JOIJKJJAL PUBLIE il L\S LES INTERETS M
Quatri�me Ann�e
Ottawai H.'C.
Counnei d'Ottawa.
ELLE ET LUI.
j'arteijrtifs te v'illaL'o "qif habitait Fr.-tii-�uise; die iijTittt�itfondait au rendez^ vous i su thC-jitie-n��i-e nie re�ut "dans s�j liras : olJe. itiVunait sans in'a" voir
'(Ottawa.
VS DU CANADA CENTRAL
Ko. XXIX
:�� Mes go�ts'd'hiet sont me� gui d'aujourd'hui. J'�imc la ..�turc pi ce qu'elles'harmonise . aven mes est presque de i'; joies comme avec mes tristesse� ! " Quelq J'aime sa voix qui chante et sir voix paration j qni-pleure, car je souris et je- pleure avec elle '..'.Oui; j'aiole Hue mou unie se remplisse des id�es vagues, dou�es et tristes: qui mussent uvee l'aube et-qui se :111c Vut imx-0iirbrus-diis>''ir. -^-Ad
'.' J'allais voir line, nature pauvn de souvenir*, niais riche do mci-veji les! J'uilui.snie perdre dans ces gravet So'ituelcs qui jettent d'am�res ou vie douces peus�es uuxesprits s. � lui. n.yug�r c'est viVre, c'o c'est jouir, ieu-sqii'oH � >W' ccmtemphltioude la nature �i
parie,;
(lui
oraije-jamais leur douce" l&'tint se cachait sous
Lfl (CBpt p�u� fae rBf piaf !
nous, s'entenov Lia uni � mes Je savais que ce jeune liomuie ap ! ch�res lectrices, Ta sans dire qu'elle* savent pas que le-temps passe,
partenait � une des familles les
plus distingu�es de ce pars, et qu'un .tout en Je faisant passer bien rite. ^ jour il devait etreapj>el�a jouir d(une J Quelqu'un qui s'est souvent trouv� h�tres> lelong de porche le li., belle fortune. J'appris q�q| .velwft en leur pr�sente a eu l'iaditcr�tion
......~J~" " S"irlandes aux.-, d'entrer dans les ordres, et �tait parti de m'en taire h confidence. ' �TalIez
pour i�orue. J'avais re�u une lettre pas dire que je voos en ai parl� an d'une �criture inconnue - elfe conte- moins. ' .
nait ce peli de .mots:" Je n'ai pas pn Allons, .il ne j�ut pas toujours parler de soi. Ce serait le pire des d�fauts qu'un viens gar�on anrait � se reprocher.
d�li'Os de :.\[..usti�r. I'.
fKfil.
HENNE
^e_Kjwje^�^e j�.e ^viviiit H�^�er��t ��n" Ti^inut�^ -�trt^ eneoie ."� elle iMimii� i-�! lui rebtn�f dYxtr-ietk-e. Le* appr�hensions de r'absence. lui uvuienr- Vendu -n.HiteS�cs duul�ur�. �Atrndnii't-^nr moi regard triste^ --es yc^-�b rempii^nieut :ck� l�triitti yt m.�i "jC ne trouvais pa,- de-*�r.A* assez earessontes. )�our la consoler. -�* Je parti:, en promettant � jr>aii^ ,vi?e de faire un.lon-i d�tour p-mr !a retrouver-e�> �Suwm*. ...
