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L� i�$L '�'�l�pfeone et l'Expansion rurale
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TIU PM DE LA
De pins en plus dans nos. campagnes, on volt les camions verts de^laJ&TjQ,' an* �savent de rem.T pl|rV lester� j(it)grainme d'expan-. sien rurale de la compagnie.
��v* tn*y-,a quelques ann�es, les h�m-;
( mes de ces servies et leur,�quipa pement, �taient employ�s'dans1 la m�mo ligne, Cependant c'�tait sur quelque route de la - campagne/ fran�ajae ouitalienneqn'Us.tra r variaient wm Iea obus- �4 les bombes. Le mat�riel produit par le Northern- Bleotric Co, qui aurait de> �tre utilis� au pays �n temps normal�'Suivait la m�me, ronjj�,
pli�atiea. (14,000)
Ceci est, en r�sum�, le fond de l'histoire que le panphlet de quai tre pages de la Bell T�l�phone Company s'intitule "An Informai Report to Persons �ntpnded in the Development of T�l�phone Service in-Rural Areaa". C'est une, description efficace de ce qu'a fait et de ce que fera la compagnie dans :<i domaine.- v
Sous ce programme, dont le co�t attendu est de 25 � 30 millions d'ici � 1951, plus le 6.8,000 t�l�phones- additionnels seront instar l�s. dans /les qamnajgnes de <TOn^ tario et du Qu�bec. L'an pass�
quelque 369 nouveaux circuits �-l�phoniqoes et plus de 12,000 t�l�phones furent mis en op�ration et � la fin d'ao�t cette ann�e, 10,000 autres fuernt ajust�s. Ce qui signifie que 69% des familles relaies dans les territoires de -la compagnie ont le t�l�phone, compar� avec 55% au d�but de 48, i8_ p.c em47; 39 P.c; en 46.
Les fermiers canadiens ne consid�rent! plus le t�l�phone comme un luxe mais bien comme une n�cessit�. En cons�quence, la corn* pagnie a � faire face � un'nombre de plus en plus consid�rable d'ap-
Pour apporter � tous, un service
aussi populaire avec une telle raret� du mat�riel, il a parfois �t� n�cessaire d'augmenter1 le nombre d'abonn�s sur une ligne. Ceci n'est cependant qu'une mesure temporaire. . �� \
La Compagnie a invit�, les critiques par des enqu�tes afin de pouvoir arriver �-offrir le meilleur Serviee possible. Mais comme le fermier, elle a. �t� arr�t� dans son extansion par des restrictions innombrables. Ceci n'al-t�ro pas le point essentiel de son programme: "Un meilleur service � plus bas prix"
lia Libre Entreprise V�ritable Cr�atrice de l'Industrie Atomique
Le#--mer?eiHe� de rindus -^vous, fixant litt�ralement - lesfcubstance radioactive gui se^
rfise:
iique
avanc�e
et production/ en quantit�s. Un- article du nu � m�ro de novembre de SELECTION du Read�r's Djgest constate que "sans l'organisation super-scientifique de la fabrication, impos�es par !la libre ^Concurrence � nos industries p�trolif�res, �lectriques, chimiques, ra'diophoniques, etc. et sans^es.techniques de production- en's�rie'quf en sont l'aboutissement, Oak. Ridge n'aurait jamais vu le jour. Il n'e�t m�me jamais �t� con�u."
La' fameuse usine d'Oak Ridge comprend pat- exemple, �des aimants de 230 pieds de Ion -gtieur tfqui exercent une attraction si forte qu'il est presque impossible de s'en approcher, les clous de vos souliers
Cbwnqasa �tewationeia
� suite de l� pag�l �
11 y a d'innombrables autres cas d'injustice, Mais laissons . % cet aspect peu reluisant des pr�dications des nations if�mAevatiqttee�
:v;:':;<;;- :U:[ ^.:J.�:'�.^-H--i-.J:;-:..'::- :; Discours de �L ChuTchfll
Quoique I'ojd puisse nenser de certaines d�VO�^^ajjr^jolitiques de l'ancien- prem�e^ ' vbiis|re ;du Royaum^UnV op.U^^tgs-crire; MtPie#* ^
ronp^iip^ipn^ m*mi
j��r^M |^tten|4ui
pr�s; h vite^se^dj�S'particules: gj-andeftj atomiques;: Une * pompe qui tourne � une vitesse sup�rieure celle du son. a co�t�; 250,000 heures de recherches et de tr�r. vail avant d'�tre r�alis�e; ; Un seul groupe d'usine � Oak Ridge, le groupe �lectromagn�tique, se compos� de 170 b�timents qui ont co�t� $400,000,000 � plus cher � eux seuls que le canal de Panama. L'installation la plus " consid�rable, appel�e K-25, est l'usine de diffusion des gaz; son b�timent principal est le plus important �difice du globe �tabli sous.un seul et m�me toit. Il est en forme de U, �t ses ailes ont plus d'un mille et demi de longueur. v
La pile atomique d'Oak Ttid-ge, destin�e � la production de
fitaemSit�iS oja Dratiqu.es par j'afen�e, Tind�strie, la m� deeirie, etc.,<p�ut fournir, en puissance,^plus d'�nergie, que toutes les locomotives du mon^ de r�unies.* <�
Un merveilleux ^syst�me de "robots" ex�etfte les ^op�rations partout o� la radioactivit� pr�sente un danger pour les travailleurs.^Et de temps � autre les machines et outils utilir ses dans ce travail � distance sont d�finitivement ensevelis^ pour- �viter toute -action nocive sur des �tres humains.
