Jf. GrtitiH 611 lUft� ajfjrf f�Ur' jtti a* . ' \ ?
to-mtti ainsi qit�pour ta mUt�-fiur, rfrf a&un-, jm^mm. i.'a vuula at^lfi*" tout de choses-nemtnt* ci <kt annon�a. ' j a U fo�, cela �� cgii�ait : :1 faudrait �tre
_� 1 t-�--^-j un-v�ritable Garguentua - poli^'iue-pour
Ht coarrict ^'�utoou�is. ; avorter dCs plat� de cotte son*.
� , , , . ... . _-_ -.____. j Lo plu* yii de lachose, c'est que ce sont
VENDREDI, 2J FEVRIER, 1870. i Cabochard *t Goblehon qui w �mt va�
^__ oblige de dig�rer lo plus gro� morceau ;
, _ _ � _____ ! o^inj.Li est fut pour tuer tout uuapopula-
LE RADICALISME. ! tion : boom m* ot confiance, ont �t� an�&n-
� � � j tbjd'tm bmii coup par deus roots: JaiuM��
CommflBtM-�iifc tu� ftoilio radicale 7 �^n�**- ...
Nous allons la dire en quelque* uiot_. Toutes les contr�es civilis�es comptent un grand nombre de jeunes g�na, qui, au �ottir du coll�ge, ne savent gavent pis quelle �ni� iU. devront eru&rtu-ser. Ceat olor-, que leur intelligence se trouvant renferm�e dans un vaguo complet, iU T.vnot rt aboiddaj�r un* g�neconttnmllft, puis, fatigui* do toute� les privation� adro g�n�ralement l'oisivit�, ils s� beau matin �voj l'id�e de � KO�stions, lootes Ici contre�! civiU-�es ont br�les et des
fanatiquwt en politique j ceux-l� ont tjueL tfou d�� fond� r il� nont-� lvdspoRtwn eette jeunesse turbulent*. h. Cabochard rencontre un w�r son ami tJobichon.
�tiobicfc�p, mon ami, j'ai une propos.- w a te faire, c'�t notre for j tf0 tune que jo le proposa.
�Bah 1. -. Et quelle eut elle ? �,1e veux fonder un journal..;,, journal radical dont la minion serVd'�V [�� instincts du peuple, de d�molir
fort difficile a dig�rer martaut.
Mais Cabochard et Goblchon ae son. cuLn-ss�s h con___ied___ avant de prendre la plume, et ont du se dire :
Qn�conqatta*c��tfi3� d_v_rer un a Bu Ht, Ni do fea-mfcoalwrtm d�gnlrff is front, lioin de I*aip�t*>* rfl�rj�'ilo'^irtt, qu'il fais 4
DEBATS PARLE M ER" TAISES.
CIL-MBRE DES OJ1DIFXE.S.
S�mco du -24 t�y. J870. . Kyan pr�sente une p�tit^on^e l'IIon. John Young, demandant � incorporer la Compagnie du ("ami St. Laurent et da Lac Champ la�n.
. Sr John. A- Macdonald propose la: nomination d'un comit�-pour examiner las papier�, etc., eto_, etc., concernant le _nord->Juejt, et propose pour membres da-. comit� Sr John A. aiacdonald, _t__dY ne, Langevin, Tilley, Morri*, Dunkin,_ 'J. S. M__odcma_d, MoDougalL Holton, iic-Ktnae et Blake�et apr�s quelques remarques � ot injet�la Chambre l'ajourne jus-" qu'� lundi.
millo, aix mille liouea <le di�tance et r�puii lent disimetement-
�Mak eomment t par quel moyen T Ne nous fi�us pas l�nguir, vont a'�crier,le* l�ctear*.
Ne voug impatfenfez pas. Le jeune, ing�nieur, Janonyme Jutqa'i no�val ordre, qui reut d�tr�ner om�la t�l�graphie �lectrique, a �tudi� pendant dix ans *on �y�., t�me et, natuiplleMeiit, il n'a pu rfv^l� iea i-Kments de d�oiuverU un premier
On peut dire pourtant que son inrention repose, comme principe, aur le ph�nom�ne oWrr� dans phuieuni grottes et souterrains. Tout le monde connait cela. Une personne se place � l'on des bouta du souterrain et parle doucement ^ la muraille qui transmet fid�lement �a paiolej i 1 autre bout o� la premi�re oreille, ven.ua peut I** recueillfr. ByraouM a eu son ormllt de Iknys qui n'�tait pas aatre chose.
