iiilii liipll
* origine�, il� affameraient
responsabilit� vi>.a-ria de la pott�-I;
refu��rj~m^ue Meporj�*bles de 1� malb� -v �t. j.*^r-|i.l ,titi j -iired� eal.ire qu'il" don de Scott. --�
croyait te pM 1< i-lrvuir. Ar*>�uot pre- Li mission dmt �Hr* plut�t politique, paeifi-
plus molfui�j duVant�^"."1"/ ^--^-^im�rtflM� par lit �cents-de- B�-L" Scott -*�-] que BtciWiiMtricf. " " - faut* politique- irfeparabl.
- 1 t � , moDtr� fjrt torbuI�nt dan� � prison, .nsul-. Si cm chef* comme rtoui i.'ei� douton� jusqu'� ce �rtaln point raist
'_j_i�nt aeegarde� et qmoonque, l'approchait. L j ��1w homme� d'�i^riencf, de juge- leriwd� L� Pwtw Hiui-Canxdi ^ Nous �\ixm doot� hier uo long rapport de^ rat rtlftcb� n�anmoins et profit� de �ft libert� I nte-m n ..e m a�ration, ils atroat re�>a pTua-'. a accuse* di sympsibiaer irr IVaameo pi�limitiaire du l'�re Ritebot .et <fe| pjar trt�o�r 'oa complot contre ]� rit d� [�t�t oomrue .tic� M �rate�rs que oommt. dea� �. nagbue,'Lepine �t aoi'res. Scott pur l'accusation de complicit� dans le , Hi,]. t| � rendait � la rencontre de Rit-l conqu�raoti. ' - ' . Sans do:i*.e nos compatriotes
ton Uatrj. ^� b?c-j dans Je but d�clar� de tirer sur lui, quand- II ne feutpa� ee cacher que lei populatii * le� t�moignages appoT-i �n Ta an�:� amr*econle foi*. B�iiCarc�i�, [ m�u� ne font que tol�rer pour le
P*<)CLUk*ATK>N DB R�EL.
lliel
rtre de Scott dolI pu v,ir,
Ils donneraient ^a|^' u eu de la ! Eili
s dam
b par la pour*
�l'�tre fort* � d �ine po*iu< tutoie* qu'il al.�:iu reniture fix�mes d'avoir d'autres t�moitis-qtii auraient dil ici, U nous �amble,' avant aujourd'hui. Plusieurs journaux "publient - un rapport j jM p;
Eh pr�
t provisoire qui Itn r^jjil, et qa'ila j )ap�rent qu'apraj te momei�t o� 1U pottt- j secouer llPjouj d� R�lf (^DoBOgbae et j
d une Ccnversatiou qii a eu comapundaut d'ane'fru�llo du UADtda et M-�. 1 obl�.Kttcliot. . .
7pb*
-eprodu�t assez exactement l'opt� mou de M. Eiicbot;
Comme tout et qui a trait de Icin on de proche aux affaires de U Rivi�re l�ouge ioi�-rce� le public, nous reproduisons, A titre de � renfleiguement, ce .r�cit, dent non? a.roan d�j� du reste, denn� uoe'aualjie : .
