Ottawa tE-C.) .4 Korombre 1S64,
Jfl bol* con*tUuiJt^}o pendant lie* g�u�ratiPIis � woir-f dm e.Tp!orai.tm* ��o�QjtS�ae* I'�it* tenee de riotwwe* min�rales launniKi, et la d^raloppament �raoaei des communications pu cbtsnia de fur, ajouta aux magni-fiqan commanication� par a** qae fournis-�pat les l�oa et 1b Saint-Laur�at, doarwr� d*t moy�M faoSItt� �> irftajportiirtaaj mi ptodaib Battrai* � un mueti� anaUgeos.
"Lot ijwnrao� d'�tal de l'Am�riqaa Bri� Uniiiqne du Nord, moyant a IVrttmr d'ub pars uhs� rarorife, ont Con�a la grand� id*8 . u un* coniM�rahon. lia d�airwnt jeter les fondement�.d'one nation : mai� ila d�afraol aaft*i�et c'tul l� la rrata.jcMifi&uion im p�riile ds lent projet,�que cette pation -d� ^��K>.i^^^W4wBa-laa-filirt -itroil* Alt (irands-Bretasne. En d'autns mois, tl� a'oat wroiio-dSsii de � r�parer : ils d�firent plut�t en accro�nant leur propre fgrce, devenir de� membre� plus dig�wa d* l'Etat oea-
" A celte fin, Itinrs prinoipaox citoyens te moi riunii ; el ce inoav�rnent est tellement �loign� d'avoir des tendance� s�paratistes, qu'il w�Hljil y * doux an�, renooaragepBDt. affloieTdng�uTameiMQt tiuptrUl. Ajoutoni t m /ait la circonstance �gale �i^ai&ctt.vr In officiels de� proriacea et l'amiral de
s!e�P
I*qoeir
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* oh In officiels de� promu * � Ta flotte anglame de la station sja�ricaii .. ; ao�t jointe dans les proc�d�s r�cents, : 7�mde aa�ie que l'objet de ce mai
�at tel 1� n�ere p�t*ia aooperw* oordisJi ment avec eee htoraax �ofahu de l'antre ci ^l t� de l'Auant�qqe.
^ *' L'on peut diio peut-�tre, (jartorjt les IhearHnens qm nwaifeateot aimablement ^r4>7-^ dfoir de vmr le damambremeat du pli ^rXtT- grand empire que le monde ait jamais � '. Oflooa,) l*oa peut dire peut-etro qae le� colonie! ne eetont pas plus fartes qnand elles orront unies qu'elles ne le uoti� h pr�sent �i v que Jeu force r�elle ne sera pas Bogmeoice -.^i p*r Je aimple lait de leur amalgame, et rg�: (jti'oob telle conf�d�ratioa serait plus propre : v a jeter te pjavemer�ent imp�rial dans des complications hcatlle*, ^ue ne la pourraient r~-^- Im provinces m elles restaient s�par�es.