L'ing�nieur dont il s'agit, apr�s d�s travaux obstin�s, a �r� par d�convr�rlp secret de c� ph�nom�ne et l'art do l'appliquer 4 la locomotion de la parole.
Ainni, dans cinq mw,' dans deux ans peui-itre, au lieu d'aller porter -nue d^pe-, che pour "Con/tantinoplo, on se rendra soi- � m�me daaa une maison o�, moyennant une r�tributi�n, on s'M�i�f�. oommod�mont dans la o� in d'une chambretto construite certaine fa�on et .on w mettra tran quUlemeiit � causer avec un personnejn�. cessajr�ment avertie d'avance et qui vous r�pondra par le m�me proc�de. Il para�t que la distance na sera jamais en obstacle *. l'ei�cut�pn de ce projet et qne les appa-
tpeu
prochain num�ro nousrepro- j ranger.�Journaux pariria le discours prononc� t
1
!**."^^.a? ^,*$%^�?^4�%�8l-iv*'|imf0bmat1qhs tele6baphiqpes.
ECHOS DE lreot�opa
�On Ut dais le M�noria� Diplomatique : Dans une- letlf� du 23 courant, notre irrespandant de Rome, dont lea misei-
toujours poi�es atoc~meil- j broyante:
... . , , ., �i r�ponse au discours du Tr�na.
fatre* publiques et de faner \\ auuittoa j ' _
UanalinUret du peuple..____et de notre
bnime.....Hein, qu'en dis-tu ?
�Pour fonder un jonmaL il faut de* - fonds, et il y * longtemps que j'id fonduw vois ma maigreur !....
�Cwt vrai... .nous sommes "aa�oa.., � sf>c tous les deux j mais nous avons des_) ^�UI oimipuiManta....par leurs capitint/... Allona Ifls twuver f ..
�Alloua les trouver, nui, c'est cela____
Allons los trouver.
Cabochard et Gobicbon parte: tt comme deux ft�obm pour vUiterf AL X., M-. U. Z.j etc., etc.] eta. L'accueil le plus oadiel leur est (ait par ces groa capiU-.. h*t*� f Us comyrtnntnt la chose : vite i l'miirtt. Ooi se passe m Am�rique. v. Voioi inooutiuent deux r�dacteurs de v nouvelle fabrique-. Los sujet* � traiUr v aboudrat dans leur cerveau. Que de moarements, que de courte*, qua d* d�-., unrchM pour fonder, mataritllement parlant, ce journal 1
C'�taient deux hommes, tout-Ad'benre : maintenant, os sont deux p*rsonatit�s. Ceet le m�me diff�rence qtto celle d'un ehuTonnier qui deviendrait le souverain d'une grande puissance.
Le premier num�ro est unpr�n*. Cabochard ei Gobichon ne se sentent pas'de joie ; ds se complimentent, Os n'interrogent, ili s'embrsasant, �min, ce premier raam�ro va voir le jour ! Le voici lanee en . pleme rue, l� publie se rarracbe-
�f�ohlcbOD, nous avons r�ussi...Jt ftudm augmenter le tirage, demain, apr�a-
(Hemain____apr�s____apr� demain ? j
�Jl Csut �vouer que tn f*\ �sort, Cabochard, et, tsn foi, je suis bien a�elde; Vavoir suivi dans ton entrepris*? ; et il est certain meintemnt qne nom* allons cuUm-ttr U W�UisQrt. les hunmes sont us�s jusqu'� Li corde ; �lr ne sont plus i nous a river te bonheur du peuple, Taillep poor le peuple ; ih le rendent: etup�de, sgnemii.. - .A bous, le pompon t A nous le gloire I Le noces du journsl est asaur�. Cabochard et Gobichon aont mod�r�e. Hua, chut t Os fontlo mort. Fae^de nonrellc?, partant, peu d'esprit, _ peu do asieVes � faire ressortir sur k~s �v�nement� du jour. On a beauT avoir beeu-coup d'c�priti il fant bien cependant que les nouvelles �chanfTent un peu la cervelle� pour obliger lo public � rire en lisant votre jounwL Ah, enfin �....v0 des ChimoTH. A II bonne heure, aura de quoi eaoser. Et le r�sum� des se- j anglais
sources, pr�cise nuances d'epimon qui pr�valent parmi les P�res du Concile concernant la question de l'infatllibilit� du Pape. ; Au premier rang des pr�lat* qui consid�rent la d�finition imm�diate de T�nail-UbUit� coauue: une n�cessite absolue, afin ;r les consciences catholiques par da Concile an m�liea des doutes et de l'opposition auxquels ce principe est aujourd'hui expoe�, se trouvent les archev�ques de Westminster et de 3f�line�, NK. SS. Marnimg et Deschampa. Le pottula-ban r�dig� par eux a r�uni d�j* uu assez grand nombre de eigmturea. il propose comme d�tmition de Tinlaimbilit� la formule suivante :
" Les P�res soussign�s demandent humblement et instamment an eacr� Concile �cum�nique du Vatican qur'd daigne b�hc-Uonner par des pxrole� claires et �xda-ants tout doute que l'antorili du Pontife
relatives � h foi et � la morale, � �tablit et commanda ce qui doit �tm cru et retenu et ce qui doit itre repouss� et condamn� par tous les chr�tiens."
