Xg COUBRIEfi D'OUTAOtA�S;
s\ME�!T 10 JUILLET, 1870.
Au moment de mettie oou� pr*�j^ n�os aptjeao�isqiie 1* Dr. Tupper * �t� �lu par acclamation pjur le comt� de Cumberl ibd. Il ne pouvaiten �tre autrement, carl'llm. Pr44d*nt da Conseil �tait trop popnlaiiav �: pour qu'on t sa l'opposer. ,
Comme on peut le voir par dos d�tectes: le-Fraoce a d�clar� la guerre 4 la Pruj�-; Jaqucilo d�claration w li; ainsi : " La Franc* rejette le* iDiulltt fa�tes par la Prusse et df � �tare la 4meire cootre cette pQ�Baaocc.'VI^' pjnss :� "La Prune accepte lad�clara'iMi de guerre et est pr�te A combattre."�Ou a attache beaucoup d'iaiportanoe, � c* mouvement � Washington, pu! que le Pi�aident b ordonn�, de eaitft.aao eewnoa sp�ciale du C�agi�a.
nploy�^de-
alarma croyai Q^and""�
.uveor, au poli de la rae Sauva-rencontre a eu lieu entre le- deux >ux individus mi �.� tlW�, m de LeUl, a**z gri�vement ; U BtiuiueSn deux endroit, tat des vuiz a quatre heures : Quartier St. Jtoeh. cam�e qu
rvur*rjg<au^VA[l�. t pewtiat�
usttammes,
mie d�lit�s,
t_qae_ son^ compe--fi auwi -facilement que pjrripiera arriv�rent, circulait qu'I' y avait ; qui avait p�ri dana le* pttti nouvelle ne paraissait Coustha�li croyant, lut, que u pu
Le Canada Central pw�je un terrain fer ".� tlte et tous les �l�ments'qui conviennent � ceux qui veakni exploiter cette richesse agir oole et '-nationale qai Jrur est offerte.
Chacun peut, s^it da Haut comme da Bas C .nads, ail� s'installer sans craint* et A peu - de Irais d*ne ce, nouvelles colonies aVtc l'et-� pj;r de se cr�er uo chez lui.
La couronne post�Je encore dan* 1* vall�e : qiii n jus. entoure, dans le* corai�n dr Pontiac, .: d'Ottaea, Rnstell>t Carleton, 6ea �tendue* an (riches et libres enewe. "?
Ceux qui, 1m pr�ir�eriyint*ppon� lu "I difficult�* et la aolitude de ce* cantons ont ourert �a et IA les routea qui permctltn 'rualaienint aux colons de j �n�uer facilement d .ru cea contr�es.
L Emigration agricole vers le Canada Central ou Ouest peut dono s'ob�rer itiainte-n int dans da meilleures: condition* que par le piuL-� et l'on peut entrevoir une �re non-' � lie pour cette belle partie de UPuiwjnce, . �� longtemps ignorer, h. Voir augmenter en ".population eten richeise9, e. pnndre dans la monde commercial le rang qui -juT appartient el anqutl le eol, le climat et les autres vauvantagts nat�rela dont elle joun lui donne la droit de pr�tendre. G�n�ralement nos compatriotes craignent ; de t'tnlbncer dans U toi H et pr�t�rent vivre, ou pour mUai titre, v�g�ter au aein dea villcn.
-:; Ddus les Etat* Vnj, 'on a vu de Lardir ptouonn l'enfoncer tans fr�air dana dee d�serta 4 perte de vue, et par par le neut cbon d'an sut ararjtageui, r�aliwde grandenfrr tuutfl. Amr�*pr*�d'ao Latu fleure dins un*
: nehe r*Il�e,cej proph�:es d'une nouille eau M dissiont : Ici dans riogt, dane trente ans ?'�l�vera une ville florifsanle. Et ils dres-�iient leur tente �u lieu d�sign�, attendant �laoe la aolitude qoe la fortuoe vint les trouver au rendex-�ous qu'ils lui ava eut flx�. Plue d'une lois leurs pr�dictii.n� ae soot r�d* lio�ea. La butte en devenu le dojau d'une bourgade, pnis d'un village, puis d'une villa
�et alors elle se ebangtait en pilais. L'occupation cenlupliit la valeur de la prcpri�.� el lt piurre colon de la veille devenait le grand
. Meneur du lendemain.
