L'amnistie.'
Le Star pr�tend savoir de bonne - source qu'un* amnistia g�n�rale accord�e aux M�tis ddteous �olu�n�nMi�l-en prison pour �voit rte partau soul�vement d� Nord liant*
doits - atctfjthft" ser% accord�e i/vans Totivcriure ju Parlai� �ni.
UN ATEUEfl_ D'ARTISTE
y-.-*L'autre jour, nous avion* rava^ TSge ffdlroadoiiB dan� le landum 3 le e�b�aet d'an artiste-peintre, de passage A Qu�bec, UUe Maria Brooki.
La cabinet do Mlle Brooks est
une pi�ce carr�e, �l�gamment tapiss�e et meubl�e, au No 380, rue S t-Je a 11.
� Toute ia pi�ce est d�cor�e de tableaux encadrai ou non ancsdrfla, de toutes lei dimensions, depuis Te . mod�le m�daillon jusrru'A Is grande taie. �iftli lont suspen^ |g|?%- duaiaui inurs de� pliolographlflfl cl f.tics ch�oso?de peintures ex�cut�es nur romminde, par l'artiste, au fctfu �iiuadfl, aux Etats-Unis et on Aq-
ferr Rur un chevalet, ou admirait un paysage repi�ientanl le panorama .]uleed�p.o.e*urefard,d'unmtriln r p 1 Laui�f�atonriielamagnlilque '0' villa de M HtU � la chute Mont " / mo'-i- y. Melle Brooki lui don? J^rjfcj nuit le. derni�re touche. i ^ Plus loin, sur tin* tabla w trtfti-
\ ^ vait undiminolilAo m�me tuJBt, ' ? al mi qu'une -petite toife repr�sentant la resblenco.de M. Hall et les f, environs magnifique' paysage --�, d automne aveo: toutes les nuances ij^^r": chatoyantes et vives que prend la r verdure & le .imite d_e_ la premi�re
^l' (t�l�e."";- ; . ~ " "
Ueila r^ooks nous fit voir * suite une peinture, des matThas naturelles dont l'effet da psrapec-,.:,.r tiTeeit frappant; une peinture du palais de glace � Montr�al fl y a deux an*, avec la place Dominion ; ' 11 y a dann celle peintura une ran-^ ^ g�e'd'arbre* bordant une rue lat�--, 1 raie, qu'on dirait nature.
J-d jeune homme qui. pose une �' ^ eorda neuve i son - violon ; une �v^:- iete de jeans flUe dont le� �paules �ont toUvnrtea d'un ficha de dentelle fouill�e; upe grande toile --,rfi�r� d�ni�s de quatre pied� de haut, repruieitan* une jeune alfa ir la chevelure blonde et luxuriante, cnaiUant d*s ly* : an type d�jeune ysf^- -^HUa wmpMmntiB rdl6-drmflrmt�re d&iis des h�pitaux de New York, et portant le costume bleu et le tablier long et blanc A bretelle^ que l'on coainlt,- sans oublier lo ^4llvbomM�VblM�%rsl31ll0nnel ; des portraits qui parlent pour Binai dir�.lellistiout quelques-unes des productions da pinceau de Melle Brooks dans ion atelier.
Sur un pan de mur�tslentsuspen-dus trois chromes repr�sentant un : sujet bien ordinaire ; *to illettr� ;1 So d�sappointement ; 3o bonneni parfait. Ce�t une jeune flUe <;nl M�oitun� lettre, une lettre d'�-niDUT^cfllava ssns dire. On lit .Bn�FJi�jfact�on �vidente �nr ibb Tcwta^ nue �uance o?a�it6t� s�l �ff&H� i^en^�t ft.wita.' �t�^�tloa. Sur l� cli-'O'jiW N�'2, cette anxi�t� a'rtt transform�e �n-an detapp�lo-1 temeal bien caract�rlifi; mais,! comme tout est bien qui, finit I
la fin d� la lettre au troisi�me chromo a ramen� anr la figure-de la jetme fille uns joie profonde et immense.
