Cf-t�tmmtr-i^ttlooua�s. i ~
MARDI, 19 JUILLET, 1870.
M."le Bo.
�M, le Chevalier Langerin i laispi Quobeo pour K�njouoLi, o� il doit passer quelques jours.
�Mgr. Tach� est dl retour de Montr�*].
A New York, les oouveiiei de la. guerre eurtp�anne cm cr�a beauconp d'a^UaiLn panai-�OGtM les-t:\jfema de 'm soc�rt:
<ju adej�cotiimeuc� ue remuer dee soldats et de� bureaux d'ear�lnraeot 0ot �.� ouvert*. A 1'agtnca de I* Rue Broome, oienr�le des ealdau irlindais, lefq'iela devrool former an* brigade pour aller aii Bewura des - freooil*. ! ,,
Le Col. Jame) Kerrigafl,' le Col. BDly ' Wrtlca, le ' CoLVJohn Byron et quelques autrei soldats irlanJai* remarquable* aont, uwh-il �- la t�te du mouvement.
jD autre part, an grand nombre d'Allemande ee pr�parent �- partir pour aller ee. joindre � leurs compatriote* de la m�re-
L' Empereur a-laisse Parlspo�r �e nnli� [ i"u�r cere sera eu ei�^e dee op�rions m.IitaW Le Prince ( fCd_*^ka,' j�0'' Imp�iial l'accompagne- -
Leniolement des voljut�irea m fait en Prusse avec, une rapidit� extraordinaire. -, Toute la population m�le d�tir peindre le*
Avant-bUMu.CjrpaJ^ejiBlatlf, 5L'Thitr�, apr�s avoir Wt un loo�.d&oiMirB, s* pronoo�i contre la d�ciskn du gouvernement. Il du que^l France aTait re�u des explication� sa lisTaitantes de la Prusse et qu'en eJlwl faire la guerre ponr u n ��mj-I ? nff lire de formaf. lii�e. " ' .
M. Oll�v.ier prit �neui -e la parole et r�pliqua tjne li gouvernement n'aurait pu- agn-
M. Thiera ee lev-in
do �
[ fait.
U fut interrompu akrs par .In �mj�rii� d(i>
- d�put�s et cela cependant ne iVmj�jlia pac
- de cooliouer bjd discours au milieu du bruit � de r*giiaUou.
Auica que l'ordre t�t �t� r�tal li, M. Gam-bo.la dertiitnla que la correi<pondan;� �changes avec �_i Pruwe fut �motif* au "Corps-L�
aplatir.
M. Jul;n Favre *e& a la la ntui� n et dan� un long discoura j] �flirma que la France ne pjUvait faire 1* guerre d'api�j ooe �impie explication par voie t�l�graphique.
1-e ministre des affaires �trang�res t�pon-dil qu'il �tait n�cessaire d� (aire la guerre et de commencer imni�Jiatenient les hostilit�s ^ �fin de, ns pas laisser � la Prusse le temps . d�faire �les pr�paio/.ih de Ruene. Sien alopte une autre lijne de condu.te, il doni.o-
An S�nat, fipi�a.que le Djc Je Gnui)nK_ni eui lait sa d�claration, M. ttouber demanda si quelques lus des S�nateurs dc.iiraitnt prendra lapirulti.,
Dm cria (rfolcng�d de N'oD ! N^n.! ee fin ni.
M. Uouhrr reprenant la p^ru'e dit qu'en � h qualit� de Pm-iltm du S�nat, il annonce que le S�nat ajprouve la ccadnitedu gouver-
^upjlcjri tieitant- le clirtinp de bataille d'Ejlau le leodema�Q <io la vicicLo, a'^ciiaii &*m duulour �- Ce tp-cl.irl� Uni fait jtnur inspirer au* roii tamour th la paix et Vhor-rcur del� gu-rir !
Ea fffjt, tt l'on,sup[:nt\\\ �que C.�ti n�X peupl�e la 61
\\ M". !e B�JacU'ur, �anuver plus I d'un de t.� l�;teure aTeo .�ue> ont�jue, pr-(it bouquet mai lait que je n'ai pas oueillfau j*rdio de- H'waini, maie que vou'ei-Toos ijuaaj on cueille puur M. Komam Ociave on p'est pas plus difli^ilo sur le choix du fleura quM je-ut l'�ire, luyquaud'il m (ail un plaisir de veuRer contre uue compas�ie q.ui ne i-'a peui-4ir# pss s*lu� eur �ton paenage�*i '* ivila pourquoi, histoire effr�jable'' Comme dirait M. Blaiu de Si. Aubin.
