LB COURRIER D'OTJT A OTT A J 8.
Ce Courrier o'�utaouai9.
VENDREDI, 15 JUILLET. 1870.
r r�imgr&iiuo i Canadien�.
ii. il IillldriU
L'Ul'UAUAF'A MONTREAL.
publics.'
a St. Me
.p.*
i de po�r ta
D^Jardir
.ciue), H perte d**di
eLirepn-
Ls orrespoadaut de H Minerve qui aigi "T* Canadien" piblio de nouveau une exa< l*iU> lettre sur l'�migration et ot I'immigr .-tioo, o� il du que pour d
l francU9qui *>ol aix El suivant lui d� grands priv�* qui assureraient compatriotes et qui les retiendraient dan� leur patrie-. Il **t reconnu que la plupart de ceux qui ont �migr� avaient peur de manquer d'�uvwge dsu* ce pays et panaient avec, l'eap�ronc* d'en, tnmyer.de l'autre �� des lignas; ainsi plus il T &ura d'ouvrage dan* <M paye, moin* il / aura d'�migration. , Notu qui avons demeur� dans'la B�publi-que �usine, nous savons qu'avant de laisser U patrie no grand nombre de jeun� gtfia de 25 ou 30 an* ont fait l'etsal de U oulturs-
dea terres inculte� des ttwvnahipi de l'Est. ""XV vent a brU� le toit de Tan des hangar,
- Ile Ont laiee� leur village, eux qui traTall-ji irel du Grand Tr&no A la Point* flU ' Uent tran1aillenitnt � l'ombre du clochar | Charles, a rat� lea cl�tures et dippert�. Us /deleur�gli,*, la ^-^^1^0*11^7^^^^^^
- fl lot daxu la g�n�roilt� des soci�.�a de colo-j tit� de briqu�e " ~�"""" "~~L Li-ttti�Q alors �ialhts, et comptant ausd ear j Drarmnond,
commencer de demain les uiarchandiaen d �t� pour � moiti� prix. Allez lee voir. �M, Paul Favraau, assistant luspec-
d'tiijr � MyntiiJ,_dii: _j_teur de Feu qui simo tonjour*, _4 reodre_
partie dea bain� | justice.! ses compatriotes, vient d'adresser ... j.. 1 aa cnpituioe L. A. Grnon la' compa-gui� Rideau la lettre suivante :
Cher monsieur,�4Cn r�ponse a rotre lettre d*hicr, mo demandant qu'elle avait, l'effort de la temp�ta,"j-�t� la pomp^qui/�rait rendue la premi�'
situ�s g
M. L. PruIboWi
qu'ef�raj� par l� chercha un refuge �
peravi
de* Coteaux, passait de la Montagne, lon-oleoce de l'orage il cle porche de h
Parmi les eoeeigne* arrach�es on complu celle de M. J. B.lland, seilier,
a Su Jo-
t �t� �naoheesr*au tlock
la lib�rahi� du gou s�culaires de 1* fluet ko coups r�p�t�s, lit ont
-,c*b*noe d'ordonnance.
�.qu'ils avaient emport� oormne tintes las chu di.ni l'evp�rsnje de quelq'
ni. Le* arbre e
nl�ai
elei la petite Les qne'quee eone
i de ce mon Je et
delar
Tenaient pan, �le un eouifrrt U la m, touua; " lee mortifioalion^ toutes le� privations que
p ut endurer rtjumaan� souETraute. au mi-; lieu de la for�t. � - -
Alors oomuie des loupa affi.a)*', il fallut
sortir dea bc^f, absad�ooer ce commence-.
roeot de culture et prendre la roue de l'exil.
Avec lies peu d'argent, ap:*3 rtou teodi� ~lei qaelques ueteneih qa'iU po�s�ia�ejt, ila
n > pvuTaient � rendre ;bien to;�i dans cette
VL.l�e de Urmes, cei pnuvi.e^colotfl que
l'ja ohesint de leur patrie.