La maison Lappling, do Loodr�, achat� no jourdeMalleSat�lM le? troi� originaux pour 1b* raprodui*e eoui forme da chrom�. ."Ces pein-torea avaient�t�eipoi�eB�T�cad�-mie Royale des art* a Londres en!
*m. -- :
La petite flUe qui, an cerceaa �j fdm41rt,Te�t^ii i�JMftIr�"�fiF*'��Tn^ eut l'en des meilleurs 'portraits eiecnl�s par .l'artiste, et Molle Brooki regarde au�t cette peinture comme son- meilleur ouvrage dans
Mais nous tenons pour d'�gale valeur son portrait d'esclave vu de demi-dos. qui fo remise un Instaut d'une" Ipurde corv�r,1 On ne'peut peindre! plus fld�lei. � t l'esclave bftras*�*etsuccombant presqae o. la pe�n*
Nous allions oublier de citer dans les reproductions an chromos des peintures de Me Ile Brooks, la jeune �lle aisu Ifl long du chemin, pa-ratu&nt harass�e d'uba longue tle chien qui veilla A cdt� d'elle. .
Le tableaa le plus remarquable du salon de Malle Brooks^ect, �r-ti, un� s;ene d'omnibus A Londres intitol�a : Dovm P�adilly. '
Il y a la, group�es dans un om-nlbiiF, huit femmes ayant chacune une phyilonomle' caraot�rutlque. L'artiste n'a pas fait la une p*inlore da fantaisie; elle l'a exquisMe su vif un bon oifttiu v
Il y a dans Londres, cojxud� probablement iana tous les giandt centres, due claisa d'hommo et de femnnu,�efammes et jeunes filles surtout, qu'on d�signe son* le nom de Cotimmn�tri. Ce* femme* et jeunes filles ne Tentent pu faire le service domestique dans les mai sons; elles gagnent leor vis eu faisant un petit n�goce quelconque, ca sont la plupart^ du temps des fleuriste*), des bonquen�rsn. Elles sa font troU ou quatre fols lm semaine leurs provision* de flsurs, pois vont lea vendre �i ai li dans la ville on sur les march�s. Leur costume sa ressembla chtx les et les autrea,r avec des nuances ;
l'est toujours le petit bonnet agacent perch� sur le haut de la chevelure en arri�re, le petit fichu, ramages vari�s et voyants, la rota de calicot bleu fonc� ou gris, garnie de velours,et le tablier blanc t cor-a pochettes.
Quand elles vout fure leurs fichais de fleurs, etrn ellea font une toilette des grands jours, moio h fisore du costume ua varie pas.
Unb�u matin, Mlle Hro.ki � trouva en compagnie de quelques de cee demoiselles qui r�ve uaient en omnibus ctaex elles avec leurs provisions 4e fleurs. Bile trouva l� on sojet original qu'elle a admirablement rendu toile.
Deux jeuhesBllr\^salsas Tune A cot� de l'autre � 1 -irtmit�^de bds causent; i'.ine raconte, et l'autre �coute avec un int�r�t que. En face, une autre so penche l�g�rementpoorglUitrun mot dans la conversation ^ alto oavr< b*W^ht, �n creirait lo rro* .parti Voisine de nett^desni�re est ualie une autre qui adoss�e eux coussins de la voiture, regarde pardessus la t�ta des causeuses d'en face. Ou
volt qu'elle n'est p*� d*- U ooci�v� ; alla fait semblant de ne pas �couter, mats nt perdpai un tra�tre mot de ce qoi se oiL
A c�t�, un joii brin de flll� compte �ur ses genoux l'arge�t de son port em annale; celic*la n'entend pas du tout ta conversation ; ses -caJcnl� t'�bjorbsnt ; elle para�t un peu gravo ', 1er compte n'y ort pas iai\s doute. "_- ' - -~
Eu face, et du m�me c�t� t ��us�D�esV'�ae jeune' f���e", type d'irlindeifie, i la �veill�e, aux joues ros�es, ei trsiie aussi. Bile regarde u dan� (le vide et parait tonti-fait absorb�e dans ses pansera. Peut �tre son petit n�goce la pr�occup�-telle ou encore l'image d'un amoureux, est telle venue se loger dscs cette petite t�t?, � mine �veill�e, au nez gracieusement retrouss� 7 Voil� ce que rjous n'avons pJi pu deviner.
