OttawatE C.) 7 octobre 1864
Plusieurs �glise�, dont quelques font en pierre, m�lent leurs
n�s ; vant. bes uns, appartenant � la vraie �rej ra�e'�ng��fic, sont des'lioinuii* mie et leurs cioeliera aux toits dWntM j Kiiinquei. de belle 8tt.tnrc. deJieanx des habitants ; et parmi� ce��tinter;-tnUt,,Twii-r�uiu. s:u^^>nte, ii-^i* "dm�r�nranSps�" �ati�oTfque ~6t les i surtout s�rieux; Iwj-irtrw� Aurais eouyonts, situes dans la liante ville. I.aussi. pent-ctr�; n'ont pas une appa-ne manquent ni de csraet�re;, ni ! rente ���'.. n-�ppante, aussi' noble ; d'une eertaine majest�. Dans tous j'ienr sain; est �videmment mole [x.iir �s �difices religieux, h style omplo-1 le moi,,, d'un sang-pins ;|.anvre; ils y� 'est celui du quatorzi�me si�cle, -ont ili�tils pille, et lletris. .fcnfiii ainsi qu'il appartient niigoiVt d�eide U'aiieoiip de diirre* .'itraissaielit fnr do l'Angleterre pour l'architecture i Vin lus de cette �poque. Quand voir do pi'�i ces pastiches, que bien ca et l� quelqi
l^eOTmunicrV^ttiiliia-p11^^'^"''''
s., art I.
occidentales. - ' .
" Pour donner � cette foule m diverse d'origine, de penchante et d'al iurct,si peu compacte de sentiments, une raison solide Je se tenir dans nne m�tnc^rt�o, on aper�oit les. uniformes rouges des mannes, doucette infanterie, eelibro pouf'sa loyaut� et lu
que
.dispara
Tout n'est pas parfaitement copi� on copi� snr d'assez bons mod�les � on avbc >�ne suffisante intelligence.' Il y a quelque chose � redire aussi � certains � pen pr�s qui sentent l'�ru-
dition de province et qui peuvent ferme assurance avec laquelle-elle, choquer un no�t d�licat ; ma� eu] d�tendu la loi devant mainte n.e.tine masse, tout passe, les d�tails dispn-| rie, tient garnison h -perp�tuit� au raissentet l'ensemble est incotitcstn- niillicu de ces �quipages qui ne rea-blemeDt beaucoup plus admissible semblent nullement aux n�tres, ni et m�me agr�able aux yeux, que les pur leurs qualit�s ni par leurs <1�-" .horribles temples j;rees ou romains faute, dont ou est accabl�., j J'avais vu Killelirs des b�timents
�'Un des effots de cette "areliitee-1 de guerre anglais ; j�cn avais vu dans tara imit� dn.gotiiique est de donner [la mer des indes et. j� _ni'.expliquais
� la villB. en.d�finit� les vici�es choses [Kr�s�dent seuls.
*' Les rues principales courant ton tes parall�lement au port, Une ligni d'�difices semble baigner ses pieds dans f'eaii. Ce sont pour .la plupart des magasins appartenant � do grandes maisons de*eoinnicree, et entrecoup�e de d�barcad�res ou vdiarfx puissamment assis sur des pilotis 6liorin�s^D�Trt:^vpiateiR'urme6 dont Cac�� n'est pas autrement facile et e'-mmode pour les pieds qui ne bout pas niarinB, les b�timents de t -utes les formes viennent se presser, go�lettes, sloops, bricks, frois-m�tsj etc. Les jours de f�te cette marine commer�ante se pavoise de ses couleurs nationales et le vent agite sur les eaux del� baie le plus riche ljariolaj�c. France, Am�rique, Espagne, Villes nus�atiques, Prusse y marient leurs pavillons aux coulenre blanches et M�nes de la Nouvelle Ecosse, et ce concours d'insignes si divers, t�moigne honorablement de l'activit� industrielle qui r�gne dans le pnvs.
