Ottawa.R G.) 14 Octobre 1864
�l'�tablir la justice, d'assurer lai loi que le gouvernement aurai � tranquillit� domestique, de pro- pass�, ni pour aucune violation d.�j ii�OtrJeMen-�tre g�n�ral et ! la constitution,. "_f>i� pareequ il�
-ru ou� de r�pandre sur lui et sa \. te les bienfaits de la libert� ; et si cette constitution venait � l�iiltir & remplir le but pour lequel elle a �t� cr�i�e, i^y a une stipulation
"diras cet instrument qui donne uu peuple le droit de la changer et de la modifier, avec conscience et sans violence, de mani�re �
. rmPfl.nirerR'xigen�e_ du cas ; cette stipulation donc dispose efficacement du droit r�volutionnaire, r�serv� aux peuples qui vivent sous des gouvernements arbitraires. Comme tout irouvcr-nenient repose sur un pouvoir suffisant ponr mettre en toron ses d�crets,aoss� ce pouvoir doit �tre appuy� sur une autorit� pour r�gler sa direction. Dans les r�publiques, cette autorit� est lo p�riple, dans les monarchies c'est l'aristocratie qui a tromp� le peuplr et usurp� la conduite des affaire* Une telle usurpation cr�e dans le peuple un droit de r�volution dont la violence doit �tre mesur�e d'apr�s le degr� d'usurpation, Dans un gouvernement repr�sentatif, form� d'apr�s des lois bien d�finies et mis en force par lu vigilance constante de tout un peuple, une telle usurpation ne saurait avoir lieu, et le droit r� volutionnaire ne peut exister.
Telle est la condition exacte du gouvernement des Etats-Unis, cr��e et �tablie par le peuple,pos-s�dant tous les moyens n�cessaires, bien d�finis et paisibles pour redresser les abus qui pourraient esister, et r�f�rant au peuple toute question importante pour obtenir son consentement ; en cons�quence un abus ne saurait durer d'une mani�re permanente, c'est-�-dire qu'aucune action du gouvernement sous une telle con stitution ne peut-�tre reconnue sans la sanction directe du peuple, ainsi il n'est pas � pr�sumer que des hommes intelligents iront sciemment passer des lois d�tri-mentales � leurs int�r�ts bu qui
dent, i
int qu'Un
Ainsi d'apr�s cet expos� de droitl de r�volution, on voit qne rien ne' peut pallier lu conduite du Sud et lusfriier Sa" r�volte 1 K. N. ...
D�troit, 10 oct. 1864.
A \ ls M'fcU.-U ,\
Aux Poitrinaires.
. . Y. I KlVK!,KY I, L fi,
\VOCAT,Prociiren.. Solliciteur.leia ce! . de Chancellerie;-si Noiaire.
�irait perverti.
Ils ont trouble la soci�t� ei-iiaugur� la guerre civile sousj pr�texte de droit r�volutionnaire; I
. � . ,es ^constiinces, ne g�-; dY',7'compa^, pouvait et ne devait pas exister.! P��.�,�
Au maire de la 1
d Tronc du
BntrAV* ni: Onrac. de I'e,
�eComrier^ttatoa.
J. E. Horion lledacteur
VENDU KDI, 14 0CT.0BRK
il. K. ntCKINallN,
i Cuek Mox.n_i;ii. rparle Sh�rif qu'il '
-Je de fer
notif
l'idi
tional, depuis son �tablissement jusqu'� pr�sent, a �t� examin�, approuv� ou condamn� par le peuple. L'�vidence de la volont� du peuple est donn�e au moyen du scrnlin, et est prouv�e par la majorit� des voix d�pos�es, qui est la senle m�thode de d�terminer la volont� collective d'une soci�t� dans laquelle il y a une diversit� d'opinion. Cette volont� collective exprim�e par la majorit� dans des mati�res appartenant � la soci�t� enti�re, e_t obligatoire pour tous ses membres; autrement il ne pourrait y avoir aucune unit� d'action, et dans le gouvernement, aucune certitude (II- protection.