Pr�s �� la jeune irlandaise, vieille fenune,irlandaiie aussi,dont le net se penche.un tanttnetdu c�t� do menton, et dont la bouche d'une .concavit� fortement accentu�e iadi-que l'absence d'un r�telier naturel ou arUflci*l,dort pr�food�menL Cas dedx flft�re* jostspos�es, avec leurs traits caract�riatiquai tout-a-fall diflimitSf se pr�tent matuellement beau ca np de relief.
Apr�s Js vieille �denl�o et ron-uaiit, Tient une jeuae fllle joufflus, � l'air gaixhe, timide et curieux A la fois. Quoiqu'elle soft � l'extra-mit� oppos�e de i'omniboa par rapport aux eauaemes, cala nt l'erop�-obe pas d'�couter, sana faire semblant de nen, avec nos extr�me allant ion tant ca qui se dit la-bat.
inr les genoux de toutes c damoiselles eu voit de� paniers (Eosier remplis de �aurs. -
Celte sc�ne, telle que peinte par Mlle Brooks, est frappante da vie, d'animation, et d'originalit�.
UeIle Brooks �st certes artiste de grand talent Elle est portraitiste et paysagiste, et il nous tarait fort , difficile de dira dans quel genre elle excella davantage,
-O00-�
1NCENDIB.
Troi$-Rivi�rc3,35�Vers 5 30a. bie le feu s'ax declart d�na une maison situ�e rue St-Obricr, occup�e par M LudgcrD�sil�s�appartenant'* U Ths. Fortin. 1^ maison put Etre con aerv�e, gr�ce aux eftorts �nergiques desthommes de la brigade da feu,nui� les dommages sont consid�rables 1 la-c�uverture est br�l�e � maints endroits mon gltca par Veau. De m�me pour te mobUcr 4e M. D�ueta. On que les perte� sont couverte* pu les assurances.
Chambre des Lords
SUPPRESSION DU V1CS-ROI
Londrop, 25.�Dana _ la chambre de* Lords, cette apr�s-midi, le duc de ' K�rmao, e�nservateor, a prois luppreasioo de l'office* de vice-roi en Irlande.
D�FAITE Pirfc, JL�gou'^er�t-ur du Se-?�gal t�l�graphie qu'il a aompl�tsv ment d�fait )� Faux Pr�fh�la Sara ary.
La Oie -du Bi�helieti
UN DiyiDfiNDE.
Uontr�al, 2S ~U #tlreoteur* de
la, compagniods narigstiaB du Et chelteu et d'Ontario �nt d�oUri nn
�lri�ettdf} rasoi- &an.aaj 3 pour
~ C? "r�iultat a proroqu� une c�r-.taiQS.^HDri*J- Oftctoyait siuira-lement qas La salsoa avait �t� mauvaise, vu l'�pid�mie qui avait s�vi i Montr�al
D'aucuns vout jusqu'l dira q�o que le montant requis ^sour payer te diyidanda a �t� emprunt�.
� LUS OUVRIERS ETRANGERS.
Parla, 28.�On a d�pos� un projet de loi 1 la chambra des d�put�s pour taxer lea ouvriers �trangers et un autre projet de loi pour les exclure de tout emploi dans 1rs con trais donn�s par l'�tasw-
NOUVELLES FA1LLTUK.