ii'erreur,-�ou plut�t Vone de� erreurs, qui se --, troorent dans cette mani�re d'argumenter, _cottaiste � ne pan voir lu fait .one, sons parrangenient propos�e, .Am�nera* Bnfanqi-h^: que do Word deviendrait pratiqnement une � wstJoo [ et qae. avec or� organisation na-��<i twoaie et au aiige ceunal de gouvernement |- d en surgir� ane force essentiellement dif-.. � lereaie et de beaucoup sup�rieure h ce qui ; �X --" maintenant n'est qae laleat �'" '"Ce aerBqwlqne chose que d' ' - u tojmi d'up tel Bat, " a. 'lit lepcesidant du u, oonaeC cuudien i et daas rexpreseion me' me de ces mots, nou� vnyon� anepr�phetw aur l'esprit patrioUqqe qu'inspirera le ' pan---'�A pi* ttli�t et lui donnera une hante id�e de
*' Il eet malbcureceemeot vrai qoe. des -. h jalousies (ocalc* existent j rr.ais la meilleur ���� mani�re de le� �carter, est la oonvocatioi d'ooe l�giolatnre vraiiiept oatioaale. U� ��nom�epol��que des quelque derni�res an - n*t* noua a d�montr� qae sur une grandi t '� �chelle, l'iot�r�t du' tous est aussi I int�r�t 1 du particoliei, et m�me, dans desmati�r purement oomm��iaIes,-lR tendance d'� tau> union serait de ptimoavoir la prospeT� qeniiale par l'abrogation de restrictions pro-�tooiafc� vex&loires. " Mais laissant la pour le moment, cas <. questions de finan�as, et envisageant [es . consideranons politique* plas (lev�es qui e^peerrifoeWa�rement l'esprit pabli� en
lj* MIMMB. UUUB �MX. J�Bt K tAmULbOtk
d'an tel fourememew la meilleure jarantio centra toute agreasloa �trang�re- If est . possible que qaelqiiej Canadiens pr�f�reraient nne itroocporatr�n � la partie nord des 1 oi-devani Etats Unie ; mais i- nombre eu eet peneoo�dcrablefet la fonciion d�lay-- ebte �rut desuite an�antie et balay�e par la cr�atioti de ta noorelle conf�d�rtu�on. Noua ne devooi pas oublier qae, quelque changement qui paisse aurTenir dans la pulitiqm am�ricaint, la x.im en force de la dociroi
fo� que (a n�c�K�it� l'aide fralamallft de tante�lsu Ainsi, par tout le monde la bonni eau** de ta hbertf,�tiben� de pen<w liou, de parole, de comm�re�,�au m�ss�oopi�re z�l� es Unpe de paix, champion en temps de pierre, on diasemio� snr les divers CoatjDenl Jee milliers d*�|w. mais li� fln-emble par lea'hbblv liens-d'yrie amiti� mutuelle, dT fid�lit� aux insiitutions qu'il appraav
loyaut� A un troue dom les pr�ro^a-t par le fait d*
* lui advi
i. G. Dorion ledaetenr
VENDREDI, 4 NOVEMBRE.
paru
bolools ooxmu�. L� mieax � faire d iQccrporar lei prnvineei t>ntaaniqnex en ; une nldoj blil� complets et de proclamer de �unique nous r�^ar.(otts celte f.meu�ii don-trine c�rame nue iuxdente menace � la-Qetllo doux noos tenons pr�ta � r�sister par u force des arme^
** Croyant ferrriemeut que'le projet serait imnerra�raent a�i�jiageu* aa� colon
� meat acceptable au gouvernement imp�rial. . fellM que Itw cliure� eu e.riu, TAngletortf teoue de prot�ger chaque acre de pou sol, qae ce sait -url Indus, le Mu'fy, le St. Laurent, <H1 la Tami�e. Sans doute, la renpou-- oabili� eid grand j ; *am doute, l'�urre es ardue; mon le deToir exnte. Le metlieui moyen de l'all�ger, est d'io�iler les colonie] fillee m�mes � prendre des mesuras poul litir propre d�fense, leur donnant l'^sanr-. auce que toutes 1rs fois que le fardeau leu a�ra trop lourd; toutes lesfois q_ue lo^tiani�e i trop tirleax, l'empire britannique leui
aux suustiqoes dei
i\ y a5o ans; que l'o
ont combirri de cil�s surgi dans des 1 �< . d�serts er inco'le^^ae l'on calcule aTec r - ma ta propurttoo de ces piu^rres, et I Terra que par tout la menue, la �raude, l'indomptable et la loyali
gletse der�nt dominantl
