de n�cessit� ; mail ileat vrai qna l'on | pourrait compter anr la milice. A combien se monte-t-elle � Il y� SO,-j 000 hommes propres an service, et tout ce qu'il faudrait pour en faire de Iranssoldats, serait qu'ils fussent tu-' r�l�s. form�s en r�giments, puis un_ brigade* et, par-dessus "font, qu'ils fnisont drille�, et compl�tement exerc�s au inaniement'des armes. �u< d'autrea mots, la milice du Canada . est comme celle de la Pennsylvanie, nne force provisoire, qui existe aux yeux de l'esprit, mais qui dans nn I montent d'urgence, ne pourrait pas itro Vue par l'organe oculaire. Le I Times branle tristement la t�te ot| dit : " Cola ne pourra pas faire, dans! '� te caa do cette grande.invasion des �^ta�a-Uniss�a* twtui voyous � dur-" tance."
"On ne pourra pas faire face nn g�n�ral tirant et � ses denx cent mille hommes, avec une force de pro-Ttnuianx non disciplin�s, coinmand�a jpar det politiciens mrorrx. Les Canadiens doivent avoir une ann�e scm-' Diable � celles des nations europ�en-nsa. Vont-ils se pr�parer pour cette o�oesaite, en se aouniattant � do� d�pense� exorbitante* ? Vont-ils se taxer a�n d'encourager l'esprit militaire parmi eux, de mani�re � �tre pr�t� � faire face aux |vnnkees, s'ils so pr�sentent ? H�las !* non ; ie l� me� ne pr�voit que d�sastres, et nous
Er�sumons qn'en ce moment, partout i Canada, il n'y a que de sinistres finticipattous sur �a qai arrivera lorft-qno les yankeea se montreront.
J. E. Dorlon Bedoelenr
VENDREDI, 28 OCTOBRE.
p�tueson gou ci�tes secr�tes tantes, eomnL_ Kaow-Xothin;, ' nouvelle impo dront r�eHeny. C'est uudesj mi quels les Etats-afo par le trioffi publicuin.
Si les Am�l perdu le bon ser, on leur fait hon en novembre n tenx. D'une pari la. paix possible, � vsgard�es, et,. i\n._ la continuation ,�n-au Nord ; de l'ntili avec la guerre perj ne financi�re, la p las libert�s, et pro " narchie a� sein d
Noussouhaitoi notre c�or dans 1 muns des Etats-l n�da, que le ph, triompbe dana 1 G�n�rai McCl�^'J
Ottawa (H.C.128 Octobre 1864.
Au� poitrinaire�. ; 1 � �'� � n_u,1. V).
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Mardi de la se� a eu lien aux Tn." grande c�r�nioni l'occasion dn cmqu versaire de prctrin zi�me du sacre de Mgr. Thomas Cawn"jbe �crit-on de cette v ilit� dont Trois-I d'�tre le th��tre n m�moire de tous ci �t� les heureux t�! tatenrs. "
Sept Ev�ques eta,,,^ Mgr. Baillargeon, Tloa, Mgr. Bourgot Montr�al ; Mgr. Guu. d'Ottawa ; Mgr. Lu! que de St. Hyacit!,�:'1' llornn, �v�que de Mgr. Lynch, eveque
wMlTH dont la V'KU3 m e
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Les nouveaux �t ruufrnidqnes \ apeurs. �W.F.N VICTORIA.'1 tapi. A Hi.n �flKCKOF WAMM" II. W. Mairra
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Idm�.r�nit�Sqo' oat Ion" [iuleaes hmmii� de t�ar ''rrine-'le la n�pnbliqil� >
rste The O��*�,�''1805
J cuUi.re.d'Ilorti�ultureet ,1e Questions Uural�s.
BiB gneire et tes Eieetnns ebe: dostoIs�ds.