" M. l'abb� Kitcbc� d�claie qii.e tous Je* 1 habitants d� la Rivi�re Rou^e, tant anglaia'i ^ T. _ que lran�a�s, � l'eicepibti de quelque^- am�-j^ � � rlcaioB, qui d�sirent Tannexion, veulent If__lje
ijmpatbir, et _ii da^ordOue^, ma�s ils nrtoat drpaia fpxacul ceoiqu�.0111 t1^"'' dei ?lurper �o pouTo�r dtd
ht� demi^rw noarellffl floai apprennent M'^tre, ni dana la lorce dm choaea, ni dans itai que lw tfibuta indienne! dei ila�oea l'int�r�t dn p^pulaiiona qu'�le r�jiaeeoL eo*�fai de tenter dea deptedations aurle*. Ce ponroir ne peut arojr qu'une ex�teace | rida i ia�re �ulir an p.roe�i � Scott, auteur ! habitaiiont des m�tie, et qu'il a'j a qu'au ; *pb*m�re comnie tootee le� cboaea qui aW jdotoiit ce- troutle; celui-li m*nio qui en-! moyen- de profitions et je pr�jenta, qu'�le | aucune baae ecltie et durable, pi* ape- i Toolsjt 4 fla Tjf on sait le raete. ; rwterontjiranquilles et qu'il� no mettront pw I 11 ��* d�Dv ^u devoir de nos compamotea
ont afflr- N-QU| heureux d'eppreodre par | leurs menteea � �x�cutioB. Sftiaon deploa j d'�lder le SauTemement � r�tablir l'ordre et
. opt'T un c�torea roarquant de Fort G*rrr qui ! poar qat noe compatriote� eo�tnt-re�ue �* I�� daw 3et territolree du Kord-Ooeal, �
il t* fit �e chef d<H autres priagani^rs, or- ; janl-w tout tvetArne de tr#?a�*erir^ et ' i'meultw rnren lea gardea, tant et ai bien ! qua S:il apprit un jour que tei soldats forme le projet
t>Σzm qu'ils av
wrepour Its m�tis [ t peuvent eo aruir,-'
n de Bcmi, poiir |-
CircontUnaee pour I ISautorit� m main: oricl qu'il� main- [ b*"
� St. Paul, que Up. Tacb� travaillait � l'�uvre de la pac�caiion. Mgr. Tacb� a, mis aea soin5 A faire comprendre 4ux colons les inteotiina du Canada � leur �^ard. Sa Grandeur a r^esei parfaitement,, dit-cn. Aux derni�res DouYellee, la grande m?jjrh� atieadart lea meillenrt r�iultata de la mission df� d�legn�s. n para�trait que nourellea de l'aiTesiaiion dee d�l�gu�e la colonie ne leur �taient pas enoorr
m* dea pretecteun et des lib�rarleare.
La politique du gouvernement euivaot noua, e*t la eeule rationnelle et 1� seul� patlcable. Il ett iaatile de continuer � tnwjtr des de'.e-jationa comme celles qui ont �i�> en-vot�ee l'hiver dernier ; ellH ne aeront paa ru�me remu�e et on conna�t �ate< l'b�b�-li!�,da Hlel et de ceoi qui lUmpirent pour savoir que leur but est de prolonger ausai
ou Noid-Ooett au Cw-ada- Mais"! ---------" u" >v"' ------ �~ %,,wlw longtempe que potaibU leur Mtorit*. - -
.tfveul.nt�^adm.s dnua "1^ ^U�^- ^ * W pourait tt p�.er, Ri.l rtit fort J
qu on leur garantie leurald-oit.: et que lev .___^--- : b^Dqueaoupouv^e.tencoreaaeur�pourun
p.;�flolt plac� eur le nfe pied que 1* - -j �* �M lM m" 4 �M une
autres provincefl. - �ei P*�* ^ oai J0"* � ^ant le } force tuffiaaote e�nrat jou�s pftr�m coaime
"Riel est bien die'oe� � regard'dn-Ca-"'moBl-^?1 toujour� ni leur eulanc� entoura� j 1� �otrea l'ont �t�,
ntJa, l& derni�re lois qu'il a tu Riel, ce! de �H?120�4*-' S�ds_ remonter � Iniquit�, Noue croyonaqu� 1� �plitiqr--------
�lernier lai s'dit qu'il s'a agi que dan� t�i�tdu peuple, et que p� a pr�wDce R'T��re Rouge faisait ob�tac'e a nu an m�nt avec le Canada, il cementirait �.
