Ottawa (H. C.) 26 Ao�t 1864
. Que le principe de la doubl� [ que pUi* pi
VENDREDI. 2tf AOIT,
La Conf�d�ration;
pans un r�cent voyage que avons fait � Montr�al, nous avons vu avec plaisir que la grande-question de la Conf�d�ration �tait d�Hcut�e depnia quoique temps a l'Institut ^Canadien-Fran�ais de " cette ville. Les discussions se prolongent tort avant dans la nuit et sont des plus int�ressantes, pour tous ceux qui assistent $ ces d�bats. Nous �tions ' pr�nent jeudi et samedi dernier d la discussion soulev�e par le grand projet de la conf�d�ration en question.
FjOS orateuraont tr�s bien pari Jl no s'agissait point de traiter la question au point de vue de l'int�r�t des partis, mais en celui bien plus patriotique den int�r�ts du pays Nous croyons qu'un pareil mouvement ne peut avoir qne de bons r�sultats et aura l'avantage et l'effet de faire conna�tre la question sur toutes sen faces. Lu l'�tudiant ainsi sous son v�ritable jour et en faisant conna�tre au peuple par le moyen de la presse les plans 9ea plus pratiquables d'une conf�d�ration, celui qui conviendrait Ee mieux au peuple de cette Province et qui garantirait son existence nationale et religieuse, serait peut-�tre adopt�elorsqu'aura Heu la convention f�d�rale. Com-lo dit ni bien M. Rameau, cet ami si sinc�re de notre pays et de nos institutions " Le nouveau projet de conf�d�ration peut �tre d'an grand avantage aux | Franco-Canadiens, mais il peut offrir aussi uea p�rils consid�rables ; .tout d�' p nd de fa mani�re dont il sera r�alis�. ,f�Pour cela, il ne s'agit pas de se croiser les bras, et de laisser faire, il faut reconna�tre avant tout si comme le d�t M, Rameau, M. Brown n'tst pas une recrue qui doit �veiller quelques appr�hensions l�gitimes dons les, esprits. D'un autre e�te, nons ne croyons pas, pour nous, que MM. Cartier, Tach� Chapai^ ^et X>nn-gevin, sacrifieraient les int�r�ts du pays pour conserver le pouvoir et lui donner cette " stabilit� " d-int parle M. Rameau.
JNous croyons au contraire qu'ils verront n sauvegarder les droits des Canadiens-Fran�ais, et qu'avant d'�tre tra�tres � leur paya, ils r�signeraient tous comme ministres de Sa Majest�.
M. J. C. R-obillard ayant �t� toppel� au fauteuil comme, pr�sident du comit� constitutionnel adressa l'assembl�e avec beaucoup d'u-propoB.
"Il dit qu'il acceptait la-'pr�sidence, ma�s � la condition bien on-tfflndo* ot bien comprUe que lea-discutai..� no toucheraient qu'� la quea tion sans parler des partis politiqaea du pays. "
PM- G. L\ Clerk, r�dacteur du True WitnesSf dans un discours tr�s bien tourn�, aborda laques-tion(aa point d� vue d� Tint�r�T qu'il porte aux institutions de ce payit, disant qu'elles seraient dun^r en contact de nationalit�s |
^ITiangue et la religion, que la conf�d�rat�riD �taft le pl�is sur moyen de noyer ta race fran�aise, qui s'est inoutree jusqu'� ce jour ai vi vice, si �nergique et .si attach�e il ses droits et a ses institutions ; ils propose que de des r�solutions soient soumises � la consid�ration du comit�.
" lo. Que des �lections g�n�rales du ruicnt avoir lieu avant q projet� db soient soumis an parlement ;
majorit� soit appliqu� � ce� mesures ajijj.iuLelJ^ne^mesent^qn�i dn-foo Heriteinerit de la majorit� de chaque section de la province. "
M. Lapct�t r�dacteur de la Ptcsh� se pronon�a aussi contre ja conf�d�ration, et seconda la motion. Comme linons a �t� impossible .le pouvoir prendre de notes sur ce discoure quo noua �coutions �'diittance de l'orateur, �'oign� d�> lumi�res; nous rapporterons donc uu peu de. m�moire.
