M,-
4r
*1.
LE 'COUliltlEK- lTOtJ�A.O.UAtS
� Stir lo boulevard Haint-Penis, let de remise avait failli ren
- la � chavwF d'o.liv:. bourgeo:?
dViillou'JOtnre
Le Courtier �'tfliitnouais.
MEUCREpI, 20 .�AXVIEI�,.dSTO.
�Monsieur, jo suis conservateur 1
', je sui3~progre^sL-<tn, Je suis pour lo progr�s en tout et pointons,, tandis, que vous Aiurrs conservateurs, voyoi lo danger que lorsqu'il. m unW'bto i vos y�ux] et avec votre tyv-t�ine J.' reconna�tre l'inutilit� dus r�for-proviM]u07, l'�tat de choses actuelles, A savoir l'inqui�tude, le trouble, rmcertitn'lo, et que sais ompromot lo repos public !. �
�Mais, monsieur, voua dites que vous ."�tes progressiste, jo vouiorL� ; n�anmoins, .' penne ttesi-tnoi de Vous dire que co sont les j> rqgressistea qui compromettent la soci�t� uv�c leurs nouvelles doctrines remplies - phrases astucieuses et criminelles ?
�Kossurcz-vous, *jo suis l"b�njme du progr�s; ce qui est peut-�tre diff�rent: que d'�tre progrossist�.
�Pour Ion*, l'iionimo du progr�s d'�� ' pr�s votre r�ponse, peut n'�tre pas un progressiste ? Voibl une. diff�rence que je : voudrais conna�tra de votre bouche,
�fit est facile d� vous satisfaire. Un homme, de progr�s est celni qui travaille "pour lo blon-�tro do la ration ;- ce bien-7 �tre, pour lui, ne peut s'acqu�rir qu'au prix d'une parfaite tranqu�l�t� ; il ne d�->ire que lo calme dans la grande famille. ^'on but avou� est l'admission de r�formes qui s harmonisent avec les aspirai peuple sans rien brusquer dims lc= r. uoges politiques d�_ l'Etat. L'h >mm � du progr�s veut do l'action dans las faits et dos paroles ou lieu et place do-, fait"; il ji'impjise paa sa Volont� au souver.iiu, il ue fait que formuler i+os d�sirs bas�s eut les ^_�eo�site3 du moTient aius jamais vouloir onfreindre la loi. ...
�, �Mais, monsieur, d'apr�s votre langage voua n'�tes donc point prbgresB Ld.a 7 \ �Pomicttez, ver ma d�finition. Lo pnigri tout co que je
c cotte diff�rence, que lo progress marcho � la voix d'un chef ; ce�ni-ej o programme dont les divers sujets fc h contre li dvcUion <>
gouvernement.
un progressiste, vous �tes nn eocidif-tc, le socialismo marche toujours /* la -\ d'un et uifmo do plusieurs chcls .... ne voua comprends plu
�Monsieur, no vou� emportei pa; �optez plut�t m menti pour m'avoir oblig� da q�io jo commettais un�; erreur en me pr�sentant a v.� yeux comme an progrei jo suis, pour voua siiti? . te u-progwt.'ff i -' t o,
-Un woiriwvataur
langue--, nos lois � H condition qu'on gui dispos� � am�liorer I des populations laborieuses, � pr_ r l'action agricole et l'activit� mi mifacturi�re ? . �Ma�s,
gouv
^ndition
] | Qn�lle i�gr�*U� haf�p�ci.ve
-Motiaic'tjr, _�f_:I> _fo�3_i �os� soeiale. Vous m'avez tl.it �|>orco
l'homme do progr� vu lo^f-tit1 progressiste, il y avait une grundu distance,
>�x!,etU senit � d�sirer .pu plus d'uu
| comprit v^tre' d�finition. Soyons fc.us �ateurs-progressissistes pour le bon-j beur �les peuples.
