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D�nonciation du...
� suite de la page 1 �.
tes am�ricains �talent de braves patriotes, mais aujourd'hui alors que'la Russie est toujours en controverse avec les Puissances de l'Ouest, ces m�mes braves patriotes supportent Henry Wallace;- ils ��noncent Philip Murray, ce m�me Murray qu'ils louaient pendant la guerre. M. Swim termine en disant qu'il n'y a pas de place dans la C.I.O< pour des accusations de 'Rouges" si celles-ci sont dirig�es sur des gens qui ne sont pas. coin munistes, mais que l'accusation de �Rouges" doit �tre affich� aux vrais communistes. Cest un pro bl�me qu'il faut r�soudre avec cal me et fermet�.
Ceux qui entreprendront la tft che de combattre le communisme dans les unions doivent s'attendre au pire. Les rouges sont capables de d�truire le caract�re d'un, homme en tr�s peu de temps". Leur th�orie est celle-ci: "La fin Justine les moyens". Il est absolument n�cessaire, conclut-il d'�loigner de nos unic:;a ouvri�res les commu � justes. I i |.v
Le tout peut se jr�sumer en quelques lignes. Sachant le but des communistes et connaissant leur m�thodes d'infiltration dans les u-nions ouvri�res il ne faut pas se - laisser aveugler par leur promes -ses, promesses qu'un jour nous conduiront � la mis�re et au d�-sepoir.
Jeunesse d'action Catholique
On n'a pas oubli� les grandioses manifestations qui se sont d�roul�es sut la Place de Saint Pierre � Rome, en;septembre dernier. Pie "XII parla le 5 septembre � -la Jeunesse f�minine d'Action catholique et, le 12, aux jeunes gens d'Action catholique. Chaque fois ce fut devant plus de 200,000 auditeurs. Sa saintet� tra�a le r�le actuel des jeunes dans l'Eglise et la soci�t�. Ce sont deux pi�ces -re -marquables que la jeunesse catholique et ses ma�tres se doivent de lire dans le texte int�gral traduit directement de l'original. Les Actes Pontificaux, collection de '.�cole Sociale Populaire, viennent de les publier dans une attrayante plaquette avec trois autres allocutions de Pie XII adress�es aussi � la Jeunesse d'Action catholique.
PRIERES POUR LA RUSSIE |
Le mois du Rosaire est fini. Que de chapelets ont �t� r�cit�s durant ces jours pour la
n va mieux, mais*.!
�Docteur, demandait un malade, comment me trouvez-vous aujourd'hui?
� Oh! beaucoup mieux qu'hier soir mais, � votre place, je ne' commen-ceraislpas la lecture d'un roman � suivre. � . i -.r: �
?conversion de la Russie. Rien^bury o� monsieur Lacombe s*oc-*PLANT ELECTRIQUE DETRUIT n'emp�che de continuer cette cupa de construction. . VkJt IX F�tr
pieuse pratique. Tout, au con- A part son �pouse, sept flls* lui trairef�nous incite � prier plus que jamais la Vierge Marie pour que le peuple russe revienne � la foi chr�tienne. Il ne faudrait pas oublier, non plus de s'unir avec-ferveur, � cette intention, aux pri�res que le pr�tre r�cite, chaque matin, apr�s la messe. C'est Pie IX qui prescrivit d'abord ces pri�res en 1859, pour les Etats p�ntificaux seulement, afin d'obtenir la solution* de ce qu'on appela la question ro-
maine. Son successeur, L�on XIII, les �tendit � l'Eglise u-niverselle. Cette* question r� -gl�� en! 1930, Pie XI ordonna d'offrir ces m�mes pri�res, a-vec les deux ajout�es par Pie X et Beno�t XV, pour la conversion de la Russie. Il faut rappeler souvent aux fid�les, disait Pie XI, cette intention.
DECES DE M. � MATHIAS LACOMBE
Etablis dans la r�gion depuis 35 ans, Mathias Lacombe est mort � l'h�pital Saint-Joseph vendredi, � l'�ge de 68 ans. Fermier et charpentier, }l �tait avantageusement connu. Sa sant� avait d�clin� durant les deux derniers mois.