ua�auroiISnlenT'u de mftt�nw us�s ; mais awee une politique -Mfr* ft mod�r�e, cnaqne paaseasion britani-. r^ue ysMit dwrmurer li�e h. ta mf*t�putric par
HeurruaeraeQt 1
jour est [
np�rral drtrr
1 affpctiun d1 . 4ant les a.(Lurea intenenres (Vs pay-qne_di^tanc* de tnUle millet Kuus aTcus adopte maintenant un maiu lisr fy*t�uH.. Nocw pourons perm-ttre a l A isiraire, pn t auadn el a tuntes lesauirr-s ^H^�njlJM. de-yjJET. i les-pr�pTe!) a.rfaires. Co�t t-n " les ro^'i�^ �� jH/t/voiv Vilauique qu'il y a mena�a de la part
Les d�l�gu�s des Provinces Maritimes sont arriv�s en cette ville lundi soir � six heures, par le, vapeur " Queen Victoria "� Grand nombre de nos premiers citoyens, les membres du Conseil de Ville^ios compagnies de pompiers, portant-chacun d'eax nn flambeau.itll�reut uu devant d'eus et sdo�rent leur arriv�e par des kourrahs r�p�t�s- Le corps de musique de^ la Compagnie Bideau joua plusieurs morceaux du quai � l'H�tel Eussell en t�te de cette processionorganis�e eu tout h�te. En passant tur le Pont Sappers, les visiteurs ont pu lire en grosses lettres �crites sur l'arche " Welcome to the Visitors " Arriv� 4 J'h�tel Russell, l'hoa J: A, McDonnid adressa l'assernuK-e/t dit qu'il �tait heureux de rencon trer les citoyens de cette ville. L les remercia de la r�ception qu'on venait de leur faire : il avait le plaisir a-t-il ajout� de leur annoncer qu'Ottawa avait �t� choisi pour la capitale f�d�rale par les membres de la Conf�rence,
Cette nouvelle fat re�u au milieu des acclamations de la foule 1,'Hon. Dr, Tupper, premier du cabinet de la Nouvelle-Ecosse, fut alors pr�sente par Son Hon neror Je- MaurWe Jar-rillc: I/Ho-norable Monsieur fit uu long et �loquent discours. Il annon�a que les d�l�gu�s apr�s avoir donn� beaucoup de temps et beaucoup d'attention ils avaient enfin trouv� des moyens aussi simples que puissants pour r�gler - ces questions communes il tons,en �tablissant une union comme nous en voulons, non pas nne masse de colonies r�unies par le lien d'une d�fiance commune, mais ayant pour base la confiance mutuelle.
L'Hofc. Monsieur fit donc conna�tre au public, les avantages de la Conf�d�ration projet�e.
Apr�s quoi le maire proposa trois hourras en l'honnenr de Sa Gracieuse Majest� et la bande joua l'air God aaoe the Queen et la foule se dispersa.
Voici les noms des d�l�gu�s et de ceui qui les accompagnaient : Hon. M. Pope sa dame; Hon, M. Coles sa dame : Hon. M. - Ai-chibald sa dame ,- lion. M. Tup-
r sa darne - Hon- XjjU ?Crrv.v. ;r, Bon, M. Havilana7Hon. M.
ture de la Chambre d'Assembl�e, ies convives au nombre de pr�s de 300 s'assirent autour des ta bles �l�gamment servies et charg�es des mets les plus recherch�s et des vins les pins exquis. Le d�jeimer avait �t� pourvu'par notre entreprenant compatriote, M. Gouin de l'H�tel Russell. Bon nombre de dames �taient �u d�-fenner et rehaussaient par leur pr�sence f�clat de cette f�te.
M. Thomas McGr�evey con-tracteur des B�tisses, occupait le fauteuil de pr�sident, ayant pour vis-�-vis M. Jones de la soci�t� Jones, Haycock et Cie. contr�c-teors des b�tisBes d�partementales.
La bande de M. Gowan, 'joua dans les intervalles.entre chaque ^ant� les^p�us beaux morceaux de son r�pertoire.
Le Pr�sident proposa le premier toast. Il �tait certain que tous ceux qui �taient pr�sents boiraient cette sant� avec plaisir. Il proposa alors : " Aia Reine� Que Dieu la b�nisse"�L'orchestre jopa l'hymne national et la sant� fut bue avec enthousiasme et P, J. Buckley Ecr, chanta sur invitation d'une vois forte et musicale " The Flag that braved a thousand years the Battle and the Breeze "��Cette chanson fut bien applaudie.