LE CONCEKT PE DIMANCHE-
a manquent* de eharit. Ixtl�rie, bazar, concert, U.UL est encourag�, iipporto au tronc des pauvres
>oint-do mendiants dans Ie__ rue*. .Noua Hv�us dos pauvres, cepiii>biit,-niuia ils sont divis�a en deux orphelins
courante.
i prnptwmi
ient totendui I plusieurs ooups de feu, mais ils s'�taient-j J^r�se ML-^onde ; "iiuag^� qu'il� �lAu^Dt lir�a jur dtabuisu. C�ftev, li-� "p�titions doTHi��y: C.'\-'\ cil g..gnettp. I� jh;it;u, en voyant quo lti John �s'ull.vun, ./ohu Kegai% F�lix ) ntagus.u reaturt ferm�, et que personne n� I -ot les �oniptys-de itanit-s Clarke, A^i-t�ptantiit �ux spuela^venint du ilfhtn-s, .ufi.IV/.. UiT.l.io. Dr. �*t. Jrsu, Jnmes Jovnt, K. ; coii�iitdes soup�ons. Efesrecuercl.es fuient | �ISlUsitiy et Jolm (.rKeaflb oui vie K-f�l�si; voiumeuc�esSM a "
au comit� des FU
Sur la proposition d� T. W. Peacliy te- j do la imit-n. h-H cadavn cond� par .1. Lnroie, le rapport des ;ui.l�- | Les deux Italun� gt-aie
L'on .venait do bro, - l'Ut re�u.-otj Mexicains *-t le negrv �taxnt un peu j)lu clas.se." i i loin, je t�s l'un-sur Ta" '
Sur la proposition dp f, W- Peachyi_se- | ie�:i>uigi.eta attach�s avec des cordes.
:� annuelle dont bien des villes plus
edlanls rmdadi
i de . charit�s
La conf�rence de Saint-Vincent do Paul ut doiiL' principtilcnicnl les nmllicu-ncapables de se sintire � eux-m�mei parle travail- C'est la bonne elarit�, la toulo approtivable et la population d'Otta^
Pimancbe soir, dans la spacieuse salle l'Institut canadien-fran�ais, U foule �tait tellement nombreuse que h* d arrivants durent so contenter da se terni debout pour �couter le concert que Ii ch�ur" de l'�glise Saint-Joseph amateurs de auspices de la Coi Pr�par� en huit jour?,
^ qui ont eu le pli
de l'entendre, ment des choeurs�toujours difficiles � ex�cuter-^-o"nt �t� r�ussis comme ce soir-la. Ensemble,''bonne disposition des Vuix et confiance g�n�rale parmi les chanteurs, telles sont, croyOna-nous, les
Vo�ci la list� de; donnons gramme
Le d�part dts Chisse^ d'hommes�''Les gomloli�r�s de Venis* folo, duo et ch�ur par Melles. Placidie H�l�ne Grisou�"L'absence,n ch�ur tagnard�;- Ch�ur des Buveurs," de Boel-dieu�'�Cantate,'* par Carri�re�"' (irand feolo,': par Melle. Marie-Anne Smith�" Les Is�opbyiea,'' pour deux voix de femmes, par Mesdames C��liniis et Ryan� " La Charit�," solo par Madame (J�linas-Pernand ! solo par Madame Rjan.
Melle, Marie-Anne Smith et M. le Docteur Valad� accompagnaient au pian.j.
^Madame Kyan a une jolie, v nEsez vibrante pour satisfaire lin grand auditoire. Le chant de La Favorite, de Pon�-zetti, a �t� su.vi nttent�vemeut et tr�s-
. Madame "�l�l'nns eliant.--t-_.Tij._mrs bien. EU� a p^rticul.�remtnt bien exprim� une �lo vers qu<? M. iknjamln Suite avait compos�e pour la cire sur la musique de l'Ardita. 11 y a �u rappel oi longs applaudissements � la tinale : .finpourra �i ttca, fuites.la rharit� ! . Au mJicu d.� la s�iuice, IcE�v�rend P�re rallier ri...us � entretenu, au grand plaisir de chacun, dans une cnus�rie sur l'hygi�ne. _Sut_i_us utiles, anecdotes amusante^, t�-nne diction, rien n'a luarniui' prDgrammt% qn� avait d'Ailk-urs l'avantage de-suspendre l'attention et de nuus faire retrouver ensuite � l'�ntre moiti� do la
1_