Mais plus particuli�rement est-elle obb'gatoirej qnand, dans l'acte d'organisation, tout le corps s'est engag� � s'y conformer, comme .l'a l'ait le peuple des Etats-Unis pur la cunstilntion qu'il a idopte, >\ deson plein choix- Ainsi donc de ce qu'une minorit� se serait oppos� � la majorit�, cela ne lui donne pas le droit d annuler les actes de la majorit�. Un tel droit d'annuler serait une absurdit�, si une minorit� dans une' soci�t� d'�gaux, pouvait gouverner la majorit�. Pour ce qui regarde le droit n'une miuorit� est d'opposer l�galement la volont� reconnue de la majorit�, ce droit est restreint par un article de Iii constitution qai d�finit la ligne d opposition � �tre suivie,fournit les rem�des paisibles et '�gaux aux maux existants et d�fend la vmle_ce. .Sous un tel syst�me de .B���'�-rnetoetif adopt�.par tout tm pcupK a.cime- fra'-t'oii ,1*; ce peupie ne [.eut avec vinienee r�sister � ses d�crets, sans commettre un crime contre son pais. Voil� pr�cis�ment ia situation d'une partie de nos concitoyens du Sad qai ont arbor� le drapeau de la r�volte contre le sou�ornement des Elats-Unis. Dans leur cas surtout l'�uornlit� de leur offense a pris les proportions d'un crime contr� l'humanit� parce-qu'ils attaquent notre existence afionale^noa pas, pour aucune Preacott.
Le Cbemla de Fer d'Ottawa et Preseott.
Vil les proc�d�s l�gaux institu�s et pris contre le chemin d� fer d'Ottawa et Preseott, desquels d�rivent la d�faite du Bill pour venir en aide �, la Compagnie, introduit, par M, Bell � la derni�re session, nous croyons qu'il est de notre devoir de placer sous le� yeux du public, la correspondance suivante qui a d�j� paru dans les journaux anglais d� cette ville.
No. I.
Bureau ne Cuemis iie Fee i. (.rraivs et PbescotT-i Octobre 1 .<H. in Mfire de la Cit� d'Ottawa
MoxBlErjE,�Ci.inelns vons trouverez copie d'une lettre re�ue par In derni�re mallo, venant de la part de L'avocat de la Oompagnio du chemin de for du Grand-Tronc Je vons l'adresse croyant qu'il est de mon de voir de vous informer des proc�d�s qui y sont expliqu�s,
J'ai l'honneur d'�tre. Monsieur, Votre ob�issant serviteur,
Robebt Bsix, Pr�sident.
TEO.N0 DP CANADA. Blrkac Ht SoLiactTEca. Bki.i.evili�
oat�riol dn chemin de fer d'Otta\\ te !~�t Preseott, qu'il le retfi. ndra ici, qu'il en euipSchera son usage par I Compagnie, hormis de donner des appr�t�s que la propri�t� se trouvera si les lieux le jour do la vente.
.levons prie de vouloir bien cou, trie maire do la cit� d'Ottawa de pa" se une obligation comme telle gl_ rantie. .
Votre etc.,. d#
K.'-Bill,'Pr�sident;'1" "�' Ko. IV.
BrREAU DU Mil--. _
Hotel-de-Ville, 6 octobre ls - -_-i.iu.kt Bei.l, Ecii.,
Pr�sident de la Compagnie du Chemin de Fer d'Ottawa et Pr�seot
Cheh Monsiecb,�J'ai rhonnejjjl d'accuser rfeeption de votre honor. n eu date dn. 4 courant, eoritenant-notitieation que votre ~Goiup_gu "avait reen instruetiou du Sh�rif qufi, saisirait imm�diatement le mater de la �ouipag�ie du chemin do fer, me priant eouinie Mairo de paiera Jj obligation:ponr que la propr��t&.-t-devra �tre saisie, apparaisse le j(. de la vente. n�
En r�ponse, j'ai l'honneur d'info. mer la Compagnie que j'ai �t� arable quolernairo de cette mnnieipa ^i-n'est pas investi d'une pareille autorit�, et qu'en cons�quence je regrette qu'il soit hors de mon ponvoir de me rendre � votre demande.
Je suis avec respect, Votre, etc.. At K_ Dicklssox,
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Moxsi�cb, � lai Chemin de Fer dn G Canada, comme l'nn hypoth�caires du che tawa et Preteott,ont �t� la pourauito institu�e p;
des
pagnte Tr�ne du cr�ancier le fer d'Ot guiti� dans porteurs
dn premier hypoth�que de la �onip gnio dn chomin de ter d'Ottawa et Preseott, contre la corporation d'Ottawa, la corporation de Presctt et 11 compagnie du chemin deford'Ottawi et Preseott.