�M. Nigra, ministre d"Itolie, qui se trouvait tout derni�rement dans-un de nos pr�ncjppna salons diplomatiques, o� l'on causait beaucoup de l'attitude de la. France � l'�gard de Eome et de ntelie, affirmait ^u'Q n'y avait encore absolument rien de conclu entre l�s cabinets de Florence et de Paru. S'il faut s'en rapporter � certains bruits, l?s nouveaux minist�res de France et d'Italie w seraient born� A conserver leurs relation primitives sans �changer des notes d'aucune
�-De� miuveHeBcontridictohT>3circiilent � propos de la rencontre des deux aoave-ra�n* d'Aturiche et .d'Italie. D'apr�s des renseignements qui nous parr�nnertt � ce smet, U penit que la visite du roi d'Italie a L* cour d'Autncho doit topjoar� avoir lieu, mais qu'elle est ajourn�?.
me grande f�te aux Tuileries r de l'Archiduc d'Autriche.
i camp de Lyon ont
___ j ils ont * �' �
eitt fait d'antr�s d�m< (maarr�t� plusieurs d'
�goutomement et le Cvo�il leg s-latif du N�uveau-Brunswick sont en guerre ouverte, � ciuse dd'^kjiu^i�sjion de 3ir Botsford, greffier du oonsru depuis plusieurs ann�es. Le gouvernement accuse le greffier de tendances annexionnistes et de d�falqMion d'un montant d'argent consid�rable. Le conseil refuse au mmiit�re le droit de- destituer sas-officiers et d�clare qu'il veut garder JL Botaford. H *'appui s�r le principe que 2d_ H�etsfQrd tenant directement sa commission de la couronne ot le goovarneur-g�rttral �tant le seul repr�sentant, de $a Msjest� daBs I� Puissance, gouvernement prorinc�el
devant le uiagnlral irm**� de Yage.bo^-^trifs1-: - U�go: ^Kalgr� ltC deftiux.- de sonavocit,"^1^-^ .elle est entidainnet) u d'onninde et^
r�"2"mo�rde"prisonr
i �Ad�le Boucher
mal flint�u, est con Umn�e A *JMW. d'amende, ou � d�faut.
�No
m�ro ill�gale e � apprenons i
t cette occasion. : plaisir que dans.
uvement
a d�fl scieries Beaudrr, tant dans le pays EtatsrUn�s. D�ji cette �mpor
NOUVELLE� A.VNUiJCB8
tante d�couverte a �t� mise en op�ration aveo un grand succ�s. M. (tef>. B"Anteuil, marchand d'Oafcland, Californie, vient d'�tre nomm� agent: pour les Etats Se-veda. Californie, Cregon et Washington sur le Pacifique. Cette
de Mlle. Sherman, f�Qe d� g�n�ral Sherman, de danwr aveo le Prince Arthur ne parait pas avoir contrari�, les sentiments de Son Altesse. Au contraire, le Prince a voulu lui montrer^ue m�me les Princes peuvent �tre d�ments; pour obtenir son but, il � eu recours � nue douce vengeance. Avant de quitter3os-ton Son Altaaso lui� enrov� un magnifique l�da�llon avec son portrait d'un cot�* et
Au (.'orpi L�^iabit�f hier Jules Favre a int�rj^ell� le Minist�re aur sa politique in-t�rieure et a soutenu sa motion d.'un discours violent
" H a fait allusion � l'action dn gouvernement dans le� derniers troubles popol�ireg et a d�uonc� e�v�rement l'arr�t de Roche-fort et la t>-ntatrre d'induire en erreur l"esprit public parla pr�tendue existence d'une conspiration. Si le minist�re voulait �tre vraiment lib�ral, "il ib supporterait quoique ce ne "so�t'pas aveo une confiance aveugle ; nuis �'il continue de se faire rtostrament du pouvoir personnel, il s'opposera tjujours � ses desseins,
Rome, 20.