�� Les-chevaux -ilu.pjste �t�teut at--Tet�= � notre voiture.avant�e- ji.ur ; il� frappaient du pied lepav�dtT'ik ruuy l'Ionih�L'res diTinait � W�-t** " Wui-e-matinah', sc� -inai^>iw �taieut ^rloses" � p!usit-*nr�jy iluvaiss-Uit ikImm� rLni^-iji.e j� pa?�ai . i'f* irit�tr^dp
e�t�s de la route, et ( � et l� de- pii.=
chevelus S � lialent-a la p.erre. I.�
I.Uil^s qui drapaient Ci �ijpijlUv de
1 granit, lo chaut <iu.ci evrier.le cri de
f l'aigle'dan la nue. tu ut faisait uaitr�
1011 moi un sentiment <!'* surprise et
i de-vague iuqui�t !r! 1 Ih'elmV. �. la- -.ir. je A l'IiL-nre on
j'y. arrivai biens reflet le lue ai lit per,�:i s..-s roui-atrcs les-
semblaient a un 'i�iivi � ,!e cnivi-� �ite
le soleil d� � luit de ie - rayons.' Le,
forets �le =i pins l,�,.i saieliL les nj.jii-
tannes qui -e ilreAaie .1 li�res et ici
posantes� 1 horizon: e; es se' teignaient
de pourpre sous le- de -u�ercs ardeurs
du soleil, l j lie et rail" e- tristes-,- .'tait
r�|innduc d hra,�e; je ms toute c tte loin -m
ipeu l,i hriH j.Ii. soir Sri n.nccs. l�-
ciinenti'tic bei eeri 1:11 ettcs.ee: ee:e
'client leur lid ,ur -l\ s:..-' �. -., ' r'.lo
liseron eu 1 scj-od. Tf lis que i'..i-
seau votti;ji iit>rc dar.. l'oual.�
de I�.uissea 1 plane .sur son le
- Kt ces = *e.- ii.conu 1* qui miraient
d� ..ccuper mon 'aine 1 n.loioi�e. -.r,-..
ciyaifiit sur elle qu'un � taille a-!
-eroii. suspendait
j lariies tlvurs Ueues,.. et les ____.�
j �taient verts de jasmins et do crises. Les roches �p.'.rses qui dominaient cette deuieiir�: i eiisevolissiaient - dans | une leiM:..iiise;iri:�, et 1.11 laii� de m�liOTs et <le piiis la d�fendait, contre le l'r.'.id: des.ii.vers ; un vastepar-tern' de llenr.- a'IH-stres s'�'eitdait; s*.n.-ii-s^-ro�si'ic-^IuTgenh'anerPflSter;
vous devoir ni'ii bonheur sur la terre moins vous devoir le ciel I je devais �tre � Mien ou �
Je le s
Le doute ne m'�tait plus permis^ ign�- �taient-de lui ' �
oe '�""�yuie. Tiiies sattva"es --1,^.....-iui.s.pontane, 1 avait surpris,
moUT^ap.v �talaient leur, v�tement i et avait peui'�tru ha� "� l'aceompliBbc-' blapc.^�[>�urpr�, un ruisseau d'eau ment d'un.v<ett qu'il form� d'*.-
vive descendait de lu colline. Itien 1 ele 4'�ns- simple �oii�ipe l'int�rieur du uiirrfeir.-: . Ix-s pi�ces �taient grandes et sombres.: je treiuvais qu'il u'en-tiait' pas as;sez de soleil, rhuis la vie de celle qui les habitaient : mais aiissi quel luxe "dans le pnysiiL'e dont elles C-ftl^vJW�RHHee*-;-�-~~-r=: " '-' Je ine-ntai dai
i.lean bla
.au t,
. la chambre de "leste couehette du lit un eru-
nait de
�tres j�r
un b�nitier.
LqueJqH
laiis le .-iTte-t ohTsii pens�e. Ces
e.rte pour la terre, l'autre ve-" nieairir nu inonde ! l'ourquoi-trer ces n�e tout'
ang�liqn�. qnim'etaieiit pas fait pour vf�roTJD- la" vie terrestre ! Elle, pins lieiireuse.ae-ait �t� se r�fugier au ciel: lu- ne devait y arriver que par le sehticr lalnirienx de la p�nitence 1 j- *� L'amour est la plus bel^e des re-i ligions hunmines.et Dieu seul porivait
meubles �pars.
c-juiposaieut tontes ses riehestes; mais : servir de refuge � cette Ame bris�e, � travers une ie.�igile crois�e je vis les Et m...i. qni ai chemin� dans la vie, Alpes se dressant � l'horizon : filon regard s'attacha � ces g�ansde la terre. tiet> de leurs cimes faites aux orages.
Allons, toutes les jolies dame�, l�t? Soyez des n�tres. En avant! lue croisade!., une guerre a outrance.," one guerre � mort, contre cet ijdW eache-na qui vous d�fi|ruM � c�i point ! Point de quartier !�Et vir� on� jolie figure^ l�. bien d�couverte. y la lxmehe souriante. l'�il aux aguets ' et le nez au vent. Bravo ! c'est cel� Commo c'est joli
Mon Dien l'on dirait que je rajen- -ms depuis que Monsieur dn Courrier tn 'a appel� Je une et joli Gar�tm ! �"i
Mes descriptions, je l'avoue, sen " tent diablement le jeune freluquet de " �alom AJlons. pardonnez-moi cette" sortie: 3j\ T�aSn fairecommo l'ioe^i tit Jnnjr, <?i�&M $miSeWf\e? g-tf. '
de son msitre. v�nlnt eu faire autant.