Allons donc nous auasi parcourir njlre t�iritoitr, p�n�trons dans nos fotL-bi ean� in CTAmdre {"horreur, et s'il noua arrive de rencontrer" an BfTuiirc d'eau bel etd�lecl&wV
" 2;........... 43 65
. � " 3............ 47 69
Quartier Jaeqati-Cartitr.
P. 11 S'a 1........... 64 U
" � " 2....0....... 39 48 -
� ' 3............ 51
Saint Sauveur.
PU1 No, 1............ -78 74
>' 2............ 49 46
Village St. Chailfs...,. 4 16
42�� 46t� Mi-jjrL� poarH.Tall&; 34L.�L'Ev�nement.
HORRIBLE ASSASSINAT. '
La. dertiiere mails arriv�e de la Martinique le 23 juin non� apporta l� nouvelle d'ua a* sifiioal atroce.
M. l'abl� Juin, ancim attach� au Eecreta; riai de. l'�recb� de la ilartiiiqne, et plus lard auxiliaira � 1* paroi*ee du centre, qui �tait depuis' plusieurs ar.n�ts cur� de la pa-oieee do Diego-Muriin, � U TrirJdad, fo' ippel�, dans 11 nu�i da 1� un 10 mal, i por-ereu toute laie lut �cours del� nligion A in majaiic r�-ilaut mr un dea pointa les, plus .i�Ol�a de bu commune,, et le pr�tre, n'�-�tuVque lu \i_It d(> devoir, fce mit imm�-dAteiueat eri route C'�tait, b�las! uo guet .pen�. Parvenu � l'endroit le pieu d�sert u d devait quitter L� gmnd'route pour se endre par un s#nli*r � la demeura du tna�' jdr, >l. l'atl� Juin fut Hoadainerueot aa-ailli, pi�ojpii� de aon cheval, frai I*� de cou-
sollit
a reU.11
tlt, rlc'iemtnt foarnie de boU i une plaine luxurieuse, LAtiew�s-y CiUins de boi^, comme eu L� 1 - preuner� dbiriobeura
sol
Sans doote ce genre Je ec�culatiun ne .saurait convenir � tout le monde, m� il est � plus d'un wpnt aventurent surtout parmi � nos cotupitrictea exl�.iqu� en fera son fait et serait enchant� de ta icuier. Cependant nous ne la pr�i�nttu3 comme'un conseil � personne, noua ne voudrions pas �tre les instigateur* d'au projet dont la r�alisatiou reposerait sur des garante aussi douteuae?. " �TempCclio pas quo ncu* devonj nom� Li\Ur de nom choteir des terreF, �i nen dan*' tin complet Uolement et an plus profond deo boiF, oorame le squatter am�ricain, du moins dans les towuibipi nouvellement arpent�.^ que le gouvernement a fait border de clie ra�no faciltff. Noue n'aurons pas � y craindra la soClodfl, car la religion noni 7 pr�-ceJedanila personne do no# pi�tre^ ap�tjei ds la colonUaiion et l'�n.ln^ir>. le commerce areo le� raffinemeoti de U civil:-. MUioDne tardiront pan i nnns y suivre. Le* boie d'effaceronl pour dontttr place h de' riches campagne?. Nona j-vemm r�lever MW �jrl�ae^ pnw un vi!!3ge7 et aY, le faut tijus ''jiortervns les os de no� p�res" po ir
1 d�fendre; aLn-s l'asaBasiQ a'tst hn�
1 victime � dea exc�j qui ne peuvent avoir ;� inspji�s que par nn eepnt de vengeance jdt li Vendetta Corae ne' peut diinner �l'une iaible id�e. Le bras drt�c �tait �n-�rement s�par� du tmoc et jet� � diBtmbw i brtfl gauctie avait �,� arnpui� de ea main, ni u'�iaitplns retenue que par un lambeau e cLair ; }* poitrine ai le ventre ne faisaient la lingue avait mpi les oreilles, le
mobile de un�odu 10,1* cLeral Ar
livrait aux conjectures,4 a w rendant au bourg, le cadavre, venait faira
teraiir.aai l'Ere Xaurelle, sont si nombrenaee et cutitradicurirea ; leur caract�re est de nature si oditnse que n.m flUJpendrone toqte r�flexion ou commentaire sur ce tait, sar lequel nous devrots, D�oe9�iirement revenir. Une r�compense de 200 Lyres eter�ing a �t� prouvss aa d�lateur qui livrerait l'aiBasein.