Le carnaval a �.t� ouvert paries c�r�monies ordinaires. Peu d'�trangers ont pria part aux f�ies de la circonstance. Il n'y a pis autant d'enthousiasme que d'habitude pour f��r le carnav.il.
Des placard� -vontn l'infaillibilit�i do Pape ont �t� affich�s en di��rents endroits de la ville la sema jje derni�re, mais ont �t�-d�chires par la. police.
._ Londreft, 20 fev.
Samedi dernier une d�pucetiou s'estren-dae aupr�s d a Bureau de Commerce pour demander l'adoption da syst�me m�trique des poids et mesures.
Londres, 21 ,f�v. Un journal assure que Lord Derby cun-sentir� d'agir comme chef du parti conservateur � la chambre des Communes.
"Les d�penses pour U marine s^nt de trois quarts de million^ds louis moindfca que celles de Tann�e tlorni�re.
A la Chambre d � � Communei, M. Jen-feinta a donn� av� d'une 'motion pour
d�licate dans laquelle elle priait Mlle. �Sherman � de vouloir bien accepter ce m�daillon comme une marque de reconnaissance pour la i�n�reu� hospitalit� dont Elle avait �t� fobjet che� son p�re et comme un l�ger tribut i. la beaut� des femmes sm�ricaines dont M ad. Sherman est un sa frappant exemple.
�Une co�ncidence aatez remarquable, c'est U r�union �multan�e de presque tous les corps l�gislatifs da monde entier. Ainsi nous voyons si�ger'an Angleterre �� parlement, en France le corps l�gislatif, en Espagne les eorf�sj et'i Borne le concile oaeum�n�que. Sur ce continent le fi�vre de la l�gislation est la m�me. Le congr�s aux Etats l.'nL\f l�gif�re depuis quelque temps, le parlement de la. Pui*-eanoe vient de te rvimir et les l�g�laturrs lociles dn Nouveau-Brtnisw�ck, de la .Kou-velle Ecosse et de Terreneuve epnt eu
I** porto� an P�rIoinenl nival oorerM* � �wrint � lept benrej et demie dn au�r;
PKRSO.V.N V. ne eera i4d�i uu 1 nn� d'nne CARTE D'INVITATION, l^u
1 DtiM
tir le ^is
Mirm de qtKa eaoser. tt le r�sume des se- j anglais qm viei ances k r�diger, et les d�put�s minut�- j f1 l^to}'
riels qui tr�buclientj et les miniitlM qui Imitent, et �e.v B�naifrurs qui radoUat, que de choses � ti�r� dana an journal :
Les d�bats ont commenc�. Le f*a e*[ esngag� aur tonte U ligne. -Le journal se ~~*�nd toujours, cela va mns Ure.
�Gobicbon, mon ami, les affaires mar-
Dee modifiest�oes aont snrvenues dans le projet du voyage du roi Vicior-Emiiiv �tt-i II a r�solu de _r�aiicr la cour de Prusse apr�s celle de Vienne. On attribue aux instance� du comte Bras�er de i�aint-Simon la nouvelle d�cision qui vient d'�tre prise � ce sujet en conseil de cabinet 4 Florence.
�Dans les cerelea politique* de Paris, on s'entretient beaucoup des nombreux t�moignages de sympathies qu'�changent entre elles lec deux familles roynlo deBel-giquo et d'Angleterre. M- de la Gu�fon-�e en j ni�re, ministre pl�nipotentiaire de France i � Brux�l�ej, a ��� mrit� i air�gaf son se-j^oj, ( jour i Paris et � se rendre i ion paate Peur aat>tirer aux f?te3 qu'on pr�pare dans la eapitile belge en l'honneur des d�l�gu�s
iban�lttssros DE LA FAlHJLh.