*' En face del� ville, de l'autre c�t� du bassin, s'�tendent de beaux villages qui forment comme une esp�ce de bahii�ue. � la m�tropole de l'ilc ; tont le jour deux petits laltitnonts� vapeur circu'ent d\ine rive, � l'autre, transportant voyageurs, tnnreliandi--ses et voitnre? attel�es, Jvnriil, au-dessus de ces village?, sur une �miiience bois�e et au milieu d un pare iiin-'iais
iJ'.ili nom'
nible pour iiou>L_sur_t'oiit, d'avoir P. Lcv�qne ayant pour titre ; � enregistrer des " La M�il�iti'ttttu d'un (1�re " et j nu- ceux-ci, l'ai il- ont un �tre convaincus par la
gout
�l�iraute,
riche
particulier, s'�l�ve i construit d'une t'ai qu'oii le prend d'al, ilfncc de qneltjue ]'
taie. T/i colonie a �lev� l� h grands trais un asile |inr se* aiieti�s.
�� -\ons �tions a Janine arriv�s et nos
anei
nuand de la 1,
tblid.de l\
ep;niue= a l'extr�mit� deceut vingt Jions. une t'r�gate oc cinquante, et une grande canonni�re, loi;;. '.�ti-ments de .Sa alaieste britannique, t-ois le �-.�luoijindemr'il de l-aniiral >ir
� titn
uni� visite a Ompressftnie qui di pla;,i
1-aniirnl, et de remplit tir. de tons
>�/� de
l'oints
:!ftp,igm;tok�p2S^�
au service du laqUell�.^^^i�^ consacr�s, liais en nttrouvttffi� i�nhlax.
dans les mers' am�ricairies^:lain�tue constitution, j'en couclus.qne ce que j'avais pris jadis, sur le navire de �.t compagnie des Indes le I"i?tort<z,pour l'exception, �tait r�elleui�nt la r�gle de la marine anglaise tout enti�re.qui, ayant besoin de beaucoup d'hommes, prend son ui..n,.ic p�rtoinT o� elle' peut, et ressemble au royaume des d'eux en ce qne,pour el'e.il y � beaucoup d'appel�. Seulement; par une g�n�rosit� troSTgraude, tous sout�lus et on n'a plus qu'� veiller � cequ'ils ne s'on aillent pas. Ce dernier point concerne l�s martnett, qui sont les anges de ce paradis.
L'amiral 8*** nous fit les honneurs do sa vaste dunette avec la franche bom�qui le caract�rise. Xons e�mes le bonheur de trouver A bord lady S"**, qui arrivait de la .Jama�que avec l'amiral, et se disjiosa�t a pren-dro possession lo lendemain de lu belle habitation r�sorv�e � Halifax an commandant en chef de la station des Indes occidentales, station importante Ubsur�tnent car l'ensenible des navires qui la cuiriposr pr�senle un effectif d';^ pen pr�s trois iront trente llonches � feu. La courtoisie de nos botes abr�gea beuiicotij� lea lenteurs ordinaires d'une pr�sentation, .et il fut promptement d�cid� quo nous nous rev�rri'ons di1* le h-nile-main. ...
" Les occasions ne tuanquaietit^pas et aucune Dit lit d�funt, fenilant notrer�fonr �' Halifax qui dura une quinzaine de jours, k Oasgiii'l_i':t\\t litt�ralement combl� des pr�venance^ les plus aimables, et il y aurait, de la part de ses habitants, vins qne th l'ingratitude � en perdre le Soutenir. Ausrj n'eu outil, garde. Ce ne lurent qiic fcies. bal., cl d�iu.Ts d'appa rat. ,>on Exe. le comte de il-*-, gouverneur de la Xoiivellc-Ecosse lady .M*.. . legcn�ral T-* . coliimwr dant le
oupr
WH'i�i,V(lfn�-lli'.i'�!c �mpi
niral, non- pro-' toutes ie> imir-
qili
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�; i-V'-'- � et .m vieux >.,:......�.
it:;n tros.proliabieinvnt atteint le terme dune fort longue carri�re. Aus�ue parait-il p|�s rtoerv� il de grandes ait'iniirci. nautiques. Mais Ji_ecs! nn..vieillard,<*!,Unn fort-bi'atl vi.iii.ird et tr�s-vert. Il ne lui mun-
ourtoisi
.�'J. de i'extr�m �o�dialif�. Le charme de ci 'ils fut bient�t aue^uent� pu �e de � "-
M"v in- u-ie l'eut le v..r ;
�^ -t^tes noirci ci Connue r i taille. ...rr, d'uu escalier, avantage an i d'une Imlle pied se pose s c'est au milie
che.
que. pre guerre �
trouve, place pub s habitants a,oui, �ects et d nte tetij.' glais,
foule de matelots
do
* sal>ords. de cette
du pont, pubique
tume
William WilL.......
