M. ANDRE LAURENDEAU ET LE BLOC POPULAIRE
M. Andr� Laurendeau, secr�taire g�n�ral du Bloc Populaire Canadien, a trac� ici et � Magog les grandes lignes de la carri�re politique de M. Maxime Raymond, pour esquisser en m�me temps la politique que le Bloc compte suivre � Ottawa. Il a rappel� que c'est � la demande de M. Henri Bou-rassa lui-m�me que M. Maxime Raymond a accept� de se laisser �lire en 1926. De l'avis de M. Laurendeau, c'est un honneur d'avoir pour parrain politique un homme comme M. Henri Bourassa qui, il y a 43 ans, a pr�dit les �v�nements qui se passent aujourd'hui. En effet, M. Bourassa a d�nonc� � cette �poque le fait que le Canada, en acceptant d'envoyer des volontaires aider la Grande-Bretagne � �-craser un petit peuple de quelque 300,000 �mes, les Bo�rs, pour lui enlever quelques richesses, l'obligerait un jour � envoyer ses fils se faire tuer sur les champs de bataille de l'Europe, de l'Afrique ou des Indes, pour le compte de la Grande-Bretagne. C'est � la demande d'un tel homme d'Etat que M. Raymond a consenti � s'occuper activement de politique dans le domaine f�d�ral.
On a reproch� et on reproche encore dans certains milieux � M. Raymond d'avoir �t� lib�ral. Il avait � choisir entre un Meighen qui se'st r�v�l� le bourreau des Canadiens fran�ais en 1917 et le promesses d'un King ou d'un La-pointe. En d'autres mots, il avait � choisir entre deux maux.
La carri�re de M. Raymond
Une fois � la Chambre des Communes, M. Raymond est intervenu chaque fois que l'int�r�t canadien et l'int�r�t canadien-fran�ais er particulier l'ont-exig�. Il est intervenu dans la question de la gr�ve du textile pour prendre la part des ouvriers opprim�s.dans une industrie que favorisait une loi tarifaire sp�ciale. Il est intervenu chaque fois qu'il a �t� question d'immigration. Sans �tre anti-anglais, le Bloc est nettement pro-canadien-fran�ais. Il n'en fallait pas plus pour que M. Raymond s'�lev�t chaque fois que l'on mena�ait de nous noyer en ouvrant les digues de l'immigration.
M. Raymond a protest� d�s 1937 contre le bill des cr�dits militaires de $37 millions. A ce moment, M. Raymond a protest� parce qu'il sentait que ce n'�tait pas pour le Canada qu'on votait cette somme qui servirait en d�finitive la cause imp�rialiste. Or, c'est en combattant l'imp�rialisme que M. Raymond s'est fait �lire. Il �tait logique avec lui-m�me en prenant cette attitude. Il a renouvel� ce geste � chaque occasion depuis �937. En 1938, on a tenu l'�lection partielle de Saint-Henri o� M. Bonnier a triomph� de M. Houde qui avait � lutter contre les engagements formels et explicites des Lapointe et des Cardin, qui juraient que le Canada ne participerait plus jamais � une guerre �-trang�re.
M. King et les Deux-Cents En septembre 1939, le Canada d�clarait la "uerre. Cette fois encore, M. Maxime Raymond a protest�. L'ann�e suivante, au mois de mars, avaient lieu les �lections f�d�rales. M. Raymond a �t� r��lu. Il est revenu sous l'�tiquette rouge, parce que M. King et M. Manion, le chef conservateur, s'engageaient tous deux contre la conscription. Cette attitude des deux chefs a d�plu aux Deux-Cents de Toronto qui se sont agit�s. Il n'en fallait pas plus pour faire peur � M. King qui a trembl� devant la d�cision de M. Meighen de revenir de nouveau devant le peuple.
Pour calmer la crainte des Deux cents, M. King a fait un cadeau d'un milliard de dollars � la Grande-Bretagne. Ce n'�tait pas assez, M. King a encore pr�t� sans int�r�t la somme de $700 millions � la Grande-Bretagne. Or ce qu'il y a de plus choquant, c'est que dans un cas la Grande-Bretagne a pr�t� avec int�r�t notre argent � la Chi ne, pays aussi riche que le Cana da. Dans l'autre cas, le Grande Bretagne a pris une partie de no tre argent pour acheter des mar chandises qu'elle a revendues avec profits l'Australie. Celle-ci n'a pas go�t� cette politique et a pro test� aupr�s de Londres en d�non�ant de tels proc�d�s.