Le Vice-Pr�sident proposa la sant� " S. E. le Gouverneur-G�n�ral (applaudissements prolo�i-
r�irle
McDonald, Hon, M. Tilley, Hon M. Stevens. M. Whelan, Hon, M. JolinsUill. Hon. Col, Grey, New-Brunswick ; Hon. M. Fisher, Hon. Mr. Henry, Hon. M, Mc-Cnliy. Hon. M. Dickey, Hon. J. A. McDonald, Hon. M. Cau-chon, C. J. Brydges Eer. MvuSk: -Htm:" fe�tr-rlt:
Le Pr�sident proposa ensuite les Ministres Canadiens de Sa Majest�." L'Hon J. S. McDonald se leva pour r�pondre � cette sant�, mais en cons�quence d'une sition, il ' remercia en quelques mots. L'Hon. M. Galt remercia aussi en son nom et au de sra coll�gnes,qni n'�taient pas pr�sents � cette grande d�monstration en faveur du mouvement actuel,qui a pour b�t l'union f�d�rale de toutes les Provinces.
La sant� suivante fut alors propos�e par M. Clark�" Sos h�tes distingu�s, les d�l�gu�s des Provinces Maritimes."�Les Honorables MM. Whelan, Coles Johnston r�pondirent successive -ment � cette saut�. Les orateurs en cette circonstance n'ajout�rent rien de nouveau sur le sujet de la conf�d�ration, que ce que nous savons d�j� par les journaux. Jamais encore dans l'histoire de l'Am�rique du Nord n'ont �t� soulev�es, ont-ils dit, des ques-sions de cette importance,que depuis des ann�es, les hommes publics des Provinces Maritimes ont caress� l'espoir d'entrer en connexion avec le Canada ; non pas une simple connexion commerciale, mais une connexion politique qui identifierait nos int�r�ts �t .notre. lvien=�trj�y_ JJepui� lors,
JJepuu lor
vmees ont <i.�*irt une union avec le Canad�.
Tous les efforts furent dirig�s en ce sens, tous lesau^. nos l�gislateurs ont tourn� leur attention vers la construction d'un chemin de fer intifcolomal, qui eu liant nos inl�rits plus intimement fe-i rait de nous ^non-senlement des
ajout�, c'est �: ces dorrrier� qu'intinii I* le devoir de donner en ti�cail lt t-irconstancea des d�lb�rations, et i le feront sarj3 dyuto de mani�re eat�sfaire le public. Ce n'eat_paa on qneetiun qui regarde les ministre� d l'oar, n'est une question, qui con'airn les droits'du peapler}.: ee pays.
Telle fut en subtance ou � peu pres.le th�me sur lequel roula les discours des d�l�gu�s. L'un, d-eux nous parla longuement des ressources g�n�rales des. Provinces maritimes.
Une grande partie du la tajpulati�ii a-t-il-dit, a'octaipe _dtw pe�lreriee, et retirent de eea mitiL1� in�puisables de la rner, d'immentif�* iuiyunu de richesses pour le pays A outte carri�re sofit adonn�s nn grand numb're de braves rins, qui, en en dovenant une nation, sanront porter haut le drapeau de l'Angleterre sur cotte noavelle terre. 5Is�8 la p�cheot :a ealturene sont pas les aenla int�r�ts de la Non-ralI�-EcosBa,ear elle poss�de ao grand bre de fabriques, et exporte de ides (faantitea de bois. La�ons-traction des v�isseanx qui entre dans l'indtiptrio des bois donne, �o crois, ni plus fort tonnage, par homme, qotau cuno autre partie dn monde. Je put citer ce fait que parcliaqne homme femme et entant de 'a Nouvelle Ecosse, il ne construit au moins un . Mais laissant do o�t� la culture, la peclieer les bois, il r?3t encjre nne antre source du , richesse sitn�e sur 1er b jrds dojyr.tlantiqne. Tout le long de la c�te se trouvent des mines in�puisables de cette mati�re qui fait vivre riudnstrie dans le monde, le charbon. Cb6 mines ont �t� plac�es par la main de la nature, et les produits sont pr�t� a �tre transport�s chez tous les peuples qni habitent les c�tes do l'Atlantique. Aucun changement dans la position ou les relations sociales ne pent priver J a nouvelle-Ecosse' de cette richesse dont les autres provinces ont besoin, et qu'elles ne peuvent se pro-
La sant� suivante fut propos�e par le Maire M. K, Dickinson : �-''La Prosp�rit� de l'Am�rique Britannique du Nord "�� laquelle r�pondit l'hon. M. Galt, qui � la lin de son discours proposa�"A la sant� du Maire et de la Corporation de la cit� d'Ot tawa ''�-M. Dickmson r�pondit � ce toast
L'Hon. Col J. H. Grey propo. sa en lite A nos h�tes les con-tracteurs des b�tisses du gouvernement''�Cette sant� �tait la derni�re de la soir�e a laquelle r�pondit M. Clark de la soci�t� Jones, Haycock et Clark.