h�ros de Kars. i erg\ieil de la .V...U-veilc-Ecossc, o� il est n�, et qui venait dette nomm� commandant en (�bel dis troupcb britanniques dans tout le Xord-Am�riquc^_Pour-iiioi surtout, ce fut une surprise charmante (t tout a fait inattendue:, l'avais lieauconp entendu parler �lu g�n�ral dan* lc> {�nvinet� ;�'rea.w, :ci!a lait jadis-un ionii s�jour, eTtions primes un plaisir extr�me � causer des Kurdes, des. Loures et des Turcs dan� plus d'un salon d'Halifax. C'est une Jouissance assez, vive et lissez d�licate que de rencontrer dans un endroit perdu �les gens avec qui l'on peut s'entretenir d'un lien non moins perdu. Il a y i�, comme un entrecroisement de sensations [icu ^muiuncs qu'il faut signaler anx sybarittK
II est bruit qu'aussit�t apr�s la cl�ture de la conf�rence qui doit avoir lieu � Qu�bec le 10 octobre, les Hons. -MM, Cartier, GaLt, McDonald et I�rown, se rvtldi ont eir Angleterre pour y poser les bases de la nouvelle con f�d�ration.
La loi pass�e durant la derni�re
session concernant le paiement,
au moyen de timbres, des hono-
rairesdofli la i^ourom
judiciaires et les ' enregistrements," est entr�e en force sa medi.
Cette loi ordonne ' que tous droits ou taxes devant former partie du �' fonda'tfhonoraire� des jolliciers de justice '' ou du " fonds de lotisse et des jur< .Jest-i-dire tous irap�ts^m honoraires d'office payables aux greffiers des appels et de la Cour de Circuit, an protonotaire. au coro-naire; sh�rif, greffier de la paix) refiier des Sessions de la pais, crieur, assistantetieur ou huissier audiencier,�devront � 1 avenir �tre pay�s au moyen de timbres �mis pur ordre du gouverneur, et appos�s sur toutes pi�ces produites en Cour. II-ne ?era permis � aucun plHcier d'une cour, de recevoir d'argent d la place des timbres, et aucune -pi�ce *nu pourra �tre prise en consid�ration par la Cour ni signifi�e, a moins qu'elle n'ait �t� timbr�e.
Nous apprenons que leGouve�.-nement vient de nommer 31. le Dr. Meilleur � la charge d'agent des timbres, pour le district de Montr�al, conjointement avec M. John Kouey, d�pitt�protliono-taire. Cette charge est n�cessit�e parla mise eu force de ia nouvelle loi pass�e durant Ut derni�re session, ut elle sera �tablie, cro yons-nou-, dan- chaque district]1""11
ecette qu'ils avaient -la sympathie du public.
Jeudi dernier, on repr�sentait donc ce drameil^�ise en tro.is actes devant une assembl�e de 200 d 300 personnes. "
Le sujet principal, se r�sume Kimilie suit : ^
Don \ asco de douiez maudit |0ii (ils en voyant qu'|l abandon, e la fbi de ses anc�tres, et tiu'il -renie le christianisme pour s'attacher au mnhoi�i�tishie. Don Alnnzo devient fou apr�s avoir �t� r�pudi� par son p�re. Son abjuration, son retour � la rui.-on et a la religion du vrai Dieu, son coura^ dans le combat contre lus maliom�tnns apr�s avoir combattu sous les drapeaux du proph�te, la blessure mortelle qui! recuit, les derni�res paroles qu il adress� � son p�re, Ta derni�re b�n�diction qifil lui demande, la
c-.....de Tarick, lieutenant du
calife, avant et dans cette circonstance, ont attendri luun des c�urs, ont fuit couler bien des larmes. ' ' -"Mais si l'uiiditoir�a bien pleur� � la mort d'Alonzo, il a bien n a 1 oppar.ition de l'edrillo le paysan espagnol sur la sc�ne Sitlltsait de le voir pour rire a s'en tenir les c�t�s.
Cependant nous dirons � P�-drillo que nous aurions aim� a le voirdaus les coulisses quelque fois lorsqu'il n'avait rien � dire, afin de moins exciter l'hilarit� lorsque Don V asco et Don Alonio sont en regards et cherchent 1 attendrir l'auditoire par le r�cit de leurs infortunes et de leurs malheurs r�ciproques.