Les faillites de la semaine sont moins nombreuses que collai de la semaine pr�c�dente; voici ca qui concerna la province de Qn�bec :
H. B. A. Beno�t, marchand d meuble^ gt-iiyscintne.
MM. Ed.Lelong�f flls, rnsfasin g�n�ral, .-VImonta. Ont
U. Narslsse Choumard, fcoulan fer, L� vis.
U'd, Hay at Lame, fabricant da cigaras, Montr�al. Ces messiturs ont obtenu de leurs cr�ansiers un concordat k raison da tO pour cent,
U. J. A. Roy, laillenr, Warwlek. . Madame E. Demsrs, magasin g�-D�ial, Varchbrav.
MM. Barrette et cie, �piciers^Bas-slu d� Ch�mbly.
mm. PallarJer et^Tardif, nouveaut�s, Qu�b c.
U. t. E. Jalbert, �picier, rua Dor-cheater, alontr�a).
M. H. PrifO�tame, draps et nouveaut�, Sharbroka ; � passif $9,000.
al M. Pou h 11 et Vilneure, draps et nouveaut�s, Qu�beAdemandeat ode exteaxloa de d�lai.
UU. a. 8* Jean et Cie, marenands de ehauasrires, offrent 40 pour caot � leunct�ancterk.
Madame Jus Bsrgeraa, da St-Hyacintbe, offre ftO pour cent, dont 30 p. c comptant et 30 pour cent � terme sans garanti*.
M.A.B. Racicofc, r�Ve ~j ^our cent ; cetta offre a �t� refr;6fl par les cr�anciers.
m- N. Uathorin. je afootroat, offre 65 pour cs^dl
i^A MAIRIE DE�WCROMfe Montr�al SS jbjit.�M. Goftmsr,
lib�ral, rempla�a M. Pr�vost comme
maire da Si Jexflme-
LA COUR DU RBCORDER.
Montr�al 25 �M. Germain a �t� promu � la charge da grenier de 1a Cour du Racordar at M. Forget, a �L� nomm� aniiiiaDt-grefiler.
M. A. Bienvenu, l'un des r�dacteurs de la pttriz, est aussi nomm� i un emploi a la cour du ~R�corder.
Jakseh, l'anuan �ecrtti�M de Rlel, * fait r�cemment un* conf�me* � Miueapol'imr las trouttea du Nard-OuraL
OU1MF1' VS 8HBPPABD -Dan 3 le poursuite civile institu�e par le tieuteuanr coloual Ouimtt contre h. Shop'pard, du ffeui de Toronto, une mottOQ ami �t� faite derfii�rainent. par la d�fettae pour obtenirquelacaure fut an tend ne parun jury compos� enti�rement I d'AngUia. C�Ue inoiion iot pnx ca .d�lib�r�!mais samedi, lageMooa-rsaa-a�oau(A h d�lib�r�i.caasa
d^M� JHcs-�e �oime.' - � --------
On doit, dil-on, dsmanderuunoa-veau proc�s.
LEb LOTERIES AMERICAIN KS
Flusieura personnes'da Montr�al qui avaient envoya, an d�ctmbrs, d�s ieUres surap^tr�es A M. B. DaopbJn, National Bank, ftoutella-Oil�ana, las ont rt�&e�, du lapar-tament des iottras mortes, d'Ottawa, avec cette note :
"La lettre oi-tnclus* s �t� renvoy�e par l'administration das postas de* lULte-Uoi*/ parce qnsl'on aroit que 1� dastinalalra s'ocaopo 4'afalre* Ul�falaa et d'un earacttee frauduleux.
" D'apr�s las Itla des Etats Usus, la posta a droit da r�fusez de d�Uvxar les laUrsa dans d� tsllea �ixcoDauu-cas et en cons�quence la lattra �ai renvoy�* � l'exp�diteur."
La VATICAN ET L'IRLANDE, Londres, 25.�Une �p�ch* de Rome mande que is afoft�#w d* Rtm� f l'organe du TaU�ao^ tx-pnmeaoo m�tontemeat ex son d�go�t da l'opposition d�ploy�e dans Le discours de la Reine potur rompre l'union l�gislative �ntr* la �randa-Bretsgne *t l'Irlande.
