Ottawa (H.C.) 4 Noverake 1864,
�jours :. peu pr�s, nous ordonnAine> � ! tawa, 'l'Vlix M.-_*kn\-..-st dan* iVJ�mc, � notre tbnrnisseun du �rius-envoyer du | Artillerie Foudroyante do New-York, | papier. "CettemT�ufac�urc~'s�~ tro�t j oh\f combien de ch^js�o'nutte "aviuns� � 30 milles plus haut que Toronto, � noua diro � quelle joie ? quelle d�lit*'. " " "'- que de retrouver dan.-" une situation
rivi�re B Ttr�g clairement
utown. Ce papier se rendit V_i donc �iMontr�al, et do la'ici, paria l_^i_ligna d<id w�[rtUirt_dK_l'-Ottaw:
sorte qu'on peut se taire une id�e du '�:."'co�t. d� frett. qui approche trouvent ' de la valeur de la marchandise elle m�me, par'le tempe, qui court.
flornspomlance.
-, M. le a�dactouc,' . "
�7 Je Toii que le Cercle Litt�raire de la Jou - woe duplique d'Omw�, publi� aead�lib�ra
que net d�lib�ratiods ne paraissent pql.it dsoi . le aeal journal frtD�aia catholique publi� <ji �j le-H .^Canada, "me semble pourtant qaei lecteurs tan�ais sont ping lat�rui�fl � et oiltr" ce qui se |�m au " Cercle Littorali iDgial* �t protestants d� cette ville qi
UN DU (JKBOLK
Nuire correspondant doit e� anv air am-
le Sujet ; cej endant
nous lui t�poudrons ut adress� les litt�-
de m'a d�lln�-allons, et comme nous n'�ti-
on� pa� autorise � . �. publier s nstwr'
emparer lorsque tio U9 les �vous V u datifl
le�>n�1j,ux HUglais decetle ville
�tre "propri�'L Nom
ne savons o.tp pou rquui lesoffi.-i rs du
de pr�ferei oe aux
journaux cnejnis : . e qui tsr. tr�s certain
'1'" c1.aq..r l.-l l� de,,, .....u.- I'�v,i que no..� uvo sf.it .,i;,��j� ns par. dit de
leur v-rr el de nous faire 1'* lu, de
!<�"' '�pi.n......i si io ,ilimemem. �.-<, Ile.
L'auteur de la lettre suivante, �=iduquel- nous reproduisons une pr�c�dente dans notre dernier num�ro, avait ete, la semitine derni�re rapporte, par une lettre de Seiiccu halls N. Y.; adraw�e si ses ~-r pareuis qui demeurent a Hiill, comme ayant �t� tu� aur lesbords de la rivi�re Shenaudoak en Virginie. Nous nous l�sons donc un plaisir de publier la pr�sente quona bien voulu nous trnns, mettre, afin de r�conforter ses amiMioir swi sort, et leur apprendre la Providence a bien voulu ��pargner encore, et lui pr�parer un avenir plus tranqui] en l'appelant rar une plage calme et paisible <pii lui promet du re
- - pos. -
Nous la publions in frientm pour son orioinalite.
Strasbure, l� Octat.re I8�4.
Dormo nouvelle! nies eliera parente, y*: t10?"/* "ouveHe-! Le projet <Lui tirait et��rrtt� pr�c�demuu>ut. et (lout jo voirS parlais Jiins elle rin -J. coTirunt ; �tait do eoudnire devant Rcli-njund le m�mo torp, d'ann�e auqnel _�� j appartiens, a �t� rappel� L.1!5- j,,nre-
- ci. IJoJiouveaox ordres nous somme de retourner � W�shinnton il'u� il pi.ralt. on m�dite nuits daiyer de nouveaux vers la -Nonvelle-Ol�^na. y vas sommes en man-lie von notre
-, . �onvelle deatinalion, et nons ne �om mca plve^u'� 180 milles de Waslt ng-tou ou, vnti&einblableujeut, noue au-rons qnelqo.es ionre de repos et de r�ereation.
