J O U-RIN" A L, OU SOI il.
VOL. I�No, 162.
OUTAOUAIS (CANADA), MAKDI, 19 JUILLET, 1870.
PRIX: it PAR ANN�E.
� vis jj-e �socr ET K
jo�r j.
nombreneee Pratiqu�e, qi � n� .m. a.eoete M. J VI que luiblr� 10 foroi.. � ........ .�-.
nom� et raiaon it D. R. LIATES * ClE.
D. K. LEAVtNS.
Ottawa 1er Juillet, 1870. Concernant l'a� ol-de.io� nom loHlcltc
T. G. C"r':s""-KS'
AW/.'cVnr ./e V/rrreh d'Inventif� et .Agent J�*
||OKACE LAPIERRE,
Aeocat, Procuroir-�s-loit, Solliciteur, � . ..Notaire PubUc
Bu�mit :� Coin doi Kuti Sauei et York, Ottawa, P. 0. *
Ottawa, fi Janvier, 1870- 1-J
M
Al,*
�N DE PENSION
JSIDOKE'CHAMPAG-NE,
Hue Susspx,
� M. d5Tk. .
Olfawn, 12 Juillet, IB70. " '- (Jm
|�EEr\ER ET KDLBEHr :
Avocata et Procureur� �n loi*,^ollioiUnra on Cb&ncollorlo, X.da�rei�, poii/le� Pfovi�cei d'Ontario, et do Qu�bec.
Bureau :�B�timent du Bureau dV Potte, rue Elgln, Ottawa .
AUGUSTE KEEFBR, _ REN� EDOUARD KIMBRB. Ottawa, 20 Janvier, 1870.
auent par Mme. Bhows. J�T- Prt, de l�"C<*ktdt
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A. se. <jknditkar'-: _ j IV- GKK5[A,N.^.V,LS' i; nniiro nu comiEB d*ott a or a i Su r
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troenrer. I�i meiUoun �rrlen �t rendre H'm | '. R//ngirat<*r,
ialon le plna conrortable jH^aiblo. | -POELES 1 POELES I POELEH 1
Ayant' travallU dans lei mellleurtrt bobtiquet j d� tontei �p^ces et dhaeniioni.
du Canada et des Etat� �ni�, il dit � m�me do Cnyi*, Qtatdrn, yor�ninn A iQUn
tenir aon fisJon lui nflpl�d qnl ne peut �txo �nr^j (hunwifferi�i, ' ~t'�~vtcUcr�i,~''~
pasa� par aucun autre en Canada. j Punitr* � Itemrt, J.onpr*,
Il aun camUnieent vn miln Iw PARFUMERIES impon^e? d�wtemedt dr< pretni6m maisobr de Vaut et de Ltradre/. _
qu'il� lui eut accotde
m. endreau Solicite m vaincre de la vJri^ de�e
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Augnstine jeta an cri d'6jjon�ante t*1 �pr�cipita (jarw k-b h ras de sa m�r�; Mme Ijouise. toute j-�le et fr�ipisHMit*, . �tait en pruie � d nfl'rctiscs eonTuIsiom ; ct-jwmJant clic repoutea Claude MigD�tv..-^ qui Tculaif- ju. pi.ri�r des secours. �f^ T suivit uae pauae o� ou eoteoduit qui drt ' saDgloiB �t des g�missements. ^ ^
"�De gr�ce, niadamo, d�t W vieillard d un ton suppliant, remettez �uo autre. j�ir li �ait*.�le �r�citl.. '^"'t^Ti
�Nro, Claude, reprii la birorjtie ^�m;-;:: plus de calme et ce ecaayaat ht�j m"-; baifler )ei lurtuea de sa tille ; mableiiBit^r : qu'Anginsilue coDDait les malheurs <)Qt ont accotnpapni* sa du�skiuco. il fant quaU" g�n�reux malbeurs ont exist� ; ma�aie-, nuit, si eilo verse des iarnies ce ne s�rantTT" qu�dea larmes d'admiration et da^pl�i* ." �
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IIi ..nt toujoura �n m ai m le� mflllcun EA�I DE VIE, SBERRT ET PART, et je U mell-lenre BIERE EN" UorrTEn.LE, llTrfe gratiJ par tauU la viUe.
