� une dame touteJres, le magistrat demanda � Fr�d�ric savie.iant elle a.bonne-jnine-so�s beaux ajustements. I' redenc
-dt-jelsfun
dut convenir int�rieurement qu'elle-�tait charmante de gr�ce et de mo-1 prendre peur �pou destie. . ' � . jnrnck, ici pr�sent?
Je suis pr�te, dit Th�r�se, qui semblait adresser ces mots principalement . � son p�re, dont elle prit le bras. ~ Eh bien ! qu'est-ce que tu fais donc ? repartit
�'il consentaif� prendre Tri�r�se M. ser pour �pouse. La r�ponse afnrmati put s'emp�cher alors j Ve-fut prononc�e d'un ton assec-ferme egstrj sur su 'naneee, et �l| "pqU.ce fut au tour de la jeune nlle : �Th�r�se Moser, consentez vous � red�ric Deco
\A continuer.)
Louaies, 10 juin,�Lord Ran dolph (.hinchill a eu aujourd'hui une longue conf�rence avec Lord S disb jry... Les -deux chefs diff�reii t toujours au sujet du gouverneaient d'Irlande.
t.a Reine a quitt�. Baimoral � S ins. cette apr�s-midi. . L*- .�rr.ieesse B�atrice accb-nsigne SaMajest
D'ipr�j I-� Ttmes, ;i est inutile .de demarder aux lib�raux une pro cesse, da ne pis obstruer le loue uoiiiieuifctit d'ur. nouveau, .mis-; t�re, avait que les djsienttons dans � ie parti conservateur ne fri�ejit d�fi-.! nitiyeinent r�gl�es. rotijo^."s d'aptes ; le m�me journal, le r�sultat de li crise pourrait � re ds ramener le: lib�raux an pouvoir.
Aux derni�res nouvelles, ce: .-pi��-midi, les deux-cliefs con-er vat^urs seront tnten-tus, et on s'o. cupe de fournir un minist�re.
On annonce presqu'officitllem�ntj le lendemain de la bataille ave. rjue sir Staffprd Nbrlhcote sera
ivement Mitje, qui craignait que cette action de sa till� ne. bless�t Fr�d�ric : excusez-la, monsieur Fr�d�ric, cette enfant est si troubl�e aujourd'hui......
Th�r�se n'a pas besoin qu'on fexco-
pere que
fJaierme Moser, c'est � sa ' revient le droit de la cond
Tr�che pressa plus fortement le bras sur lequel elle s'appuyait, puis entra�nant vivemement le brave marin, elle passa devant F�d�ric sans. !cver tes
Les distances sont rapidement fran--c�.-iei a Uunl-errjue. et le dernier coup de neuf heures sonnait j �a grande horl.sge de l�'tour, quand les mari�s lA.tt-tSf*�, pWW>f>d^f*3i�u�-vrEiS.% De nombreux groupes de curieux gar-li��sisnt les rnarc'ite.qaoique le temps
PROVINCE D'ONTAHIO
D�troit Michigan
�lev� a la prairie, t ord halisbury sera premier ministre et secreiaue d'Etat polt les affaires �trai-g�r. s, etsirMichfel HicksbeacQ chancelier, de F�chianieV et 'leader- d-; la Chambre des Communes.-.
Lord Randolph Gaurchi-1 aura un portefeuille important, il �c cepte i'A;te de C�rcitibii avpc l'entente'qu-'il ne sera mis en fore- qu^ dans les-cas d'urgence.
Plusieurs .ninistres lib�raux se soir- r�ui'is � la r�siac.nce de M. Gladstone pour d�cider quelle r� ils doiveut i";irs aux.axrtL'ces dt-s conservateur-.
Sir William Vtrnon ilarcourt, Secr�tairsA'EUI l'ir.r .IT�il^rjenr, tiif que le gouvernement au. cbtr-ch� une d�faite.
La reine a offert i M. 'Gladstone la titre de Oomte.mais celui-ci a dt-mand� la permission Je J�cliiier cet honneur.
Le .Vf ics se r�j-u. : .le la d�cision M. Gladstone, ei ait qa'aucun'-ti ire ne fourran ajoaur a sa gio:re ou resserrer les liens qui i'unisstnt � ses nombreux a�tniratetirs.
Battleford, 16�La brigaie du colonel Octer a atteint le. lac � la Tortue, sameii Les �claireurs ont rencontr� une troupe de sauvages qui oit', pris la fait�', abandonnant les chevaux et des provisions^qui ont �t� capture�. -
Les [.risonniers sont roniuiis �.R� gina pa: la police. �.ch*val. : Les sauvages sont tr�3 - agit�s dans 1 ont le district.
Fort Fut lb\�D:ui cents Cbippe-was sp i>ont rendus au gai:, rjtrange hier. Il faut un cons�quence huan coup de provisions et uu vapeur i �t� envoy� i Baltleford pour en rapporter.