D�cid�ment, le ISe si�v'Ie, d�ji srrmaat eut fertile
;m de l�ui* fort^, m �t�nneoient.
cbeot bien, notre journal a parfn�iemeat i parler dt ri�issi, r�UAii aU~ ��pcriain*. . . nuis eau- {plus exrr; D^Tru-*:, fl faut qn* nous fassions de Ytfirt -A4 feirt que tKnf ih�w j�i^t�ffi�ijam�^iihi�n "jf*�t4*';^...C,n s^�ff�. -tiwj3^ viirn pjpai-f tton intelU^eutc, abandonn�e i m* propres
r.iwouj> m ; cette populiticn a pris le* m-^e, t� Kl^grjphw tlrctriqiu n***�, un chsf a pris I* eomiaeridemerrt ^ Ce ilwT �t cumpara�ile �
-.alla trouverford train d�'-contmuer son joejer de 1 aventure.
lord, loi dit le propr��-
coiisrU de la R ine a prononce en cette cir-
Ncw-Yorfc. 21.
Un correspondant de la Trilmne dit qu'o� a au* � mort plus de soixante des partisans de Solnave. Plus de cent sont en prison attendant leur proc�s.
L'attorney du district d? Xew-York en s*adren�ant aux jnr�s a prononc� cou paroles : Nous flommes dans une atmosph�re o� le crime e�t �pM�mique. Dans la ville et � la campagne personne n'est � l'abri du co�tent do l'assassin on de pa violence des brigands.
Les agents de la ligne Innsan n'ont re�u aucune nouvelle du City of Ruton, parti depuis 3� jours. Il avait des prOTisions "pour 80 juura. tas ogait� ptusent que prol^Menlent 3 aura �t� forv� d� jetor l'encre .iui Dei" A^res.
Chicago, 21: Le thermom�tre � Sr.Prtul marijuait 30o tuJeswns du TMt. A */hicago So, et A Jaiksonrille lUo: ~-
A BconL-iowu minois un meirr d'�tre enmnui ; un individu du Mi. hd Borp. eurent im io-
trouva tm homme ivre, frapp* a lenoe. Los pr^pri�faircb du rp Vi-Jc et j-x-kit. abfviit "(F~~�PTi]
�tant. ncconru� au bruit, furent assailli*, j �La salle do
F un mortellement et l'autre dangereuse- urne fotdeu^h^a-^jrci>l�>rKl�l'�x�Uk.,l�-menL Le menrtri�T-fuL-arr�t� et pendn comp�gn:o Hemdo�i - et Lrahe. (."est" par 11 foule �. un arbre. .' qu'rtJ1 effet, cett^ irciir* �p di^taigo* j-ar
San Franciser, 13 fev. un talent r�el vt cnn*taw pmr les ih>mnreux w ici d'un complot ayant ri�tt�ura qui ont d�j�
�Plusieurs g&tUmen de Xe^-York qui n'ont pas l'avantage dTavoIr des c&eveux, se sont derni�rement form�s en association sous Les nom et ritinm dm t�tes chauves.
�L-'ex-grand duc L�opoH de Toscane est me-i dans U m�t du janvier, a l'�ge de soixante-treite mea. C'�tait, dit l'Jre-m'r Nationale, un eouverain d�bonnaire qui mettait en pratique une sortede patri-arcalisme gouvernementaL mais Li r�volution de 1848 qui le renversa une premi�re fo j du tr�ne aigrit son caracr�re port� � la douceur et le jeta dans la r�action. Chass� de nouveau, au moment de la guerre d'Iudle. � cause de ses pr�f�rences pour l'Autriche dont Q partagea la mauvaise fortune, il abdiqua <n fevenr de son fils, qui prit le titr� simplement honorifique de Ferninand IV. En annon�ant sa mort, on ne peut donc m�me pas dire de lui : il y a un pr�tendant de moins.
�On toire qui
c�l�bre h�tel du Star anit Gurter, qui vient d'�tre d�truit par nn incendie.