Noua Its avLDJ vu aniver et njuspouvon^ ^certifier c* que noue Bvat�.3ns ft ce Bujd. _ JApi�* avoir traven� la ligne 45me., ces hom-
mes qui avaient maigri darn la foi�L, � peint
T�tue, trouvaient difficttetnent de l'ouvrage,
mois � force de suivre ce pr�cepte de l'Evangile : ,'demand� et voui recevrez," �le ol-
teosient quelque secours et un labeur �uffi-
sent pour les mettre � l'abri des souffrances
qu'ils vtnliant d'�nlurer.
Us ne sont dono �tablis in grand nombre
,pr�j des fronti�res, et dans les Etatn de
I (Jucnt. Parmi eux ee trouvent aujourd'hui j ^(
an grand nombre de nos compatriotee qui j
fjnt honneur au nom qu'ils portent. -Si la obemtii de fer ceotral � lait et d'
iree grands travsui, dit le corrtspondam I _La gronda
Canadien) je suis convaincu que nos compa- J lait tant a eu
trbtes ne demanderont pas mieux que de j et irlandaise. . roter an fave, ai que ceiut qui �ont aui
1-jtats �'empr�seront de rerenir, car vjub ne
doutez pu que nous avons des milliers de
oanadieDS-fran�Aui aux Etats-Unis qni ne "'{soupirent qu'a pr�s le moment^e revenir ail � paye et qui sont ennuj�e de vivre biade lear
i le toit et un<> grande partie d'upe maison emporte^ � une bauuur eitraordioaire ennt retomb�s *ur >ai linei du chemin de far et ont tellement obstru� la voie qu'un train a du s'an�ier pour quelque temps pour permettre � des hommes d'�loigner ce�o�bri�.
1 Au-des<us de la barri�re du chemin de fer daa&le rue de la Montagne, les fi's t�l�gra-pbiqacu bottaient sur lea lattMS.
Il parait que Bons la sjaffls furieux de ce vent ias briques rbl&�tnt comme des fenillee t�chep, les maiscns �raquaierit, t'�branlafent ta tous ttns; souvent, comme dans la rue tiuy chez M. Muir, Itn chutais c�daient i la firce du vent qui s'engouffrait avec terreur Mans l*s apponemfnts et mene�ut de tout
liias la rue St. Martin il j a plusieurs toits d'endommager-. Pt�i des chantiers de Canin une chemin�e �lev�e eBt tomb�e et a Lrjt� une partie du toit de la t�tii
? peu au-detsue FtUforJ, le vent a pr�cipit� deux � terre et a dispers� avec horreur le* de toit.sur tes maisons de la me St.
NOtTVELLES LOCALES.
�Maintenant qu'il y h des si�ges au Ma-jar'a HJ1, c'est le rendez-roua g�o�raL
�Le vapeur Englouti est arriv� remorquant dLuze barges qui doivent �tre char-^�en de pltnchef. �march� n'�tait pas tr�u conaid�rable aujourd'hui, et lea produits ta vendes prix astez �ltv��. �Les d�l�guas de la grande loge Oran-ghte d'Irlande viciteront Ottawa proebaine-
patne.
IX-no, pour diminuer l'Emigration il faut des grande travaux -et de l'ouvrage pour tous ceux qui sont ar�iana ; maiotenant^uant A boa i'tfrmiera et � nos journalters ils devraient profiter Je 1^ derni�re loi par rapport � la -colonisaUin et former rapidement dt s Soci'-'.^d de colonisation, ces soci�t�s �ecevant de* oc-
course en canot dont or. par-Jim entre une bande sauvage Les irlandais l'ont empnn� sur Jea fnuva^w. La cour� �tait de deux milles et la k-urse de 830.