Le pl�biscite Ce fut ensuite la question du pl�biscite. Toute la population du Canada sait le r�le de premier plan qu'a jou� M. Maxime Raymond, tandis que M. Cardin demandait encore de faire confiance � M. King. La tenue du pl�biscite
a �t� une injustice. Le gouvernement a demand� � tout le pays de le d�lier d'une promesse qu'il a-vait faite aux Canadiens fran�ais. Ce sont ceux � qui il n'avait rien promis qui l'ont d�li� d'une promesse faite aux Canadiens fran�ais qui ne voulaient pas de conscription. En prenant l'attitude qu'il a prise sur cette question, le Canada fran�ais a affirm� pour la premi�re fois dans son histoire sa solidarit�. Par ce geste, il a forc� M. King et ses amis � s'arr�ter sur la voie dangereuse o� ils �taient engag�s.
M. Raymond a protest� lorsqu'il s'est agi de la loi de mobilisation qui est la m�me chose que la conscription. Ici encore, le chef du Bloc Populaire Canadien n'a pas h�sit� � d�noncer le bill No 80 autorisant le Parlement canadien � biffer l'article trois de la loi de mobilisation. Les lib�raux ont eu raison de M. Raymond en Chambre � cause de leur majorit� servile et suiveuse. Poijr cette raison la conscription est vot�e au pays, si elle n'est pas encore appliqu�e. Il en r�sulte qu'un ordre en conseil suffit pour envoyer nos gars se faire tuer sur n'importe quel front � l'�tranger.
A Ottawa et � Qu�bec
M. Laurendeau a expliqu� pourquoi le Bloc Populaire Canadien compte s'occuper de la politique f�d�rale et provinciale. Il dit que lorsqu'on se sent appuy� par les �lecteurs de la province de Qu�bec il est plus facile � Ottawa de d�fendre la cause des Canadiens fran�ais.
Ce n'est pas ce qui arrive pr�sentement avec un gouvernement aussi complaisant que celui de M. Godbout qui tire en somme dans le dos de ceux qui revendiquent la justice et l'�quit� pour les Canadiens fran�ais � Ottawa. A cause du succ�s du pl�biscite, M-. Raymond a vu l'avantage d'avoir des vrais Canadiens fran�ais � Qu�bec pour �tre plus forts � Ottawa et cela pour assurer un lendemain � une belle victoire canadienne-fran�aise, celle du pl�biscite. C'est en ob�issant � des motifs de cet ordre que M.. Maxime Raymond a accept� d'�tre chef du Bloc Populaire Canadien et parce qu'il avait �t� � l'�cole d'Henri Bourassa.
En terminant, M. Laurendeau a annonc� que le plus imp�rialiste de tous les imp�rialistes apr�s M. Meighen, le ministre f�d�ral des Finances, M. Ilsley, propose de faire un nouveau cadeau d'un milliard, non plus cette fois � la Grande-Bretagne, mais aux pays alli�s.
Il a qualifi� le premier cadeau d'un milliard comme �tant un cadeau au-dessus de nos moyens et celui qu'on s'appr�te � faire comme �tant un cadeau hypocrite parce que l'on va tenter de le camoufler.
L'AMI DU PEUPLE
que son discours du 19 f�vrier ne contenait pas un seul argument valable contre le sous-amendement Cardin, mais qu'au lieu de cela il frappait durement la carri�re politique de M. Cardin dont il rappelait les incons�quences.
Bref, si dans son ensemble et tel qu'il a �t� compris, le sous-amendement Cardin �tait inattaquable, les diverses attitudes tenues par son proposeur rendaient la personne de (M. Cardin souverainement vuln�rable. IM. Cardin a eu le tort d'�tre de cette esp�ce de chefs qui suivent, au lieu du chef qui pr�voit et dirige. Aussi, cette temp�te, commenc�e par un orage, s'est-elle termin�e dans un verre d'eau. Les d�put�s suiveux sont rest�s coll�s � l'imp�rialisme de M. King.
'Par la suite, M. Cardin a paru faire sa paix avec le parti lib�ral et hier, >M. Jean-Fran�ois Pouliot disait i� M. King, d'apr�s le Canada, qu'il "peut compter sur ses amis les plus humbles, m�me s"ils diff�rent d'opinion avec lui en certaines circonstances." Et iM. Pouliot, de m�me que M. Cardin, se sont abstenus de voter contre l'adresse. Le destin de M. Pouliot est bien d�cevant; "jamais, semble-t-il, continue M. Laurendeau, il ne peut aller jusqu'au bout de ses bonnes actions et, apr�s avoir temp�t�, il finit toujours par se soumettre".