Le soir eut lieu le grand bal aa "British H�tel," eu l'ho; des D�l�gu�s. Qu'il suffise de dire que ce bal a �t� un brillant succ�s. La salle �tait merveilleusement pr�par�e. L'espace nous manque pour donner une longue ription de ce bal ou so trouvait l'�lite del� soci�t�. Nous pu publierons la liste des invit�s dans notre prochain num�ro.
Disons cependant, que la table des rafriehis^ements �tait litt�ralement encombr� des mets et des vins les plus d�licieux et les plus d�licats, le tout fourni par M. G�iMn_de'PHotel Russel-
j^t^viuaut tes d�l�gu�s lais-saientOtiawapar un train sp�cial pour Prescott en route pour Toronto, enchant�s de la cordiale r�ception qu'ils avaient eu dans notre ville-
Les Repr�sentants des CflloDlet,1 Dr Tupper. _______en Conf�rence. ~av�"
T , , , ,,. ! ment ou aucun autre
La (jozetu de Montr�al pubhel]0UrrpnManti8nbtii et etnpimtique>: -la correspondance suivante de |:ponrvu d'un grand tonds d'in&rmaW^^
�Qo�becf^' _ . I J�^.uJ�5J!!�Ki^*' "
Les b�tisse� dn Parlen
� Que
bec .ne �ont remarquables, ni bou* le rapport de�abeant�;ni sous cel�ide la grandenr: Ckmstmit�a poursastifairc � un besoin temporaire, sur les ruines dn noble ch�teau St. Louis,- elles accusent un exp�dient plut�t qu'une jnstice. L'utnbr� d'Ottawa et la d�cision de ta Reine se sont jet�es sur elles d�s le commencement et en ont dimqnu� et amoindri toutes les- proportions. L'architecte lui-m�me a dn comprendre qu'il mettait au joli nn enfant posthume et il aurait pu �crire sur le trontispic� : Ioh�bur Ichahrr / rV* gloire e*t pa&�e !
liais si cette b�tisse en briques trois �tages ne pr�teute rien dans t simplicit� qui puisse frapper l'oeil c l'intelligence, le site sur lequel elle est �leT�e pent rivaliser avec n'importe quel autre dans le inonde. Cog-p� � mi-chemin snr lerocher historique il est impossible de concevoir une position pins dominante. Dau� ces. environs se trouvaient la maison et le jardin, de'Samuel Champlam, le fondateur de la cit�, et pins bas an pied dn "rocher, le dernier envahis seur Richard Momtgomery, est mort le dernier jour de l'ann�e m�morable .de 1776. Au-dessus se montrent cr�neaux de la citadelle le Gilbrator du Nord. La grande batterio �tait les murs m�me, avec ses centaines de cardons monstrenx qui commandent le bassin de Qn�bec, l'Ile d'Orl�am et les hauteurs de la Pointe L�' Du cot�e de la ville,les fl�ehw de t sienrs �glises et l'immense b�tisse l'Universit�-Laval attirent l'attention dn spectateur. Il est presqn'inr possible, n�tts le r�p�tons, de troir ver dans le monde entier, un site plus beau pour un palais national-
Les membres de la conf�rence Internationale se sont assembl�s, le 10 courant dans l'aile de cette �difice domestique, 6i majestueusement entour� et nagu�re occup� par nos re-pr�senu�ts.. La r�union a �t� pins brense qu'on ne s'v attendait. Terre-Xeuve, invit�
ttons et d'un [il sait faire-sent�r son in�ne'u%^-darrs: | toutes les branche� de u'iitipoiite.qlHtt