�La E-�unce dramatique doi �l�vej de� Fr�rea au profit des pauvres aura Ii>u dimanche a S ht. du soir. Il ne faut pas ou-blierd'y &l!er. On s'attend- i^une salle
nble quand o'e
alheuj
t paui s appris
i infort�c�: : plaisir le retour
r de la Ville Eternelle. Ce jeune mon-^. I? ?h> de H. Vmcent de ]a bil-lie-? du Parlement, et pisec-Jo un gr*ni
t Cbowr le bon- e
Towcships bien *itu^*f oi mina avec l'aide de l'Etat et donner de pr�i�-1 rence aux ooIols. l'ouvrage � faire alla Je les | aider dans leur �tablissement. Je .puis dire | aveo certitude qu'il y a des milliers de non ' compatriotes aux Etais qui ont ramasi� qut 1-1 que argent, et qui ns demandent pas mieux qu� de revenir s'o-ablir pur nCs terre^ pi l'on leur offre quelques avantage�, ou fi des p-?r-sonnes b�eu d�^pot�es vculcut mtner tette grande question do 1a o. 1 -jntaattnn' � bonne Un. Apres la furtnation d.- ces soci�.�.^ le
s l*t� c
r.i's beurre dane une maison du Plat, coin e\ rueo Sberbrooke et Ottatra, et apparte-iatit i il. Cousens. Celte maison contenait ustre logemente. A l'arriv�s de* pomplero
Cumpspme des Echelles et Crochets de 1. Qafte-Yilie firent leur devoir .�o tQchan do leur mieux. Les Compagnie
Rideau" les dm
ni],,
.ours des pro-danger. On
nua compotnotes avec leur a c'est ca que le gouveroraiect a. pu�que Ib It�vd. II. Cbartier d on, nomn.� Agent d'immign
Aujourd'hui, eu Con dogi e de l'infaillibilit� u voie de -1�0 contre 8$.
U Daily Pra� de Su Paul, Mil
I"Eglise St. Jus� riant i profiteront pjur enienJre
granJe car
dit auJHirJ'hm ,
d^di�js^�b�ii.e.Tti�jB, dirai �,^e je pujs alBrroer qae la Pompe a. Incendie tviduau eat arriv�e la premi�re et � �t�" 1� premi�re � jeter de l'eau sur le feu. Jt me suio trouv� sur les lieux lorsque l'incendie a �clat� et je buis dono en �tat de pouvoir certifier laqueJla dea pompes est arriv�e la premi�re, et je n'h�site pas � r�pondre a la demande qui m'est faite n'�tant ioflaenC�, p*r. aucune personne, mais voulant impartialement rendre justice il qui de droit. - -
Je sois. Votre etc.
PAUL FAVREAL\ Asst. InBpocfeur dn F^du.
�On .croit que la r�colte du miel cette anc�n ne eeia pas abondante, parce qae les abeilles ont auafi aouderl de la a�cherme et ne trou'.eat presque rien & butiner dans le* champ*. Le soleil a br�;� prtnque toQiei les fleurs ei'lea pauvres abeilles ru sont r�duites � un grand travail pour une bien petite r�colte qai ne sera peut-�trepw suffisante pour
Noua apprtninj que danj un voyage qu'il vient de faire dons les Etats de l'Ouest, II. l'abb� Tangoay a recueUls>parmi las .Canadiens: �migr�, li jolie somme de $529 pour h s [ncewii�a du Sa�utniy, collect�e i Chicago, Bourbonnais, D�troit et Smdwich. On mentionne une dame Valiqueite, de 'Chicago, qui a fourni �40 pour sa part. �Noua lisons dans la Gazette de Sorti : Dana la parasse de 8ie. Victoire, il y a une �tendue'de teire d'environ un mille qui est compl�tement d�vast�e par les sau'�reli�s. Les grain.*, lea l�gumes, Je (via et m*i feuilles dee arbres � n '
INFORMATIONS 3ENERALE3.
�La villa et la paroisse de Sorti ont a�u-rit tl,102.64l en faveur des mcenli�sdu Siguenay. ~~
�IrfQ autorit�s de San-Frascipco ont relu d'�nger uu nouvel H�.el-de-Ville pour ur cit�. Elles demaod^nt des phiua. Le co�t de cette t&tissea a'�.�vara � �U.'.00,000
iBge de fum�a �pa�a-d�gatd ne s'�tendront paa
�Parmi les �trangers a Qu�bec et descendus a nus par MM. RusselL, se dos citoyens l*s plus tru Unis,
N �Le I>.. Tupper s
ll'hei
np�tu
pnms de 52,600 et probabh charg� de )a eurveillance des traraai aveo
a ealaire de $300 en or par mois.