Napol�on, visitant le champ de bataille d'Kylau le lendemain de la victoire, s'�criait avec douleur: Ce #pectacle est bien /ait pour inspirer aux mis PamouT de la paix
horreur de la guerre ! �En efl'et, si l'on supputait ce ce que co�te aux peu j^es la gloire des grands conqu�rants, si l'on comptait le nombre des victimes sacrifi�es � leur ambition on ad mirerait bien moins leurs ex ploitsetles savantes combirjai-
rinsde guerre qu'on nomme des, ue ��� pr�t..* c�. , ,ialrB1�, �.,nl,��.,.�
LE SOt'SSIUSC^'""j^ �,m.s le v"MlC '* ' -"un ooav'�" It^a-viin
llc'Ssc", �u '�":0,^',1:, "'m ' vi iriniKirtv""""1--- t" �ehturt ��<xiJf!, aias^ M
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�te;, 12 nuits
f �torts r�' 1" f^, I! -.ij|u J
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Mgr. FarreL �v�qne n* �
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LR CinaMto Farmir e.1 _!""n''i",'l'iira'�i Bikwnce d.pui� nu. �^:;s,iMepil. iea. p*r,�i� ''.KSi J. 20,000, Sa circula"�" 1 '^.Vi�.ramo n�j �a>y
i en C�i .est �-s il favuretil" ^"^.^"""'faB^u'ili
. _"..'.--(REPAIS KX�KA,) -: Mle-J'Bwurj..�. ^�f^^ Peut anu� "lfofS*,l�7,io, ^'ailr�
1^""M rtWv'SHEPPE!�)
^Is�enl tout roip� '',al�*'''�.ije�"il Ja --".le :
'Tffir,- Canadienne. ^ y^^^E^ -VH-'
Musique
imposante de notre elq^ dien pr�c�d� des ha� taires eccl�siastiques. ^ � ,
�lNracitoytn�,�erii-on �l^,�|, �ont moati� digues de leur pal f�la qui r�jai
belle
Les liirTere.....
bieo/aisaDCe asfi�ftu�T pompe� � ceUo e�r�nu paj peu � en rehausse �talent gaite et ouren
6eur ; op voyait qae 11_____
ait le. esprit*, que ie rn�nia s. battre iescavr*. ta caiiedi petite pour ooaleair lu fotile i se pruMait dans sou enceinte cette (�le..
Toul� les re� par lenjnelle� ' M. 5. lu� Ev^mes �taient pa�e d�cor�e�. Plusieurs burei magasins �taient lerm�s. Le Banni Prnleslanl�. a put e.ee de f�licitatic apairtues de volo. coniye. Le b
Caiholi
ike" Tnui"
forme ion, magnifique ; [e soleil tuit
"""�qiTSrtrois m�Ue hommes tu�s dan9 une arm�e de cent soixante mille homme?, ce qui ne faisait qu'un ciiHjttant�me, tandfeqo'ilEssIing, ou il n'y avait que qnarante mille �ombattants, la perte en hommes tu�s avait �t� de quatre mille C'est-�-dire d'an dixi�me.
En prenant le terme moyen de ces denx chiffres, on pourrait calculer approximativement* le nombre total *
Ces milliers drjraort�, moisson dea file de frbomme.]
On pourrait �tablir jusqu'� nn certain point le bilan fun�bre des cinquante* batailles livr�es par C�sar, des cinquante^ batailles gagn�es par le grand Fr�d�ric, et des soixante batailles rong�es o� commandait Napol�on.
Et ces chiffres seraint effrayants !
Mais s'il fant leur comparer le le bilan .encore plus fun�bre de la guerre fratricide de nos -voisins, nous compterions par mil-' Hona 1
Pour s'en convaincre, nos lec-]teurs n'ont qn'd. lire la lettre que nous publions BUjourd'bui et qui nous vient d'uu de nos compatriotes qni l'a �chapp� belle.
Quand donc eomprendra-t-on la folie de cette guerre, la plus meurtri�re des temps anciens et modernes 1
Malheliro�s-eriieu! putn- l'immi-mnnit�, la guerre a �t� de tout temps, un des grands d�aux de Dieu, et longtemps encore le non
roi? et des peuple
Il serait donc souhaiter inmrl n^!l ci.Jws4*.�t>ch-
puss-ubk m- !e.i.(.t�i,dfi-j-jij^' Hrmr
s aucun doute
r.. ., � � rvrnpli no twsoin uraeni e^
ton. Si lOIl ajoute qt l lonatemps pa' j0un,al d�voue sp�y
d� cent pr�tres �taiei. I!1"^I^'Jv��iKau.i.o�de k""'
le.seJa C� 1 peul-^lr� les �sricolei de
C0MPA6S1E DU �U�HEUED.