M. Laiietot, lit voir avec cette �loquence qui le distingue que tout pi> triote devait dans le moment-sacrifi�^ in�me des principes et ue point suivre celuLs� dangereux "P�risse la Ea-trie plut�t qu'un principe T' que pour Iqi'ii l'avait en diff�rentes circonstances comme, bien d'autree suivi, �na�a aujourd'hui il eu reconna�t la fo'�e, qu'il fallait au contraire tout att�rjfier [jour la patrie et qu'il fallait �tre " l'homme de son pays avant que d'�tre celui de son parti." Cette th�se soutenue, M. Lanct�t aborda la question. - U fit conna�tre lo nombre d'ennemis qa*a-vatt le Bas-Canada, et ajouta qu^i] s'�tait efforc� de mot to�r�'opposition franche et honn�te qu'il faisait plan d� conf�d�ration do tontes les provinces britanniques qtdc| tion canadienne. . " : r&:*il' La Providence a plac�e a n< une e'�sae d'ennemis sans doute pour nons faire payer datis toute leur valeur' lea avantagea immenses et les jouissances incalculabIes do la nationalit� fran�aise et de la religion catholique ^ui sont encore, Drea;'me'r�FFi''ap�F. nage des descendants de ces colons, s hardis, noble de c�ur et �� g, qui ont plant� dans cette partie de l'Am�rique la t�gp pleine de s�ve et de vigueur d'une nouvelle soci�t� fran�aise.
Nons ne craindrions pas les conp* de ces ennemie d�clar�s, vionB pas tonte raison de croire qu'ils sont second�s- dans leur - �uvre-d clnsion et dans leurs projets de tyrannie et d'an�antissement par engeance sortie du cerveau f�cond do lord Durham. �
Cette engeance r�pond � la d�fini* tion satirique qu'en a donn� lord Durham dans son fameux rapport, o� il aiud�qn� au bureau colonial de l'Angleterre, lamarche.� suivre pour noyer la race fran�aise.
M. Lanct�t parla longuement, et ;appuya Burtout sur le rapport do lord Durham qui avait pr�dit la conf�d�ration qai aurait pour effet d'an�antir la nationalit� fran�aise en Canada.
d�faut de l'apparition de M. Chapleau d�mand� � haut cris par: l'asBcmbt�e M. Mon petit fut appel�! Il dit qu'il �tait loin de s'attendre a prendre la parole eu cette circonstance qu'tl ne le faisait qu'en I'ab�euce de Bon ami qui �ura>t r�pondu si dea af-* faires ne l'eussent forc� de se retirer.
M. Mon petit que nous �cout�ons-poor 'a premi�re fois, noua fit l'impression d'�tre un orateur. Sa voix est sonore ePforte. On l'�coute plaisir. Il accept� les conseils f�cher ; il les suit quelque foi* et ivient qu'ils lui ont r�ussi : moire est excellente, il u'oablie rien 1 n'oublie pas le maL,et chaque fl�che qui l'a, bless� laisse sa marone.
3t. Motipetit s'appuie sur le prin-pc que tout ce qui �mane de l'autorit�, de l'opinion d'hommes qui sont � I� t�te des affaires du Paye comme de la presse, d^it �tre pour nous la piemi�re source de cette autorit�. Il voit dans la personne de l'hi-n.- M. Cauchun don t i ; fai t l-�ioge une puissance, un ami de la nationalit�, de la religion et de toutes tes ips titutions du paya, I*. �l�ve son talent do publiciste qni est � la fois brillant et vigoureux. Cet homme d'�tat, dit il, veut avanv tout, les explications i".^�^.ff ^�rt-�iir&Ti'�- fit i/urT des ministres apr�s la convention l�-tl�rale, li trouvo qu'il ne faut passe laisse influencer par les pr�jug�s et traiter lestement lea opinions re�ues. " M. M/mpet�t ajoute que tea.iustitu. tions du pays ne peuvent �tre eu dan ger, si noua sommes unis aux entres Provinces de l'Am�rique britannique du nord. Pour que -n religion, dit-il, euit foFt'e, il lui faut des pers�cutions, c'est ce qui lui est arriv� avant au* juurdlini, elles les a subies et elle les souffrira encore comme ontreftra les Hauts martyrs des Catacombes de da Rome, eue n'en sort de la latte
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plus adm rabfe. La langue ne peut j claire, si �vidente.*!et -se-perdrez ^1 ^jyr�^rftm^^^
coninto nos ay�enx ;'_.la l'angoe. dos moyens pa_r: les^uelfi affaires sera certainement la Langue parvenir .-.(appla�disfi ti^~1�ff�Tr�s""��ra c�^tain�inenr^a i Te parlciuent Irlnnd 'langue anglaise,soyons peur ouconti la conf�d�ration, aiais la n�tre c"e n peut dispara�tre, c'est notre planche de saint, et nous uousy.erampom comme le uoy�.