�Il y a pi�i de trois cents hommes engag�s A rouler, dar.s la rivi�re St. Maurice, les billots �chou�s eur lai tivages pendant
�Lee recettes du Grand Tronc du 1er mvler au 4 juin, s'�l�vent � �609,250 eter-ng contre �673,943 pour la o.�me p�riodo ant�e derni�re, ce qui dctme une aujimen-ition de �32,307 sterling. -rLa petit* localit� de Fmit Valr, dats le omt� cal�lomien d'Alaroeda, neDt d'�ire at-�ist�e par tu d�ulonr�oX ���oemant, qui �montre une feia de plus le danger de lais-ir dis arnus A feu � la port�s des enfinis. M. Q. Lynde, uu ancien r�sideot de l'Etat pt, a une �poque, eurinicndaut de l'Ecole Industrielle, babito anjoprJ'hui Fruit Vole avec aa famine et ses enfants, �z�a l'un ds huit et l'antre de dix ans. Le 31 juin, le� enfanta riront rencontre d'an jeune gar�on de San Francisco en visite dona le village, et, U connsissanoe une fois faite, la journ�e se passa le plus agt�ableuanl du monde. Vers truie heures, l'un des'tnfaots proposa de jouer au totevr, et la, proposition ayant �t� agr��e, l'un ,deo fila de U. Lynde slla sa cacher dsna un cabinet, tandis que l'�tranger, i qui �tait �chu le r�le de gendarme, se prcrooaait arm� d'un rifle Heori qu'il avait, ouv� contre une poutra. Un moment se passa � parlementer ; puis indatn, l'�tranger, en mani�re de phusants-s, se mit � coucher en j me son nouvel ami/ Ne tirez pas 1 s'�cria l'entant alarm�. B�las 1 il n'avait pas achev�, que le coup partait et qu'il tombait baign� dans aon Rang. La lui avait travers� la^poumoi droit, et it par derri�re �tait all�e ee loger dans lo�s.n- l^e d�sespoir des parents � la lie de cet affreux accident ne saurait se d�crire. Un m�decin fut ajptl� en toute h�te; mais l'�tat du blev� est tel qi'cn ne conaerve aucun espoir de le sauver.
C'est le second hli de M. Lynde qui p�rit de mor�|vlul*n;e. Le premier est mort tn� par un cheval vicieux. Et il y a environ 1 nn�, M. Lvnle lui-m�me fut bless� par unr l�charpe accidentelle de ce� m�me rifle qui vient d'�tre ai latal � son enfanL On peut
famille marqu�e pour
Qoirtt* du 24
<Shw ,f/y." "lia
ipa*
�u.pte-
i Maffco
t� Sl Jfi
de �M� ville. Il y fl m pr�ct� par le R�
L'Univo-Frain meate chanie-, T�re Kevelle, de Farib'.ult, vice divin, M. J. B. Olivier, Pi�-idtnt di S. St. JeaD-Bl., pr�^nta nce adrrf>"e au F P�re �chroirer, cur* de la vill*. � �nq� wlui-ct r�pouditVu disant h�orvtix j' ' le pMteur d'auaei dignes fi �lrs. M. Al Dolre-ne prcaenta nue �c-.riJe adrcFto i G.aadtur Mgr. Gracr, qui j ��pofidii on chant len �itoyeus frac vais de �mmt Pau leur fid�le attachement a U religion e Iiur wyaui� envers leur patrie odopilre.
et Russell noDon-� i vendre � tout ce qui leur reste eu fait , marchtindifle) de modes, i, manteaux, chalcs etc. Ire dre ce-? articleo iV prix n�-loa canlcr, car il leur faut r pir des marrhnndi'es qui l'd'�urupv. LViabl�-tsemeot Mosn; et Ku-Pi-li est peut �tre le pluj nsiJt-raUt! cie la ville et ceux qui Veulent heter ;'. bon march� feront h��n de paifi-r do la cirrt>n?toDcc. Les commta coat 'm jiolis et lti.-i av'Qarf�B et veudroat t
-Me-iem
prix� chapeaux
do
le malai
--Oo lit dans la Lmdoi ultitno :
La Reins a accept� de la Compagnie de la Baie d'Hudson le traoelert de la terre de Bu-pert et av nomm� la gouveroeur-g�n�ral de la Puissance du Canada, gouverneur de la Terre de Rupert juoqu a l'admfnlon ds ce territoire dans la Cjufed�ratioo.