On tronvera cHea MM. D. et M*� ttrai le* eonservea et met� d�Hejitf qa'ili tiennent dan� leur Magenta de Montr�al, ("ci Mectiean ont l'ejjvolr qa'ili ierr>nt enconrag^i par le publie d'Ottawa,
\%.V� m�* t� KflT� Aganf* p-u; XTj&rrtx-et WurL", diatniatcurtj J'Eaprit do Vin, U'hiabj (ProoO ** Old Rje Wnijkr.
DrFREPNE rr McGARITT.
rot, ffa*.t*to,
OtUwa,
Otttwa.frJuin 1870-
MK1S0N D'fcFFAlBES DE Prit MU RE CLASSE
Et ayant achet� un aj.aorttiieot coni'ideraWe - \ UN TOXTt DE BAKQL'E^OCTE. j �
de> ordrCi^aij gL'REAr de PO.STE, �.ttawa,.
L'aubergisw fe ^�tnnrua d'au air d'emi; batraa et reprit l'attitude m�diutite qui] avait un moment auparavant, ' �'i'u- doU- penser, nu ilJe, qu'tu mO-metit c� tu r.^us le jour, on m'avait lowd ignorer le tnalljeur horrible qui me fr�fK pa�t eu m�me temps; une pareille non- -velle m'tj�t tu� sur le cuup et je dois U . J le courage d'�loi^rnar -toce do ce malheur."*" Cet homme, Augustin*, il cbt. devant toi;^"
ist ce bon Claude qui wmnjen�ait atow -vif-a-ru de noua �tt� vie d'ahu�g^rion �. � laquelle il n'a pas menti depuis. Tu Bai� peut �tre que �-laude avait �ii notre in-Ifjod�nt anc�iteaii .le t>t."Maurice; de--^ ^"Jy | pnifl nou-g �migratioo il ��ui�t retir� aV
cette habitation o� noua sommes aujouiv �-= ) d'Lu� et qui n'�tait alors qu'une nimpJe .-f-rme dont mun mari lui arait faitpi�ient djna des temps piua heureux. Lcspapier� _
iculenn march� qui i part�rnllire du pu
utile J>E charbon, i
j�*-POELES ET FERBLANTERIE alntenant a tendre. Ferblantario .faite i ordre par d�s �arri�ra capable*. � j
USTENSILES POUR HOMMES DE CHANTIER,1
fait" expref�^ioent pour leur emploi. j
Le� marfhandr< des eampaguer feraient bien d'aller visiter ton �tibl�*f meoL j
A VENDRE, POELES, poele?. l'OELE.",
POELES, P'�KLE?f POELES,
POELEE. TOELES. POELES", d? (�<ut< diiBCJ'ii.n et ^atma, dej d'omis
ARRIV�E'ET D�PART DES MALLES.: arrangements d'ete.
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Maguififiue contellerio de Roger.* F�lj;
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UTILE � CHARBON. p**HwUr* ro-nuM* ef Im fin� rt&*4*. tm\� Ven-i t-l'ltcr D�tM (�tabliisomeot �tant d'a-
publics �oi apprirent par hasard 1 t��u du baron et .bient�t apr�d son juge-'.^trte-Ctaode, k c^sm qocu �rvhsks doot^� i|
souvent des marques d'afiett�oo, n'h�sita v>'."__ pa^. � venir noua porter les seconra de son' d�vouement. Il irrira � Paris; au risque de se compromettre, il vit mon mari dans � ' ?a pr��on, U le consola, il pleura aveo lui | -j: j S� ^ j sur moi et sur l'enfant i qui derjis--L_li_i_T) k duoner le-j/�ur. Quand le t'ittal arr�t (ut r-: ~] � � pronODc�, quand tout les efforts humains � f L-ici .15 J devinrent impuissant" pour sauver, celui�^-
: i ' j S i dont je portais le nom, Claude vint me -f~rfj S i trouver ; d'aprC-s les ordres �pu?-* do^- ; : j : J �ej j ton p�re, il me trompa pour me sauver; il s^�rrp' " ; a."entretenaitndnDs de t'aua^s O-^�raDces, ' =:b r j . | moi, malade et retenue par i'�puissemeot ,
j J sur un lit de donleur au moment r� L-e� -T
k *ur la y}-vjv d" Li J�>:-'f!t�f; is.- , � " V; r �Uui, ma fille, tu es nvc sous de terri- . blec r-tt?p�ei.*> ! A peine n�.;-?, m e^tcndii ^r^;^' autour de toi des plaintes et des u�iu�sse- "LT^
ornementa, et te* premiers crii releolirout dans une m.in�ardo qui �tait alorB ma demeure. Tout l'argent que nous avions pu sauver en quittant la France, -tnqt �' celui (]>ti nous avait �;� confi� p.it itfw , " amis en partant d'Allemagne, avait ��� emplnj� pour k'B besoins de la funeste conspiration dimt tua j�re �taii au des chefs. JI avait juiii sur ce pr'j�t cbancetu aa vie, eulle de ni femme, celle de son-enfjnt. Moi, huliitu�� au luxe, aux d�li- . ^. � catessea de la vie opulente, je- me trouvais -r�duite � la derni�re mis�re au momeut
j'aiUi, to d-nner 1- j-'ur. Ton jire -daiis aa pri>on7 ignora toujours ma d�tresse ; ce coup e�t �t� .plus terrible que �* tous les autres. Claude !e tromrr� eorome il me trompa mni-tL�me, pour nous �pax- 7" pner des souffrances plua j�rnudcs encore .1 tn;jh dcU \.
