AVIS.AVIS... AVIS... AVliL* NOTRE NOUVELLE ADRESSE:
64 RUE CHARLES EST
TORONTO M4Y-ITI
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VOL 3-No 1
TORONTO 25c
LUND113 JANVIER 1975
A TORONTO
QUEBEC
L'A.C.F.O. rencontre Welis
L'Association Canadienne - Fran�aise d'Ontario rencontrera l'Honorable THOMAS Wells, ministre d'Education vendredi le 10 janvier, � 3 heures.
Cet organisme francophone est tr�s m�content du comportement de 4 conseils scolaires qui se moquent de la Commission des Langues d'Enseignement en Ontario.
La Commission des Ecoles S�par�es d'Orillia refuse de donner une �cole fran�aise et emploie tous pr�textes possibles pour enrayer la r�alisation de ce projet.
A London, la commission scolaire dit respecter d�j� la recom-mendation del� commission de fonder une �cole �l�mentaire fran�aise, car selon ele l'�cole Alexandra r�pond aux besoins des francophones. Donc la Commission des Langues et la commission scolaire ne s'entendent pas sur
la d�finition d'une �cole fran�aise, ses buts et ses objectifs.
A Eliiot-Lake, Le Conseil Scolaire de la Rivewood refuse cat�goriquement d'�tablir un pavilion de la langue fran�aise autonome sous la direction d'un vive-principal francophone � l'�cole secondaire d'Elliot-Lake^ Le Conseil Scolaire d'Essex refuse cat�goriquement de construire une �cole secondaire pour desservir la population d'Essex et de Windsor. La Commission des Langues a recommand�, il y a d�j� quelques mois, la construction d'une �cole secondaire pour accommoder 870 �l�ves francophones.
L'ACFO d�sire conna�tre les moyens que le ministre Wells, entend prendre pour faire respecter les recommandations de la ; Commission des Langues d'Enseignement pr�sid� par Mme Elise Grossberg de Toronto.
O�, QUAND, COMMENT, POURQUOI? . � *
Une �cole interm�diaire � North York
Bient�t ce sera le second Carnaval annuel d'hiver organis� par la Chasse-Galerie.
On chantera.
On dansera.
On s'amusera..,.
VENEZ EN FOULE
DATE: du 25 au 31 janvier inclusivement
INVITE D'HONNEUR: Le Bonhomme Carnaval d� Qu�bec.
Le d�tail des activit�s du Carnaval est donn� en page 5.
Un Nouveau Conseiller de la Reine
Me Fernand Gibbs
Mi Fernand Gibbs, avocat bien connu du sud-Ontario a �t� r�cemment nomm� Conseiller de la Reine.
Acadien d'origine il habite Port Colborne depuis nombre d'ann�es. Il fit ses �tudes primaires � l'�cole publique de Baie Ste-Anne, Nou-veau-Brunswick et ses �tudes secondaires � l'Universit� de St-Jo-seph � Memramcook, Nouveau-Bruns wick, B.A. en 1952. Il compl�ta ses �tudes l�gales � l'Universit� de Dalhousie, � Halifax en 1957. Avocat-notaire, il pratiqua � l'�tude de Claudius I. L�ger (maintenant juge de la Cour Supr�me) et � celle de Clarence Roy � Moncton, Nouveau-Bruns-wick pendant trois ans.
En 1961 il transferra au bureau de l'Ontario et en janvier 1962 il mit sur pied un bureau d'avocat-notaire � Port-Colborne; il ouvrit un second bureau � Wel-l�nd en 1965.
M. Gibbs a �t� tr�s actif au sein des organisations professionnelles politiques et sociales du sud-Ontario, notamment il fut �chevin au Conseil municipal de Port-Colborne pour un mandat de 2 ans en 1964 et entre 1969-70 il fut membre du Comit� consultatif pour les �coles fran�aises de la r�gion de Niagara Sud. En 1970 il fut �lu conseiller au Conseil scolaire de Niagara "Sud, et devint le pr�sident du comit� consultatif pour les �coles fran�aises et en 1972 il fut r��lu au conseil scolaire pour un terme de deux ans. Fernand Gibbs est membre du Club Richelieu de Welland dont il fut directeur, secr�taire, vice-pr�sident et pr�sident. En 1972 il fut �lu vice-pr�sident du Richelieu international et en 1973 r��lu � ce m�me poste. Mari� � Mary Rosta, ils ont 3 enfants et demeurent � Port-Colborne.
A North York les parents francophones peuvent envoyer leurs enfants � l'�cole �l�mentaire Norman Ingram de la maternelle jusqu'� la 6� ann�e. En septembre 1975 le Conseil Scolaire ouvrira une 7� ann�e publique fran�aise et une 8� ann�e s'il y a suffisamment de parents int�ress�s � l'obtenir.
Il semble que le Conseil Scolaire serait int�ress� � �tablir cette �cole publique interm�diaire � Etienne-Br�l�; ce qui serait d'un grand avantage pour les �l�ves qui pouvaient utiliser les ateliers, le gymnase et toutes les facilit�s offertes aux �tudiants du secondaire telles la musique, beaux arts. La transition du primaire au secondaire se ferait � un plus jeune �ge et serait probablement plus facile pour les �l�ves et solidifirait le concept de la famille des �coles.
M. Jules Drouin, pr�sident du Comit� de la langue fran�aise a
confirm� que le Conseil Scolaire de North York avait �t� mandat� d'ouvrir la 7� pour septembre 1975 et que les agents d'�ducation du Conseil Scolaire sont � �tudier la question et soumettront � la prochaine r�union du comit� un plan d'action ,afin d'offrir aux franco-, phones un syst�me complet d'�ducation dans " le syst�me publique.
* M. L. T. R�millard, directeur d'Etienne-Br�l� a confirm� qu'il y avait eu consultations et pourparlers quant � une �cole interm�diaire mais�3%que rien n'�tait d�finitif et que plusieurs alternatives �taient � l'�tude.
Le 22 janvier le comit� consultatif de langue fran�aise tiendra une assembl�e d'�lection. On pr�sentera le rapport des activit�s du comit� et il y aura p�riode de questions et r�ponses. Les parents int�ress�s � en savoir plus long sur ce projet auront l'occasion de se renseigner lors de cette assembl�e.
a
SOMMAIRE
Editorial................----------------4
Nouvelles r�gionales.----------. 6
Ans et lettres..�.............. 8
Mots crois�s...........�........ 9