N�anmoins, P�drillo a jou� son r�le it-itierveille, et nous pouvons le. recommander comme "�toile.'' Tous les acteurs m�ritent des coiiiplinieiils.surtout Don \ asco, Alonzo, Lopez, son confident. Tarick, Abdallah le ge�lier Mn-hom�tan et le bon Pedro qui- a lait le vieillard a la perteclioii.
Voici mai tenant d apr�s lo programme quels �taient les nom>; �les personnages ;
Do;. V:,Mit>de GcmS.:, r.cbl< i.jagoo!__!l
lins, R- i� Dm �uco.�C. Chaput --�[��i, conUdunt d'Alonzo� H. niiff) : .Iwuljnmt Ja Calife� K.-Hillman. , payua �ophomie.�O. taTr�mouille !o, lli de Pe.lw.�Ctuirje.- X. Che-
jndicinire.
L'Kxpositi'in Provinciale d'Ila-iniltoii s'est termin�e ve.idredi. A'utie assembl�e defAssociation. [ tenue ce jour-l�. il a �t� d�cid�j �pie la prochaine Exposition annuelle aurait lieu � London.
i,e de flaniiltou nous apT preinl queJe nombre des �trangers dans cette ville, durant la semaine derni�re, �tait extraor-diuaire : chaque jour de i'Expo-pition il en.v.-nuit de tous les
Th��tre a riustUat (anudien.
Jeudi soir, les amateurs Cercle Litt�raire de la'Jeiiu-
Fabneio.-E. Tm MecJoza. otticisr-espagnol.�D. TsajA. Manello. Ml4c! espagnol.�Et Cheriier. Bazil�o.�t'. Lapenfl�e. Saocbo�J. L�reill�. AbJaUah. � Vu Amalear. l�uan�oo. enclave.�Va Amateur.
dn nous dit que sur invitation: il y aura procnauiemenr r�p�te tii�. g�n�rale.' Le tii�me succ�s attend nos amateurs, et nous pouvons leur promettre d'avance line salle"S>uii!h>'~
Fariol ao Th��tre.
Mardi soir, Fprioiqnc wns avori� d�j� vu et admir� aux Chaudi�res, paraissait au Th��tre de Sa Majest�. Depuis quelques jours des atEch es-de toutes�couleurel placard�es ici et l�, annon�aient l'arriv�e du grand acrobate qui
eu lace^d�s ~ff3testants ij�.r"tir>li: ont pour ainsi dire ri au nez.
Dans de pareilles circonstances, ils.u'uit donc n�ces.-aire Ior*iue lions a vouJ des artistes de renom, qui sont en �tat de nuus �treutiles de eboisir des honrnies qui sont capables de tran'^tr il de ne point fairerougir de boule ceux qui les7�/'^'-�' lorsqu'ils"agit de faire pratiquement le� clioses.
Il y a quelipue temps, on invitait Madame Bisbop- pour le m�me but, et cette daine. s'apperec-vautqu'on ia-troinpait.laissu i'eu-di'oit sitnsdonncr le concert qu'on "lui demandait.
Dans le m�me temps, nous recevions dt cette dame une lettre qui nous peignait suu d�go�t pour l'insulte qui lui avait �t� faite et que noHs n'avons pas pnbli� eu �gard u la r�putation de ceux qui se sont encre mis � la de
Farini jouera donc maintenant aujl'h�atre pour mjii yrupr^ U'-u�ficu. U aurait pu facil.-ment :iu iRoyen de se* tour.- do forces attirer an nouitn'etix jmUi�c iju� (\ui aurait produit une tnV forte somme pour l'H�pital si un avait su \'r<*e�der commej'ela stt favv ordinairouielit en pureil
0i(". invin- � prt*ii"lr.- |<un a ^ b�r�tions. Xo� lecteur.- n'te pa� sans 'mturf-l w(in> d'Dne von ^uadie�me ;
t le haranl.
