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: d'�quipement de la' en.France rev�-lement les . aspects les vM�wH&HNii�&�. ety les- plus grandioses. Hier, c'�tait le d�-teutlh�aaefit J�&H Rh�ne � Ponz�re, �^ctD^^St^t� � un v�ritable b^tfe*�9fr^u� traverse la plaine
riTlnrt Tttwm. m r~i��j-�-; c'est la
Imand'jBiayec/ rcy,fMa#erde> rtor-dd -i 16 futa�xpos�e �ad'fB^rgeron,� t6 ea�tlf�glise .vendredi ima? l�v. P�re Je�:,, lerv�ce assist�
Mpe�u d'�l-i'deJStsCnar:;
Berg�ronfu-�v�s c��te's�-1
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-^jury^aux-i ! mdurantr La' ans la nuit de d�fait ^
ivait un fr�re
mise en tra�#vdu! chantier de Mon t�limar, le d�tournement de la Loi-r�/'^ ufatt�'^rar dessous' les? C�^ v�nn�Jff�t'va'ii�jeter dans la M�di-r tetean�&�toemairi va voir la capta-tion � encore sans analogue dans le'raonde t�4 d'une rivi�re souterrai-n�o(!�3~Pyr�n�es dont les cascades, aitHgbUffee d�s Eaux-Chaudes, �-tafanttoonnt�es des seuls sp�l��lo-
�^J^fe* dressent entre la massif g�ologique qui tourne sa fa-
c-ita^^mle Nord- Bien a-
vant (<jrae .^ectrification -d�-terrl-Mt gr�sil. W^M^M^^ services d>�-
des chen^n^de fer du Midi s'�tait pr�oc^uj^e ^'utiliser au maximum 1^. Mdtesapce^, hydro-�lectrique des vall�^^pyTj^i��nn�s, en vue d'�l�c-trlfier ^sesj.-voies ferr�es. C'est en grande l(P^jU� aux Compagnies de chemins d� fer que l'on doit les
es soeurs Ja�-cer�m�-
ation eut lieu No��vM' m:
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*^do�rlnesJ^techniques aujourd'hui en vi^e^jf, telles que le courant de.
FRANCE
re, le S. N. C. F. {Soci�t� nationale des chemins '. de fer fran�ais),' h�riti�re , �tati�se des anciennes compagnies de ; chemins^ de fer Y-demeure chez elle, la structure 5-tag�e des usines existantes assurant un "emploi" ..tr�s pouss�, ne laissant place qu'�;, des travaux nouveaux de faible importance.
Tel est le cas dans la .vall�e du Gave d'Osseau, o� l'"escalier" des chutes successives comporte trois �tages superpos�s; l'usine d'Artous-te^ qui utilise une "d�nivell�e" de 750 m�tres; celle de Mi�.gebat, qu> fonctionn� sous 320 m., enfin, l'usine de Hourat, o� la diff�rence de
niveau effective est de 203 m.
"\ ' "
Qr, dans la vall�e, ainsi �quip�e, des venues d'eau tr�s abondantes se manifestent � mi-hauteur en plusieurs points de la rive droite. Ces eaux ruissellent � ciel ouvert et vont rejoindre le lit principal du torrent au-dessous de la prise d'eau du Hourat usin� inf�rieure du groupe c'est-�-dire qu'elles �taient totalement inutilis�es jusqu'ici au point de vue hydro-�lectrique.
L'une de ces "r�surgences" est bien connue des touristes et des sp�l�ogues: c'est celle de la grotte des Eaux-Chaudes, qui vomit un torrent �cumant. Diverses explora-
tions avalent permis d'envisager u-:ne capture des eaux � une altitude tr�s sup�rieure � celle o� elles apparaissent en surface. En outre, il n'�tait pas exclu que toutes les venues cf eau fussent une d�rivation d'un fleuve souterrain unique. L'aventure technique devenait extr�mement int�ressante, si l'on pouvait esp�rer capter le fleuve souterrain plus haut que la prise d'eau de Mi�gebat, nourrice de deux u-sines en cascade, situ�e � une altitude de 1,131 m. V
Malheureusement, 1 les profondeurs de la grotte des Eaux-Chaudes sont presque inaccessibles, au point d'avoir tenu en �chec les sp�l�ogues les plus r�put�s. Par une passerelle en bois suintante, � la lueur de torches tenues par des guides, les visiteurs venaient buter contre un formidable entassement de blocs, appel� le Grand Chaos. Le passage fut forc� par M. Pas-sier d'Arudy,' qui y mit 37 heures d�pla�ant � bras les blocs qui obstruaient les �troitures. Encore aujourd'hui, le passage est tellement surbaiss� qu'il faut y cheminer en rampant, et que les sacs � armature m�tallique y sont interdits! .