M K pni�in trouve que "Madame �ow-al�ka a le bx n g<,ui de oe choirr que ce qui convient � &a voix.'' C'est Topinijo de M. Octave qui D9�e'occupe pas de ceux qni b'iffcliotnt derant ans (euinw c�l�bre qui a di�oie p��i� � des �coles auiqueMe* u'ap-partrnat pu U. Romain leratt nnir� >t de �o� g�nie! '
Je lisais hier darn u te lettie �crite j>ar un corre^pindaDt raitmiblt:
"Voas�iea on )�j moqaeiir. je oroa, en �crivant aveu beaucoup del!!t Plus de Ccnoerte A Qu�bec I ! I Voua nu savez donc das que les Ko*alaki �oni venus nous l�-Ah l que j'ainie Moie; belle' q�'a'lt doit � I Les morceaux qu'ell* a d�cl irc�a m'uni jlu eans r�ierve. Tenta, b'il �corner lea ebanoon* san; compr�ndi �eul m�t, j'aime ntieax entendre les par�tes noo chant�e�, purtjm- quand ou a autant d'inielligence tt u'iV�ip, que Mme. Kowal*ka �lans la_ToLx: (JHUite poUrJe cliant qui droit au co'Ur, tar.a besoin de paroles i> l'interpr�ter, �.-uutons de pr�l�rvnc*cei petits tou^�ciei �, H�lan�"C-JH>nie les ����aux.'' alVu, mon citer T> miam, que dites voi: c?la ? Xe v>vez vont pa? que plJ� tou suli�; Mm*. K. pUn eu mam pjrte de ecep-treitt-quh cnu Irjut te couroone de diad�mes. Cfoyez-vous quo le bon public n'�coute plui lea artistes? H n'y a que toui qui puissiez dire aux epectalojri aan'ilaiis: '�Ce n'est rien de bon mais comme il* n'ant pas d'icqa��lndo � ce suj�'. pourquoi venfr troubler lenr repji 7
Ulapr�s roua et Totre puldif, M. Weiner Bit un vjoI�ncelliflLe plcj ijde mkciocre. M. Romain, halte li ! Votre maladnBse mu*icale d*trait apr�s une insulta pareille vjus oblfger � prendre la fuite cl roui cacher dans des lieux c� la musique est tout i fat exotique I Je ne von� dirai pas comment nous avuns eimA M.'Cbarlee Weroer ici, lorsqu'il a jao� eur son iustrument ch�ri le jour le la Su Jean Baptisl�", et que les MM. du cotni.� tni �i� le remercie^eu nom de tous le� -Canadien?, mais connu� U a touch� �en instruramt dans tqtie Prorince, dana toU* capitale, tous me permettez de vous oom-fjUi�, M. HamuiD, a^ec l'aide d'un de v� premiers joanudistea qui SJit dire 11 vent�, que de cela, lir.^Econ-
raloni Ju lairt�Tirg-gt, Germain, Uro A plu-
Je paild your I<�a apparenoes pbja;qu�i, M*o emen-tu
de c�.�
tez-!e
" Hier, a la grand'raeaje, lei fid�les de la caih�.Jrale tnt eu l'avantage d'entendre M. Cbarlea Weroer, violoncelliste de l'empereur <lu Pr�-il et chevalier de l'Ordre de Clmr��i lit, d'H>pagne.
Le c�l�bre air (F�glise de Stradella (mu-�iqae du XVlK'ine �i�cle), ex�cut� bu gra-
surpayer.
) fi.u d'e
\ impossible k
uo, largement �crit et a �t� ex�cut� par il. Lavigoe. Notre unit.