�Une notable partis d* la population des Etats-Unis a �t� aueinte de fulif, ces jourd dernier�, A prOnoa d'une lutte de vilementre lia aieatnera <� Lo� " et *' Natcber." ' Il s'agissait de �avoir lequel ds ces deux navires rrabcimait plus rapidetueut lt distance qui t�par�narNouvelle-Orl�ana de St. Loqi-.
JjO jour do d�part, qui �tait jeidi de la esmain* derni�re, la reconatruenon et mut ce qOi o'tn suit �tait �* demior dw soucia dra lia(>�Unts de la NuUvelle-Orl�Onc,
Im.p tonie imiL�me, dit YEjao�pUf Jiimi' cit�e, de tout �^e, de tout wie et Je tor.tt couleur, ee pressait, ee bousculait, avec de� cri*, des exclamations, dai hurlements for��mes, p.mr aMiiter A un da ers grao le spectacles qui fjnt �poque dans l'histoire du genre humain.
En \�rii5, dit plun loin la nOmt journal, oo cet prie de d�gw�i quand ou assiste � tin spN-t^cb? BU!9: hu-nijl.ot. s(Uf XtW.i 1-i runiU'etfi tivtlD� psr natro popUlaljon � y-T- ��-�?<� TjVfJ^Te-ci�Wi ti.aaesi'-*ff<s'-u-�Wtiir le moU d'aussi criminel. ' v*i*Ur �Ur un fleuve qu de cadavres, immul�a as^ u�Utrcs rivalit�i de m�tirr. Comment! Vuil�desgeus qui FXpunnt do gatt� de crour une centaine d'tiOmn:0� � sauter en l'air, A �tre �chaud�j on br�l�i \ �r?, stbn ho etntempte, et on les encourmee, et on les applaudit, et la preese pull* dee titra� annon�ant Ire drfi�reates phases de cette fun�bre InUe-et lea magistrats eux-m�uie� qui, dans tout autre paya lis* d�f�reraieut aux tnbunaoXC*SJ7�7rt*.
ds la position respective dee dru* naTir
Le derater t�l�gr*rT nv��e" jiiSie;
" la trajet rn t�ois jour*,
amam �i� efTeciu�a. Le par le bruuillarit au-de** er, � 120 milles de Saint cote arriv� � 6 heurea
� des jeux qui, iuih uettrnt m daDger dea
le-
relies
d�voies. On sache UmmOS dans un K>parons que les
c divera L�Lftla tait plusionra dee E<
d�mis le pied et est retenu aane m enamnre � Amberst, incapable de contiauer s� carapigne �lecUorals. . "
�Une dea d�j.�chca de Londres assors que loi artilleurs prusiiens t'exercent aecr�te-meDt A la fortereeee de Rasiadt.
Si nooa *o jugeona i_ar les caoona de lo-Citadelle qui �branlent la m U chaque Me qu'�le l�chmt la mi ira 11*-, il est difficile A dea artilleuia de s'exercer secr�tement.� L'Ev�nement.
�On eaiime que la contrebande dans les Etats-Unie, depuis que le toril �lev� actuel igueur, eb monte chaque ann�e A 25 Un tarif! moins haut tuerait ce cite. Avant la guerre les droits moyenne n'�taient que de 14 par cest tondis qu'A pr�sent ils sont de 43. Alors la contrebande n'avait pas pris les proportiocB intil�rahlts qu'rllea aujourdJhuL �Lord Clarendon est mort A l'�ge de 75 t-, et OranvUre e�t d�sign� par l'opinion �mme son mecetntur an Forsigu-Offla. � Lee �meutes de Cork sent tr�s t�rieu-
�Un banquet a *.� d(,no� A M- de Le�-aeps, a Liverpool.