"uc.SEliELAMAt'Ll:ltt>VALf:
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mie l'iu^is ""f" urm LeVapeui
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Vo.amairepoorUutbetl
La M�ro 1
Paroles de Km W�ia..Mg.i.iut de A. lies :
Le Chant d>w Vitvaaeurs. | Le Chant des Volt.wiuw-
j A DBS PHIX TKK?-M01)KBr.S
j WMIEL LAFBIsL
I-ROPRIFTAICK
\o. 1U. Rue tul-tle-stif. QUEBEC
. cause nalio jme celle rte � . ��der � accro�tra ia t<< d .
d.rtts nouvelles sont '�
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1 de* Canadieiia. ln^,nanl eoli Jement I � ar-�1
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;'� rlBUl�e club de abonutir�e-un� i ^ a�C5 f�yr une arw
ittTctiniqoeai. �"^^rpa^abanl du Vap>-. ^e!'t u�enh�W >�<�� doyra tes i,ansl��ei ] <}B� - . . Iv'^tra' Oc�aniiiue^. �ft cel1 -^o*c Jr"' 1 _-- . l, set* -- - ....
,M,M�nt*. h^"tLeuils ut ctatul ���- J-f,� rua.. Ja�qo� C,fS'..^�t;, i � i -ttt - -r-SM-WtrSBM*. n.'-'i � C, nom d� Bureau .1. Pu � et de
La cath�drale des Trois resqui est un tr�s-joli < d'architecture gothique av�? pourla cireonstanee,d�cor�t un go�t remarquable- Le rnble h�ros de cette f�te reli/'-'i se officiait lui-m�me � la grt tnes.se chant�e par un ch�ur citoyens et d'�l�ves dos co)!{ du dioc�se � Sa Grandeur �i assist�e par Latnarche de ToT'-uto. St.| Constant. Sasche, dt
la fonction d'assistant? ,- JI -sera ta raisem supr�me de-| Bayle et Desanluiers. celle de d.
s seront pi' Et au! [u'elles l'ont tenant presque e sera �paren� pour tout �plu,uou�" uaque �.jet -Issse agrurol.
Le l'a�' de ebaq' panel
&�A-e�rJnais,43| P. M . arrelaalJO alla"1 c S�rel. ilastimnist. " njach.che � " ' "
deTroUBit.errfPO"! � j,
manct.es ^'^'cVp,. Cl,.rl,s NeU.�
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."U-�.WIM'. 1 VTI M� ^ i . r.E VEWTAl..Lh
PETIT-AIBB�1'
slCBl 1 W.UK H�l H�
Uu Tr�sor.
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�ifl�irrefe? .-.�rtintit Irionip....... ^
la latte dans laquelle il va entre.-tout ptochainement, dans quel-qnes jours m�me, ll.est vrai qu'� l'heure qu'il est, il en est des batailles �lectorales comme des ha tailles entre les orrn^e^-C^eqtter antagonistc chante victoire et entonne le Te DeiiM. Le parti de la pais seul peut sauver ce pays, S M. Lincoln est r��ta et p�r-
ttonveauK
t 11 M. McDv i yylity.ir. lagnitique ^rtne-de eirconstimce a etc pr�che pr r-a Grandeur Mgr. de Tina qu-a pris pour texte la vocation. �i nature et le but da sacerdoce,
MiJii�ignyJ^J^ke^esdU^�-de TSluis, �tant n� le 7 f�vrier 1 "92. I L Il est n� � quelqqes lieues de \ notre .ville. Il f�t ses �tn�T�sr^a �o^r1 coll�ge de Nicolet. Ordonn� pr�-
('..�(l.l'l. /w
J. n Duqnct
. |.|.|\ ItK l/KM'.Mi'LAiltl-:
Emeute a lEcablUscmcnt CwrUr (TOitaxra.
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reoci�ti'-d'a�''" aa� Dri\ -l^1 clobi udod� pu elles sont
,1e poste qui se 11 ^
''^Senir ks.^*�.�* 1 d�
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l:nnl� H'i�1 J�''1"(5. Ma,dis�t Veinll�- ! rit � | leqml -�
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