Le moniteur demande quand la manda verra la protestannams sn-ti�rtmeni extirp� da l'Irlaods st la cathoUclsma usUvarMUatoani r*> connu. '
sbptfrArbs maniaques
It-Loais W Janv^� Sept fr�rma tous fous furieux, sont pass� ici nier, au roula pour l'asile d'ali�n�e de Jacksonvllle, La commissaire
le l'asile qui lea conduisait dit que fr�res �taient rvatm et avalant pass� lsur vie k imunr p�nib!*-meut, at en s'impoxant las plus ��-T�res oxrvationa, uns fort a as aesas consid�rable.
_wj .
CIRCULAIRE DE Me* FAIRE.
On a lu dim&nc�s au p��na, dans las diff�rente* �glise* du diocasa da Montr�al, uufrc�rcnlaire de Mgr de Montr�aL Sa* Grandeur engage la fid�les i remereier Dieu de la ces-aadon de l'�pid�miti qui a fait tant de victimes dans an si court espace de temps, puis Elle annonce qu'A ceua fin, dimanche sera institu� jours d'action de grflc?s. Aprse U grand-m eus, il y aura dans tout* l�.�4u*ge BjTOcaaston du. St-rlaera-ment �(�haut iaft Jswsl -
s secours dUlri. bu�* aux vie limas de l'idondauoo A Montr�al d�paaas d�j� AJ.OtO.
Parlement Anglais.
REJET �TUNE MOTION,
LES DDPUTBSPAJINEDLIbTTBS. |
^no>�,-ttJi-A la chambr* daa i ComujansB, hier, le Pr^ Hahttr *j rrtir�-iotrs^fta��aafit� ^a�*- don- ; n� par M. Gladstone qu'il allait | proposer d'attandr* que les cr�dita sciant demand�s pour l'exp�dition da Birmanie. -
James William BsxcUy (lib�ralf a pr�sent� ou amendement sur la question del� r�forme tstrilorale. L's��aaementa�t�rBjetApar une majorit� de 28.
Lord Hart�agdou, U. Goschsa et [*jdrt4 Couitnsy ont vot� *wie gouveruemant sur J'amecdenssm Baely.
M. Ckaotnariain, M. Lajwnehara, Herbirt Glsdikma ctlaa parnsllistai
ont vot� en faveur de l'amendement
M- �laditane, Sir W. Hsreourl et M. Trenftlyn sa sont abstenu* de Totar.
A la chambra des Lordi, lord Salisbory dit qu'il esp�ra que dtna une coupla jour*, la gouT�raBmant sera en �tat�** dira quallaattitnde U croit dsjotrjfsnlraau anjat da l'Irlande.
ord K�mbarley est surpris qns le s�jour si court d* M. Smith, en Irlande ait pn .�nattte la gsam� nsment en �tat de d�clarer'sa po-politique au sujet da iTrlaode.
Lord Kllmorey a rei'r* sa pro-poiitlon demandant l'abolition de la charge ds lord-Heutenant d'Irlande. : ��._
Lord Saliabury aopfirme la d�claration faits par M, BOorks au sujet de l'action des puissance] en Gr�ce.
On dit que la d�eiaiation de lord SaUa�urjau sujet de l'I lande a �t� seus�s-par UQB d�p�che du s�cr�tai ra an ckaf pour l'ir�tnda, M Smub,, disant que La r�pression est absolu-aoenl n�cessaire.
Les d�put�s patQsllistei ont eu une r�union, b�sr aoir, pour disante* Is d�claration de lord Lalisbury.