En 1923, les explorateurs retrouvent le torrent et viennent s'arr�ter contre la "Cascade Fajol". Puis l'Etablissement 'Thermal des E-taux-Chaudes subventionne une exploration du Sp�l�oclub de France,
L'Ami du Peuple, SUdbury, Ont. lo 5 juin, 1953
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avec le c�l�bre sp�cialiste Robert de Joly. On monta jusqu'� une nouvelle cascade, la cascade Gou-rier. . �
Notes
internationales
� suite de la page 1 � nationale des chr�tiens et des juifs). M. Pearson a d�clar� que les propos de M. Taft pourraient bien �tre un coup mortel pour l�s Nations Unies, s'ils deviennent l'expression de la politique �trang�re de Washington. Mais les regrets n'am�liorent pas la situation] Au surplus, le g�n�ral Eisenhower a rejet� officiellement l'opinion de M. Taft.
Les Etats-Unis sont fatigu�s.
Il semble toutefois que les Etats-Unis soient fatigu�s de la politique du Royaume-Uni. Celui-ci n'a qu'une id�e fixe: la n�cessit� d'en venir � un accord avec les pays, communiste h tout prix. La Grande-Bretagne veut la paix, ce qui est louable* Mais elle la veut surtout pour des fins commerciales. En soi, cela �n'est pas condamnable. II faudrait tout de m�me voir � ce que les vis�es commerciales ne priment pas
toutes les autres. En tout cas, les Etats-Unis, qui ont fourni le principal effort militaire et financier en Cor�e depuis l'ouverture des hostilit�s d�clench�es par les communistes, veulent des assurances solides. Au surplus, nos voisins qui ont accord� une aide financi�re consid�rable � la Grande-Bretagne, � la France et aux autres pays de l'Europe et de l'Asie, n'estiment pas'que ces pays ont fait un effort correspondant. Aussi sont-ils pr�ts � ne plus accorder aux nations �trang�res autant de cr�dit qu'auparavant. La libert� des peuples (ce qui n'est pas synonyme de la libert� commerciale) n'est pas seulement l'affaire des Etats-Unis.
En Cor�e, les Cor�ens du sud sont fort m�contents de la politique des Anglais. Le vice-pr�sident de l'Assembl�e l�gislative d� la Cor�e du Sud, M. Yoon Chi Yung, a nettement d�clar�: "Les troupes britanniques en Cor�e devraient rassembler leurs effets et retourner chez elles." Les Sud-Cor�ens sont pr�ts � poursuivre la lutte tout seuls, au besoin. Je crois, pour ma part, qu'il est du devoir des, Nations Unies de ne pas sacrifier bassement ce petit peuple qui a beaucoup souffert, et pas uniquement pour lui.
L�opold Richer
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AcCaeJl�na�ntJ ^organisation g�n�rale est la suivante. Les services tf�leetrieltf -de -France monopolisent la totalit� de la production ^^P^U�a^^�ti'�xception de celle du Rh�ne � qui est confi�e � la *^mpagndiTgJh�rale du Rh�ne" � et A� l� ^T^ii^oA �^'tmimm ter-
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Comme d'autre part, la techni-, qnejf^tf^t�, :l^euj;< arriver qu'E-
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ce vienne empi�-
ter, par ses travaux, sur des vall�es autrefois v uniquement d�volues aux chemins d&ff� Tel est le cas dans la haute vall�e de Gave de Pajump^jlar: nouvelle usine de Pra-gn�res, utilisant des captations d'a-tltude par des percements de lacs, des puits et un; immense r�seau de galericell isouterraines^. emploient beaucoup plus - compl�tement les' eauxo<q��* ne pouvaient le faire les anciennes usines de Luz et de Picr-reflttej.n.t ,i? v '
Dans d'autres vall�es au contra�-
JEBBY ST-PIERRE
J Azllda, Ontario.
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Vendredi 12 juin 1953
(Solennit� le dimanche 14)
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du 3 au 12juin
au programme de RADIO-SACR�-COEUR par le P�re Ph. B�langer, S. J.
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Le Sacr� Coeur attend:
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L� voix de
l'Apostolat de la Pri�re