NOUVELLES LOCALES.
P"geune carn dus�^del.
guei
1 aj.pren,
�Nui St. Aui-Chambre d'
prochain,. 111 3�5 tribulations dun �migr� fr
que M. E�m. Blain de raducteur frac raie � la Comninneu, se propoee de pu-(urs de l'automne ou de Thlver
l�iiJo depuis douz< �.enib�f'e'i.�jhla^ir
dans l'emploi t et, par coos�-tti�me d'�tudier
Sun ouvrage, r�dig� bous la forme de " canna jamilli�rttj'' pepourra manquer d'in-re<t^r les gens t�rieux et ceni qui aiment
Un des oljrU que m propose M. Bliii en ouvrage, est d'aider A r�panlre
r Je 1
BjUl
re paya
^Dt dit, ,
adienn-frat;'.
irmotibliB en Canada et ft ceui qui vou draivnt bJ �tailir.
Penduot les cinq premi�res ann�ee de 8o; ��jjur en Canada, M. Hlain n'eut d'antr .tccupati�n qae d'cneeigner \x langue et l litt�rature fran-; ilae� A nos eompatriaUB bu
glais, �l-U tam� de LqrJ MiHckH M. Biais Miumk d an�ib�e �nr laquelle
Le pu.bbcaliun.qui,.
s l'in�ti�uteur des c
Les pompiers se mirent parieusemen l'�uvre, craignant que . l'incendie *o pripa-giruit rapidement sur*les rue� Murray et St, Patrice, la boulangerie se trouvant entre es* deux rues et cern�e rwr dea m niions en bois et ce ne fut que qqand cette LA'iaw fut oon-corn�e que � on tut bien que trpp r�#:lement lirq�'e Dngas avait j�ri dani C'�tait un spectacle horrible. Le corps �tait parfaiten ��tj�tl, les jambai �taient enti�rement br�l�e', la chair avait iisparu a�n� qu'au bras dioit et on voyait les intestins qui �taient ou�t*. Dogaa �tait .un j*nre homme! ils 20 Ans, bien teum� dans 11 vi. 1p. Le feu aurait pris par1 le fuur ne devait pas �tre e.i y excellent ordre. boulingeneoontenBit du pain et de la (ai dans r�iuriequi �tait adjacente et q �t� aussi c niun.�o, il y avait du tu�n.
�h'Alice a laiss� hier. Une aeule de aca barges �tait charg�e de 40,000 pieds bu boifl: de construction.
�Nous apprenons que len propri�uH-re�-de la *' Chaui�i�re '' vont ach��er uni pompe i vapeur. Tr�s bien.
�Dior au loir vers ht^it heures, l'enfant de M; Leslte, orf��re, �g� de 6 an�, �tait o> courir dans la cour s'amosant A jouer avec na Upi�, qqand eeudeiaerneot bloc lui tomba sur la t�te (jui eut un effet imm�diat et le pauvre petit malbeo* reux mourut presqa'inatantarj�tuent.
�Encore une fois, il De faut pas oublier d'assister A la f�ance dnmati^ue des El�ves des Ecolea des Fr�res demain soir, donn� aa b�n�fice des pauvres? Le g�an� l'ouvrira � 8 b. � l'Institut Canadien, Il est A esp�rer que la majorit� des oina-diens-ftac�aui de cetJflAifle seront pr�sents � cette repr�sentation et A la distribution des prix des El�ves desjEcolesl es Fr�res. -
��Louise voudra bien nous pardonner si nous remettons au prochain Mo. la continuation de wq int�ressante critique.
�La compagnie do Feu "Victoria" Je Hall, capitaine Lepage, donnera un pic-nio au jardin, Leduo Jeudi prochain, .e 21 juillet auquel assistera la baude do M. Marier. Comme ou le verra par [ nos anooD&.'fl, ce pic-nic est organis� dans uu but tottt-�-fait pbilauthropique. C est pourquoi nous invitons tous nos amis de la capitale d'y. assister.
INFORMATIONS TELEGflAPi�lOOES.
EUROPE.
Pari*, 15.
- Qutlquea jo�inaux cootndiient la nouvelle ds la r�itgnaiion du miuM�re.
L'attach� militaire fran�ais � la cour de Tienne.� re�u ordie de'retourner imm�dia-[omenlA *n poate.
