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L'Ami du Peuple, Sudbury, Ont
le 28 juin, 1958.
AU ROYAUME de la femme
Et voui, en
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DESSERTS AUX FRUITS
L'�t� n'�tant plus loin, il est temps de tirer le meilleur parti possible des fruits de primeur Fi aises, framboises et cerises font de d�licieux desserts et peuvent �tre facilement congel�es, m�nageant ainsi un menu
A table
Souper de dimanche
Salades individuelles aux sardines ' v^^ yol-au-vent �au �eau
" Carottes mur �pices 4 , ?\ CosZeptarile ait caramel J r j_ (J LarfV- Caf�\ � Th� r
N.B. Mesures raa-.es. De 4 � 6 services. \ ,
Vol-au-vetit \ou veau
Ce mets se pr�par� en deux �tapes: 1) le lamplissage de viande de veau, 2,*^le vol-au-vent
Remplissage Vou veau
M�langer 3 tasses* de veau cuit et coup� en cubes, 2* fiasses de patates cuites et coup-�te en cubes, % de tasse de carotte� cuites et tranch�es finement, X. tasse de pois en conserves (�g ou�tes) et H tasse de champignqns saut�s. Ajouter % de c. � th� tde marjolaine, % c. � th� de! "monoso-dium glutamate" et 2 t tasses de sauce de veau �ou de sauce brune.
vent
Le vol-flNi-veiit
Tamiser ensemble 2 tasses de
pondre � p�te et Te. � th� da seL Ajouter % de\ tasse de' lard ou de saindoux (snortening). Incorporer, au moyenr\ du m�langeur � p�te jusqu'�'ce que se soit floconneux.
Ajouter lentement % de tasse d'eau froide. M�ler l�g�rement avec la fourchette.
D�poser le tout sur une surface enfarin�e. Former une boule. Saupoudrer l�g�rement de farine. Prendre % de la .quantit� et la passer an rouleau juscpf� ce qu'elle ait % pouce d'�paisseur.
Ensuite, d�faire en cr�me 12 � soupe de beurre ou de t� doux. Etendre,..au moyen d'une spatule, jusqu'� H pouce du boroY Replier la p�te sur elle-m�me en joignant bien'lest bords.
Puis� en partant du centre, passer le rouleau l�g�rement et ramener � l'�paisseur de % ponce. Ced a pour but de rendre\Ia p�te plus floconneuse.
NOUVEAU
CASIER POSTAL
L'AMI DU PEUPLE
696,
estival pour les mois d'hiver.
La pr�paration de cocktails et de desserts � partir de fruits frais pr�sente des difficult�s dont, la tendance � la d�coloration et � la perte de saveur et d'ar�me. Un moyen excellent de surmonter ces inconv�nients est de saupoudrer les fruits de la pr�paration acide ascorbique-saccharose. L'acide ascorbique emp�che la d�coloration des fruits par l'oxyg�ne de l'air et leur conserve leur saveur origi -nale. La saccharose est un sucre naturel trouv� dans beaucoup de fruits.
Ce m�me m�lange est aussi d'une grande aide � ceux qui cong�lent les fruits. Gr�ce � lui, il n'y a pas de dispersion de l'ar�me durant la pr�paration et, m�me dans le cong�lateur, les fruits gardent leur saveur et leur couleur. Nous vous donnons plus bas une recette pour l'utilisation efficace de la pr�paration pendant la mise en conserve des fruits congel�s.
Avant de couper les fruits, ^pr�parer un sirop en diluant du sucre dans de l'eau. Utiliser de l'eau chaude pour obtenir des solutions plus claires, Pour la plupart des fruits un sirop de consistance moyenne sera utilis�
mtant 3% tasses de sucre � u [ne pinte d'eau.
Laisser le sirop refroidir corn ^pl�tement Ensuite, ajouter une cuiller�e,� th� du m�lange adde lascorbique-saccharose pour chaque tasse de sirop froid. Remplir de sirop le quart du r�cipient et y ajouter directement les fruits eh les coupant au fur et � mesure. Tasser les fruits au fond du r�cipient et ajouter assez de si trop pour les recouvrir. Le sirop doit toujours recouvrir les fruits. JLaisser un espace libre d'un demi-pouce � un pouce avant de fermer herm�tiquement et de �aire congeler.