D'apr�s les papiers il apport que geinent amical entre
les parties int�ress�es dnns le chemin d'OttawaetPreacott n'est pas possible et qne c'est Tintentiou de soutenir le .mbat co�te que co�te. La compagnie du chemin de fer du Grand-Tronc, sait aussi qne les p..nts et le chemin d'Ottawa et.Preseott it grandement endommag�s, et nuis d'nne entente imm�diate entre parti
garantir les r�parations onsid�rab'cs faites imm�diatement .n chemin de fer d'Ottawa et Preseott, a de-ttruetion du difebemin ou partie l'ieetui, en sera ler�sultat |>endant le cours de la saison.
Vous n'�tes pas sans savoir que la compagnie du Grand Tronc a un hypoth�que 6ur cocliemin |iour uu montant de quarante � einqnante uiilie luuis.leqne' hypoth�que est de fait sa premi�re garantie pour le fort montant, avanc� � la compagnie du chemin de fer d'Ottawa et Prescolt d'� pr�^ " l'Acte pour venir en ai le." \ oyait ainsi � leurs propres int�r�ts, la compagnie du chemin .le Grand Tronc ne peuteonsent dant que des diff�rends de ce t�re, indiqu
j Ckestin de Feu.d'Ottawa et Prescott, Citer ilossmcs,�Je tiens votre lettre de cette dato on r�ponse � la mienne du 4 courant, et pour ee qui regarde la garantie en question votre obligation sera suffisante., et ue.rep taWe an dessus de la signature'- M. K. D�ekinson "-�en ajoutant " Maire d'Ottawu''�cela ne para�tra seulement que comme addition. J'ajouterai qu'�tant d�sireus de tenir le chemin ouvert.ee que je ne pourrais taire sans le mnt�rief ronlant, je . uie suis vous ponrqne vous.m'ai-
but
i pouvoir i'r par-mt. Mon anxi�t� ?, mais je regrette
le ClVuu'n de Fer
dci � iwrven . il �tait hors de n venir persuunellt peut �tre ennuya profon��uiuut qt ppurra �tre �errm nient pour manq Je suis
Robert Bell. M. K, Dicktxsox, Ece. Maire d'Ottawa.
dtitlav pr�sent
etquelechetui a et Preseott, est d etat,et&ans persfieetiveelVt
Il est beaucoup � regretter pour la ville, poutJe-epmmeree, pour les besoins communs de notre population en g�n�ral, que les autorit�s municipales n'aient point jug� � propos de �e tenir responsables pour quelques jours du montant demand� jusqu'� la vente. N/jus allon^donc maintenant subir les cons�quences de l'opposition fi�t au HiU de M-Bell � la derni're session.
Les Micrilices laits par M. Bell lu! ponr ce chemin s�nt_..iJB_menses.._ Personnellement, ses propri�t�s ;� | se trouvent envelopp�es dans
� quu i
Ion cette malheureuse catastrophe, pour de forts montants Xous erotuns donc qne c'�tait lui faire �arirroti*- i -.nie lujitstire: que ,1p. ne pr.yit se IT�ml l'm'er'-i reudrea sa demftnde.et � la ville, parties int�-I an dommage dont elle se sentira ross�es en viennent ann arrangement longtemps, Surtout dans la'po� imm�diat nu inoven duquel on pourra -.- � ,. ,, ,,
se procurer les fonds n�cessaires afin S,t,on "'Hq>^S*!n3 laquelle elle de mettre le chemin do fer d'Oltawa se trouve au sujet du si�ge du et P.-eseott dans un �tat sur et von- gouvernement, dans un temps o� ; venaulo.ot, par leqnel aussi le pr�sent1 �> , . ,, I
proe� sera discontinu�, la compagnie I 1 � d�lib�re a Qu�bec =ur 1 op-du tirand Tronc prendra possession portuhit� d'un changement cons� propre protection de mat�riel titutionnel. et d'une cunf�d�ra-i
ides voilures flemnt pr�t�s � le� condi.irft
PRIX
iODU�al lt-rt classe......J3.50;
^''---7- - T.'. lifd- " .-. .T. .Tfi,Ou;
(REPAS EXTRA.) Billet, ,1'EicuKion oMuntr*�l e irelout $B. Pour aatrea iaformalioqa et pour ce quu igarde lea billflta il'escursiun s'adresaer � l'agent M. HcGow�S � l'office dn quai.