Lord G. ..qm n'�tait pas d'un caract�re det pl'^f doux, dinaft un jjnri l'httcL ot l'un dos gAr^ns, ignorant sans doute � cjiii U parlait, se montra, fort insolent � 1 endroit du noble lord. Celui-ci n'attend�t pns longtemps : Ki�sU�int U gir�on par le collet, il l'enleva de terre, le Bt passer pir une fen�tre qui �tait ouverte�on �mit alors ea �t�et l'etfvoya rouler dans le
Lo pauvre gar�on ne fut haureusement pis bless� s�rieusement-L� propri�taire de l'h�teL ayant appi
g ALLE DE lirsiql'K D'OTTAWA- tt�
vCOMPAGNIE d'opkr�'f
KERNDO�I et leslie,
VENDREDI HOIR, i�� P&YRIER, I8T0^
Ce tu Coiojisgnw dtloflbi* l"honn�r daprf^" �ent�r t� gn�idi ��tcm k mnwtttoo* �a i aettr, iniluil�c : *
la Fart� bray�.ni*>, i�titnW�
j�- RAiSl^Q THE W'�SD,
levee ET salon DASS LErABI.EilEXT,iiFjirRlF.tt^^-
l�ftl.llll�
liu allm
aspect
tnf.dl
4e� �u le Par�e�tnt.
L*a tuitnra entreront *ur !� terrain du P�r-�ejnent, pw 1* port� T-lac�o �af�eo de 1� rue Biia ?rnt du"Baiem de Put*), �t p**t*Tx*l devant 1m bitimeiin d� l'E*ti lei inTit�i_de�-_ eend�t-nt � la porto du Sfoat, ImqoeOe �era
foltart
i 8�i
uttesn et Je* Nprftta-qol lu �Mo�p�jpi�rtint; -a la parts de im Chambre -
dei �omnos
" - Pet esblwti da toUvtte seront orfftnWi pt*r Itf d�bi�5 irai entreront da c�tf do la C�ubre.: do-S�nat, �t tabdiri^�i lel�o l'ordre iilphsW-tlqo�, (Tipw ITaitUI de leur pr�nom oa de U dam� ob iN aonti�ar qai tvnot\m ellef.
Arsai d'tatrer dan* la laJoo, Iti nma��ars m nndrt*t duu lenr Cabinet de Tvilette ttftaga soptriinr, en tant da u=al�er.'
�n o.sittant 1rs CsbloeU de TofUtt*. loi duqw 41 les mej*�enri le r�nnlr�nt dani les ewridert et'duu le w�lffcolo jnhjnirhobre de la prf�*�^
Lorsqas Ici toitax�i �ujTtnt d*kaa4usles
dmwt Itt battue� de l'Ont�!, atmwt�r^a parlsr^ b*rri#rc centrilo. *
Tosu dun bt momlonr qui d�*�r�js �tre prf- ' rmnlt dorr� pr�MDlcr deaz eartex rarlajqaeJtn
feront terlu lbr�blemeirt Jeon mono. Une de� deox e*rta m� rem!� 4 a. D-C. � u porte da Parle�ent, et l'autre � A D. C. )q1 fer. la pr^-
Botitva first �tUc
_con!-J_�cf . self writt
-la ih- n Atihongi
nution, iniiWi preadrotil root f�r la biMLtth^qcc j^mi nfaro da S�aai. L�> pr�wat 10b p, m. pr�fliuw.-dfpart 1er� U jatmc tjae m! h doaeftiq**! (ferrent ruici
P*r ordro
d�ner sans plus �
taire, que voua
5 �Vrai, fit lord bible �ing-EroH
imb�cile sur mon compte, rt n'en par- [ Ions plus. |
--(_>n.nniiortce qu'une personno dont les : nouvellUtes s'�taient bViUcoup oocnp�n j premiers jours de h r�volution espa- '
gnole, M. ilnrfori, x pour me reo-ire � Marseille c tugal. La ilugr.lw d� l'an de U rlline ir�sruptie eu d
quitter Paris : do li en Por-
n.j.l.'-.c liu yelles Un "A les.