?rner. qui se ienuu; m meivci le. Tanidi l'ar-
l'�nc
L'Ia i
fi�O� � leur ambition mijinn leuro exiLi:* ei nai^ons de guerre q*t'
.re^Jr,
le M�-norial ,lt
tUteiie, le� pertes de
d'un d.zitn,:
En pnnant le teruiP motan Jb chiffi�i, on pourrait cakuler appre-
Ut je n
atiist;a �m�nentl qui grandes et ai belles
i M. Boilnue n tous raf^ti^s
plu-
i, la t�ta l�g�rement inclin�e avec une altitude demi-uonchalMnte, netii rn�l inoulique," le tils a�n� du duc d'Or-b?aru pirte l'empreint* de la r�dwioo conu-nue. Lea revers Q'uabim*utlla pas fatalement � ee replier sur soi-ni�mp 7 Le visage tel correctement doux*et aUkLln, Dca jeux bieaTeillb&tc, U� nez peut, le teint ra*�. P^ur le Furplun, une �pai-^e barbe ch&tain qui sert de oadre�� l'e/wei'itlo
La-parole du Cu�ie- de Paria est bien ct-qu'oii a pu leauppoaer d'apr�s oei n.�rifUr. Ua y trouve la douceur m�l�a A uco ceriaiot lenteur voulu�, qui indique quo celui qui pai le ne livre pa� vol> ntieis un jnot a l'aventure. 8im duute encore ut effet de l'exil qui oblige � des oirconape�liona ejtoeption-lielles,
Da�b le langage- du comte de Paris se trouve 1� trace des'etules approfonuia aux-que J-s il Lece4se.de �e livrer et ausat ul� luin�tei� simple et ouverte qui n't�i paa ta-milli�.e � 1� pro�des>)uis. Pasd'ambt-linn n.jire, Rltn que l'acceptatlm d'une pteilioor areo toute* m ' n�ceasit�d. Incapable de counrapi� le pouvoir, 11 le eubtraii plui�; comme un devoir � accomplir, �les cl'oon<*t*nce<f le VoutaienL
lit Duo de Chartres.
L'�duc de Cliartree, fr�re cadet du comte de Paria,, lorute un contraste u�s accentu� aven eau �ii.�. Ici Qoua somm�e en (ace d'aae nature �tite �n n-rla, toute tn expansions. Mairie, sec, de uil>e movtnna, leB pommettes uu p.'u paillantes, les irait� �clair�s p�-une paire d'yeax bleui d'uoe mobilit� sans (.artill-, le duo de Chartres, avec ea petite i �iiouaUche blonde, a l'air d'un officier qui n'a pas mis'son unifjrme. P�tulant, im-prenijouable, actif, c'est d* poudre qui �mble avoir.dans tes ve ne*. Evilemmeni plus enclin � l'aciiin e^u'i U m�ditation, i n'a pas d'ailleurs � rapporter de* reepon. aabilii�s' aueei directes qui l'ubllgent a la r�
Le Bm/rAumcile. C'est pour tout dire en un mot, le type parfait du g�n�ral avant conquis de bonue heure 4a graine d'�plnard, du militaire iottl-ligmt et ouvert. Le nez brusqu� avec �oer-donne un caract�re rnani i A la figure qui ae pjnetue d'une louage moufUche olond� et d'une barbiche effil�e. L* d�marche eu un peu emp�ch�e de temps en lemp# par. des douleurs rhumatismales contract�es jid�j en campagne. Mata le corps et l'esprit ont gard� malgr� cela leur ardeur.
Le duc d'Animale, quelqu� suj^U qu'il traite, le fait avec celte rondeur expan-iee qui n'a pas l'air de se g�oer. Mais n'ayez yae.la cai-d�ur de vous y tromper : il y a li uu > au diplomate dans ce discoureur a la bonne franquette. Cette voix au timbre sonore et plein vou� a de cet nuances imperceptibles qui trahirent l'ironie contenue. Un dq.l imate, je lo revote,, et dej plua suptlU sur toutes lea questions.
M. le prince de Joiuville est celui de ce* princes que le temps aurait le plus touch� de on aile, toujours d'apr�s le portraitiste de
presqu'� la-t�lle. A Gloueeiter fia font de* J vaux qui dommage trtn s�rieux. Snr le ^clicrnia d� qu'o� 1er Montr�al le bois a �t� tout ennimm� tt dam 1� | assurer (� mumuotiq'ie nuaB ccriTona te* lignes aoO, I tjonmle, 1 vojroas tout pr�s une �paisse fam�e dq-co:6d� y,,
St. Joseph. On nom dit que les paurrus i-ulti j cornrr.e li "tHUr3 S0D' d�napo�r-dans cette Iccalir�: j Jc y^. Tont c< 'j-i-ds pondent brillent devant >urn \ jenx �t ili do peuvent rien faire pour an li� progfii de 'ceUe vane eontbtgratUm cette �u�re do decirOt'liun est toujours iodi table en pareil cjji ~
Le o40*on �iri*� de Neuchiiel a prjclim� | 1* �*p�rairoo d* TKfat �t'de l'Egir�. ''
�Koeeutb va publier son auioblogiaphi �EnTiton 3,000 peroonnee ent p�ri dans le grand incendie de Jonnantlnot-le.