Le standard dit que plusieurs chefs lib�raux veulent proposer on amendement � l'adrVus assurant ta re�oe qu'ils s ipportsront toutes 1� qu'alla croira n�cessaires la paix eu Irlande. On dit que tes d�putes P�melli*-;as soat d�cid�s � discatar Famen-demeat de M. O'Bnen, et i voter en faveur da celui de M. ColleDg 1 la r�sultat serait la chute du gourer namenJL �
La gouvernement k conuntl � modifier le* nouvelles r�gla* de proc�dure; la chambra des Communes sa r�unirait i quatre heures, et s'ajournerait A une heure, donnant aox membres I* temps naees-ire pour aller dinar. M. Morley, le professeur Preamaa *t quelques autres root A former association d'Anglais et d'Ecos-salij en farsur du Homa Rata.
Le ntta dit que la mmaur alr-culs ^oaiajBJigamBTnao�^alHbary Ta tamear'd'ici A huit jours at qu? M-Gladstaca-esi pil� t prtndrsle pouvoir.
La D*uy Tiltgnfh dit qoe M W. H. Bmilb, sacr�lalra en cfasf pour l'Irlande, ra rsveolr bienldl rn An glaterra.
Ls peu dit qu'en r�ponse A l'a-fft mtindemant fait A l^adreasa par M';' Parnell, le gouTerneraent va axi- ^= floncer aojOuWbul sa politiqoe ^ ^ irlandaise. - - � - - -. -�
Un dirorce
RECUAMA�IUN DE *1A,0M-
Il lrfiQia, K.�La causa de divor- ~ c�da Ame�ia Coquard-^oo&s saa^-S mari Louis Coquard, riche courtier *' bien counu, ealtarmin�e.
Le tribunal a accord� la, divor�a et donn� � la femme Coquard $15, ^ 000, et lui a permia da porter tOBt^-L0m de fille. - ' '-
DIFFEREND �RECO-TURC _ Consianuooplf ti-Ottiipportflqua la fiau* grsoi ue est' all�* on Cr�te. .
LE oABINET TURC SI�QB. JT-La Pjrls a h^nsmisa une nota aux puissances leur demandant da jr-rsidsr I r�gler Te diff�raut grec. ~>_-,J ^
INCENDIE ' V ,
Pkilstiefpbie Wjanv;- A 1110, es matin, le feu s'est d�clar� dans ; ,Arch fctreet, et .ai moins d'un* heur* i d�truit compl�tement les��" msgtam� faisant depuis le No 715 jusqu'� 725. Cest l'incendie le plas:-CO�sid�rabI� qn'il y sa encore su su celle.
L'Hotsl it-Cloud est coAtigu A la maison o� se feu a pris, mjua�-tous l-!s pnuionnaiHB, au nombre ds 571, ont pu sortir sains et sauf, " _ > Le f-u s'est d�clar� nwsl'�tablis�, " semant de Lehsaan tt Bolton, au-.: ascend �ugs de la maison portant I*jnum�ros 7i5-71Q ;_doot Je p3ffc== miar �tage e*t est occup� par Mo�ey Bros, k Go-, marchands 1* chaussures en groa.
Las b�tistas "�T Isa- stocks sont -cosspUuai*Dt perdus.
MARlA�B ROYAL. Pans, �G.�On rapporte que li-"-". duc da Briganee, h�ritier du tr�na- . de Portugal, va �pouser la plus jaune fille du eomta-dt Calais.
�USPEN�IUN Par.�, On aauonoe la sua-
RKVENU. Calcutta, U.�L� gOuvoruemant a inform� Isa dtffirent�s abambraa . d* Comme'� d* triade qu'il est lm-possible da r�tarder la passation d*^f la loi sur t�s taxe� du revenu.