Le baron Bourgoin, secr�taire .de l'ambassadeur tran�aii, reunrne aus-i ^ Viei
Lu rumeur de la^r�signation du minist�re continue de circuler, bien qu'on y ajoute g�R�raferneot pas fois.
L'opinion pu bique et le pli dea journaux s'opposent � ci la d�p�che du p�;e du Prini au gouieroement espagnol ment filial des diflkul�a ei U Prurae.
La plupart des journaux affirment que les ministre� ont �t� si ljin1 dans leurs d�clara'-lions, que ta paix, sans une explication formelle de la PruS^e ferait plu �t une honte qu'un suec�a p^Ur la France.
Li Xt'6er//,'le Moniteur, le Pays, l'Oyi yatwna�e et le rablie s'accc-rdoDt pour
� � ' Pan�, 16.
Le Contliluti�nF'l, organe tnin�terielle,
t lait c
Eor'nn 300 � 400 �tudia
-ratidn dai
d'Un trtt publ
France ! � A bas la Prusse" 11 chantaient
Maxell ai�." La police "ne l�s � oui!
- . ^ Bruxelle�, 15.
L'Angktene, la Huasie et l'Autriche font de? et�wrts �nergique* pour emj.�chir qu* Li
n'�clat�. La
iion eut enoote la
Londres, 15, On annonce que le parlement de l'Allen gne du Nord a �t� convequ� et que l'out' tur� de la session aura lieu au commencement de la semaine prochaine.
stear/.er Si. Andr�a est arriv� de Qu�-
Leinome�fes qui soi;t A la guerre paralysent les arTaiiei cor les march�o. Pas de le p�trole. Les ooteiaoni
Paris, 15. que le g�uver d�claration aujoUr
Les Cbambrejont
9 grand nombre qu'on accepte 9 flohenxollei omme^le ��gle-
t oiEcitk (
�pendant
nonce
rie Les joun que la paix ne tora pu troubl�e.
Hier soir, le Duc de Grtromont a b au S�nat et an Corp* L�jsJ&t�f que 1" sadeur fran�ais in Espagne avait lait na�tre officiellement le refus Aa Prince de Hoheuzollern d'accepter loti One d'Espagne.
Le duo a de mand� au S�nai de remettre � samedi prochain la disensoion Dur l'interpellation, v�que vendredi on devait faire la dis-cuB�ion au Corps L�gislatif.
Le S�nat protesta de suite et Unit par consentir A la demande de M. Bouher.
Pans, 15.
11 y a eu une pan�qaa A la bourse. Les renies se sont faiwa A 67 f. 15c: ' ~
Les JGUnjsux disent que lecabinet fran�*ii ayant rt�u comme une premi�re concession la renonciation du Prince de Hohenzolltrn �au u�ne d'Espagne va continuer les n�gociai liens pour obtenir du Boi de Prusse la renon, cidtion officielle ponr mainientnt et pour tou-jOjm � Routea pr�tention! mitr�ied'Es-psgne de la^ait_dj^ucun Pritce de Hobtn-
Paris, 15, 5 ha. p. m. Le roi de Pru>sd a refuf�- de recevoir le c�mie de Btnelini etausai de signer la pro-rtHSte eiig^e par la France.
* ' pertur e�t parti de St. Cljud et
c Taille; Toui
psr
Pela
or. Uttaw .rtlV/fi.r�.
g^n�mlement (iu'-jl dey
QUEBEC EST.
La lutte s'est ouverte ce matin avro une grande activit�, pariicnL�renient de la part des partifane de M. Valm. L'argent de es ��.� coulait en abondanc* ; le pnr do plus r�passe. Entre onze heum l msj 'Ut� de pt�a doquatre-vingta Yaix 5 Aune heure, de plus d�cent. Hais apr�d cela, le* chances-cut tonmA et M. Tourangeau a regagne uns partie d a terrain peidu, gi�ce anx voix ind�pendantes. Il est probftule qu'A la ci�mre tien polim, A fi h�., il y aura A peu pr�s �gul^L* de voix entre !*� deux adretsairea.
tmidCsi. �"alin*ava
et atmiu� un inwnJie qnelqq, ; matin vera deux heures, le feu re dans la booLn^erie aj>parenant � usue, me Sl Patrice, et lou�e i, � I>ugM et Coneioault, boulan-ei? leeqnelks (Touchaient habituell,
l\ Ona.Tin.ep^
Uni.
latent ut.e partie de U1
.ngeiK
iviul-
d'uu pmfou.J quand Cvnflinanlt s'�vetlla aoudai-tjunl Fpcctdcle ! Le� flammrn l'en-
alors chez 1�9
ifltri prusaie
nfor-l'Espagne ac-:i�tipn du Prince <i� flobtn-�oilern au li�no JE'psgne.