>, < I " Qai pourr-iit to pviudre, Ancusline, .
��ri(�:;.Je favor dans le pn coura-e de
l'aflVi:
| Tons le* article� �ont manjiia e� ehiffrat ; ��Vi��PXbS�f. PBtHf� D�S" L5.D�S r^^V'^tK&t r-ur �m pian ' ~ j
^ bt de la CIILNE, Karre).m-vonS f
' L-ENSEIOSE DU iMRILROUOR, _ . ..:
r artificul
ni
ebolilf pour I
QUALIT� SUP�RIEURE* par ap�anmc� t
ma'lD-
Agent pour Ottava,
J. P. macpiierj50n,
Uarchand 4 CoeaotUiica� Bltlnei'de^Baak, roe KJf^i. Olta�a, t Hare, 1STB. U-lj
C. P, DORION, Prepriitaire. h** cm�Blindai <]�i lal leroot dom�es, aareat
Nw" altattdona m� ordrif. f
Ottawa, n Avril. 187*. )u. �
� nrdr� d'argent peuvent �tre obtepu� deu tnui !c� Ror�ttiia de la 'Pu usant e, t�rande Bretagne et ri.lBnde, Newfonndland. Ici IJea du Prinr-o E-i^uord et i ce Bureau. Aui.i E.tampillea peur U P^jte et BiUeU.
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Iutertt alloue aa tani de Uuarr aa��>, elcen d�pJta peuvent �u> CUQ temp>. On aUauera Cimi pa
D�. C. A. martin.
e, 4�m�oMg� imoM d*a apyarWaetttt {tin eeema^-1 ieiiaUHkdeVm, vii-fc-Tif I* "Te* Pvt," BrtSanax. . Ottawa. 4 Mal UTO.
a hunte' ma fille, l je n'eu* pjs le mpl-orter un euup *i terrible, je voulusmour�r.F.('-r fut>iw�ro CLrode-,--notre boa gt-nie, qui nre -au^a ; ce fat lai, tlutt [s v.v.x d-'.ici". p*nii*tivt rajjpcL,-[daji^ rn^rj c-eur L' �i ei_t,ij �sjnntgs; pa fut lui qui ui'iniplnra en tut) ooni.qui me supplia de ne pm to laisser seule et t.rphe-u'iie ilan^ ce nrmda raaura�a ; ts fut" lui " qui fit parler la vo�x de la Telicitm, du Ll ontarr, de lbuminit� ...C'est � loi, mon cntunl, que tu dois U tw de U mire.'
AufiUBtina cachn m t�tu dana la poitrine do Glande eiv (fflrjplottant. I^j vieillard aouriuit pour d�guiser l'�motion profonde qu'il �prouvait.
�Je consentis donc fc vivre, continua la baroriri�, et v�ritablement 1� mort, ai elle n'avait �t� une L�chet�, e�t �i4 plus douce que la vie des trouble*, de teneur et de mis�re i laquelle je me trouvais d� � s�rmaii condamn�e. J'atais ignor�e jos.-?ruc-li tous les dangers, tous les malheurs d� notre positian actuelle, et bientCt H no fut plu� possible de les cwrber.