ependant, �v
sujets^i! n'ob�issait pas
la tentation du sarcasme qui d�truit ;*" J *. 4J?r:." souvent ses meirlears arguments -ta ^Jf�ffi%$��f�' * ses appels les pins chaleureux;
Ses accents et sou ton semblent dire?: qu'U' pouvait faire dutort^'il le voa-i^p luit, et sous ce rapport mms pensons :\/\~. >^'\- V que sa r�putation parmi les sieng"�v '^-^^ est parfaitement �tablie. Mais d'apr�s, 1 A. v ~-^f1>.^ � ^ le ton de conversation qn'avait i&t^i^r^^hti^^-l-Conf�rense, le Docteur n'eut pas.^.^J;^f_ ' d'occasion de montrer la force de .aorif^^^. /. 'l sarcasme. Parmi ses associ�s, le pro.. curcur^��u�rai Ucur� et iLMcCnlIy : . " �: - -^-r^r- -chet de l'oppositian de la Nouvode* : ^^k^^l Ecosse sont pareillement des hommes de talents. Eu compagnie du Dr. . ,T ....i^� .
Tupper, on peut les appeler, ponr"-^ 7:~ ^'^^^-i-^f^y^ employer l'expression d'Alexandre 0amaa " trois hommes forts.". Les , denx derniers" sont bien dones sous Iel~ ~ rapport de l'�ne.-gle, mais la palme revient de droit an chef de l'oppositi- :. on pour la mani�re.claire, pr�.-i�. ot vigonreuse dont-i� manie le raison^7 L nement, , j ;
Si les trois membres que je viens" de nommer ont contribu� � .i..n-her une bonne impression de la d�l�-�� gatton de la Nouvelle Ecosse, nons -devons dire que MM%. Archibaid et Dickey en ont laiss� une encore pjui : agr�nii�e sous le rapport de laperlec-" tion. Dans la mani�re de discuter,- -M. Archibaid n'a pas de sup�rienr .-t. � peine un �gal. Son �locution facile,-son ton mielleux peuvent �tre perdus ou do pen de valeur dans une assem-'.V ; bl�e populaire, mais dans une cont�- - : ren�e do ses pairs ils sont d'un effet: . admirable. Avec un semblable, nndi-toire, on toute tentative de faire de -
a envoy�- leux d�l�gu�s ; la : i cause de sa proi lie-Ecosse �tait repr�sent�e j obligations pnWics,
L"Hoq.�M, Isaac Buchanan, le d�put� de Hamilton, a �t� infor-
heur, Not
par cinq membres, l'�le du' Pi Edouard par sept, le X�nvean-Brnns1 ic�c par le m�me nombre et le Canada, par tons les membry de son C�rtseir Ex�cutif, donnant en tout une conf�rence de trente-trois membres. Un photographe de la vill� a repr�sent� toute l'Assembl�e sur cartes, mais un croquis � la plume sera peut-�tre lu avec plaisir par les lecteurs �loign�s.
La chambre de la conf�rence, ri-devant la salle de lecture du Conseil L�gislatif, avait �t�. pour Toceason, meubl�e avec go�t, quoique avec simplicit�.
Une tab'e longue, �troite, couverte d'nn tapis cramoisi encombr�e de papeteries, statats,brochnre3 et livres
toute tentat� l'effet serait ma) vu, le geste caltite de iL Archibaid. sa voix, qui ne fait entendre que l'harmonie et les bons rapporte, s'insinuaient insoiisi-b'ement dans l'intelligence do chacun" Si^ c'�tait l� de l'art c'�tait de l'art tr�s �lev�, mais nous sommes port�s': � croire qae ces dispos rions retnar-' Iquables wint naturelles � l'homnicet' j qu'elles jwiraissent avec "plus d'�clatl
NOUVELLES �OCALES.