ENLEVEMENT. --
Claveland, Onio, 21.�UademeL . aaUeTiliij Manksrmsn, demeurant A Royaltoo, tout pr�* d'Ici, a �t� eav lev�e peSdaul qu'elle se promanatt autour de sa r�iiJaacc Ou la mit dans une voitura, et �Ha fol aounK > se � l'action du chloroforme : matt: pendant qna ses ravi:saurs �talent, descendu* A une auberge, a]|STapHr_ �ouaaissance et s'�chappa, ' - D y a quelques temps*, un jeun*) ioime��-H-?ya�taa !nl �criTit �-*--letiresaompranuuxntes,�t comme) -on l'avait menac� pauxambi, U est loap�ann� d'�tr* pont qoalqutf-ckose danseaienl�TsawDt.
torchons safEaante pour Isa besoins de le, Ferme,
e'eat ma jupe et ma, deTanU�rs
. ------- de la Bernai ne ; nous ne sommes
l'ABOYEUSK QnQllo �r^t nU^onne et ra- plM�laFeatec�te.
...... Ta, te dia-je, c'est enaore f�ie
�ujcqrd'iidi.
Gait i>o�-a aen pennes at eon peloton A an pieda, at alla mnitre sa toiletta de U raille.
A peine araft-�Ue frsoichi la aex�l d'un petit _ cabin�tr qne Mathnrino lai m�nageait entre la iratUer et la 1 ait*Tie,qit'tm refrain de chanson frapput l'onilla de Judio
II courut A la porto, et �p�r-^jl^n>oredeax'^rintemp�", el^Gai�:j*ftt"Zir�f/ft. *' -
Qn^Uc �tait mignonne et ra* diens� ! travaillant tout le jottr, comme une fburmi,ne quittant ex place et aa tache que pour courir Ala fauche couper un chanteon de pain^n mendiant de passage qui la Tv.m�Tciftit par uno b�n�diction.
C'�tait rta lis pi pur que cotte enfant pirfnmnnt -une demeure aains� o�B�e, o� tont respirait Je cout�ittement au labeur accom-
Sdit ho tenait pr�s de la crois�*, assise anr imo chaise basse, miracle de menuiserie �t de Bcrrt'ptnrona�Te.qneMichel avait.
- 9lKWa�6wt.MJ.onfel?J.1. "��!� �Mrienw �. to'JL!�' <in�-?er.o�ii. .rr- Encora i,aI Pri�'�P�. �*
- io cU�ioat.lci.Jwc. ha-....... �P�51e.3*�mn.n&r.iu -er-
Qent. ello tenait mur nra gonora le cLcrd mie in�co de toilo bise
. gutili1 <le fn longue fraD�� --"-4ti*eUc �oapaitt ptiis attachA�t pmtcm�ut. brin pir brin, par -, - ou �ond �IIruc d'un rac.nsic -filleoonUnaait, jusqu'� ce �rai-i'.�' gnant de bronUler lo ni, elle le .1 pel�uLonn�Ueon tonr, Geit en-i rtjti pluelKtd M. peloton, chn W <4mtmnd qui lai itadejt d�
-
Tante� et de prendre 1� r�nes qu'elle 8'os.ay.it m�ntenir m.nier.
Mus Jndic partit en ee mo* ment regarder l. nille e�mme e'il l'inipeotut elle-m�me, et remarqnant qu'elle portAit nue jupe de toile noire, il lui dit :
Ye t'babiller, G.it, rveorirune ert horrible-
Ufi�, jjfn, r�p.ndit l'eu/utl,
-y
Kmui commence un entretien p�nible �.veo Jndic qui eompre-n�t k peine eon linges bittne. L� jeune fille interreaut de temps en tempe, �id�nt A ls traduction, riwt, ajoutant nu mot, conimpri�tut * un couplet q'elle u'uner�t pa..
L'oserai, ejt-elle �loign�e 1 denunda-t-tUe.