�QlltVre�Oit choque
g</TEL DU <iO t"VERXE!HE>T,
. paibsrr :
tl�xkrat ex c
m Ran-ort de J-Bafiorable lliw � �t <1m Peclnnu portsat qae. ;
ie - l'Acte du IY,-fctn�?.- il � t
'* P�rt .defeiHjUTr-i
b- eaWdl � - Tbelo:
pris
ktfde, la pli
nv\C\ -s
qUetes f clia-4U�^"3uj,' a d�a Xratalit� qui i'btii nom-1 Mongoliens. Des �UiL�tkjU
� lundi
propaifmtiqb DjHarcU. po!*�ob. et � r, �r^m-
j"" '* �"��lion .lt ^i.n E^.^nbftf��o-CB�a��l__-
S�r quoi il * plo i foi KictU^iC� en C*�-mil, mii 1-r.BtariW dMurf. par la 19* et**� d� l'A^U ei-hmt nrentianstf, de faire le K^shmieai
i l'An
jeune ing�nieur, qui refuse de livrer i rhin-* son nom � la put.lis t*, ne v..uUnt ' . _ - � - exposer i une d�coimnue en es
Aiaxaadre, a t*Par, a,, Napol�on f. ...�i d'imuicces, vient de d�courrir un rooyc: Nspol�oei I----J'ai �crit une Itlaymr magni-1 aimple rrt� absolmnent certain tU ��r�
�tabli* �
nqu� sur des ministre�, un n�wmr� * eccmtioD auquel public ra mordre t-n plein. Tiens, ib-io t____
�Xigriifique I pplendide ! 11 n'v a &*i pour �crire aTec IlxvI de verve.
Bt bien, mas chars lecteurs, le morceau a efc� of&rt bu publk qui, in jour-li, i �ju'il parait, tt'avait qu'uu miuce app�tit ; {��acaue u'r a mor.lu � ci- morceau li
traverser les ea pares il* parole humaiue.
qu> hit'iiei Tar�, tous poorwa, f
pire dans la v Jk? i �t,-i br^iu d un r*n�:g
Prt.rsboarg. en qaelqu^ f-^qttei le demandera votre cnm qm vous r�pondra de vive voix. Lt ne crojej pxa que cala a'i
t-o�iiiiifiit- n:ji. li partie 1mm
du rscirique. svi!tu-y, �1 f.-v. Hier � du heures, trente Indiens ont atta^u�? U statiau de- i�oot�1 y-swlant que les hommes �taiftot �^ix milles � 1 pit i;e lo station An;elope. A leur* quartiers do d�viiiiMi Itt hommes repouss�rent, et a'wT�^rent i, la jstau%� Petter, �]Oand tout � coup on entendit une fu�lbdeftoutenue, � t ' *E 'l'B �udieu3 eurent le plus � sounVir. Le aauit- t paru tjniihmt ce parait p� avoir �t� un ^ndlnt ' P*"^ .r^u^er �* guerre ; c^pend^at il
i qnd'co chof� recevrVTaS^h'.tmeDfrie noo pr�par�ei j abonn�s. On ne panmit rrnir" combien U : est dimcUo p/nir la n-darti-m de- (t^ouvrir un ouvrage qui *n\i i l'abri de la critique, ; k�^qu'ell3 aie touaii!** .(^sir de ne vau�<>�f pweuler au lecteur q�'mt Hvro inb-tetoant et sans danger p-jut l� jeune^o, avm un ' peu de patience, on n'y arrive cependant,
ailh:
accompagn� de Apr�s avoir �t� reporta-t- � �loign�rent \vn \*>
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COCR DE RJUCt.
�John Lxrquet troirv� ivre dira lr* est condamn� a *^00 d'amende.�Jsmre* tee, arr�t* pour le mvrn^ fait, eut con- !
". rr.-.:in-,�. Jru.iOjJ�, " .-ut If l fc.mj jc thun lit�, Uditb 1^., " Lat.-. F^tked I^ke, ot�f tke-Iiin L�k�, h�d " Uk�ct LitU� M al mrv�t �t tant pu t�
m d-prtnlir joar dtMvtn d* attrf*
��iasia'aajiiefftlct jour de Val d* thmqtn >no.. " faivuU pMr 1� pn.p*fitio� astanOs du - rWMi.MU. dit� E*.x mmt ni>�i � pan " |>*�r ta dits fi p*.dwu U prtmt. mh *� o�70), SMBlDtrrda d�liiBie joar d. r>tri�r " �arsat. je-qa"., lr�mlt.mr d'AvrU prv-" chkim* Uu d*u �klasitealrtt/sj
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