Tpnt le monde a re�u cette honteuse nouvelle avec des transports de jwe et d'ull�grcKe qui n'ont pas r�-gn�s lorsqa'on semblait r�solu de noua conduire sans merci, devant la capi.
--tal�-llu_�ienx Jefforeon Davis oni on
et laEflrcUt do *c� \wrtn
D'ailleurs, la Virginie, a l'endroit ou noua �tioas retranch�s, sur la ri vi*re Shen'and.mh, entre le cutaau dit, Blue liii.j�nx la cha�ne do ��..n-
ou nous ne puiivon� vivre, par lo froid qu'il y fait. Entre les 1 et C courant, durant 1� nuit, nous av*na e� une pwre gel�e blanc�ie qui afaH
{rritonuL-r" la" souqdnnilie-bleue d� ^UYrc^goldfct tftnde Sam en tac-t?'t'-v. ^s'ou� EL^&^ins arec cous, ici que di^ V.a�.��, rStO. s^nt ha** 'ont
�-IK-Ue-^-i.irumra�� ^"Wa�ti^.t^ \
- ~ ?v?-" ~r n^ti-tiViiztarer jjna ct-tte in�L'niiile vs�ce^ je vgn? a^�ure que ncUb �rciTiM.us nuovept de froid, et celd d'un Loi eteur san�nous demander r�eiproqiniipn�. ]>uQn[nui. Avec ce�a^ diffirnr� de* transports et dea a>mtnnnicatioi?.fait quenotn? ration est diminn�e d�bewneuup et tu us ces inrtjnv�Liifcnt.4 �U^ieut de DuD^ faire ri^retUr notre si
. vier le 1-jnL-Vur d^nombreux cama-radns qni lancui�seit d;ms l'inaction, le eorofurt et j-almnlanee � Wasbio^-ton, que nuui u\vo^ fuit qu'entre-voir du cu�n de l�-i� � noire passage, dans ic mois dejiiliet dernier en re-vunantdes kinfedn Mis&iasippi. Je dois ruus'die que j'ai rencontr�
4 : � H^rri�onburg m vieil ami d'Ot-
mes plai�ipj..de i que i'"�tais n
i diif�ipati' n <lc tous r
tobn-:
l/UietorEqiiL- de U btttatlje ' mvi
;ml� de | T'a
ressort pas ene J�p�cttesembru
i're>q>if (ou� �<?.' eileis ii�rt jrjwagerfi ont i
. caus�e [mi i*cxplfi�ion d'unn ':nafn- .�
penrfai t .mon �llurtiait. I Tau- t^s paAsagers (int re�ii pliiAgiau
t que !
jour-
n�eatr�ler dana le village, essayant � .-a�a�miter les choses, le* objets ; tronvant des res��mblanc�� dann les personnes, avec '-elles que nous avons
fan -l tof.l-*t�"*�au-
ordre Je pa&e^r le^ue, et 11- leu'Ie niain matin, t* courant, le G�nie corp; auquel il est attach�, est parti [>oui
tre �vall�e.--Mu �ch�re m�re, voiin hk pardonnerez ni je mejjermetw de voui djre i]ji, mot.des petite� inahYcr- qiw noob none'ptirinfittoiia de faire par rei sous le�urdren <lu n<-s Mip'V'"ur- <---pendant, et ne craignez-pas p" que je retonme ver� tous phi-et piiiB barbare qu'autre foi�, ai \u-mais je voo� hiiin rendu ; ah ! noo ; le soldat lo plue cruel, le pl� �angai-nuiro �nvors un ennemi pendant l'en-gagetnent, peut-�tre le jjJus g�n�reux, le plus compatissant on temp? -<ie paix. Noms Jjr�'one, d�truisons et �n�autiasous tout ce qui ee trouve sur notre paessage dans �a vall�e, et nom� avons m�me pousse notre tpb-b nti-mentet y otre vciiire��ce . �vjiiit-hicr, jusqu'� floiif d�faire/Je uiiinze.prieonp liiers cpuf�d�r�s' qui devront alla porter tes d�p�ches aux piedajfeSto-newall Jackson qni tient.,cdrn�H5.jiroqe Bavez, ses quartier* Lr�n�niui-V>rs.d*1 notre atteinte depuis lougtetnpfi.