Rivi�re aux castors, 10.�L'n sauvage que l'on suppose �tre un �clai reur de Gros Uurs s'est approch� �i pr�s du camp du 65s bataillon qu'une sentinelle a tir� lur lui,mats il n'a pas �t� bless� et s'eit�chappe.
Las Chippewas qui se sont livr�s �taient en compagnie du Pere 1* gofT. Ils disent que Gros Ours les a forc�s de 1 suivre eu mena�ant de I les exterminer.
L" i cran '. nombre de Cris ont j abandonnaiiros-Ouisapr�s' le r� �-esti: engagement avec 1* 65a. Le che: r�volt� a, y coaipru ses alli�s, 20'i iiommesarm�s.
I.tattleforl. Iti.�A l'anquOle �iir la mort de riarney Fremoct, lec-ul-.tivateur assassin�, 'deux sauvages ont jur� qu'ils n'avaient commis- ce meurtre que sur l'ordre de Riel-
Poundmaker dit qu'il a re�u quatre lettres de Riel. On en a retrouv� une qui servira de document important au proc�s. Ellst e4t dat�e de l'Anse aux Poissonseta�t�exp�di�e le
g�n�ral Middleton. 1 Riel dit qu'il a tu� 300 hommes dii police et ordonn� � Fjuudmiker de prendre Battleford et d'y maisa-crer tous les blanc*. Il ajoute qu'api es cela i 1 annilultra lui-m�me ions les volsntaires et se rendra � Battlefor �. -. i.a lettr� est sigue par Riel iui-
jours, iffl quantit�s invraisemblables de " fewllefl "._
l'un sont venus les d�bitants ' photographies " � Quelles pliol graphies! � � dix ou m�me en centimes l'exemplaire.
Autre nu�e de camelots. >
11 s'agit de ceux, qui M sont inis,V-deshier, � colporter des m�daillea' ' comm�moratives " frapp�es a l'efii:? Dgie " � plus ou moins r�ussies ��ihrt. du po�te national, de petits bustes en cutvie rer.rodrjisant � i peu -p.�s � les .liait* de Victor Ifugo,^. des bouquet6 d.i deun artifici-Ues," -au centra desquels m dresse la t�te" * neigeuse du d�funt, �tc, �tc; .�'�!�"*?.
Toutes articles; c�d�s � de* ptix qui varient de quinze � cinquante -centimes ont un adsez grand d�bit ' ,
l.'ARC D TKIOtIPIIR. Jd|
Quelques d�tails stir l'Arc, de-" *: Triomphe. , _ �"1.'
I� premi�re pierre en fat pos�e . -en 1800, et l'ioaugantion eut rietr^� en 1S�6. Le monument a co�t�' 9, 600, 000 lrancs. 4
Plusieurs cort�ges ont pass� sous' l'Arode-Triomphe. Celai de Marie-; Louise en 1810 , lu monument s'�-, levait � peine au ris de terre : on l'improvisa au moyen d� chai pentes
et de toiles peintes.
En 1824, entr�e du dnc a'Angou-l�me. g
En 1837, entr�e de la princesse H�l�ne. '
En ls40, fun�railles de Napol�on : 1er. �
U 3 ao�t 1842, fun�railles da duc d'Orl�aas.
Le 20 avril 1848, le gouvernement de la r�publique fait an pied de l'Arc de l'Etoile la distribution des drapt aux � la garde nationale et � l'arm�e. =
Victor H'igo a praiit que l'Arc de Tnmaphe partageinit avec Notre- * Dame et la colonne Vend�me le privil�ge de l'�ternit� ! .
LES 0RIMr.S D'OTTAWA-
Ottawa, Belii GraLun, la jeune
fille qui a. �t� ftisaiHiepar trci^homa�as, la rue Th�odore, et qui a ^t� outra-il y � ^celqnea jour�, a compara de-rant la coto de police ce matin. Elle �-jrt-si-f&�i3�e''r]u�'' �'iM"wST~^ solrtenir lonqu'elle rend�t son tfcmoi^TUU'e. D'apr�s .son t�moignage il na peut y avoir de doute qne l�cHcgb est le coQpabla et que les deux autres �taient ses complices.
La police n'a pu encore tomber sur lea traces des cinq monstres qui ont outrag� Jliss Tqrmann, sur la rue Elgin. EDe ps r�tablit lentement.
CA ET LA
I-�ti, qu ; bois
inr-ne-nt a ^xere. New-York. vmg tussent.