[Noua donaerons dans un autre Nut le disCoaradoM- Monpetit.j .
Samedi soir avait lien une autre (s�ance. M. David se lev� pour
r�pondre au discours fait par M. (;hnpleuu autM qu'aux discours prononc�s eu laveur de la conf�d�ration par d autres orateurs :
"Je regrette, dit-il que M. Clia-pleau ne goit pas pr�sent ce soir, car je m'�tais propos� de di�s�qoer*nn � un ses arguments et de faire voir qu'ils contenaient q�oiqnc prononc�s avec beauconp d'�loquence, beaucoup plus d'apparence qne de fonds-r Mail comnB M. Chapleau ne se trouve pai ici, je remettrai la partie � une autre fois, et me contenterai tle r�f�ter. poiir le moment quelqi avanc�s qui ont �t� faits parM.XJIia-plean eu laveur de la cont�d�rati " M. Chapleau a parl� d'histo� il a pr�tendu que ses enseignements �taient-demeur�s Inutiles pour et qn'ilsffn'avaient servi qu'� non� br�ler les yeux. Eh! bien, messieurs, nons parlerons d'histoire, et j'esp�re qu'il nie seralacile de faire voir qui M. Ckapleau et ses amis en ait tir� di jaussef.cons�quences,, et que si elle i p� nous br�ler les. yeux ��le leur a dt moins br�l� la cervelle (applaudis�O ments.) En effet que nous d�t l'histoire � VoyODS d'abord chez le peuple romain, chez Ira peuples d'Italie qnand* furent-ils jamais plus faibli que lors des divisions des Marri us < des Sylla ? Oh ! c'est qu'alors l'espr de parti avait fait place � l'esprit n, tional1, c'est qu'alors on Bnivait des hommes, qu'on s'attachait � leur; drapeaux, sn fanatiques et en ayea gles au lieu dCB�attacher nniqn�m�nt au drapeau national, � l'�tendard sacr� du pays. Voil� nu� le�on qne donne l'histoire et qne l'on ne �aurait trop m�diter, (applaudistements.)
" ��. Chapleau a dit que nous < vions �tre fiers, dans lo cas do la p< f�d�ration do faire partie d'un vaste empire Britannique que l'Angleterre d�sire former dans l'Am�rique du Xord.
" Cela, " a'estjil �cri�, " vaudrait bien mieux, que d'�tre ici form� en une esp�ce de municipalit� � part) en un'esp�ce de r�publique de SL Marin, petite et insignifiante."� �Ehl bien encore ici, Messieurs, je pifiero d'opinion avec M. Chap'caa� le ne c�ois qu'il serait glorieux pour fnon&de faire pan de ce graud empire anglais que l on veut cr�er pour nous perdre et o� nous ne compterions alf-solument ponr rien ; (applaudisse-inents) de ce grand empire dont le congr�s serait tout puissant contre nous, mats o� nous tenons dan^-nne -impuissance abeolne"rM>ur I�"1)icn~(ajS plaudissements.)