�ger le peuple de ce pava. Auj->ard:tmi, gouvernement accorde le pardon � tout ceux> qui ont c.� �gai** pendant que que temps p*r^ tes divergeoees d'opinLi� p�liii\arp. L'anv; ) ruetia tera geo�reiiMmeLt accord�* � tous ^ ceux qui te aoutoettront au gouvernement,r'\ et qui aBir�cheront oa donneront evi� de l�^7 Tonoalion de piniii dangeiaox. A. partir da--^ ce jour, las cLamina put/lie� seront ouvert� et u Compagnie de la Baie d'Hudtorj peut: maintedaut reprendre ~x% travaux et pour � contribuer au wen g� �ral mettre son argent -eu circulation entnmi auparavant. Elle o'ert; engag�e i le faire.
L'attentloa du gouvtrnet��ent est aussi ap- , pel�e tout parUcub�remeiit eur �a partie, nord du p�y, efin d'emf.*cber tonte entrave \
nue par les population�, et A les prot�ger eontrelet tributs indiennes qui lea menaient OaTitinu fi lames L
L'iarleir.eat de noe cooipatrioWi dane noe qneation auan importante ferait eoiri dea I ^UBTquTpja�U� dace les DiitricU habile�; cona�quencea ]e*fluad�e*atrea�eerour leur� par !ej Indim�. i* gaerre d�iastrrui� qui plus ccera �ut�r�-j, ! menace d'�clater jjendant quelaue tenip�, a'
les dirent** origioM valant ben le* �lev� par la Providence et le tuffrage de
Oea plas
d�petwer� pour cette exp�di-i compter J�s r�jultata politiques qu'elle aura pt-ur l'arenir du Ca-
,� 1�
de la:
-f orgunifer un gouvernement soue �la Canada.
"'M. l'at-l� Kilcbota.-aute^j� rait euirant ses promesses, car Ri * ob�ir anx ordrei de 5f.2T. Tacb envoyait i. la Rivi�re-Rju^e u bomm�de tact et d'b�bilet�, com neur, et e'il �iait accompagn� u
� Canallene-fran�a�e, et si l'oo admirait au peuple que see droits teront rei|ec�e, il ae-rait facile d'�tablir un gouvernement dans ce p�y, et lee trompes verraient leur trime, Malt tant que l'on n'agira pu ainsi, .le ytn-pie donneru^son appui au gouvernement pra-Tinire. Tous Ic� babitanu tant frac-711s qu'anglais soutiennent RieL IL l'abW Rit-
� ebot ajoute qu'il est tellement �rt^n de ce
de gaerre�, de r�volution� ont essuy�e� let grandes nations Europ�enne� �Je�i berceau avant de parvenir au degr� de grandear o�ellai eont aujourd'hui. Lt� Etats-Unis m�me, api�i avoir obtenu leur ind�pendance, ^-f-ont tu pendant plus�ar? ann�e� leur corn*
�Aogli
" quelque�.
[ouver. "j -s.Nouj daoBM plus, nous engageena n �e�ent'dauic�tt��W�t�DC�B�f� ippuj� | compatriotes d'origine frw�i�e i a'emo; par le Parlement ; que les repr�sentant� dn ! poaT P*^ peupTo comprendront la grande raiponaabl- \ teroP* P�ar bl� qui leur inwmbe et les devoirs qu'ils ! don�r d'
03t � remplir vm-i-v�s du paye. ] Q�� de tenicee, leur pr�tence boui.db-
Da�a une qutauoa comme �lle-ci. il ne^ homma comme la Col. Caeeault, peut rendre languir, reeprit de parti pou** jn�. i famp� faire appel aux passion�, ni aux - * � <**P* 'XfWiiioimairfl dout ils frrunt 1 pr�jugea, ni au (anatitme, il Taut ne prendre } P�rti *t aux poputaoono qu'il� rencontre-ccnseil que do b tagisie, la t�od�raticn et \ ronti leur arriv�e �a FonGarry. Ht peu-la prudence. H fout oublier que non� ; *ent surtout faire dispara�tre beaucoup de sommes aoglaiB ou caHidienS^tran�ai�, pour i pr�jugea qui existent obex les Haut-Cai nous advenir que nous oomnes av
�. Cette question ne doit pas �tre point de vue de nationalit� ou d tsau point de rue de l'iot�i�t d
Canadiei
igl- j^qu'ao point de mettra eu danger le salut de j lar�pablique. Quelques Etale, tel� que 1� OQ 1 Caroline du Pud voulaient ae d�tacher de js l'uni in tandii qae le Rbode Island �t cutrew er. J ne voflutnt pas y entrer.