-^Et toi. mon cher (Jltvier, je me permettrai de babiller un peu avec toi. sijr les petitsatratag�mea qnenonti inventions pour all�ger lus..fatiguai et le* peines do la marche ; nous marchons en escadrons, et vers midi, moi et quelques cont'r�ro? aus�i bojw ap�tre* qno ron pei-t t'rere, iions nou"s~d�s�ns inaladee.'et Io chirurgien uou� on--"voie de l'avaut car les trains. LVx;-p�dieot r�iiftsit assez bien, et en ar-. rivant an ]H)8te on doit, b�vonacqa�r pour la nuit le c�rpt. d'arm�e, nous courone d'une maison �-l'autre, Je fusil au. bras, et nous prenons notre air le plus m�chant et le plus rev�che via-�-vis des femmes qui sont stuh"�s partout, leur .commandant de-noua don iierdu pain, du beurre et du fromage, et pa.rfvit> uus�i nous aimo��� � y ioiu-dredu miel ; il faut bieu qnrhjue-petiten-dnueeurs pour 'ces panvras iti-Talides !
Depuis uia derni�re, tru�'s du nos bless�* ont succomb� � Ion re- 5 easu-re> ; notre vaillant Colonel, mou auii T. Barrette et un antre dont f ignore
le nom.......
Nous venons de recevoir la nouvelle que la derni�re malle a �t� captur�e sur le L-hemiu de T�erryville o� j'ni trouv� le M courant, ta lettre ilu 15 Septembre.
.......lin marchand est venu
ce matin voler i'argent des soldats : il nous a-vendu des luttes $12 et $14 par paire, et Ju tabac '$4' par liYre. il m'a chiug� 7.' cents pour-une livre de �iVutii�ge et une livre de i_rakers ; le frojnagf hier� qu** m�diocre'
cjue cc'ni que j'ai habitude de manger, m'a cji�t� plus cher qne jene l'ai
i Mi-soiiri. Autant que 1 on ]jeut en deviner' cependant, la bataille airait dur� dons jours. I� premier, samedi, f�d�raux uurdieut �choua dans l'-!ir Htta-|ue et auraient �t^,-i.ntr�iHtr, d- regagner (f-b reiran cheiUcuts de Kaiibas City, f/? Icndc* main, dimanche, lus forces unionic-reti combin�es de Curtif*. de Itlunt et de ��ster se seraient r�unw �uria route de WeBtp�rt,,�v;�nq mi�l�ri en ;iv,-mt de Katirto C�i v **t anraieni attaqu� d� front I ariji�u de l*ri�ev pendant qtic'Pleasiiiilou, accouru de 1 e^tde , ... l'Etat avec ta cavalerie, lachargra�t ^1 ],par derri�re. Le* i^nf�d�r�* auraient | l�ch^ pied -ou* ce donble choc et ^e �eraieui unfnib ep d�sordres dans la diruct�ou dtrsud_cueBt- lam-saiit 'e terrain jonch� de ^nra moite et de lenrt bU^s�s. Jjh perte, des lui�Mfl�stes aurait �t� insignifiante, celle des s�paratist/a �norme. Pri�e se trouverait actueUeme�t�20 milles
snd du chsmd de bataille, vigou reusement poursuivi par la (avfuerie f�d�rale, suivie de pr�? ellem�mi1 pnr hinfantene.^
(X* deta�lr .unt, nous le .r�p�tons, le - r�sflRat �le fanalyse aossi claire que possibleTde d�p�ches non officielles, aussi t^tecures que les r�ponses des-anciens oracles. Il faut donc.attendre let rapporte de* g�n�raux engag�s avant ne fie niire une opinion quelconque-