C'est trop grotssqne. j'y renonee. Savez-vons � qnel commandement��
Savez-voq� qni je viens de rencon-uii llau d'Islande, un homme qui n'est pas digne de voir le soleil, nn int�nfe- qui m�riterait de passer sa vie avec les renues du Spitzberg; ou dans une butte de- glace sur le* plages les plus recnl�e. <iu Groenland!
Ijs tciT'- pent elle pre*dnire de pareils ' militaire ob�issent les dames, qutind monstres} ' ; elles traversent 'a rue St. Louis paji.---
un temps pluv�i Cette fois je vous ledonneen mille." -\ oyons, il doit y avoir quelques compagnies de volontaires � Ottawa.
Cherchez un jieu.-�Xon. . Eh bien, le voici :
Ztj�llJ)
Le tout sa
"ri�r� pens�e.
.;-Li pan-, i.- e'ifa'it ijr.no
. laissai une longue
"je-1 u i'-'d isirSTl e~ 1 re
M, de t" s surprise
d'i
ettre'daus 1 denetre r
quelle
s voilaient te-> monte., auxquels -es pins- touffu- -. �vident de inanteau: es vapeurs m.�lii e= �nduEatvnt au-ur de leurs -iinics. et 'es derniers vous du jour t'..mbii�eijt sur les gibets, �-suime de-J.-o-n.es dor,� travers
�1... liers lilane! atri-s perc�rent J'.*�;' r�t�.soinblalee- a de p�les fanUimts. e-Iitof��:n'e":iti'n"dis."plus que I� voix
� Je repassai lainree ,Bi> aiitc daus les lieux qu'avait liabil�s'rran�o�se ; l'ordre n'.y l�guait plus, la; inaTruuier: d�pouill� de ses blancs panaches, le whfMWlX }>oi>duu�.'1^ ex-pr�s ilimobile^, se e-olifondaient : ics herlies panisite-s avaient � massifs et les al.'�es : les
urR.rt-1- Kh bien, je I butor d'tttiglni tue sitdant de �'Te,,,;,; mante .
En dv\y\
tduDtc dt*
I�<_'dattear.
arl-r
-�pr�savoir quitt� Ploi ,!,t�r,-,iioi.s 1 ' |":1BB 0 ivert la partition � . ' /;.�..
traverse-ns de riantes cal q,a,nos. Le ,-. ,7; S, :,,/;�,Ul �.�.',t,:.
s,'leil-e'!�ve.radreiix. il �paii'lsnrla tarit je me croyais nnb.'iit el monde
terre sa poussi�re d�tir ,-cilcs: l'air mon imng nation avait !,�* si ,|s,lo h
viffrissonne daiis les aiL res.'ia e�g.le distiinec.
chante sous l'iierlie. la li �e ir.-ssailie � Il.li- e vieux ch�teau. 1 r.ii th�
nt qui �
, Il-sayaic-nt hu^d;i I .-uvyrto a t�-u--. vi J pre^n-hti JTmtf !
caa.-^. json payvd^a�, ; jtrs rochers: v\W-;Pin M�taiiv .piic ; de 1:1 plL'H-O
E:
1 mnnnure du.
rrnti�uise de= i*vu. � hi natnre. Klle� l- cette grande pa^e
nitt dun> !ts li�>nrcd
us de Atiim .ju - les- ciiemiu^.
i entremt-
r ecl'en qui L-rvi* Le vebt d'auj:
trittenieut
ctenda�t ir.. iiuIl* abandi
j fouil-
Ftgurez-voii^ tutt gL-iitiiits amies, que Qu�bcv est ]>>in* � l'h�nre qu'il csIt, tie dfc�nent�i'roi'itiioir que je vous-tm donnais dans mon dernier �� et l�. J.i�fju'au 24, !I aurait ikllu ttro de h. gei:te harboUeust pWr p^��e^ dau�: o�� rue�. Maintenant ou ne peur. mettre !e nez dtbw^ eau� rl�q�er de. l^fairu ^rler. T( fait un froid �feudre la pierre. .