Le Canada aujourd'hui, semble avoir ce a�^ne caract�ristique dea grandes naJ�jos. j Jai*� Certaine� proriace� n^ftecepteat qu'arec r�- : n�t*i pugnaucel� fait accompli, et il n'eet p� j Canada.
�tonnant qu'il en eoit ainii, en coneid�rant \ Apr�i avoir dit ce que cous pensons �tre J�fldivenitfcs d'in:�i�ts oommerciaax et Ba. ! i� tieroir du gouvememem et du^paxlemenr, tr�s, lea diB�rences d'origines et la poaitioa j **** dircfll d*08 18 procbalo nam�ro *eque g�ojrapluqqe de notre immense territoire. 'noua croyon� �ire le devoir des canadiens' D'autres prormees, telle� que l'�le du {r*�<&*> de lo presse canadienne-fnwoiie� et Prince Edouard et l'�lede Terreneiiv� b�- d^ repr�Vent*at� de cette ongim
qu'il dit qu'il conEent � passer panr ' tour si le major Boultou le contre lit.
"Il pense que le gouvernement lerait une gronde faute en envoyant-Jet troup;a dans ; l� territoire. Une telle conduite ferait croire au peuple qu^ le gouvernement du _ Canada veut fouler leurs droite ans pieds et le eoal�verait. Cette e�p�Jiiion c.�ieiait tr�B^cherj �on voyape lui revient b $246,
" Quant � lui, M. I'abb� litchot, avoue qu'il a lait tout en son pouvoir pjur pi�reair l'iaBurrection et r�tablissement du gjureme-mentd�Ril. Mais quand il a vu qu'il ne ; pouvait l'arr�ter, il a cru qu'il valait mieux I �Darober avec le peuple et essayer de le con- 1 ri 6 tinlr. Mais en prenant cette d�cision, Il � J:tbji agi contre l'avis de ses sup�rieur*. ''rnl
"11 e*t au-si d'avis que les trouble� au - ! coL'
ai�iiM
11 ne faut pas �tre �tonn� qu'il sa aoit ainsi, c'wt la loi g�n�rale qui accompagne �n�vi. tab'ement la fondation des grands enplret. Le Canada rencontre au d�bat de son existence comme nation le sort de eee deven-
irs question* qui occupent � bommea d'Etat, la question Et la plu� importante et la
Pattf ntion de du Kord-One plu� difficile
Tout le moD-Ja est d'accord Bur la n��ea-n 6 d'acqu�rir ce grand tarritoire. Sans le rame plnteaa du Nord-Ouest, le Ca-
Kon� avons dit dane notra dernier num�-�ce qae nous pensions.�tr�) le d�roir du Gouvernement et du Parlement eur 1�^question du Nord-Oueet ; Xoao allono donner notre hnmWa opinioQ. sur \m ligne de conduit* que devrait tenir nos compatriotes d'origine francaii
compatrioUs au pxte le plus haut du gouvernrmeBt�j*onJnnqe que 1* piir r�gne � partir de ce JMr au miHsa den.jus.