. Aucnqe nouvelle n'est venue jeter quelque lumi�re sur la situation militaire en Georgie,oa miens-dire dans l'AIabar�a septentrional, on rarin�� de lb"Mid "est :sii'pp�a�� �tre .an ce iii�-nient. Qne'ques renseignement? de contrebande insinuent que Sherman fera parler de lui aw.nt pen. il nia-n�uvr^,dit-on,ponr <nq>�clier l'arm�e de ITood d'op�rer �a jutieti�n avec le� nombreux renforts qui se portent de tous c�t�s � un point de rendez-vous sito� sur le Tennessee, Outre le corps de B�tes q ue l'on signale dans les environs de Gunter** Landing, I>ick Taylor est parti de Mobile avec � U'ux divisions, et J. G. Walkcr a travers� avec une autre le Mississippi et se dirige rapidement sur Florence. Si en etfet Sherman ne se liAte pas d'attaquer Hood avant qn'i! ait �t� ralli� par ce? renfort*, il w trouvera bient�t en facu d'une futve combin�e consid�rable q't�. men�e au combat par Beauregard. [tourrait non seulement lui ravir ses conqu�tes pass�es, mais aussi compromettre !a s-urrt� du Tennessee bii-mcm'_'.
"Il se continue que les conf�d�r�s se r�organisent � quelques milles au snd de Harrisbarg et sr pr�pareuf � reprendre. FGffen�TTfc.
I)es avis de Charleston du Jti, |H*r-tent que les g�n�saux Hardeeet Kos-teront respectivement abandonn� le cruel syst�me d'exposition ries priso nier�, au feu des batteries. Ij'initia-tive est venue du g�n�ral conf�tl�re. Le si�ge, qui en est -� son 463�uie de-iJ^11"* ^ut�iic^ ?ati5. indden.t remar: i [qnable.
�?mblt:m�fiit do lurent �lnu* ie vcinritagi l Montagne. It� ni'.-uvertieiil -le ribra-vituhWtl vtrjir rie l'fjflcill (�i preitil�n
faibl- c:
ii�croQt'es Les houime dan. Ie>. chtmtff ont rvn
-Ui, journal 'fe l.irer^unt itous apprend que It m�|... �iinral -.lame- (.indov duit repre.d;e Imm�*-m� ..-nmwtan.ni e� ,;�
pay�
(�f-idrul de- Kuu- (un.
�ombr.
�ham. ! Loui
�<jl'f de New York .joutEeut ce qui suri"--re Tiens de montrer ... pilau.e de rail
���� '�mi <ln"i �� � '-1 de r,iMguv
I ore i .i �,,1-il y � j, . .... llal�� ,jc rcV�s'�t,.Sri"''1"'rrl! "' h'e',"'1'IJe"' "
' lu
(ou de. pr'paran� ��� .,-7; guerre de-
d.Tei eiico:e "Ton. les
'r.cleurs, sur la f'ivde. nul'
lier �clair�s par le lii er Ion y iravailie
pus
_ 1. y a en A ; ijlnterre sur iuu .�fltOO0
Jui �, el �i y a. dam. I.-. Ptirlerue
Juifs qui tepr�se n�s ansla�t.
II y �. 2,000,000 de catlioli-
Hue eu Angleterre tl le Pariera
pie qti i.n seul cal nlupie iepr �niant un"
de ce? soldats \ il lear rournil qi�p de-le* spolient aiitsi qp� lenr- enfant, 1 lear enR-ve tons les entante mil�, i�e le plus Tendre pour las eiivoyer gainioon^ miliia:ri.,�, poaf y �tre M.M p^nr;J*Enn�e. I! J a �MW.M�O.sol-
drcoLiv^ri un pnjLi
tao lit-iiiile : : annoite�xt ir qne Lent; econf�d�rw rdre'dti jour
lu Virginie......, . . .
