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Un oauchemar, toujours le m�me, 'hante l�s dirigeants ouvriers. La technique nouvelle, avec ses m�thodes et ses machines perfectionn�es, constate l'auteur d'un article de S�lection vdu Readers' Digest de juillet, les place "devant l� perspective d'un immense ch�mage".
Rien d'�tonnant, donc, � ce que les syndicats essaient de combattre la menace de l'automatisation en luttant pour le maintien de m�thodes de travail qui garantissent des emplois � leurs adh�rents. Ce sont aujourd'hui' les r�glements d'atelierr� d�terminant les conditions du travail dans l'entreprise � qui ont remplac� les questions de salaires comme motif principal des conflits entre employeurs et employ�s.
Les industries, l'une apr�s l'autre, ont � supporter le gas pillage et 'Vinsuffjsance du ren d�ment, parce qu'on les oblige � employer du personnel en sur nombre, � appliquer des restric tions absurdes � la production quotidienne, � maintenir des m�thodes de travail p�rim�es et � effectuer des travaux superflus. /(
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RELATIONS
Sommaire ao�t 1962
EDITORIAUX � Dieu et T� cole am�ricaine: 1�L'irr�ligion � l'�cole; 2�et la religion dans l'�tat. 3�La le�on: vaut pour nous. - La Soci�t� g�n�rale de Financement.
ARTICLES � La conscience: John Courtney Murray; P�ch� original et �volution, Luigi d'A-pollonia; Crise financi�re et programme d'aust�rit�: Ir�n�eDes-rodhers; Les probl�mes fondamentaux de notre enseignement: La Commission universitaire; Des manuels de France, pourquoi? Joseph d'Anjou; Biblioth�que e tenseignement: Edmond Desrochers; Le succ�s des cr�-dttistes: Emile Bouvier; l'�conomie esquimaude et nouveau-Qu�bec�I: Michel Brochu;
L'industriequi a peut-�tre le plus souffert dans ce domaine est celle du b�timent. Dans certains endroits, par exemple, les peintres refusent d'employer le pistolet. Presque partout, l�s briqueteurs s'opposent � ce que les murs soient �lev�s de plus d'une brique � la fois. Le mot d'ordre est: "Le mur doit progresser au rythme de l'ouvrier le plus lent."
Si tout le monde para�t d'accord pour estimer que ce genre dtabus a �t� pousse trop loin, il isemble moins facile d'y porter rem�de. Il reste cependant urne lueur d'espoir l� o� employeurs et syndicats ont assez de discernement pour mettre sur pied,des mesures de transition raisonnables. , Pour les industries dans les1
quelles l'automatisation am�nera une r�duction permanente des effectifs ouvriers, une solution a �t� apport�e par une soci�t� qui a constitu� un "fonds d'automatisation" sp�cial, consacr� � r�adapter le personnel � l'int�rieur de l'entreprise et � aider les ouvriers licenci�s � trouver du travail aileurs. ,
Seule une r�volution dans les m�thodes d'organisation du travail1, poursuit l'auteur dans S�lection, peut tirer l'industrie du bourbier o� elle s'enlise. Aucun rem�de n'offre � lui seul une solution parfaite. Us doivent �tre multipli�s dans toutes les branches d'activit� et appliqu�s de part et d'autre avec sagesse et bonne volont� pour r�pondre aux besoins d'une �conomie en expansion.
CHARETTE
Vient de para�tre
DETRESSE DES ENFANTS . SANS FAMILLE,
Cardinal L�GER
Le probl�me de l'enfance n�glig�e � Montr�al est l'un des constants soucis de Son Eminence. Le 8 mars dernier encore il y revenait avec insistance dans une allocution qu'il pronon�ait devant les membres du club Richelieu-Montr�al.
Les chiffres cit�s par Son Eminence sont effarants. A lui seul le Service du Bien-Etre Social de la Cit� de Montr�al se Voyait confier la charge de 5,500 enfants au 1er janvier 1962, enfants:victimes de leur famille indigne ou incapable de pourvoir � leurs besoins imm�diats. Les causes de ce ravage sont nombreuses: pauvret� mat�rielle, immaturit� des parents, conflits matrimoniaux, logements insalubres, ch�mage.
Si nous avons dans notre milieu un grand nombre d'�uvres pour l'enfance il nous manque toutefois une agence sp�cialis�e qui les coordonnerait toutes. Ce
service constitue � le rouage essentiel d'un bon syst�me de protection de l'enfance� et la plupart des villes anglaises du Canada poss�dent une Soci�t� de l'aide � l'enfance (Children's Aid Society). Ici, se situ� l'action attendue des � Richelieu >. Son Eminence leur recommand� de faire porter le fruit d� leur charit� collective � l'�laboration d'un projet de recherche scientifique sur le probl�me de l'enfance. Les conclusions d'un tel projet � nous �claireraient sur l'ampleur du probl�me et sur les solutions qui s'imposent �.
Nul doute que, selon leur habitude, les membres du club Richelieu-Montr�al r�pondront affirmativement � l'appel de Son Eminence.
D�tresse des enfants sans famille, le probl�me de l'enfance n�glig�e � Montr�al. Publications de l'Archev�ch� de Montr�al. Distributeur: Fides. 32 pages: $0.25.
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