Pendant que tout ici rentre dans l'ordre, le� afi�irea de l'eiieneor, d'un autre co>, pi�tinent un tonr favonbla. Le Canadainvue Je peuple d� bi B.ri�re-Rouge � m ven7r^ � un arrangement amical. Il oflre de garant .tir la conservation de tout les droite de:; notre paya et de lui donner dans la Coul� l�-.-J ration une plao �gale i celle de toutre au-^~ tre Province, Relatiiement � notre gouvfr-:, nemtnt Proviociiljiln'yanen de d�;ermit.�. Nos loi� oa'ioualee, bas�es sur la juiUoe, se-, root respect�es.
Ce pjy� est heureux d'avoir pu se soustraire aux malheurs dont le ment^Ait la-guerre qui �tait eur le point" d'�clater entre ses enfants. Sjyex donc mcore unm par liens de la m�me ami�� et du m�me pairio-
L'autorit� de'ce pays les a renou� cet lient
pour pr-ii�ger la ne, la propn� � et- le bop-T beur uu peuple, liemeurons-donc toujourt. amis �l nous serocs beuren�. Aveo 1* tort� de l'uni.� nous arrivera ni i la pro�|.�iii�. Oh ! mas coinpatnotea, a�o* diitincti<>n de
1- compte des m�t�B frac�i�a. Qa� dj* compatriMv m�.tnnt donc dan� le moment tciuel, que l'esprit qui animait leurs anc�irea n'est pas encore �teint chez eux.
Qu'ils aillent porter encore une feis dan ces ^centr�ee lo�ntainee, la CiTilioaiioa qu'y j pf:
avait d�j� port�* leur� pire�. j ]t diTiatoo . preodraiiJ jllce "m " nJl�en ^
Pour non� r�rotner, nous disons � ix * j non�, aiuti que dea c^at.g�rs ont tem� de !e -1 compatriotes: dans cette ciretnstance diffi-U�re, nous verrions aloraVabaure �or bjuo ~ die, laite� comme vous avex d�^ fait, ayex j J^l^ qne nod' aT0D5 eQ dej4 Ie U* confiance daaa to� ciefo qui ju-qn'aujour. ! ^ ^p^Tenir de-semblables calamii�*.-d'hul n^iaooigUHi� dant la voie �a l'hoo-fio gouTemeinent punira arec toute U >�v�-r" neur et dn dflroir et qui ont donn� A noe j lt� de la loi ceux qui oseront oompronirure compatriotes �ua icfluen�e l�gitime et ra. ^ �'aveauU t�curiift publique. 11 est pi�t i . , , J' 1 r�unmir tout desordre came Unt par lea-
UcnneUe qm imt notre for� et fiotre puis- L^, q� ^ ,� ra4iTidu(t! -mai, ^ df.
uacF. Ca hommei eont encoie tu jour- j Ton� fp�nr cejnuJint, qu'oo n'�an pu A d'Iiui � U hanwar dt l*ur mi?�i�n. Par Irjr j "Oonrir soi roesor.� coerD'tivM et qui ]� �pinuiM � pu It KiBtw cMUon^J D� ,1, i J^*"'"'� d� p"*i �ou' elliJfr<,D� d�M � 6etrouTOit�recIturicomp�lri��dt*antrm j �pour *"^gD^) ['onffiuw, �li coojprrtiQCQt-mieni qui p�rscnae | Loris RioL"
D�JM d'iiort uo mot i� l'apMiBos qui [ ^ �*��'4 <i� ^t� .� '� �pe d. coodoiH pr�ptn �n ce moment pour le Hord, <Ja'U*n'^OP"1-
prudence et de dt-r-TCnce peuple.