LonJr�s, 16. La �umeur altubuant A M. Ollivier et A deux da Mi Coll�gues l'intention de r�iipier circule aussi, mais on n'y ajouta que peu de
Li Littrt� demande un congr�s g�n�ral on la guerre.
Le Journal dVj D�bait dit que la ��pcn� da laPrU'Be n'eat pu Bstiafainute.
d'hu:
On rapporte que durant la s�ance, les mi-nistrra ont re�u des d�pAcbes du roi de PruMf, le quelles auraient chang� l� sitoa-tlon,_et on esj�re ainr. qVon peut encore oonKirer la paix.
Ems, 16,
l*roi F.�J�ric Guiihums laissent Ems demain pjur se rendre A Berlin.
L'Ambassadeur frac�iia est parti A 5 beu-rei cet aprla-ro�di.
Li population de l'A'lsmagua eil en faveur au roi et il y a beaucoup d'enthousiasme dans les petite �tais.
Le g�n�ral Ololtke a re^u ordre de se rendre ABerliD,
Rome, 15. Ci,niiile �curo�ni^u� aujourd'hui loreqne le vote sur le dogme de l'infaillibilit� pris, 11 y avait 601 pr�lat* pr�sents, 'lusieurs Ev�qaes qui avaient obtenu la miBB�on de arabafnter avaient �t� rep-
AMEBIQUE.
Washington, 15. 1 croyait nier que le Pr�aident annoncerait.le rappel du miqiatrt Motley et du mi-nistre' Bajicrolt et enverrait au S�nat les uns de M. FreUngbuysen, ci-devant |�na-ar du New Jersey jour la Cour d'Angle-rre, et du secr�taire Fox, du d�partement i l'int�rieur ponr la Cour de Pnwse. Le Pr�iident a envoy� aujourd'hui �m S�nat drs eojies des correspond anus concernant des queutions en litige entre ks Etats-Unis, et �'Angleterre.
l�rt par une lettre d* Lord Clareadon a ai. jdotiev eu date du 24 mai damier que le gouvernement d� 8a Majest� consid�re qu'il n'est ni utile, ni exp�dient de r�pondre et de continuer une diecuisioo dans laquelle il y a si p*n d'espoir pour un gouvernement de pouvoir&nvaincru l'autre.
Washington, 15, 8 h*, p.m. f Le Pr�iident Grant a nomm� H. F. Frt-tingliuyeen ministre peur l'Angh�tajrs en remplacement de M, Motte/ qui a �t� rap-
Le nonvtau ministre fran�aie est arriv�. Il pr�sentera prolablement aamali tes lettres de cr�ance.
Chicago, 15.
de 4 50 * 1.75 ptMir �xtra
PLUS TARD.
La guerre~~Bloatj da porii prussient� Acerhit� de* rapporta diplomaf�ipju� VAngleterre Soutient la France�La Jiwme favorise la Fruste�Intervention probable de VAutriche, etc., etc.
Naw-�ork, 16. Une d�p�che �p*cialo de Washington, mande que l'ambassadeur prussien a re�u un t�l�gramme ds Eerha annon�ant qu'une Hotte fran�aise ai partis pour aller bloquer lea ports pmeaieDi. Cette nouvelle a �t� imm�diatement communiqu�e ou Pi en dent et an c.binat.
Une d�p�che au Herald en dots ds Berlin, do li courant, dit : Le refus du roi du Prusse de recevoir l'ambamadear fran�ais �t sa d�termination de'ne plus avoir do rapports avw
lui a (ait 1
toutes les c
I qUl,
L* CWt/i(u(i<jnn(J dit auj<mrd'h u�quenae de l'insulte laite au repi�i.-� France par le ni de Prusse < bi u h�l guerre par la France. r
Londres, lfi^ _-00m tel Bismarck a tnvo>� une pircu1 qui a �t� t�l�graphi� da�l toutes tes d_-
des
,10,
A deux heure* moins dix mini_____v ._. .
d'hfli le Ccrpa LAgialai�i franc ds \ il�iilar�? U guerre A la Prusse.