ienrt nV rejieontrei un ; mon3 qn� tue rit au nez, eujjoarv,
la plus tint�e :i y L'_v 1
' j Noit- continnoas a copier du'
^Cvmuient. i.eiiip* 'JianiLaiit i : lire duComte.de GoT)�neau la Mut� il fondrait etrr tout simplement. riuitt; de -a deascriptiun de Ja cap^rmx-, tiomard�' .,a d'Haii�ix qne nr^ lecteurs liront
de. tortue l--l--.,r^ faire aucnn doute, avec int�r�t.-
� Uh . no: oh no: eest taire, .... '
boupe. c-'t-> :"airr>.iine ponr inar--� ' n avaient liesoit: eomme clw "� 'mai J"= *ffetents avantages qne je
de continuer saroute 1 se frottant � �3it Je h' p�tbe- de-s-i^uT^' Sahntj�a n " le, mains avec une satisfaction di-ne ieTcITC">"�-.e"leai convenait mieux d'nntils de la n�buleuse Angleterre-1IU n'anraie!,t r1'' >���re une ce.n-_ lliti-s - " "
qill
toi'es
entre les volets ct'les vitres^ tout �tait a �� |.lace..h� vie seule luau-jeieiiouiUai devant le�'
de Fran�oise, demeure de fauelle : d�e de souflrwiees et et dans la n�gligence qui l,i Miumble asile, je rocon-:�e de In
initiant, peut - ,,,,- fiance suffisante dans nn,- t Me ,,.�>. concevoir un.pareil animal ! ' meLouislM.urg, dont la population
. Tenei. uiesjniies lectrices si vous ! toute fran�aise-. ils en firent
aimiez ie froid, je m? querellerais -i <*onc �after les fortifications, d�tne-bitnt�t av.-,- vous. �<���'' msgssins, �if nrnerer.: Le
Il est vrai pourtant que vous avez 'Commerce, et commirent au temps m, petit air lex-n piquante! bi.'npro- : 'e.au�n de dJ,Pec��'- !<� liabilants. voiprant quand on vons voit passer j ressources. Kn peu d'an-
�taient d�pouill�s descadres 6ur le trottoir. le petit pied empri- i ret,t' t�che i'nt compl�tement niaient. J'ni��us. � travers j 5u"n� llnn* �" Mi mocassin bien mi- i emplie, et Italifu h�rita des pers-res. quelques barmans de vi- i g"oo. !a prfieeaeadr�c dans 1 hermine j ?*c�r�,= ^ '�"r' qn'nvoit pu avoir
es de leurs teiiiqes qui peu � ! et le visoii^; mais tout cela ne peut me j on ,ost52LBf--------� -
a treille ti�g ig�e^Quel d�- , f�i"' onl'i�er >"� affreuses casquettes I'"1*T^rt d" cette .-apita e eU> lu Xou
eure so l'investit de erd�tR'o dn
tait
! fourr�es, nos mitaines en pattes de vcPe Ecwe est J'ailienrs pus bead. � i'-liattt ia * paletots dont le moindre : P10* V!wt.,''> ,ici,e � d*t�i<lre qne i d�faut e^t d'�tre ridicules au demier cclui Je I-on:sboarg. On y p�n�tre I point- � I'ar t^eaJt passes que forme nne �le Je
ll.-eid�ulent guerre au fruid, � i Ftt'te �tendue par laquelle l'int�rieur l'autotuoe et � l'Iuver ! Je grelotte 'd" ua�'n <� cache. I no fois ! entr� -
.----- on r i^o ^aiit i franchie, il re pr�sente nue sorte de
Je parlai�, il n'y a qu'un instant, i d�ment dans l'int�rieur des terres; � de. habillements dhiver pour les da- I la ville s��ve sur :u rive guuehe en mes. Dites Jonc, j'esp�re que Tons ! amphith��tre. Puis au fond de a n'irez pas iM�UiciK*. cette ann�e, i coup^ s'ouvre un antre j^irt qui pmv-
-----:_ ---- --seadre.
cette bride ridicule q
jrfm,/. lie,;*. eeteAe-
�le partie. . I.hm* le i ititct��re du je pleurai -ur Jeux tombes-! pauvre entant !"
aoit eue b�taiic num
Jv'�if "*Tt7l�ilfti'i
"Mil m�re, la lui uwrde. et je
v�i� ih'f f'�ir�coril1 cela, un ^rr-.in.l et�"rt ^ur lu�-in�tne I go du� pour atteindre � .-e de-^re de I.tar -| t'ur.t ditV�%�\ � ti ri< , .