INFORMATIONS TELEGRAPHIQUES.
V�n��pendai
Xe Prince de Joinrillc Ce n'est plaa le lel iffiiier de r U..tbographie poputariae, lore du retour des cendres de Naptl�ja-. La miperbe barbe noire que tout le monde conna�t e'eet m*i�e de fouga fila d'argent,les1 ebefeux se aont tait rares. La langue a ploj� le corps vigoureux. Si vous d�i�i une analogie, le pnnee de Juin ville, a quelques pi#( a l'air d'un Ji�re siamois de M. Pt-fletan. Caract�re oV minant; ute bonhomie virile. Sa surdit�
(�arkiia des silences proljng�j c� la pente� regarde en dedans et b'oublie.
NOUVELLES LOCALES, appns de i
r Mgr. d'Otuwa i
pa? r-u.iinole* aiuotenra Jfl l'hui ^rl- d'Ottawa, S. t.' r. i.� j 1 us reLir troub'er avec de paroi lira appr�jiation�. c "f-t d'orchttre, oommo maaicionn, � prient d- nous fjire gr�je do vos acc LOUISE. Ifteh�, M. le R�Jac
�Nous avo que Sa Grandi
Errata.�Une faute de composition a'esi l�^>e ,!nns l i correspondance de il. le Cbr. initb- Il faut lire:�"Cette analyse m'a
les fabriques que^posi�je Qu�bec avait �*� '�WtiMcttl publi�, etc.,�au lieu de�rarement -ujus nons empre^euna de rectifier Cttto �r* ivolontaire de notre part. �L'lion.M. Mitchell garde encore le
ht
�il. Bouohatte des Dottoaes, rat reve-. h Ottawa.
�M. Brjdgca doit sons quelqnes joora partir pour l'Angleterre.
-Nous apprenouB que Sir George lais-la Tille demain pour aller � Niagara, o� i! rencontrer .i Sir John Young, I!� devront conterer ensemble eur des' sujets de grande importance.
v�une beorc co matin le ieu �clata eDcorc^eir-nTri�rc de chez Valiqucttc dan? un liongnr touchant pr�a H la boulangerie qui a tft� eoutiuoil{e. samedi matin. Les p-jtutrilt� des compagnie� Itideau et Ottawa w; rendirent lea premiers sur iira lioux .!t � inpi-ch�'rent � l't'l�mcnt _dL*atmctenr d'aller plus loin.
�Li> prix de [a farine a augmenta de '25 ci*, par quart,�aauso,' la guerre d Europe.
�Dtpnia un taris ou deux, la ville et bicam-l'agac Ont ftl- fi�_|aemtuent vI^iK-ei purdoi
ECROPE.
Londrep, l�.
Ou a rr�u Ici auj lurd'bj^ le rapport s rant des proc�d�*! de la e�anca du Corps L�-gi&lalit frau�Hi, birraiir. .Ausanotque H. Olivier eut termin� la lecture de d�claration ds euerre, des crie �ntbouwasoi de ''Vive l'Empereur !" ee th*0l tatiodre. . Un voulut prcnlre lea roua imm�diatement mai� qaciquci uns ds li gauche s'y oppfc�rentr llw'�e?� un tumulte extraordinaire et M. Thiers pu', eaSo ��usair 4 ee taire eoiendr�.
11 i*tla �o�rgiquement conlre la d�claration de U guerre et pretenait que la Prneee avait dunn� �auifacii^n � !� France.
Il terndia en recommandaot � U chambre de taire de muret j�Sexioua et prit tcu si�ge au milieu des murmure� de la majorii�.
Paria, 17.
Od p.-nwqqt l'Empereur prendra le corn mande oent dm l'ann�e et qu'il se rendra rapidement pt�i du Bbin avant que la Pru.-ie ait teriuin� sea pi�paralift de d�fense,
Berlin, 1T.
Le Roi est arriv� ici venant de Ems, lie� lard hier soir. .