�Le dem�er roman de Dickens, Edvin Drood, ne tora pas acheva pur Willta Col-
IHFORIATIOSS TELEeRA�filBDB.
EUROPE.
Parb, 14.
� d�p�c�.e ri�ue de Dusseldort �e matin dit que le Pr.nce L�opold acceptera la cou-i'E-pagns � condition que la guerre
-----1 m�diat* ment d�vLu�e A la France, si
celle-ci attaqua la Prusse. On ne donne ceUte d�pi^oe qa� pour ce) qu'elle vaut.
Lea derni�res nouvelle* sont A la L'ambassadeur ds la Prusse n'ayant pu faire de r�ponse, la France a faftsad�cl*
akCuiqlx
New-York, 13. ite et les ouvriers Irlandais et t prima oujourd'baj ; plusieun
UneflotUfsl comnunl� pour se rendre A la Baltique, et a�ra aoua les ordres ds l'amiral de la Gravier*.
Le g*B�ral D nay est pr�t A maroher sur xembourg arec une arm�e do 60,000
elle dit aussi que r Empereur . apeeaitpsr
pars mutila da� " " ' ' ' "
� l'id�e i arm�e condoiia par un hpmnii t aaaiai� d'un entant de 14 ans.
valide, <
' New York, 14. Le �teamer Java est arriv� de LiverpocL 'k~ir ^ tJna d�t*�bs er�ciale A la TnbtiM dit t---]-qu'il y a tout lieu de croire que te �accewur , ' de Mootley comme ambassadeur an AngU- ^^7" terra, tara l'ax-e�tuuur Th�odore Frehog- . hayien, du Hsw Jtrsey, et que son nom sera ; �_ enroj� aa S�nat aujourd'hui ou demain. ftwii 4a� JMtirte�Iskj- condamn�t on.
Caoandaiaue,. 14. Ce matin les. g�n�raux f�nitna Starr ot ' \ � : Thomp n ont et* oondamn�s chacun A3 ' : arn.de prison pour avoir pris part � lader-nl�re Invasion t�oienne : le Head-Ventrt = Mannix a �t� aussi ccnlamn� � un aa de ^v pnsoo pour la ro�aiec�usf.
CANADA.
Qu�bec, 14, - -� Les poils f> sont ouverts aujourd'hui. A 9 heures, M. Valm �e trouve eu majorit�. ;
La manufacture d* chaueemei de 9l
Boch est main tenant an pleltie (p�ratii.n, st---
ello emploie 200 hommes. .^-,-rlT
�Montr�al, 14 juillet. Filer au soir, entre six et sept heures, une . temp�te �pjuventable sursit tooi-�-conp et -dura une oemi heure. Elle fit beaucoup ds dommagaajdej tmu furent eolav�,des petite* bAusas* furent poost�ea jurquedane le milieu ^ du chemin, dra arbres furent brit�a et arra- ^JMf eb�s. L� gi�le tomba A gros graine, ou-sont les vitre� des �difices publiques et dea"^ mai tocs priv�es. Pendant la tuurmsuia la . foudre frappa la cbemiL�e la plus �iav�e du laminoir de Montr�al qui tomba et eotra�aa arec elle les appeau* et hangars qui l'en ton- : raient Le* dommages s'�l�vent a plusieurs milliers de piastres, et on craint quedansla = z~ campagne Ta moisson a d� beaucoup en souffrir. La LAues* d� 1* verrerie qui Contenait _ uns i imense fournaise a �cra*� sous h o eflart* du vent. Bi elle avait �i� occup�* _ dana le moaneot, on aurait d�piurer la p�rt� a d'un grand nombre de vie*.
COUB DB POLICB,
T borna* Dooley�pour s'�tre enivr� et avoir trembl� I* poix publique $� et les frais.
John Scott�m�me offense�acquitt� Ellcn fimtth�pour vagabondage. Elle
est envoy�e eo prison pour deux mois ans .
tr�T�nx forc�s.