-NWn-.^air�r mont. An moment dions do voiture, mie paysanue Rapprochant de M. de C"*-. lui dit : - Mon Ion monteur, voil� jours on plut�t huit nuits *jue jeneVonis a� vu : pouitant ir.es tlenre �taient pr�-t�. v...ni ne let- aimez duae .pins nos fieurs � rotis^ui faisiez tant de elie min portr les venir ehetxher r *^(Jao Be paatiut-it tu min u pu"
' elle a'!a lii�l " ont; sylpliidi
; pied thinoLi
appelez ( �it a��emeut ^nreiur quelfice : ft ^r.i va tin�r ^
l^tix. �! n'y a pa* yrt i de *\ iri�apportable. i ret�6mWacc�.mtt ?-.-i-pe ' . un wrtttiL� rap^'rt enf en�r un joli minois ; , et celle i\>n-v.
�u� v�pir un ^oji minois ;
une d-nejjvj--' -� \-�r .yt,,'., j,.
e nr'iv.; r.J �. -^nn�sui. eit-
ri�teK.-nitrqufuient caui L,,^^^ ri.
"ijuant a !a
'-j-ne -satinot �fi
eisement nne ndant ir �stiste �e celte sitna-mtinoplc. Je
r c^-v p-H�t,.1�-
- Je n'�lendrar*pas p.us � l�ser ption: j'approuve la s..br -eus qni se taisent devant la i pip finit le [s'iivo�i
i elle
ots p...
:� de l'homn ndre l'.euvre Je IKc
�Vpn
in.i i ee� iih>ti qu'on n'.'tiblie pa- ! y de ! i �'n nuire avait sonifert. �it�si ! ure. 1 " Apre* notre ^parution � Rum�-j lajremi/nt, M. deC**~n� revint p:i� � �dre i lionibi�rt-. *>n 6ut �|a'il w.ra�t 11 pas ; l'aventure tUtv-' iefi montagnes de* , ^ osgei. Apr�s, un uiow d'alieenw il >ate. I rantm Jani sa tamille; son front �tait
J br�, et. =*t! tait dn vent, un r�e ! II p^i-ait^ une_irtnil>c. . . . � faire r�ver totmlcj u\ jrar�on un j artistes en (rentrai 'et ta� y� :eur& du Cour- \ purt�-ul.iL-r,
- le l��naetenr i Si vous �te^ amateur. voUo [a �oup. ./.v./.vc,' d'�tre jeune j�onnez IktIIc cwnme no r�ve. W-ut :i,..ue;,r ie> !>;u�ttca � voua apprwhfez . . Mwis mt ! I>c
� sou juiinia1. Si la %irc..... point !
t��tre de ^tielipue utilit�, ! Elle �t capuchon n�*. ne'tcrt�il�>, qno - eneareanOo dans ce d�testable e�ebe-don ' nez. qu'on appelle aind�. je suppw�, tant | parce qnr�l <^t fu�t I*>ur tont
"il ; le viaa-e.
u-1 Quel dr�appx?inteiuent. Et voue i �tes tbre^ de vous en retourner.
lu j mie/'. r<->tn- pfif Vw&*wr,
aie d.r
soit. �Je wii^eutinu a tout ce
vons! -_-udr�*z. Je veri \ �tre un c
Juan, dd Adonis. uq Antinous, t
j� tic 5 a iu� t'ai>e pi; �mi-. llela-!
De le- :a�t <(ti"a \uult .r( -tui ne %
drait ^�� �tre t'uijour sjrvn.j et jt
J'en a�jnize r^ntri \vs iectritw
cw
..-jini'i.rpison aOBSi ^pitalc de -a^oU-ri'. n de ���.�mmaii arec a.m-ni'\ tVpcniiant i en ..mpltlrl�t�trc an v-.-.^e -.lisez ombrag�, ii�ik'plc. ^ maisons, ( ^_.i,t e-vii~truites ea
bo�c-: in:ii� i.m a;intit ^'.lie^i pOOBV
pin* loin ec rappr.H-h'-ment hasarda.
�tal�t*^ pniri.t�.* un, >i-tctade fort agr�able, te- n-ni^n� ^Mit nonabren-so�, grande?, a pinceurs �t�ig^ pr>-pn*.'et don aspe-et nani et ;
velU-
pns<p^e