NT7H�S OTAGE
Nous aprenons avec plaisir quTil va actnelleuient liana nutre ville, un. peintre venant de JImitr�al. qui soT cltarge ponr qnelqnes cents ?eiiluinen� " d'apposer les, num�ros �nr les in�i-/ �voLu, et qn'un grand tininbre de ci�_: tovens se sont d�j� pr�valus d� cette-occasion pour lui donner leurs coiuj-m an des. Il est � esp�rer qne cet ex- . emple serasniri partons lea propri�^r taires de cette vilte, et qae chacna._ s'empres�erad'orner le front de sa r�-t�denc� de cet objet indispensable � rbarmunio de nos me�, et
d'autorit�, .wapait � centre de a.' d'ffi�l qne pr�senta l'ensemble chambre� laissant de chaqne c�t�, i leurs constmetiona. Depuis proa da
jnttte assez d'espace pour les si�ges d� d�l�^u�rj. Le fauteuil occupait le centre comme dans un d�ner :.� l'ucc'dr^ extnm�t�*, �tait wsii Pmv bile chef du Xuuveau-Brnnawick et � l'autre celui de llledu Prince Edouard. Le pr�sident. Sir Etienne Paschal Tach�, semblait avair �t�
deux anubeii,nous i p�& en diff�rentoa c porta��t sujet,esp�rant que notre con- . 8eil municipal en prendrait l'initia- -tive, et se ferait une obligation d'ert-fairo pouranivre rei�cn�on ; mai* il parait que no� suggestions �taient ir-, r�alisables pour ce corps �minemment j
form�e, par la natnre et l'experienie .�conome, et qae son sil�ne* �tait la
le peste qu'il oceupa�t. Cfest uu ancien'aoldat et un parfait gentilhomme qne l'on peut appeler, e bon droit, 'e Sir Boyer de Cootrlty du Canada. Sons un luxe de mani�res, trop souvent rare � eet �ge, IL Tach� eacne on fen latent et une volont� de caract�re qni montre combien cet homme devait poss�der de feu dani ta je
�-vi� ee troniment les
Il avait a
six autres membre* du Consoil Ki�-ectif do Canada; M. Brown entre MIL McDouffail etMowatt, avant � droite � irauebe iTM. l^j�iburn, L;\j^eviij et Cbapais- Le haut bout de la table �tait occup� par le* membres dn Nouveau Brnnawick et de la N�avelI�-Ecos6#T et l'autre extr�mit� par cens de T�Ie du Prince Edouard et de Terre-Neuve. Les quatre ucr�-�ains" prcvir.-^tcsi, MM. T^p^er, m�^parjPh�n- prc^ur�ur-ff�neral TUlej. ilcDougall et Pope �taient
irie le nouille v<xifeJ�ration. Il r a une fouie de sujets snr I�^iogit� if sor&it primaiur�- Je di�cuter, lei Ira qae ici. bHKA d� rsprcdtJlBtJijn, rsjiiflltfment de la Uzation, iti da gwjvfjniomani Cl Io? rclalitHis du
compte ; 0* n'ont f** essay� da fruitier e oat�on tans consid�rer tous les Jan^n" rqaeb elle serait eipce�- d*r� �n ��tlfarj-
' N�m leur roeba�tons donc c�rdtaleraeni bqcw�. S'il� r�o�suscnt, ils ttarooLriindtj Qohtewmco � tant ' l'erop�m. Cbaquo ru# rtpfci^rrioot, taifiam (�co boQn�lernr�nl m propres difficult�s de mimn qu'� sv
wrig�i� JIoii, �ngus Graat, Mojtt-r�a! ; M- Habertasi Qu�bet: -Dlle. Grey, Dlle. Archibaid,deux DlleR Stevens, Dlle. (irey et deux Di'es Fisher.