Quand uou. auron. inirene lo petit ijoii, vous le Terrei. Et touo ma champe eont .Ton.7 Oui, tons : et ila promettent
une rich� moiaeoD. , . ^_
^ � iS�Ie �.IlIkUMut JW�r" cueTDiri
Ma�CToill on paiseteau qui eu | cetto belle vall�e.
t derri�re plie! Jp voua am�ne Kaean, dit-elle, il visitera l'oseraie, etr ti reue tous arrauyex, noue n'endrona avee BambillA eouner le. branche, et tresaer le� corbeillee eur plare ; de la sorte, l'osier eat plua'souple et letra-ail meilleur .Tudie ne trouva rien � r�pondre que ce* mota : Touaares bien tait...... voaear
voir l'oaeraie >
de. ftoua du chef.
Le vieillard eequieeca d'un �gne de t�ta, et commen�a � souper Ieo oeiara ; Zinga offrit de lui aider.
Non, non, dit-il, cette besogne me regarde : il fait unea� grande chaleur que tu fera, bien d'aller te reposer i la ferme, Dnns une heure j'aurai fini.
Oui, VTOez. r�p�ta Jodic, le verger eat pbjind'ombre^eLvoua y seras mieux.
Zinga suivit le fermier. �
,, liathurina mettait le couvert.
Geitrecoifhnt le bonamirmne qu'elle avait vue sur la place de Joeaelin ; elle st leva toute droite, et au lieu de ae diriger du cot� de sou per�, elle u rapprocha de Mathunne
Zirjga .'en aper�ut Soit qu'elle d�eirat effacer nmbre.-aiou p�nible que aa rue produi nit rar reu&ut, �>it pour�tu-j
mercia Plo�ren avant d'avoir eamry� le. l�vre* rougn^ur lee-quelle* perlaient dee goutte, de �
cr�me.
Qu�o'cetbon !a'�eria-t-elU.ei llleuien.e Vie que la votre �
Elle ne voutceavioudrei� gue-rr. fans donte. etce-'leque voue
Je rai. vou. la faire reeoruul-
recueileraaa part eau. la eemer, et il est plus honretu que noue.
Quand ila furent entr�e dana l'oseraie, Kaean proposa ou prix d�risoire que Judic an hita d'ac-
iptw.
Zinga �prouva une serte de remords, et s'empressa de dire :
H est bien entendu que�Bem-billa et moi noua voue ferone cadeau de en ecrbelHee en dehors
qui ne
poss�dait rien que .aljupe'rouge et lea sequms de s. coiffure, ad mirait les moissona dor�e*, les branches de pommiers pliant sous le faix des fruits, les oovere sombres, le* ch�taignier* A f H�tons d'or, r�pandant leur rrrti-gineui parfum. , Teua deux arriv�rent i la ferme un. avoir pronoao� un* parole.
dier si d�j� eUe^ eier�aiiL un.i (,J,B mot* i T�� eomp�? r�elle influenoe sur Judic, e]le|�r*z*nraita- Nonseomme� dix-dit, en d�aignarit la petite fille : |fcnit *** ^�11. en communauti. Je -cudraie Won embrasser Trof* �" aoovnes sont roeqni. cat^. mignonne. . .._____ �^-'�^-Ji�P�^faM|lw �'�ev
donner U baiaer qu'on tedenuu-
de.
L'enfant na bougea, pas
Eat-ee que je vou. fast peur ? demanda la boh�mienne ?
Peur ! oh non .' mai. je n'em-brose que rues ami*.
Allons, s'est eue petite sauvage, dit Zinga, n'en parlons plus,
Judic emplit de lait on grand bol et le tendit � la jeun* fills.
Elle 1 avala d'un trait et re-
r�tament lea oaasaroiea ; le*-e&- - ~ faut* mendient; I^saaro aeh�t* " les cheveux de. jeune* JJles ;> r Kottmi est charg� des etmpe� ment, et de* voyagea. Bunhill� . j*ue du tambour d* rjs*ijsi�ij_~. moi, js ensate- Sorwne sUtiou. nous pu quinze joui*4*ne le m�me eadrnit, e^noa� suivons-1*. ��mbl�e* et le, foire. Quand noua ne douneau pas ds coue*rt.IUabill. et moi, nous f***�. de* corbeilles qu* uoo� .. *