N� et �duqu� dans le Qu�bec, il y avait �pous�, en 1904, Marie-Jeanne Rae. Apr�s le mariage, le jeune couple s'�tait �tabli �) Verner. Pendant 25 ans ils cultiv�rent � Verner. Puis ils vinrent � Sud-
survivent:
Jean et Joseph de Verner; Ronald et R�gis de Sudbury, L�o de et Rosaire de Vancouver; Cinq filles: Mme Emile Mason, Mme L�onard Pilon et Marguerite de Sudbury, Mme W. Williams "de Toronto et R�v�rende Soeur. Th�-r�se-Luclile de Ottawa; Trois fr�res: Charles, de Hull, B-mile de Montr�al, et Hormldas de Timmins;
Deux soeurs : Mme, Thomas La -pointe; et Mme Joe Brazeau de Mattawa. La messe de fun�railles lut chant�e en l'�glise Ste-Anne de Sudbury, lundi matin � dix heures et l'inhumation eut : lieu dans la cimeti�re catholique de Sudburyv Les arrangements fun�raires �-taient sous la direction de la maison Ducharme.
La chasse � l'Ecureuil
Joseph et Emile mangeaient des fraises dans le champ. Ils en cueillaieint pouir leur maman. Tout-�-coup ils aper�urent un �-cureuil sur les perches de la cl�ture. Ils se lanc�rent & sa poursuite. Il courut vers les bois. Les petits gar�ons couraient toujours. Tant�t ils le perdaient de vue tant�V ils le retrouvaient Enfin le petit animal traversa un i avin profond. et disparut. Par L�o Taillefer, 9 ans, 4e ann�e. Inst: Mme Isabelle Robldoux.
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PAR LE FEU
� Le feu a d�truit compl�tement l'unit� d'�clairage - �lectrique du garage Gratotfs Service dans la nuit vendredi-samedi.
On a pu sauver la maison et' le garage mais il ne reste rien .du-petit �difice. Le feu a; �t� caus� par les �tincelles dj�ihappement du moteur. La perte a �t� �valu� a $2,000.
FUNERAILLES DE MME * EUGENE LAIB^ � "
Le 10 d�cembre avait lieu sA'�-glise St-AIphonse; de Chapeau, Que. le Lib�ra et S�pulture de Bernadette Malnvllle, �pouse de Eug�ne Lair. Apr�s un mois de. maladie, Madame Lairest d�c�d�e mardi le 7 d�c. � l'h�pital St-Jo-seph de J3udbury. Elle Caisse pour pleurer outre son �pouxT trois fils et 3 filles: R�mi, Paul-Eug�ne, Laurier, Th�r�se, Marguerite, et Yvonne. Une soeur Madame Rose Biais de Sudbury, et trois fr�res, Ald�ric, On�simei Orance.'
Les porteiyrs �taient les trois fr�res de la d�funte: Ald�ric, O-n�slme et Orance, et trois beaux-fr�res, R�mi, Francis et Lorrain Lair. ,
La messe fut chant�e par le R. P. Sylvestre cousin de la d�funte et le R. P. Beaudouin, �iacre et le P�re Brown, sous-diacre,
La ; famille remercie; tous les gens qui leur ont t�moign� les marques de sympathies soit par offrandes de � fleurs, bouquets spirituels, messes, visites, ou assistance aux fun�railles.
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�TO THE 'VICTOR* A SUDBURY . (Par L. Splnard, traduetlonl J.R.) Si vous voulez voir ce qu'est la France, trois ans apr�s la guerre', point n'est besoin ude -voua payer le voyage. Prenez un si�ge pour
Warner
- a envoy� D..
gan, Vlveca Lindfors, leur directeur Delmdr baves, et' Je cin�-ruatographe ' Robert Burks, en France pour photographier "TO the Victor" �ur la sc�ne m�me de l'histoire. Cest la-description des aventures d'un ex^G-I qui' demeure en France apr�s lavguerre. Vous y verres se d�rouler les rues de Paris et les sc�nes Inoubliables prises- sur la plage d'Omaha ou d�buts l'invasion.
Huit semaines furent employ�es par la Warner Bros, �,filmer le paysage. Vous auresso.us iesyieex : les ponts de Paris sur la 8etne, la gare de Sabit Lo efc^-.-la campagne Normande, notre v lieu d'origine (pour la plupart des Canadiens Fran�ais),'ainsi que, l'actuel as � pect des navires dlnvaslon ou * bli�s sur la c�te.
Le film repose, tout entier sur le paysage et c'est dire que rien n'a �t� n�glig� pour le ^rendre � la perfection. Personne de ceux qui, ont vu le fllm^n�; peut ou-blier les sables d'Omahvavec les longues rang�es de^barque� en -glouttes,, dig�r�es silencieus�nVsmt par le sable. Un s^.particulier a du �tre pris pour que l'effetf des mar�es ne ttulse^pa* >la prUse
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