Des centaines d'hommes, de femmes et d'enfants. � \"ew York sont employ�s � ramasser dans les rues de vieilles chaussures qu'ils portent �ai fabriques de tapisseries. Le* coansjmw� _ en - v.sati sod: lei misai pay�es, et ou refuse ainplo-, uisrt feues faites en peau de vaches. Ces chaussures sont d'aCord nettoy�es di�ne rjiujiieurs bainof inqui�tudef,
LE CHOLERA EN ESPAGNE.
. i^a Commissiou nomm�- par le gouvernement et plusieurs m�de cics. taLt espiguols qu'�trangers, d�clarent que .'�pid�mie qui sev.t dans le sud de i'Espa.^i.-e est 't v�r.-lable choiera asiatique.
!j?s Province-�.ie Mnrci". de Cas tiiar, ie la PlaU et de A'alence, cqmpteiv. tous les jours Ce nouveaux ca- ce. chol�ra. Bon notuor'e 'iie personnes eu meurent
VOL SACKtLEGE.
Dublin, le�Un� plsq . _ F�gBse des J�suites, pour rappeler que le lord Ueatenani Spancer avait offert � l'�-glise ue �ouvci�T du sous-secr�UIre Burlie, aisisiiit aa Phcenii Parc avec lord C�vendi:-b, s et� vol�e. La pc'jee e*r Sic^ n :-uveUL'.
LE FET1T COT� DES CHOSES
Il serait difficile,, d'imaginer le nombre d'industriels et d'ouvrier3 de tout jear�, de tout acabit auxquels la mort de Yie:or Hugo � fait et fera r�aliser des gains plus ou moin in�cirtA:.:-. Comptons uiei�.
Fei.ddLt toute la dur�e de la ma-ladi-, les cochers ont fa;: d<s affaires d'ur. L'avenne Victor H".go �tait devenue I-ge^d-i�ie :i cc-r^ora-, tion des autom�don- et g�n�ralement les personnes qui se rendaient � la, maison du po�te ue l�,inaient pas �ur les poaiboires. " j
Cette source de b�n�fices, pour les I cochers n'a iait, bien entenan, qa*- i Londres 16. jy-aa-SIiiarr^Ado- js'accTortr� depui* la fattie aouveile j
.........->�
lina P; lli est malade d'un rhume |de la mort -ati'allr.ft'&.-a'fcc�es ces 'j�Kfti def"1-"
---000--
L'.\L"RORE L'aurore s'allume, -; L'ombre �paisse nlir": ' Le T�ve et !a brome . 1. Vent ci va la nuit ; ^ Paupi�res et roses S'ouvrent demi closes ; -Da r��e� des cli���s . i",. On entend le bruit.
Tout chante et murnmre, -Toute parle � la fois, � Fum�e et verdure, Les nids et les toits : Le vent tarie aux ch�nes. L'eau parle aux fontaines ; Toutes les haleines Deviennent des voix :
Tout reprend son �me. L'entant son hochet, Le foyer sa flamme. Le luth son archet : Folie ou d�mence.
Dans ie monde.fmmense._
Chacun recommenc�
Qu'on pense.ou qu'on aime. Sans cesse agit�. Vers un but supr�me Toute vole emport� ; �.>-=j*.-;;-vt7i ^.jjfc L abeille un vieux sai�V l-i- boussole un r>�i>.
Le d <' ctet an! ab�iiii �ra est un erveux.
r- r -jpji.i j h'rurgieii rhompsoi�, queiu-nt la
ler�stna i; seulementc �v-f-,- un engager "" des concert - "par ann�e
t Lad y Cti I.ady Cam ; 370,000 do Ashbrobk, i
;> L'iie^upe ir�gne parm i.ff'c'ibourse de C la cervel'e i
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>. rants fr�qui . la Bourse p 7�ut la carte
Des obse� ;ter au'eu F. de !a vi<v-_s
. qil�trrf joui*, ges i elVvai � sol. t.'aiTi chemiu�es ion rs dans J
Voici les on, par Vie
~7;;-Pour qui don Toute cette p 1 Qu'en dois-je .:- Ou sont lw n
LE l'OI
Woshing -, solliciteur c . .secr�taire 1 � les sardines les cam ra cheurs ams - des bateaux
Il par
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niers. Les m�decins d�clarent que ce rhume leur inspire de s�neuBes
Il faut placer, au nombre des j pri'pfl�gi�a, les^veudeurs de j0urn�ui
qni ont d�bit�, en ces trois derniers I
en fore- le quer� r.Kis �
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' gouTerncmen sa�siz du chen sid�rition d� a paj� en ma gouvameineD Tronc qnant a-ris Iegonve Qutbec et l�s Grand-Trc-nc le chemin de e'attendsit de l'achat de il. f�d�ral n'a pi bable que les cessai reaxt�r_i ront anBOnc�J
LE
M. Ilecto: dans le der: Frawaiit t firifl^e.t, ' ti . ajut; pour
traits les e industriels Parlant ie glais, il esp le mttuie e. des savants