- '.QuemlM. I'r.)t�ncher fui euroj� pu lut.ag MoDjubiII vtre le Fort Gurrr, il � �t� bien Tim?n trait�; on l'a renvo5� �ccjmp�3c� d'une ' la C�lo donidine^d'hommea qui portaient avrt; eux j Ce u lea r�eoluliona adopt�ea u un* as?enibl�e pu- | d'enrir b1ique d�a ImbitanU de U co'.on�e. Si M. ies ir.n M^Dangall avait voulu prendre conre�^anc ' �lu contenu de la l:tlro qu'on lui adressait . �rait voulu en trnir cttupt.. il aurait apai: le peuple. Mata <i �ni la lettre lui (ut r EDI5?, il la d�chira, eans la lire; Ceux tj 1-RTBient pon?^, lurent inbgr�a et le qui
�i ti.- Lea droite qu'auraient la Cotnptgnit de la tact, de E/ie d'Hudsou aur ce territoire ont �ta ac-ieVirs du , vjuie par le gouvernement Canadien A dea .condition� txiremeoient atauagensea, H rot� pir j ut e'agit piua qued'en prendrepoesefaionatye Al
riloire ei?t bibi(<
ou 20,000 1m
0 population
1 arant tous let qui
| r�^is par le gorernetuent
pfcfrnel de la Baie d'riudeon. Cette population eojaot que cet!� derni�re : abondonnait are dro�l a'Mt cru� quaei in�t. ' pendante et
Ouetl. II parait bien entendu que le gtra- j , Poor "<""'
ip�rial� Ta (aire preeqne tooi'lli',1M cbM*t n'ee: que dane �Ue eireon-(raie de cette eipidition; Le Canada. | ,U0M' &t Gtatf K- CVtier, lo chef T�n�-t appel* � fournir qu'un contingent dt rf dM Caliadient-lraii�iii, eatum encore mon. quelques �nu bomrnei tout ou plui pour : fer lea jriBjts qnaliuSa qui ont fait ea forer [ FenulneTaTbr
��it qn'li prni] i cm� quMlipn : � 1"" =�'fc* �� otSe� i ew compatriotes. Il et pour aeror voix d*!ib*ra::va dani lf� n�_ ' �fr� entras tenj"--� :� courage tnorii qui gucialioni qui doieent e,Toir lieu. D'tptJa . flil tommw d'E'^t, la prudence qui lait lamineur, cetta eZfvditioa oerm co�poe�e ]d�bromli�]M�iiuatioaj poliuquee diffieilt� d'enriron 1,400 i 1,J00 hommes de tronpei | �t l'exp�rience et la lermet� qui font cou-imptnaree et canadiennes. Elle sera �m� le j Jait* enlreprise, lei plu. xiatee a nu r�. commandement du CoL Woliler, militaire oultat ntuftiatol, L'on sait qu'il;n'a qu'un d�tingui et inteUijentqui, en arri.ant, as-v1�' �' qn'nno ambition, c'eet d'�tre nltleo �uroera l'adminlatration du territoire eous~| son pajs et 4 aefl compatriotei. Il n'
indei
DEBATS PARLEBEMTAIRES
Sir F. H�ucki a propos� qoe l'on eovo e S�nat un meatage pour demander que M.
pi*� public concem: pay�s aut >p�mbrfs du S�nai nit� tt fnt�fi de transport,
L'Hon. M. Holton eecrnde la motien, mal-
ri qu'il <ioatp lort, du-�l, qQa la Cbambre ait pjavoir d� taire une enqu�te A ce sujet, itns en demander la permission au S�nat.�
Sir F. H�nclte a propot� que la Chambre-con�irrra dans le Rapport du'Comit� de*
raolont� du gou v erc e n r-j� n�ral do l'Am�- i P*r �
motif d'int�r�t �
de
.ulv Toutes la* clauses jusqu'� Ja IT�me t tt ! adopt�fu-
On b dit
mpant le, lue l5.cl,r, nicher l\
� le e
IT�-R.
r pir!*
It, de Qu�bec, aura 1� commandi d� BataiHoa que doit fournir la Province de Qu�bec. Si tel est le cas, le gonvememect ne ponvait faire on meilleur eboix. Le Col-f�e pereaader p ir de* l C*a�uU a d�j� fait oe� preuT� c^mme rai. nais voulait les conque- jllUire � � il a de plu� lee qualit�e de l'intel-leur Oter lears droit� tt : Il4*110* etductfiurqui le msttront ca �tat
aix im�r�t� bien entendu� du peiy�. noe Compatriotes marchent donC.� a� an iln sont certains qu'il saura le* conduire lu eAgnee et la prudence qui Ta toujours ca-ra�t�rw� et qui qui no lui ter� pas d�faut I fdt"4 dans cette derni�re cir^netance.