Bien plus, OVLM. Cardin et Pouliot se sont abstenus de r�clamer un vote sur la "motion principale" du gouvernement; c'�tait une fa�on de se d�dire. Et pour bien montrer que la semaine se terminait en queue de poisson, jeudi soir, un cardiniste du gouvernement King, iM. Alphonse Fournier, de Hull, a convi� � un banquet plusieurs d�put�s lib�raux, dont certains des neufs dissidents de M. Cardin; ceux-ci ont accept� l'invitation du ministre conscription-niste. Et, sans doute, tout ce monde-l� a-t-il trinqu� � la d�faite du sous-amendement Cardin . .. "Et l'on se demande ensuite, de conclure M. Laurendeau, pourquoi le pauvre petit peuple, moqu� par ces messieurs, devient m�fiant et sceptique".
JEUDI, 18 MARS 194a
Parlons bien!
Je leur-z'en ai donn� trois - - -Ousse que vous achetez vos
groceries? ------
Il est dans son tort - - - - -
H est apr�s vider de l'eau dans
le tombleur - - - - � Ma m�re a achet� un set de
vaiselle -------
Les oreilles me silent _ - - -
Je leur en ai donn� trois. O� achetez-vous vos �piceries? Il a tort.
Il est en train de verser de l'eau
dans le verre. Ma m�re a achet� un service de
vaisselle. Les oreilles me tintent.
chai P�tain un message dans lequel il l'assurait de sa loyaut�.
n a dit qu'il s'int�ressait particuli�rement � la situation en France et il a refus� de discuter la situation nord-africaine.
Le comte de Paris aurait �t� impliqu� dans un complot royaliste tram� en vue de faire de lui le roi des Fran�ais en Afrique du Nord Il se trouvait � Alger quand les Am�ricains d�barqu�rent en A-frique du Nord et il se rendit aussit�t � Tanger.
La Russie ne veut pas rendre ce qu'elle a vol�
Au Bloc Populaire Canadien
Dans sa revue de "la semaine parlementaire", au poste CKAC, M Andr� Laurendeau, secr�taire 'g�n�ral d�> Bloc Populaire Canadien, a comment� le drame politique Car din-King.
Il a d'abord r�sum� la motion de iM. Cardin, cause de ce drame, motion qui, sous forme de sous-a mendement au discours du Tr�ne, revenait � ceci: 'Puisque la main d'oeuvre devient rare, dans les cam pagnes comme dans les villes, il faudrait suspendre l'appel militaire des conscrits jusqu'apr�s enqu�te pour que la Chambre sache de quelle fa�on elle pourrait le mieux aider � la victoire alli�e.
Dans tout le Qu�bec, l'opinion populaire s'est ralli�e � ce sous-amen-dement, pour une seule et unique raison: le sous-amendement s'il �tait vot�, suspendrait pour, un temps l'application du r�gime de conscription sous lequel nous avons, comme nos p�res, en 1917, le malheur de vivre.
Malgr� cette unanimit� de l'opinion populaire du Qu�bec, tous les d�put�s lib�raux qu�b�cois � Ottawa, sauf neuf, ont vot� contre le sous-amendement 'Cardin.
Pourquoi ces d�put�s lib�raux du Qu�bec ont-ils vot� contre le sous-amendement, bien qu'ils �taient conscients de l'opposition de leurs �lecteurs � l'imp�rialisme militaire? D'abord parce qu^ils sont des suiveux, parce qu'ils craignaient pardessus tout d'�tre exclus de la grande famille lib�rale comme les en a-vaient menac�s leur chef M. King. M. Laurendeau ajoute que M.
la d�natalit�
Naissances par 1,000 habitants
1. Costa Rica ............ 43.2
2. Egypte ............... 41.9
3. Mexique .............. 40.2
4. Ceylan .............. 37.0
5. Philippines ........... 34.6
6. Chili .................. 34.1
7. Jama�que ............. 33.5
8. Japon............... 31.6
& Roumanie ............ 30.7
10. Gr�ce ................ 28.3
11. Panama ............... 27.1
12. Pologne .............. 26.1
13.- Espagne .............. 25.2
14. Italie ................. 24.0
15. Qu�bec ................ 22.0
16. Allemagne ............ 18.9
17. France .......... 15.2
18. Royaume-Uni ..... 15.2
(Statistiques, de la S.D.N.)
Ainsi, notre moyenne de naissances correspondant � l'ann�e 1918 nous e�t class� en quatri�me rang dans cette nomenclature, mais nous sommes d�gringol�s jusqu'au quinzi�me rang juste au-dessus de l'Allemagne (qui au moment o� ces lignes sont �crites doit s�rement nous supplanter!), de la France et du Royaume-Uni. N'est-ce pas tout simplement effarant?