La mode
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L'�cole ItC.S.S. No. 2 Rayside a besoin de deux institutrices ave^c brevet � on est pri� de g'adres-ser � M, Er�ile Maheu, secr�taire, �.P. W, AiJJda, Ontario. . ^
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Pour les quelques jours Iris* quets qui peuvent encore survenir avant l'�t� et pour le� soirs frais de l'�t�, voici m manteau blanc asses original* Fai( d'un lainage doux, moelleux et flexible, Bon large col est retenu � l'arri�re par on bouton� De ce bouton part �ne bande de tissu allant jusqu'au bas de manteau; un antre bouton, plus bas que les hanches, orne le dos. A' chaque bouton, la bande forme une demi-boucle.
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La fi�vre typho�de
Les cas de fi�vre typho�de sont moins nombreux qu'anciennement; mais on en rel�ve encore quelques-uns chaque ann�e et, dans certaines circonstances, il pourrait arriver encore que des �pid�mies �clatent La fi�vre typho�de pourrait se d�clarer dans des endroits de vill�giatures o� les syst�mes d'�gout et les ap -provisionnements d'eau potable sont insuffisants, fl faut toujours prendre beaucoup de pr�cautions au sujet du lait et de l'eau.1
Plusieurs Jeunes filles de tous les coins du
Ottawa, lors d'une tourn�e appel�e "Aventure de;------- , _
Et, dans les �difices du Parlement, le premier mmistre, te tfM bon. John Diefenbaker, leur a rends des eertifleati d� citoyennet�. C'�tait simplement pour leur donner me fiert� de pins d'�tre Canadiennes.
POUR ENRAYER L'EXODE DES MEDECINS RURAUX
D'un bout � l'autre du conti-neht, des.municipalit�s rurales, qui depuis des ann�es n'avaient plus de praticien attitr�, peuvent enfin se vanter de poss�der leur propre m�decin, peut-on lire dans S�lection du Reader's Di-gest de juillet.
Par des ventes aux ench�res, des pique-niques, des d�ners, des soupers/ des s�ances1 de vari�t�s et autres divertissements, chacu* ne. de ces localit�s cherchait � se procurer les fonds n�cessaires � la construction d'une clinique, a-fin d'attirer chez elles un m�de -cin r�sident Et elles y ont r�ussi, dans le cadre d'un vaste mouvement qui est en train de faire �chec � l'inqui�tant exode des m�decins ruraux.
Mais pourquoi donc, dira-t-on, un m�decin ne peut-il installer un cabinet � la campagne sans l'aide de la collectivit�? Les exigences de la m�decine moderne fournissent la r�ponse.
Un m�decin qui a abandonn� la client�le urbaine parce qu'il pr�f�rait la g�n�reuse popula -
tioit dont l'offre d'un h�pital de 16 lits l'avait attir�, d�clare: "Le temps n'est plus o� un m�decin de campagne pouvait se contenter de quelques instruments dans une petite valise noire. Les pMi-tes agglom�rations manquent en g�n�ral des possibilit�s., th�rapeutiques que Ton;' les grandes villes.
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(t rares sont 1 _ qui en ont les moyens".
Un grand nombre d'entre eux, install�s avec succ�s dans des districts ruraux, d�clarent n'avoir rien � envier, du point de vue financier, � leurs confr�res exer�ant la m�decine g�n�rale ailleurs. De fait,/ des , chiffres prouvent que ces praticiens jouissent en moyenne d'un revenu plus �lev� que ceux des grandes agglom�rations, tout en b�n�ficiant de conditions de vie moins on�reuses. ' t
Au fur et � mesure que se multiplient les exemples de parfaite entente entre m�decins'et populations rurales, continue l'article de S�lection, certaines autorit�s voient dans ce mouvement autre chose et plus qu'un service efficace de placement Voici � cet �-gard l'opinion du secr�taire g� -n�ral d'un conseil m�dical: _
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Lorsqu'une localit� recherche un m�decin, elle en ^profite pour se mettre sur son trente-six, et pas seulement en �difiant une clinique. En pr�vision 4 jfe�,ce qu'en pensera le futur praticien, la population c�m|aei^ �^se, " * -1� le-Div
passer en revue et lan de ses ressources.tElle v�rifie le bon ^�tat de J'aqueduc et
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des �gouts, elle achev� la r�ali sation, longtemps'diff�r�e, du programme d'expansion scolaire. De sorte qu'il ne s'agit plus uniquement d'un nouveau m�decin et d'une" clinique, mais d'une ville mieux organis�e, plus agr�able � habiter et susceptible^ d'attirer en grand nombre les familles les plus recommandable^. En un mot, une ville qui entreprend tfattW un m�decin �i^�ne J1 le qui se D�veloppe et se nise,
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