COIlJjil
ma'w-tim'i� ftaunl-Laoreiti fur la t-rre lio*^^?5*^
latiges-tlKa>>finl.ii[i gai.:.. EjL^n�MXxG�&j�L;_jJ^_ autt-iwe a'M^nibl�� i\e i-atbo'iqW"*"" tiiucfcit** / 1 -, uni �ie cheu-htMii 'i')" < n'-on�ei J�i*
?i-*�i'�
ca�a.ne.a louil ' o de 1� (erre W
� qui p*n�Dt ta
�f�ul Cltiioliqu,'
Jtl t'arail j.
oyez 4 lait �cret d Bai
Pardonnez-nu uie conoBitreH oblig� il'
?r.' dans noe m�me aine tes t 19 le**p�i,ai du globe, de l'a
^th-rKi^
Uiistoire de mm-ch�re pal�''-. ie*�r�i court i ]� fie d�[assenii pas �agi m�uD.tra =^ Hi�e* pif les r�enrnierjs. . : J-
Le lu aont t��, rulr�pWB^laT�titSja; " �" �le, Si. Maly, Jarq.rj�-Cart'er entrail il^us le " Eran.l ileuve qai traTerte \e lendoire ippolta . Canada djor�ol � ce �eave le Dota du .SauiC-I^a,;en�ea r�p'unetr Ja Saint dont l'Kitlis^ tait la i�te ce j'*r la et preaait p<>-se-is3i>n. . de ce!'" terre, au nom du roi ir�- rli�'IiBir. _ . en y pl^t'-'nirra ClOJV. ^"^i^fSS^iU.'TifHal - -rimjo��a-r Sa�naprde" Ctiampbnu yaebec^ Champlain, cl tant qu'h�nam� intdllro
Catholique d'uttawa, reprcsen-| devait jouer pour le b�n�fice d�
��.:c:-.' .' - .\'.'.'. .r- /......,,�..,''..., ,.:-'i'l|.1,-i,| . ---- �� -_
Malheureusement, il faut l'avouer � In honte de ceux qui ont invit� cet artiste pour un but aussi louable, qui �tait celui d� venir en aide � l'h�pital dont nom avons tant de besoin que l'affaire comme on dit a manqu�, et comme l'a si bien remarqu� le Dr. tliil au tb��tre Il tua failure, fini il t's not-mtr fault, '' Ce qui voulait dire OiWou cens qui
. ' laissent 11
m�die'en un acte qui a g�n�ralement bien phi, et lit Mal�d�-tioii. trag�die en trais-actes qui a encore plu d'avautage
Disons de suite que dan� cette derni�re, ils ont r�ussi nu-deU m�me de leurs esp�rances. Les amateurs on d�butant dans l'action dramatique ont suivi les pr�ceptes de l'art. Les applaudissements r�it�r�s apr�s chaque IW Nos lecteurs trpuveront sur l^"6- onl J� leur apprendre que
notre quatri�me page de la mati�re les auditeurs s'impressionnaient t0B*10 : V"B*r& - la d�clamation si naturelle des
�taient h la t�te de et mouvement n'ont point agi comme �s auraient pu ou du faire. I] eat p�-
ri Turcut�v H' t'u^vivent �Jiitcsle;
(.-haiiJi&is nouvelles dati� le dorn er f-u�t. Ce.-t avui' plaisir (jne n-n; tip
> Mcss�t-uh- �le ' de plus en pin^ populaire depuis leur lirnv�o parmi noue�surtout aupr�s des d^ine^. . . . C'est d�j� nn 1*e;\a et l�gitime tr�inipho.
ytm h^tenrs ,_______
pus de lire l'amiutii'� toute fnuvlie dt?
.ira.:
ent pHir r� InMilo'L �ur Ij terrv du C^ni-qai lojoanj'hc� *n-
�>i�t la dtlcnw Jes th�iDb^ riw qui idqi lieni son.* |b edr�f>�a�ftl uua*i cello qui onii le*C�-:/,uTla /.tt^. X'tM�.�I pis
Li'Sr'
t Ciu
MuL-hmore a do mieux
�Lire lia iinrioncea�*� Grn&fa J'arTTw,, et A tris oui Po�tr maires
manqueront ! Dl4jlrn, : L'(
jn-iequed� ptnple� qui jwolieni m�me� comb��* poar U sqiiHe cause Jv Dwi--e c Dnab^nl aOn J� *� lorufi*r daaa Jeun
Les 7*> IWO niticus de 1759 ��or, m*inw-n-itii plxr* d'un miffloo, pa�cU�ni J-* marafl p u< pats les �lai limpido* J* leur gr�ad Amtc. \"ou.'ti-Tr>a> ^ preuf� de .a puid� de Ivtiil ncean fjJt ta� la donaa an d�u mou, m plat* cm Vomear *m�-neatqni damaio tqdi dtadm covpvadat
it le monde sait que M, nt tuiijuurs et; tjnjl ; i tait de marchandise;