R. W. SHEPPEHD, �i Quoique nous vivions enCoPe""' ; des esp�rances, nous ne poui y nous illusioner nu point d� c re qne tout ira toujours bier' que - tout sera dans le meilt-: des mondes possibles, -tant uous serons divis�s, tant qo hostilit�s existeront dans ^ rapgs. Le -Canada Central pher que par l'IJxios.�Hor-%�/," In, point de salut. *mp-;
l'ne d�p�che t�l�graplijque en Je la de lundi rend ain=i compte des p ,eur; rainaires do lft'grande conv�ntion�. par tercq�quiale qni se tient actuelleir"?!�-� Qp�hec. _ ^,^u'_
Samedi, plusieurs des d�l�gn�s'e^ et Provinces maritimes arrivaient ^""^ Etcamer de Ste. Jean � Portlanam'p� prenaient l� le chemin do fer qu*peur-conduisait le lendemain � Qu�bebarge
Lundi le steamer canadien c/l Vintofifl, arrivait � Qu�hee, aya^S!� son l.wrd Sir Richard Me Don ex'"'.7 naut -�uiiverueur u;. la ,N uu,>or.' le-Ecossc; LadyMcDpnuell, le rfuval, reste des d�l�gu�s et plusieurs duij'^ qui les .accompagnent. Cette d�nant, gation �tant l'h�te de la ProVic,^^. des logements avaient �t� pr�pm Di-poirr eile h l'IIottil St. Louis et c*r
. � -ne '11�.
la qu elle tut re�ue. 'roiH-
Vers II heures lundi matin, t� 4 3 les d�l�gu�s se r�unirent dans la ""'i','! tisse dn Parlement o� une liste. #cbefL diff�rents d�l�gu�s fut faite dans I'
dret
P�,
vaut :
art�
-l.'Hnn. K P. Tno
P. P..
�Hjt'
. K. Cm
SI. L', L-, 11� .T�hn A. JIcDonaM. J G-n�raJ roui I�H: C ... M- P- P-T-Pmcoraur/H�ri�nil i PHod. Gm. BBwtr; M. P. P. Pt�aidenhe;^ C.OMil El�colif : l'Uon. O. .Vowalt, �!.",� P. Maitrs-Gcn�ral dea Poatc� ; l'Hon. f�', alL. M. P!U>. MioMra de. Financ'Vfil n. T. D. mac r.!. P. p., Mrni deAf ricalnlre , PHon. Vf. r.^Ooncall, 3� .........p!�II, 11. C.r
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Qu�bec, 121
Vl'Cl'STK l.ulll-:!..
Musique
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I*i Murr (.unaiheniiv.
Parole* de Em Blain; Mimique de A. 0e5 ' pn
l \ jKIULN� dl Nl-UK >(>!
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Y/Ai.' l)EN>:W-VOHk\"-|.�iirui;-Wf r el�Bjunrd'hu� dart* f�/l;&�n-yy-?j-:-bbt�njJajiItirtVriliidi?-fc
Amenyar. Bieit "qurj-m -*_v'-raaTrtrT^ .jfmrnam, - "e4��T�ti�7-:7L�^ , T. lU�trt avec U iru*rre,dB ."tHiivIemeut^t-V -luydnctijiini fail pailJitpasnioJri^i|tf'�yji�i!ti^-^~"
patronai|�i �l" pria dii. .mcv.ici: _^o��^^.,-'^.
�#�fid^ihBr^^r�^|j^ : y
rnal.e~nabU4.da la vie. � la libert� �t � li benr.�R�publicain par t an tente et Je tin Die pocr i le� eflort&Iaiijt par lepenide .'�*clava^"f.ilc-piiw l'annexion duTexas jusqu'� l:i.i-/aiide r�bellion, ppnr *,i�*�r l'empiie du Xouwati Mr-Jde et employer les rewurM*deji..tre_ pajs wd. propre � a^randissemeat-^K�piib�]^
it lus despotes �t
iQiagonu a de
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des calamit�s qoi oot fondu Tauiodes hommes lie leur c: rauie �le la R�pobfiqtie llod�le�R�p�hli^ 6�itt dans son espo�ret se Vas pirations. �a fisf�".'
elfurt*, pour qpe_cette r�t^llfiiu/.airoc/LJZ p'tJT�*�sciertnjLierjml*souimsjiijn d""� i-mis-T pirate'Uhrj �t poor^Ue-Jtf�dr�il^^�r-iSTrni^i?^" hiL- �gales p^L^sent ftr��tabiij dTunemjirtii r- _�" solids dans lui.l'�tendue d�noue pav*. parce qu'abri�, la Liben�-ei l'U�iuit n-r�nt pour lu'--"burs i�,es et �nrtpar�tlfl�.