II a �.e dumot ion voyage, l'objet d'm-tliouaiaataa avalions. Eu passant � Coblentz. il fut tntoui� par une Fou U iramttit qui l'a acclam� avec enthoua�isme.
Eo teue tille, des cectuncade milliers de peraunnes s'�taient rendues � la etatioa ou derait d�barquer le ik�, poar l'eecorier �u Pal*J9. La niagninque lue on a pest� le boi avait �:� orn�s de pavillon� et - lea maisons �taient illumin�es pour cette circon-
La lou'e pou-snt des joyeuses acclamations en i uenatur du Ru et chantait le ohaaoa nalignele. Le Roi vint � plusieurs repris�e saluer la foule du balcou du Palais.
Loodr�, 17.
On croit g�n�ralement que le Prince L4o-pold a d�cid�ment retir� sa canJidatarep.mr le U�ne d'Eepajne.
. P*nt, 17. arriv� en Norv�ge
Le Prince Xapsl�.
Il a re�u des d�^he* de Paria et devra revenir lmntediiUme.it. "
Lfj( �:�ve* qui BvUt depus 2 ans � l'�cole militaire-le St. Cyr, on trej ordre de rejoindre l'arm�e avec le grade de oous-li�uu-
Lea aidee-de-camp de l'Empereur ont re�u ordre-de partir pour h rendre au ei�gq des op�ration* militaires.
Les eteaawra de ueisageriei im^�rialea toai partis pour l'Ali�ne afin de i amener les ir�op'sq'ii avi lent �t� envoy�es pJur_donip-ter 1� rtUelIea de ce pajs.
Le ministre de la marine a ordonn� de d�sarmer tous loi vaisseaux qui ae sont pae a�lre tn terupi de guerre, comme par exemple les li'achU Imp�riaux.
La populace a fut hier de grandes d�mon-atratlufia eo faveur de la guerre dans lea mes et eur lea bouievanr.
Toutes les {.lices publiques et les rue �tai=m remplies d'un* foule immense qui ne s'est dis(.er��e qu'i>p.�j minuit.
�i t�jfne loi b�aocoup d'esthoueiaime.
Le* jjurr.aux aCrmeut que I* gouverna� ment a s.gr.� uo ordre pour le retrait d'fr troupes Ju ltomr, eu^tu�t qu'il eat apprij le l�-ultat du iute (.ur l� dogme de l'inhiitlitii!i-t�^u Pape.
A l'ouverture de la Bonrse le� ren�ej ont biia*� � 65r. GOo.
La comte UenediUi ett arrive ea cette ville hier hoir, tenant de Emi et non de Berlin.
Il n'avait paa rt�u ses paaaew-poris et nait dans le but de di nner & l'Emf*reur deo explication* verbales.
On ne �ait rl�j de ptwXf concernant l'alliance 00lift 1 x France et l'Autriche
On annonce Je nouteau boj iurd"hui qae l'Autriche n'intervitnlro pis.
Le baron Werther, miniitre del'Allemagne du Nord et tous les membres de l'ambassade aont partis de Puris hier pour ie rendre � Berlin.
Oo_b doubl� U nombre des v�iaseanx de rtacadrt) fran�aise dan� la M�diter ann�e.
Le Vlce-Auur.l de U Grave a U cou.man d�ment, II y a beaucoup d'ocirrlt� anjjut-l'tiqi au dcpartFmtui de la guerre. Ou a nvcFy� un grsod nombre d'ordres daoB tonte� les duectiona.
Lord LjAn. ambsaaadenr d'Angleterre b'�J-" uduire Ses Cull�^uea � pr�set^-
TironlP, 17* � Une iopa�t� a �t� t�nue sur le coipede�.^;^; Madame Smp'ierd, qm a � � tti�t hier pir}^.^"-^" sdn mari. L- Jury a renda un verdict d�^^-l meurtre volontaire contre W. Slup.ierOqi^a' ""'*"."-': �i� �cron� en attendant qu'il euhirsc) eo�~^T^
Les aveux que Mme. Shepherd a f�ita . �pre* qu'elle em �� bless�e corroborent Ue_ y.'Sj^-Z1 iferuolgnages p �t�decle. VV._
L� diainbutioa des prix et des certiacati' r5.'-.^;-J7 aux �lev�e des diverse� �'cotes de U eue a eu vV lieu hier au Su Lawrence Hall. ". ]� .