" On pr�tend qor�l faut avoir confiance dans l'autorit�, qn'il fant attendre la d�cision de nos hommes 3'�t�t, or, mesaieurB, je respecte l'autorit� autant qne qni que ce soit., fai confiance dan� lea hommes du pouvoir autant qu'il peut �tre prudent de l'avoir^ mais pas pins, car, messieurs, les hommes sont toojours des hommes et l'histoire de tous le� pays prend qu'ils son� partout, sujets � la faible�se, � dw d�laii lances,
proiOTt- nijJn^tgs e �gar^�et les elle .tend � y nient^O Voyez
refuse de .^e pr�ter au projet d'L'niup de l'Angleterre,pu is- qii i peu (h/ teinp� apr�s c�de'l'Irlande vaincue par'l'a corruption la plus^ffrei��� :'(applaudissements.) - Or,/'messieurs, �,ce qui est ainsi ^�llenr3,"^pcnt arriver en �anaoUi il^ petite tv^uwitr;'. tics trair tr�s parnif lioiiuj et "ni-ns �ivuii� d'autant plu? tle raisons dc_ e �rainrlre que trouvbntj- panni les trois''Canadiens (sur dix qui �taient1 dnii*.le conseil) i ont vot� pour noua imposer'' 'l*n.i sn des Canadas .�oncle du pr�niier iiifitrc.
il- David fait euBuite \:oir ([u'an
au-bfLA.�iilliL'.VE DE SEW-
�..'.r.- --------!'t,t
; . , la �ffti�U��>HSm-Y0RK*l tueU<Iond�BJi 1841 �l'aDJ�ord'hoi danfl:lk^�i|2
uon Sir�ulai�Mi Je tous les autre- ��---^�^ tant-a.-"'''3^^^*^0�Xra�Jiaop-.
ummu -
re.'WXiuflen artw I� -uetie. Je lil pro1^11'0^' �Jc�rciHarioii. f�
iiail domme suit:
PIS Ul K.nnca ^.uj.,.:.*. tmet servir na�tre
�"�.�V^raeifa. Cl.ii. tm^e, fe.irfN. �i,�i8f:
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Sil�cMntri-
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48,000
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fiMites). Pipie
point de vuo Hiattiriel munie, la oon-f�d�rat�un ofit � �raiudro par les Oft-nadiens-frii�j�ais et \>-�m- eux ple�i� di dariirer. �
Pais, M termiaaen diaapt : "Mes^ �ienrej�iions crovion� a�ne�rement la ;patrie en danger, ot ce bat de tous nos efforts eat de d�tourner ce danger do 8nr4oa t�tes�e'eat !� ce que nons roufi^ invitons � faire. Pouvez-voiw eiter Ponrn'oui, iiH-s�ieurPj q�el^ que? soient le? �v�nements futura. nous aurons la eon6eiept-c d'avoir rempli nn devoir�ets[ jamais la. conf�d�ration perd notre paya nous au ro�i� �a 5atibfa�t�on de dire : toiu est perdu sauf rhonneuf-f�pplaudisse monta) Quant � vous, mossieure, qui voulez -la conf�d�ration, pareeque vons. vous en faire une id�al chimj�-riqtte, qu'aurez-vo�ie-� dire ]>onr voirs: eoneoier, si votre conf�d�ration au lieu de nou6 sauver, cause notre perte, la perte et l'�n�antiasement do notro nationalit�, d� notre religion, de notre_ langue, do nos lois et de noi niceuraf Qn*anrez-vons � dire ? sinon : tout est perdu, m�lno rhonneur (applaudis semeuts.) 'Alors, Messieurs, pins de sympathies pour vous, et tout ce qne l'on pourra vons sontiaiter pour r�-, eomifenee de votre apatlne, c'est qu'une main, anglaiac mette votre �pi-* taphe sur votre .tombeau (applaudisr dissemeuts.) " �
te Smnerotage des Maisons.