La Hollande et la Belgique restant neutres^ et Isa bellig�rants rwpeaerunt aa neutralit�, . mais len troupes se cooeentrent rapiden-eh|, dus le voisinage u'Aovere et des aotrsi pl�^ ces fortei.
L'argent monnay� de la bar.que d'Anvera� est transport� A U'ciialelle.
" � e de papier.
Wasbtngtoi
16.
mt�qui
Le pt�dldent i ordinaire du Congres, en < ootnplications europ�ennes.
CANADA.
Qu�bec, 16.
La lutte pour l'�lection ds Qu�bec Est s tr�s ardente.
Autant qu'on peut s'en assurer, M. rangeau a lfi votes de msjorit�; il y a 1 grand nombre de faux votes.
On continue � et battre et la pjlt* souvent vid* les malsona t� se tiannent l polis, ^
Une compagnie du 69s st uns partie c
On aura requis leur pr�wni deux cot�e on �tait exasp�r�.
J. P. Blt�anme, H. P. P. pour Qu�bec,; est dangereusement malade.
descente A
DECES. � I3juilUt c
>BEMIEK PIC-NIC ANNUEL
AU JARDIN J. B. LEDUC. JEUDI, LE 21 JUILLET",-1871 A 3 P. Sf.
L� Bande de Quadrille i� Msrier isra pr*
AdmllMlon.................................25 Cents
CHAS. LEPaOK
Ottawa, le JaUlst. 18T0.
^VLS AUX CONTEACTEURS7
Dei^onmliiio enf leront rs�ne 35ime Jsnr i'AOUT proehai
� DlfasetB^galat*
' �o^nria � aprti V* rr dei rom
rei Ji dea
1 Lad
personnel rejponiablei �tre a�tach�a cha-ilige r^ai d'accepter le
pwinou �tait approuv�e par l� cabinet.
A St. Petersoonrg le sentiment est ti�e prononu� en favenr de la Prusse. On cro�t que Napcl�ji est d�aid� A faire la guerre ap�ea et r�tablir r le li�ue d'E�pagne, i demand� le rappel
pour rompre l'�quilibre e
de lorce les Boi On dit que la Pn p M. Bertedetll.
L'Aulnche coLti' le agira ci une ai
dan* Te conrl"^ pu:fliftlic,: '"^Tvteot
'f Londres, 16.
M. Oladitone a.J�ular� dons les Commune* n r�ponse A une 'question de M. DisraAli que
puiQ
lipani
do gouvernement avec le
?oit
iinlst�rsj d acoor^
te It�qb d'Eapagrir.
Aptfl la cli.lun. rf. I, grmje panique IId.q.
' ' binQueft �en.i�it d* r��*Tair p�a diBil(� In loquietuan. Ci fl4u*�T.s pur le Q&QTtlla du nppal
�131,00 orsintee
de M. BecnadftU. Lu Enne est parue pour Osbgmf,
pusera l'�li. L. cal il
Borlin, 1C. '� Prn?ilen' ej[ r n w^ion U lu Iod a el� adopi�e Que la mui m un flijrla daoi un* action commun* ot I m�diat* pour n d�fenj�.
Brulellec^IG. itioa dtn gnadn puiiwuc�a mi i revenir la ptrn toi� Franco ot 1a Pruata.
CHANGEMENTS ET AM�LIORATIONS, GRANDE VENTE
CHAPEAUX, "
MABCHAfiDIS^ DE MODES
MANTEAUX ET CHALES, COMMETTANT
SAMEDI LE 25 DIT COURANT. MAGE� ET RL'SSELL
Ont jug� seeeualr* alla d* peurreir a f�Br eroll-�ante. it rapld.l affairai de falr. d* T.il.i ^OIIAM-
D�PARIEMENTS DE MA5TBAr:t
DE MODES ET DelTAn-tiTlV.
"conmi!iieerontSAMEDr;i're�drei�tt. �.l r.�l.jn fait d. rh.p-�.qi, March.ndi,.^ d. PK.-Cb*l�t, .10., i il
i pour
judr.
�nid..
Dr t. de l'Int/retT�, acb.leun , j.,r no. Cela� Uaae, el J.one�? Imllennei ntnfln pour R�b�l.
MAQEE ET RUSSEL1,.
Ottawa, U inlll.i, l8r�,
Mkll. par n, Erilie H ]