Mardi nntiii, nos h�tes distingu� visit�rent les b�tisaes ptibli-quea, et le� diff�rents lieus les ploa int�ressants de la ville accompagn�s de Son Honneur le Ma�re_ A deux heures P M. avait lieu le d�jeune* donn� par les coatracteure des b�tisses publiques dans la galerie de pe�n-
fr�re. On sait, a dit M. (U comment la proposition d'accomplir une connexion g �t� re�u chez nous, et avec quelle vive satisfaction elle fut accueillie.
^ Les hommes d'Etat Canadiens plac�rent devant )e peuple des Pro-nnees Atlantiques des raisons si claires, si simples et si logiques, pour miUiter en favenrde cette couBox�un qne les hommes d'Etat de ces Proi rinces n'h�sit�rent pas nn instant � provoquer l'attention snr te sujet et a mettre la chose devant IVura gouvernements respectifs. Il en est r�-3U.lt� que des d�l�gu�s des Provinces d*en bu sont venus � Qu�bec pour
MucDonald, que les D�l�gu�s, vu L�potjue avanc�e de In saison ne pourront accepter l'invitation qni leur a �t� faite par la ville de IlamiltOH, Toronto devant �tre leur derni�re �tale.
Le CoL Jervo�s, nomm� par le gouvernement Imp�rial pour faire un rapport sur les d�fenses du Canada, a visit� Toronto, ces jour� derniers, On pense que ses observations auront pour effet de mire �riger des travaux de d�fense autour de la tille.
i-har^p �tait pratiquement reaiplie par jf. Hewitt Bernard, premier clerogcn loi pour le Haut4'aaada, qui avait � sa disposition nu pupitre dans on angle do li chambre.
Il serait peut-�tre ennnyeuxde parler des membres Canadiens. Pre�-qn� tons sont connus de leurs concitoyens par leur� ant�c�dent� et pour s'�tre montr�* en public Une- conrte description des d�l�gu�s des antres provinces ne donnera lien � auenoe objection de ce genre sons ie rapport dn bon gtt�t.
De tout lea d�leg�^^ ceui qui ont pris la part plu� grande et la plus constant* dans 'es travaux de U
f�rence sont ?aile - Seo�M.
Ueur accueil qoe l'on pouvait en faire. Nous engageons donc tous cenxqui ont � c�ur le.progr�s et l'a- �. van cernent de notre ville, de s*?_r�ater � Je profiter de l'occasion qui se pr�' sente de faire nu a�roterleure maisons ^ Ce qne la corporation n'a pas trotivA^ > urgent de faire dans l'int�r�t et l'en- � jolivementdo la ville, le? particuliers, jl fa"* i'-� - - �~
�Nous avons assist�, mercredi dernier � une op�ration chinigical� � ITiopital anglais, faite surlajambo d'un nomm� lienry Mathewa par 1� Dr. J. A, Grant Depui� pr�s de treize ans Mathewa souffrait hor-riajien�ent au genou. "
Toutes lea applications afin de le Boo^ager furent vaines et inutiles, et ' il comprit qo'il fidlait mieux subir � uneop�ration que de vivre ai nsi>ian� - , � de pareilles souffranceii. Ije Dr.limnt -I voyant que le si�ge de la maladie �tait �ans la fat�h j[ro�ui�) enit devgir . 4s^:^Etnw^5,"i' n"�.^d'iiir*l �t-ment bien mercredi, �s�i�t� de� Docteurs IIilL,"Grant er. iTcDonnid. Me- ~ : G:llivry, St|Jean Dorioc. T-a nituleest un os p'at. cvurt. �pais, rond, situ� � la psnio ant�rieur du genon, d�velopp� dans le tendon des estensenrs- �^r�s-an eiameu mc-nit^ux de cet �Anuus aTon� remar-qn� qu'il �rariren�s�t � devenir pr�t � se gangr�ner.l Cette op�ration qui �Stitr�s difEtlie �. �t� faite en l'espace de vingt rn�nnces,
�Depuis que notre chemin de fer ne fonctionne pi�s, le commerce �otif-fro horriblement ici.
Les marchanda qni ittenJeur de la marchandise de l'Ouest sont oblice?'
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cenxde la N�ff- j de la faire venir par Montr�al �n L�ur chef, lo voici un exompla�Il y a quinf�
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