Le cans�del, B. Taylor pi Mason
rinr avoir laiss� sou emploi est ajourti�e, --lundi
F�lix Gorneaa, ponr. avoir Tol� une montre�nn mois de prison aux travaux -
Les On
a d�j� chang� t
mot u'uo nouveau genre�engagent d> eur ce ttwptehatt meurtrier�et des femraee, dea oJfania nifimo se paseioanentets'exeltent A un ppcctacle qui serait au eupr�ine degr� ridicul-, s'il n'�tait encore plus prgfc.nI4ment
Doi d�p�che� d'Helena, de Mimphlp, d* Lon�svtlls, de Cincinnati, de Cairo, d� partout, ont tenu heurs par heure la monde cm oounuit
liesse* et morts des dsux cotes-
Une d�p�che de Londres au HtcqII, mande que le Princ* I^.pold a euvo�� i Madrid sa renonciation au tr�ae d'Espagne.
On al �gue p-jor raison que l'E�pa�n* ayant �t� inBultee, les fortes ont r�solu da proclamer le r�^ne de ta R�publique, et en �ns�quence, le choix envers le Prince "ne a�rait pas spontan� et sinc�re, et que son* cela, il ne pourrait monter eur le tr�ae.
L* Prasoe garde sa dignit� intact* et ne c�de en nen aux demandes de la France.
Le gouTorneitieit britannique a adrese� une circulaire, peur d�finir sa position c*n-cemi�t les aftaires d'S<pagn*. Cette circulaire condamna la ma�uer* peu courtoise de l'Espagne, cachant A une puissance amie le* .n�gociation� ouvertes avec un PHnce �tranger, concernant la Couronna d'Espagne ; et regrette d'avoir tu la Franc* prendre un ton si mina�jnf, lequel mettait, obstacle A louto entente, et �pproare U pyeitioo qu'a prise ta Praese, vu quM n'y mtt pas de preuves qu'elle avait tremp� dano le complot.
Tandis que l'�lectfep du Prince L�opoiJ afrsit priv�s do l'imporunce en politique^ rAnft!eterro fora tout en sjn pouvoir pour [engager a r-nooeer i la candidature, afin Je ^Q.,*eprrrU paix de l'Europe..
Une d�p�che au Herald, de Berlin, en date du 12, malade que le peuple est eu faveur d* la poraticm prise par le gou.ornement : bien que lea stocks baiwnt on �rvit ^�ii�ralementque
On rapporte que le Princo L�opold doit adresser uns Uttr� A ("EipAgne, refaanl i i^.-v rfr l-i �urnsre ; oa d:t q�e Za letire
rrance, �t que le Pt�Qc* refuse parce qu'il u� vrui paa �tre la cause de la gurrr* eutr* 1 Espagne et l'Europe.
U ne d�p�che jp�&als du Dublin au Herald dit que leaoraugistfB ent fait une procession � Lieburn, et ont distribu� d�i milliers d* di�\mro iiiiprnr^ condamnent Is gouTemo-ment britannique.
Un* d�p�che do cAlle au Herald �n data de Paris 12, mande qn� l'excitation concer-nwit la querelle avec la Proa-sj est danga-
DavirsaJiscnBicn.ontlieaA U Bour-e, enr�la� BonlevarJe, dan* le� cal^s et le�
Lea agents minist�riel, oiduut le peurf* contre fa Prusse. lin d imi que l'ali�ratioo do la d�pich* du �uni� B�oedmi et rarr**ta-tion de. convoie d* chemin� de 1er ewt des ruses dos pruwiea* a�n de gagu*r du
L^octivit� militaire*�fft tr�s grande.
{ VIS AUX CONTRACTEUR&
�Wo* Jmt d'AOUT proehaln Uon d'an* Diga* �t B^ralauur> la Ut* du C Lechin�.
Lai plana atip�cificatieiu peavantetre v
Le DjpKrteatent ne l'oblige pas d'accvpUr >lu bail* ci eutaoe des sounfisions. Par ordrt,
CHANGEMENTS ET AMELIORATIONS. GRANDE TENTE
CHAPEArX, ^
MARCHAHDISE� DE MODES
MANTEAUX ET CHALES^ coaaasrca�tT SAMEDI LE 25 Dr COU1�ANT-
MAGEE ET RUSSELL +
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