Ma ch�re petite Julie, j'ai pour toi j �
une bien belle petite inoutre, aui lu'u Nous itson- 'ians i �t� donn�e par nn de mes amis qni | C'e*t � tort un'm est mort sur Io champ de bataille ;, ^ Suown wn\ lv .� l'AiyreMte la portera quand je serw itmt ���,�.,��,.( rendu �^aahington :'mais il l'aut ; je (a <i'lenH.'�t�. >-quetn prie� ponrqne Dieu me fa�e I KprCisilt ' )on^,
bi gr�ce de te revoir ahn de te parler mon j ^sUt(. ic u
du bon ami qui me la b-uee eu stnret> mif je � h!cs5ure qu-;| mourant.�Adieu ! � � - �
Eerivez-moi sans d�lai !
Veuillez agr�er ehors parents l'cx pression de mou plus profond d�vouement filial et de ma pins vive affet-tion.
Votre fils toujours soumis
P. �hwb.^ SWt I� chez vous, nn joli journal- rmrrcwt. que tous nommez le Courner ifOt-Iokii, qni utc ferai! t,|a5 de plui�ir � recevoir, que les Conrriers de roal-Iteur du bonliommc Ahr. notre vieoi souverain .' .' .' Saint.
S. I�
re�u en mai dernier de Freilenekslrni^r. a repris le cons-1 mandemenr oe -en nu-ps -d'anne*. | eantonn-^ � Perershurs. '
Le rapprit �mcir4 un g�n�ral Ear Iv ?ur la bataille de fiedar Creek dit- , 1�re peu de celui de Shei�dan quant j au r�sultai d� la journ�e. H maintient | le tiluttre der^ perte? dos eoaf�rf�raa. � i 4tv,VM-we t.Vtfecimr�t5?I�|Ba^a-g:-d�raui sont eatitn�w ^jtr, chiffre beaucoup pins �lev�. '
lise eonSt-nc que le� couf�der�s I "" ,rt'yr�;niM:.iit a quelques mille� an pr�parent '
enelle. reutermaul
snd de Harrisonbu. reprendre i'nSearfy
<>n lit dans le Monde : . ' Xons crovons. certes, p. I-"�^�T" ">'�ne foi ^ J'f� '�
Faits Divera
y rets.
.IWjrvws-.tucj.i'Oli� Mirait- : T.nr-nt... , ��-, �trang�res, mai� n'a- iLJ'"i c'^^-.-il pa�-er>..trup faeiietneat. n t� hi -% -vante italien j �t nIefi . I
craindre que la . P85 " ! n'-1^ Litue-UooTmear Mclk,nr,eil �� <a
.'iiyenhon du 13 |�.��ac�di* I. maaiM Am^A
Canal ftianbaitiou� ; IU y partie de leur ba^e.
l'eieeution de
si la convention n existait , 7, i sacri�ces la presse r�\*t\^a^\A���'�J* pr�tend bien qu on ne les fera Ceuf�d�ri, r�fu ncert. m�me quand ils deviendraient n�ceZ un bateau �� stures pour sauver l'honneur de notre i00!?-
itm-e, mais les catholiques seront ' te� ^ j, ?u!t ^."^ujainne..
�- �H t-_.., i AI�Dir�til, qu� l^, l'waill �aient bni- J iu dans te Be�ahar-
en droit do les r�c'amen ne valait il pas mieux ne pas donuer aux r�volutionnaires ce* esp�rances et anx ea-thol�qnu ��^nqni�tndes,qni ne peu vent en n'en eontribneraa r�tabliKe-ment et � la consolidation de la paix en Europe
AltmZ. 1�<ne*.Je vapeur am�ricain 0aa>mos"� T,au>t U'I^detuburB, �tait ,,� ftl�ie, cp?.' b*�"0 o^e-l- Le L., t'vn Imuree d?*""" d*r1' le mf m' t�mp� ' m��pirrinla'^n,'d'' en leu,
'A. .rail � b��7 �� �? '�m- U.lla-�Ml tu� echipp�, �? 10 P��M(ti>r� qui qnoiqu'iTO ;bmacou� �t t*WW.-'A H<xlaf.am;<m fut nblictTu:u.h*> P�ir I