Dan� d�i'temDis plus calma�, la />�/,-.-,? .-d�jnae son atltfDtion, elle le l'ait quelque peu. : datirs ces Letnjw ci�� l'�d acaitop. ~�^arfF�,ij^~^
ce qui peut cootribnifr au progr�s cl' a�.^"^'^--"/;'-�irp spinlnel� et mat�-riels du^�iir^huiiuiTu-^
CO�Giirft-s sont priacipalemeul devua�S a~�X?^~ vii-ueuret'au siicces de la �Lterte ptinr i-'(V:-'-aian. T>^s eorrrdpoiufan�j' .^p�cian t aHpnfttp'^-. " ^1*51�HjiK�^rp*. J'iirmf&^c^-rtd�rrriffeT^iizzrz appotteiit ic?? luipotlPUI; incriletil.-" fy-"celle->raude lutte ijoi terminera bipul�l^nnu* en : -iVona Fespoir, parle tnomph-- dits ann/�sW' , iODHlft*,elredouoera!ariais ef�a tt.iiiiiiir^�t�.. � nntrebien aim�e patr�-. >�uus p�n-uui^ni..- y mile part on ne peut'.-bteiiir ui�e ni�e-'pitj^ -:L_ " plus pr�cise dn procrc* et �tVi' ^c�rViV-T^"-/
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Le Chant des Voyag�nri�.
ParglaH.de O �r�rnazie, .M-is'inoe de A.'l>f-
Le Chant des Voltigeurs
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PROPRIETAIRES. : I l'Elat Jn�. <��o� m-'-� .e�". �tre
CKT HOTEI. P.il.li- v-v. :
et l'aiBenlilemeul eet � la u;udo des Hatets d� Xew�erV. Ile" rim� .1 w an des
plus beau* quartier* de la ville, pr� du Hmp -V-rr:, .1� 1, ,ier,;enre de� Offiei-r�. et peut donc donner aux visiteurs tout lai. conrorl p'jssil.l"
l'IJipfes dn�vi
1 du
COme
leB plus bsanx Jmnreeaur rtistes pendr.n'. ^natre ^ aaine sn lave delid�m.-i otel nrTre donc au Public .rd�naire d'-� prani, �L
�_C.-CaapanuM._P. P., 1 iinn�iWHrait . ireclor'Lam^_;
l'Elpi� autremeul ces fiais seront il�duip.
"b'ALMAXAf'11 DE I.A TRIBI-XE poor l>i�4. y - '
L� VEHlTAliLE ma,i,p,. .m j p E TI T'A LBBRT
ls .xvca�ent ! ,,_ ^
lit ^".^ISKCRET POUR ACQl'KKI
ri_1,n^L: Un Tr�sor.;
aemenu, ce-\fl;,j;; airx_ ./�.,�, /�*_. Ic_ft>' ,U* s dan? Lien f-ff._ tf dcl, mm,,�?�� ,/� /;,�
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Somnel L. Tilley
l'iion- W. H. Sleves. M.C. !.. O.nwil E' 'S""T emif ; l'hon- Peier Mitahall, SI. P. P. i" p,ul seller de l'R.�cnlit ; l'Hnn. John M. Jol�.1,6' Km. M. P. P^ PrM.-d�n : l'Hon. U. " iU' Ctiandlei. M. C. L. : l'Hnn. John H. tii" 11 6 M. P P. ; l'Hon. fTtiailes Fi.her. M, P, P
Honr Tene Nbutc :�Fied. B. F. l'ar matin Pi�-.denide la chambr� d'assembl�e: ^.innii b.MO Shea, �ci. P. P. femp�
P.uil'ne du Prince Edouard :.._'_
ntenant en usage.leqnel sera eule-1 --��"""%" v""lviuc'"" ! Thot. tfl
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