N�tis croyons devoir tevenir sur un sujet qui a d�j� pr�c�demment occup� nos loisirs et sur lequel uos r�pr�sentations ont pass� comme une aphonie sffq� �cho, comme une fum�e que dissipe la s�r�nit� d'un beau jour ot la foit dispara�tre dans l'atruos-pii�re. De Bl�me, ceux � qui s'adressaient notre pri�re il y a pr�s de deux ans sur le sujet.que- nmis allons traiter de honvean. y sont' rest�s sourds, sans: m�me consid�rer la justice de ce que nous en disions, muis nous donner cr�dit pour notre suggestion qui de-1 Tait �tre au^ssi raisonnable alors qu'elle l'est aujourd'hui,
J^rapvd� d�veloppement ma-rieL l'a�cr.oissement excessif et eon^taiit d� la population de notre jeune capitale, de concert avec la codFosioh daiis laquelle sont journellement jet�s et les fondations, et le couronnement de nouveaux ditices, dr^^uluv^^es habitations, n font un v�ritable labyrinthe, qui'porfois peut embarrasser l� citoyen pour trouver mime sa propre r�sidence, dans des quar
�i-1�;,
ville,
peut'�r;
<'W t.U, Je la �� y.,/,.....,, t;�:�.!.^,,t li ' J.mmsl pwr Too.. Le Voleur (fUtim�i^^ 7
;i niJ;�'"" d' Sai�^ (.liotirt), J^iejg
lst ZdmVe,, P. ZironDe. V -�
frage� do P,rulqne ou itt ioii,S Capitaine MarrTat.
mie Ponsoq^ dul^i
* do monde.
t fai! du m�me ^
� lesdraiu' hommes & il,1 du bon-"
tous ! lacun peloiti d
^nt01(h6nr.-,R�publ.�a�a par son hosiiln� ferme/ op�rt'Iar'lente etdffianie pour t<>os (iynt�mes*i , les etforlMait" parl� parti de !,escIava^b,'dt��: Opcralpnis l'arraeiion du Texas josqn'a la grande li/'trn r�belilon� p��r��*�r l'erop�re du NouTeau 'a*-iruj:Monde w employer les forces de noir� atteuJ'P^�*'wn propre h aerandia^ement�R�pnbli-. .cain diD5 sou Uniag�nL^me contre lea arirto-
travaij cratesel le* d�potes Je i'ar.c�en monde,qui Sablefe r�jbu�<setil ireprademment des p�nl� et
ra�s^aJamiltJ-qu�-oii! fondu^ur nous par U10rtl|JaJfledeji iiorowes de leur caste qui sont la. iju�qerde ta. J^iibjujue Mod�Ie-^E�p�bli-r c��ii dans espoir et se* a*p�raHonp, sa foi, ^wte-efloils, ptrar qoe celte - r�beUioii atroce" paissesetertninerparlasoumisaion des cgian-
ifiia�gaistipaissent pire �l�blLs d'une rrJanirre-;*Ql�d�-�Iaria . (ohuj l'�ientjoc de notre paye^. parice quTaIors la^Libert� et PUlion seront |>our toujours unies et ins�parables. [JUS ( i. -Dan� des temps plu� cairaes, U Tribn,* nil'il I J�TDUB'*OB ^Mention, elle le fait quelque peu 4U 11 _i'�a5 c�� temps ci�a r^ucuion, � la t�mpi-L elle nP"ni*j�l'agr<ci.!lore,aui igTentio�set�tour [ee qni penteootribuer �a progr�s et an blen^ l �irtf apintoelfl et raai�ritfli-dugenrfihDmain : on mu pauT Ie momeDl tDPte 8011 �aerpieet'BBf uu �otonnes w^l principalement d�vou�ea�la t�l�f O�l V'^Peur et 811 succ�s de la auen'H pour V�-- 'on. Les convpponOants ^p�ciaox flecompa-
�rPp il .-pponenr�e� �inponaiiTj* incidents de celle a> ^ 1 grande lutte.qui se terminera bient�^nbus en COUdq avons l'e�puir, parle tnompbe des armesna-� r ^na'es*ftr?^on.n'!'a lapai t cila�r�nquillil�
n�p� p nulle-ps�rt or� ne peut ubitrnir nue^idee pla*
jo3te"etpTiH� pr�cise da proBr�set du can (Jll'Ull rterede^To�ftil-TnBnieDtaii�si ce n'est da
, .. le� Cfilono�ia�li Tri{ju�t; Et etabnrterobgyiTe�iieDtla coop�ration (V^fiHfir111115 ^� localise Betionale, que iieq ji[o[is. comineTterlIe de l'human �alanilt?01!1 naos��rfer� accro�tre la. circclat�on rie
souffriY
: joamal..
