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JOURNAL 1> U SOIR.
VOL I.�No. 181.
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OUTAOUAIS (CANADA), Ml�HC'lilCDI. 10 AO�T, �S�O.
PK�X i �4 PAS ANN�E.
r.ES XEir.r,KirnEX m.v ht rnitTii),_,ifripnee ij'-am
prend |*;�Ji lee ifFa�rsf d'iBC�r�'t et qui Ta peat-�tre proposer uo moyen inexecnta-
KDIILKTM H1 COEHIU MOTMOili
L'AUBERGE .QE LA BARONNE. -
�Et pourquoi renonceriez-vous i cette � fortune? reprit I* jffiine fiHe avec dignit� V; �la le retenant, par un geste; n'j �*Uil donc aueua. Moyen de vous awurer, en -dehors de cm projeta d'union devenu� imposables, Libre joursaanoe- de ces t. , , _ . , � biens que rou'i Uguea votre oncle. Il
/,� dr T�i�c et ,h S*cr,.; �����;'�� r^mUof.t a� chef de i. �Tvolii nrun d. Lt.^.nr. �' Buiuli�f I f��"� ^irt-lUnrics ? � ^,
r'uUutfl^., : T"iin tes regarda h tann�rent aride�
-1^ LES MIEt'X CHOISIS _ J ment vtm Augustin*,.qui aeale, avait le_
IJOTTES ESPECES .BE wbbkw.-�j.*"*' dc tm ^'.Pf^ quaper--"dqc encore-n'avait ow? ruquer :
�-Monsieur, repriUelie. exonse� rinex-
ble de Urut co�oilier ; [ne .^testament de M.
. il me *emble. nd prieur ^
l'impossibilit� de tooi accorder mi niaiu et...
�En effet, dit !e chevalier, une cl*�ae * dont je n'avaia pa� cru convenable de tous parler.,,
: �Quelle esUello T r
'-M
QUI
la l�ccofliioa.
�Vous aurez cette reooaciatidu tro: - � " ��ur.
�4-u nom da ciel, r�fl�chisse! ! dit le cheviller au comble de Y�totmemeot ; aavex-vous que notre oncle, du� la crxinle de morceler �a fortune, u'a �tahli aucune . compensation pour voua en cm de refus ? . . soi ex vou� qu'U -s'egit d'une fortune ~ prtaqne princi�re, de cent mille livres de " rente?
�Qu'ieiporta, monsieur ? je voudrais qme oetLe fortune f�t plus eot�id�rable encore pourvu faire le aurifi�e � ma ^ bonne tn^re, a mon cher bitxifaheur ! Je �apporterai evec eux l'obicur�t�, la-pan-. Tfic, et ne craignez pu qw jsmai* j# j m'en plaigne a mon riche cousin le chevalier do tfaint-Maurice,
"Ni Mme Louise ni le puJegmatique Claude lui�m�me ne purent couteoir leur admiration pour cetto �itD*?r�sit�' d'une jeune fille qui renon�ait � fnt et de ti brillante avantagea, lia la praae*�nt due leur� lira�, la conviant de .armes, et d� baisera. Le cheTalier Iui-m�me n'�tait pas josLiisible � U nobk'et coungeofle' r�&. goation de la jeune couBiue , miia � ue lui restait d'autre-parti i prendn que d'autru j d'accepter une propomiiun qui �mplihui tout, et il d�t i Augost�oe, quand le? . transports de g*a parentfl furont un r*a . ealnrfi : -��
�Je dsTrnia |reut-ctrep ni�'ieraui�l�e, � rofoser de* offre? trop g�n�reuses, msiA dfise�igence� plue punraaotea que t "nto vo�uot� m'obligeai de ne pu les repous-eer. Aujourd'huique la noblesse ri long-tempe di5pefaf> peut enfin �e r�unir sotu� un gouvernement pat�rncl et l�gitima, il ~ e^t du devoir de toua les chefs du anciennes famille** dc rutun^tiiucr � tint prix l'nnitc' de Icora otaiioos. �tat ce devoir qui m'� fom'- de mo montrer t^vira et! intraitable au sujet du second mariage de votre more, c'est ce devoir qui m'a forei.de mettre � une union avec vous qui e�t combl� tues freux les plus cbern -des conditionj'fjue vous arra t�utiA reje^ t�ea sana h^aiter ; c'est ce devoir qui m'<> bligo encore ft profiter de ce beau d�ain� t�reeeo�ueni, dont, je L'avoue, r11 l>iie para�tre indigue. Je wn donc partir confiant i votre proroftMe. '' ' "�
�Quand monsieur le chevalier-nom le demander*, dit, la bartnne sans Ii�^ht -aller la main de si fille, qu'elle te��it
uthen'
Ilyarira Ee�l><l* Dann tnv> Tvi J�ndU Voira, aa�p>4 la* Jon� qu'il y �mst tU-Wl�.
-Oiia�*,TJ�tB. itre. *�
que pourvu de toutes les aignaturos r��* cessairtf ficri envoya su lieu qu'il d�signera, -f ' '
�Et votre parole � tous que �c phu profond mjityre couvrira l'exieWoce <le* " deux'dames de Sa�Dt*Maurice4ana e*Ua~~: maiaoo? -""^
�Tout1-; monde i^nore^ce secret et oa, V-l'i�nprcra toujoura. -*
toat� per�ait un peu J-� di-pit, pcat-Ctre iuvolouuir�, jamais Mite Augqjtine, tnutus ttvi'K pnur nn autre -[uo pour , moi consentait � se marier, je craiodra�a quo la ne de wn titrait do naisfladee.. > �Voua a'ave� rien � craindre de ce ��U5, monsieur le chcmtter, dit M�gMt ; l'ao�o fiit � Paris aous le rw^�niQ dfe la Terreur ne porte aucune d�b4gnaliop de titre� et ne contient iiueleoom. de M�-oard. Votre ai�erei �cra bien gard� ; et �
usant aui dvox perennoea qui axi^ottr-^__'_
d'hui, dans cette niaiaoo, ont surpris la T��riti5( je croie pouvoir r�pondre de leot discr�tion. I.'nn. ent aocica notaire, lautre..--
cvntmar^