c-Ecoete.
leurs usages. C'est pour eel� que jus-qu'aujjurd'hoi ili ont cr�� dec difficult�s et de� �tnbarraji pour emp�cher le Canada de prerWi �o�re du ��ord-Ou�*u
i nh' hiuor.^ie [depuis Vantom
tL.-i de ij. JfcD
�VMmrnt provi.�>i. pi Laie do *on en fleiit'I� etqcel;
�uKable qni c.�t * politique. Ce
Jusqu'� ce j
pirtie.
Ce S-Mtt, tnjitattscbo A la, i>ia fjlob* de. Toronto, cl serait rar�i .NofJ-Oaest a�M l'mt?nt;on avin.'-Riel. Se., prembrs pi, i U K v'j� ont 6*,� marquiJa par'Je-
glt�Sr Oo rapporte qu'il ^ laiili n
s point os l�s-
ent u un gouverootnant pnHdcace de H. Riel, ir�tiea de Scott, jusqu'il
� ptusgraodo lervicea dans une | ^toute de jlipbmatt� et de n�gocia-
des hommes comme ceux-l�, nous s pas A craindre le� coup� d� l*te
�'Us n'�taient d�rjsjtreux dont non� � l�moi�e depui< l'automne dernier �dC en parti la cause des difflcul
ce oc f-ti/.nuj ac dans la Nouvell u* j L'Hon. il. Holton a propxw� en amende-�* j meot qu'il _ne toit t�y� que t6,5Q9, le mtmt m � - - niant paj� au X.uve.u-Brunswick.
tnerulrmaot ayant � � mi� aux voix, >port� par 68, contre 66. L'Hun. M. Topper irprend U di*cu*sion r l'item de K.iOO, acaod� aux officiers de Puiaaancc dv:s le Nouveau-Brunowicb. II ne penae pa� que co soit une sage �cono-R- . mie que de placer des erap�o^�i dans des tn>.
,pab e^vT^^ J�Dncr ^' dr " >� '----- �
ap*b!� du pwifw tt Jf ,� remOD�ra-�cS d
-1 a ] T1�* ^* capacii� Je rempltr
de Sco.ton n." lui reprenait neo ; "T*" * V*" ^ ''^^
Magnifique taJent, du ren� ; esprit vil et 14- i � .'�'�*____:.?u_ l^3 f\ ,e^'^>.0.,1"",1" " lrt'l>'
RIEL.
t qui
Tout ceu A dire qu� chaud de la iGte, _ d�x actions lee plat g�nereuaea.
a �;� irr�prochable, et lai a tooj'jur� r i T _ _, ,. ,�. �
.itn�tt pubbea et d�c-moni nr.t J-ur de-j emploi �j de la Woi
dee pDpuUtiom comme, depi
.ujourdbui. "����<. iwH-n�i<� *�� � !�*�� itu^ct- j J^,^, d, ^J,
! Disons aurai un mal dea population, tn�tin ^^"�tf, *=nT�n, P0*10 1"' donnsjt ] uicaMairea.