Washington.�Le bulletin d'information de l'ambassade sovi�tique rejette les r�clamations de la Pologne qui demande qu'on lui rende ses fronti�res de 1939. L'article qui porte la signature d'Alexandre Korniechuk, membre du soviet supr�me de la r�publique ukrainienne, dit que les populations incorpor�es � l'Union sovi�tique en 1939 ne souffriront jamais qu'on les remette sous le joug polonais. Korniechuk vise surtout les r�gions ukrainiennes de la Pologne orientale, mais il laisse �galement entendre que les r�gions annex�e � la Russie Blanche doivent demeurer en dehors des fronti�res de tout nouvel Etat polonais Il attaque violemment la noblesse polonaise qu'il accuse de refuser aux Ukrainiens le droit de cons tituer leur propre Etat.
Le retour aux traditions catholiques du Moyen-Age
Dakar.�La tradition ancienne de c�l�brer les jours de f�tes des patrons des associations d'artisans, revit toujours davantage en France. Ainsi les fabricants de paniers ont c�l�br� le jour de la f�te de saint Paul dans le nord de la France et les propri�taires de vignes aux environs de Tours, sur les bords de la Loire, ont c�l�br� celui de saint Vincent.
Citation d'actualit�
Un qui a vot� "oui"
Une pi�ce de th��tre en deux actes.
Pendant la campagne du pl�biscite, un individu, du nom de Lynch, affichait dans ses usines ds pancartes pour enjoindre � ses employ�s de voter oui. "Votez non, disaient-elles, c'est voter pou�* Hitler".
Or � Montr�al, ce m�me nomm� Lynch vient d'�tre trouv� coupable de d�tournements de fonds pour une valeur de $200,000 dans l'ex�cution de sous-contrats de guerre.
Faites les commentaires vous-m�mes et tirez le rideau.
P.-E. B.
"Celui qui a simplement vu dans les manchettes des journaux que le Pape ne prend pas parti dans la guerre et qui en a eu du ressentiment, celui-la aurait d� lire le texte m�me du message du Pontife au monde, la veille de No�l. Presque � chaque ligne II se prononce pour les choses m�mes pour lesquelles nous nous battons, en m�me temps que contre l'agression, la tyrannie, le capitalisme, l'esprit pa�en de nos ennemis".
Dave BOON. (New York "Sun", 26 d�cembre 1942)
De m�me que la perte est le produit d'une maladie dans certains mollusques, ainsi les m�rites pr�cieux de l'�me naissent de ses douleurs. � Mgr Landriot.
� �
Il serait � souhaiter que tout homme fit son �pitaphe de bonne heure, qu'il la f�t la plus flatteuse possible, et qu'il employ�t toute sa vie � la m�riter.�iMarmontel.
Ch
ronique.
(Suite de la premi�re page) de ne pas se constituer de r�serve et de retourner tout surplus au consommateur. Incidememnt pour effectuer un rabais aussi �lev� que le dernier ,il faudrait que la commission r�alise un b�n�fice de $30,000 � $40,000 pour l'ann�e, ce qui ne se produira pas si l'on se base sur les chiffres des deux premiers mois dont les recettes ont �t� de $75,184 et les d�penses de $74,419.
Oeuvre de doctrine et de salut public
C'est ainsi que le regrett� Mgr Paquet caract�risait un jour l'Ecole Sociale Populaire. Les plus hautes autorit�s religieuses et civiles ont confirm� ce jugement. Le Souverain Pontife lui-m�me a adress� � l'E.S.P., lors de son 25e anniversaire, une lettre �logieuse o� il la f�licitait de travailler si activement � la restauration de la soci�t� par la diffusion de la doctrine sociale de l'Eglise. -
Ce travail, un bon nombre l'ignorent encore. Ils ne savent pas quelles lumi�res et quelle aide ils peuvent recevoir de cette institua tion. C'st pour leur �tre utile que l'E.S.P. r vient de publier un modeste d�pliant qui, soUs une forme condens�e mais ing�nieuse,, d�roule sous les yeux ses principales initiatives. On sera �tonn� du nombre de ses publications et de ses services. Ce d�pliant est adress� gratuitement (3 sous pour les frais de poste).
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Le comte de Paris veut l'union des Fran�ais
Madrid�Le comte de Paris, pr�tendant au tr�ne de France, a d�clar� � Tanger, r�cemment, que tous les Fran�ais doivent s'unir et que la France doit adopter un nouveau r�gime, fond� sur la libre volont� du peuple
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