Il .sort fy ^ rit a a^pier � ) suf '�""'"
CONDITIONS
le prix de la TsihtL
forme ^ont puis Jo-a�*"11 assez pour i
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�DITION SEMI-HEBDOMiDAIRE. Pour cae lun�ei 104 nnm�K�) 13.00 S5.0�.
tnosit et tmj tout s y ren caceui soit e et �o)!^ qui le t blemd, ment semb moin d�dai minu sons)-nada,
C�ieaiut�c. � 1
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l'Ot j f.AI.MANAi II DE LA TRIBUNE ' pour
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b�80�fapplaudisecmcnta.)baivredonc ... , � -* .
� , ^ yt � . , ,. raie semble dominer lesprit ,de
nos homme� politique* de n importe| _r,
quel parti aveugl�ment, trop t^mptor1^'i^'ll�li*�'*�nt-sur lcor patriotisme, i* n'est pin* de j Dans toutes les villes qu'il npus la prndence �-'es�.de'a faiblesse ou ^e!-4 ,.r� tionn� de A'isitcr, qui pri' la l�chet� ^applaudissements.) Etl ^g^j^^j^^.^�UaH��**�^^.^^^-'
sur cette question des hommes qne j�eslime et honor�, ce n'est pas par
Le Petit Manuel �le l'Apostolat de lu Pri�re,
Fnrlj!; P. H R.4M�EK, J. �A renlhuui cU:, -
T. TCRCEOX.
^rUrHICKEYr�
� PAT. PUfirL'REI'l�. ETC.,'
int�r�t personnel. Quant on abur
donne des chefs tandis qu'ils ont le pouvoir en mains, Tou eait que ce n'est pas le moyen de s'attirer leur faveur, soub ce point l� nons devons donc �tre exempt do tout bl�me et de tout soup�on ^app^audissem�nt�.)
" Que le* hommes soient eu�ets � des faibleaeeft. � dee d�faillance et � la trahison, c'est ce qni r�sulte �videmment de la conclusion de l'histoire du Canada de notre grand historien Canadien, M. Garneau, qui
y avons remarqu� que les corporations y avaient fait quelque chose pour pr�ciser la r�sidence de chacun, et faciliter les recherches individuelles. Notre corporation qui, elle aussi, parait certainement vouloir s'occuper avec z�le du progr s et de l'am�liora- j Pl>pn'i tion de notre ville, semble ou- j e"e <n blier que ses travaux pourraient j s'�tendre � un objet non moins ��n utile que ceux dont elle poursuit ;qnat,� rez�eution^ans ajouter beaucoup 'pour
LE VERITABLE PETIT ALBERT,
SECRRT POUR'ACQUERI
Uii Tr�sor. ^
aux <�/.,�... l�inn, �*-.. da �t-7.',^ va,�,�jH^ ,h, Ba*-
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I.IfiXI. ni.l.A halle. -
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" QUE EN VICTORIA "
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LIGNE RESULIEB� ET QUOTIDIENNE
Font ie Irajet en DU Benres
I>anouTe�nxet mal�nifiq�es Vapeur. -QLEEN VICTORIA.'' tapi. A Bowi�. -��PHIXCEOF WALES" H. IV. SH�eani"
LE Vapeur'�QIEEN-iICTORIA" |ai�e Ottawa ton. les malins, (except� le Oi--, manche) pour Montf�alr� (TaD^AVai. T�w
i Moulrcal � 4-30, .P.
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aox Sources.
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-.ts.50 '-; , " Sri " -.� ioo ; {REPAS FX.TRA.) Billet� d-Eicar.ion aMontrral e trelonr $6^; Pour aolre� intoroat-inns et pour ce que:4 regarde les biilcw d'e�cnjsioo a'ajlres'er':'.-l'agent M. fitt�owi^ � r'ot�ice du quai.
R- W. SHEPPERD.
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Journal publi�- dans l�s int�r�ts' des Canadiens-Fran�ais dn Csnada-CentraL
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t-�" Ton. eeai qni dotrant dapoia la foadr. tionda �' Coorrler " ^�'eatsM�e dtfa�? 4�-a> �ot pri�, de raautr