; de div�reo� origlnse, doiveot *!re trait�e� par | � comratum encore ; mais os o'evjt pc� une I piurf qqr y^a nC !'e Canada bt-� la pigrande g�n�rosit�, j raitM p^,-i 1urCte: tiquHuioppart^nt, d� j ��j)CQement dani 1 Ijts coDce*ricn.s les plaa larges doivent leur , �Mt'weuts d'henneur et une bonne r�para- j � �-^qusll*? li n'appaj
���*~ r^^r^^^rf^-^'-iew-^ t,,;j^5�?�t,
: :TcrrJur, de-nw^arowae^ litifafl n��nh |-cmon � Bg'r. Tache : ��.� uns emtm II j-Ecie., l^, Av. pwitiit mmnm**, ----�::*�&!��� tSt�in. Kou� pon^fnVt �^�fge.TacIrt d'�tr. venu en Canada, ! foia ' "Li�rru,uOer
Ile-Enmve
n- cett; cliamb� ai,; rit* Jim. la Sinnlu-
q-s
iM.
^v-.ii �riwe� r'.�ultat3 que l'on conna�t.
?3tct .i ru aflvniitr [fi e:ti��quenee. et ai-i[j(r utie 1 itub de cimlnite Intu'e plu�
"r -� r"� r.�ie�'r-
L'on rnteni'dire^que le gouvernemmentdoit esvi-.yer utie-force- miliioire pour lenir garo�-et,n au Fort Garry. Celte exp'�d.iion ne doit : pA> ttre mi reprise dans un but de conqovte, � ni de vrn�eance, carjn (aot paa, iwlr� \aa
l'1Q~. ) von" �vre (f&utsnt plu� g�n�reux avec eux , (jQ I que noua ec.Times lea plu� forte, et qu'il est njon j de r int�r�t du Canada d'en agir ainsi. Ils je sont comme nous, sujets d� la m�m* cou-luo d'entente i roDoe� ct doivent avoir le� m�me^ droit� que oflus'poci�donB.
Et.30t71.aut. quelle coujuite doivent tenir cac c4Trjpatrioteo d'origine fran�aise dan� cette drcooetaoce ? Noue croyons qu'il est de leur devoir et aussi de leur int�r�t, de (aire cause commune avec nos compatriote* das outrw origines. Ce n'est plus une question d� racw eu de Province�, c'est an* quatioa tout� canadienne. Si dans eetiD etreonetance, let Canadien� trantiSB, e'iaolaioat do lento �oneiwyoao
i majan'i� de det
t a pay� son coll�ge de eev propres de D�*rt- ~ t .j Ecow ne
L� secr�taire du gouvernoment proneoirr, conf�d�ral Louin Schmidt, eit ctlai qu'on a le plus rm. da tti.'cr. pwi� jusqu'� preaenu Ou *� contente de L'Hon. M. Hc dire qu'on a en a jam�i9 onfeodu parler. La Eco�K ileman.U v�edeBchmidtsH Nord-Oueat ' * tr�s modert*. Api�o avoir fait lea �tude* h plua brillante� au coll�ge de St, Hyacinthe, il eut relourc� on peu faible de paot� dans son psys, o� il s. fait I'ccoIp. ci nous ne. nous tromportf. Cc�t le pluflbaau taloot poao�ble.
peuple de la Nouvel!, uveji qoVue englol� dans | , pour contribuer aux d�pinti
, p'n- de d�pense, quels
effet f Non veau. BruEUTick, parce que sa popula-
extraordi
tait, s'il a oonserr�
i banc* de l'�coli it uu esprit r�ellement tenu ce qu'il promet-i jugement drtiten t\ i omngisieB
de caract�re, U gago� tn d�truisant Riel ;"il leur tondra reoom ;mevr l'ouvrage eur 5�fjmidt.�-f"�**-.
oa est plus grande ,es sont p�u� consid�ra bl�s. Il dit qu'il a"e�t paa^� durant :�re3~�cn�es, dea -�riatmrnti mt i la -Vonvellt-Ecir�* pins . i^penf� �uie pendso
Howe i
tien p�cuniaire de *la Nouvelli(E�^sr7' m trouverait an-.cl�or�rj lorpqu'ij Aectendu U motion dn depuis d� Lamoton qui teadait 6 renverser lee min�tre�.
Ceci rappelle � H, Howe un* anecdote (?B Caarle� terooi, Cheriei n- promeoBii �u