L'Echevin Bouhon, pi�jideot du oonseil de _ .'\ Ville, �taiV au leuieml. L'aseitUnce �uit peu nombreuse.
Il y a eu un grand pique-nique hier aux" ^JSel-' ob�les de Niagara. Le* excurdtunl-le�' �iaitnt eu nombre d inviron 4,000, parmi laequela il j avait le iuci.up u'aui�rtcaim.
Les r
don
�l�a office.-� bi Canada: MM. A. Si Qrand-Maitie; Jaa. Seyi D�put� Grand-Ma�tre; milum, Grand Pj�iel �ia Collingwood, Grand Pi�,
la GrBu le L ige du
,3te. Clheii iia^ Wn
, lia- _
�. Vu
jr ; il. R fbert-on, .Junior; ie It�rd.-^ PeterbuK', Grao.l _ Henry Qn% Himcoe, Grand-J. B. Barrn., Hamiltop, Grand
hier pjt:
Qu�bec, 1 T.
Le oi-dsrant niaire, M. Toara�geau, a ^*js^�^ 1" *Iu hier par ute uiajjni� a'euriron 100^t^__j
II s'est produit durant toute la Journ�e dtsV__ _ 1* ' sc�nes de viLlence et d'ivfb^nerie, en d�pit � �Je la force de puhue qui famait tout en �on punVo�r ponr maintenu- l'ordre et la tranquillit�. . =r= Un (tranl nombre de volf s ent �t� enre- - -,. gistr�s ill�galemeuL Aptes l'�lection les partisans de il. Tourangeau ae form�rent eu -proctsaion ayant i leur t�te le draptaa fran�ais et all�rent saluer le nouvel cm, qui leur ni un diicoiirs da remerciements. . __ ^ _ M. Valiu a adrtS�� aussi la parole u a*.^" rV partisau% bl�ma �otrgiquement Li condute""-t promit de contenter l'�-
Uil maleU
. �i� poignard� pir i le* Juge de�.a�si
ea circulation des'pl�ces de 20 c
trefaites. On d�p�re de sauver SI. Bh< Tempe beiu avec un vent de i'<
> de e
�A Montrai, 1 ptmjflan. d�i fitl� m. D., at �poniB d Ar�eat, at daign�t
.du d�funt Wolfred Nettvo.' Jon.Lhan S.C. WnrtaU, Eor., � de la Rivi�re David, 4 l'�ge
i "\T.S AUX CONTI�ACTEURS.
des PuiwOn-:i
ia p^y?11
! pnr
rl-r
Eun p�i rinei
' IJabo " venant de Ne nsimn do LirirpOuL eat �
^j-iitui'auUaceiuer.lefalrede.nand.-rlc�cdi^.V-^t.via cm incendie, �lut pris un"'I ^ Jwntaui piiVliaieat ce malin la ikm-
JJEPAItTEMENT PES DOUANES.
. DUUCUETTE,
PREMIER FK'-MU ANNUEL
COMPAGSW _DU iel-de BVi.L.
_puitit le bitiUl fun�bre dej �inqn.
Uran I l'r�j�rie.
UA PRINCES D'ORLE�NS-
nprtvoynnce, par
Etc
�tlrt
Maiefc'il t:\iit lenr c-impftrcr bilan i plus lun�bro q i ee pr�pare dan? li ( entre la Pru?�e et ta France, le fu?il � a r.t. le ebassepol�quet l �Ui>, pran.l Die ( � Malbei
5�a
t de Pie
�vpr de i^frmlhoid
iveriri dann loi I Duna le
baron fferihi
da NorJ. a l'etfoi de n'accorder craniOQ au gouveruem�bt tran�;�i*.
Ne toyrz pas inqnjti aurait dit M. de Bis-mnrb � l'ambausadrur, nous comme� pr�i*, f9ulemfnt etaa�ez de lempcri^r B'il est pge-oible jurqu'eu 20 de juillet.
Lea joarnaux iulcrent de ceci, qua la Pm�n a ou (!�j le commtnenn*m riottn-uon de faire la guerre et qu'ele cherchait ' " J du tempa.
ihavg� d
Le gouvernement re�oit contioaellemfd drs d�p�ches de loutco les parties de l'Aile magne, t'intormant qu'on est pr6t i mettre i cftdippueilioQ len hommem, l'arpnit, ko cn�
�J El'M ,
LE 21 JU IL LET. ^
; publi� par H. Bbxu�. 3a Rw