L'auteur d�clare que dans cinq ans on aura r�solu le probl�me de la production commerciale d'�nergie atomique. Mais on n'envisage pas encore la possibilit� de voyager en auto ou en avion atomiques; la radioactivit� exige encore Un blindage trop lourd. r
?gne nous a n| ni qu'elle a nul ayx Am�ricains au cours de la guerro,". M. Churchill a .ensuite; fait un compliment douteux h l'adresse de l'ESpagae: "Je d�clare qij'il y a beaucoup p}us de libert� en Espagne, aoua: ITraneo qaa dfina teafle pays1 oerrl�te le-rideau de fer". trtt�e'f�W'JChnrc&i} �W cel}e-ct: �^ia^u/W y a plus 4e Ifc heft� en Espagne que dans tous pays- derri�re1 le rideau de fer et puisque ces pays font partie de 1 Organisation des Nations Unies, pourquoi ne pas admettre l'Espagne!
F�d�ratJea latfae! .
L'ancien premier ministre britannique est d'avis que l'Eapagne doit faire partie de la nouvelle acr c��t� des nations. II ob�ft sans doute �: un< opportunisme politique de bon aloi. Il,n'ignore pas qua le mar�chal Mo^tgoniery, g�n�ralissime des for�es des cinq pays qui nt sign� -l'accord de Bruxelles, a < �j�-pris contact avec T�tatana-jor espagnol en vue d'utiliser au
L'ACTION CATHOLIQUE. �Met� tons-nous bien ceci dans la t�te: Pas plus que le� deux dern)i$resi, cette noqve.lle guerra n'enf^dro^ va la pafac. Au e0fltmiper �II� af-gravera les probl�mes qui' divisent aujourd'hui le monde, Quand la gi<erre, est imjatos�e, U faut bien que les paya attaqu� se d�fendent; mais si on n'entretenait pas ce vain espoir qu'une victoire �veataella apporterait la paix, m y regarderait � deux fois avant de commettre une aggresslon ou de �a. repousser 4P tac au tac avec la. force arm�e,
Surtout n'allons pas nous faire illusion sur l'effet d'une guerre victQxieuse sur le communisme. Nous l'avons d�j� dit et non* le r�p�tons avee pIhs de conviction qye jamais: m�me l'�crasement de l'Union sovi�tique pe signifierait pas la destruction du communisme international.
besoin des pprts efr les bases a�riennes de l'Espagne. Bien plus, si le mar�chal Montgomery a �tabli sa premi�re ligne de d�fense sur le Rhin, i) lui faut pomr la d�fendre cinquante divisions, dont vingt- seraient espagnoles;.. Advenant l'effondrement du front du Rhin, les arm�es occidentale� se retrancheraient derri�re les Pyr�n�es. Franco ne disait-il pas r�cemment S�ville: "SI la maison de �oa voisins prenaient feu, 11 faudrait que noua aocouriene pour sauver la n�tre".
M surplus i� est de plua ea plus que*ion 4'one f�d�ration laUne, comprenant liEapaftne, le Portugal, l'Argentine et .d'autres r�publiques de VAm�rtqu� UtSsa. tfr ^ratfffi qui ferait pendant au Pa*t�r*�; VAttamUvm* J#�rd, �Mt* f���mtie� latine ne compterait pas tant pur l'appui des BtaU'Uv pis que sur eUe-m�me, par sm propres forces & ses ressources. Au besoin elle pourrait constl -tuer une troisi�me force qu'M perait pas sage de m�priser. 11. Phurchill, qui ne manque pas d� pagaeit� � ses heures, voit bien rapport qqe pourrait apporter an monde occidental la f�d�ratioa latine ea voie de formation. De l� -sa vigoureuse fptervention en tayeur de l'EsPapue, Elle con^ tu� un cpwneaceraent da justice envers ua pays qui, bien avaqt la Grande-Bretagne et les Etats-Unis, a cpmpria la mena�a coav> rtuniate grandissante.
An�r� LarHeht
ti�n des industries de paix aile mandes. Il a recommand� le par tage de l'Allemagne en,. Etats� dans/le but de permettre'� ceux-ci de recouvrer une part de leur autonomie. La pens�e/de M. Churchill rejoint ici celle de Jacques BainVille qui, d�s apr�s la premi�re grande guerre,. pr�conisait le morcellement de l'Allemagne en Etats autonomes, conform�ment aux traditions et aux donn�es historiques de chacun d'eux.
Les relatfoDs avec la Russie � ��
L'ancien premier ministre bri -tannlque a* admis' :en toute fran -chise que les- restions du monde d�mocratique avec la Russie demeurait ;te principal et Te plus �-plneu^i probl�me; de l'heure. Il a ni� tQu^feis^qu'JJ. ait pr�conis� une politique de guerre avec les Soviets. Tout au contraire M. Chur-
8*aa9ur�^tMi^e' $^11 a-i-il -souvent demand� aux
ers
Isra�l* res
et pr<^|&4| sont l'h�ritage
M.
iCmi
slficatlon et^utres proc�s pris" sent fin, de m�me que la d�moli
ions antagonistes^ de > venir b. �nten^e>- avant -qqe 4a Russie �de la bombe atomique. D'a-s lui la giwwe Ti'^st pas jn�vi-ble^as; plus,d'ailleurs, qu'il n'�r. taltVavis qu'elle le f�t en 1939. Ce point-est clairement mis en, �>
vidence dans le premier volume de ses m�moires de guerre. Mais le monde aujourd'hui comme il y a dix ans, c�de avec fatalisme � une psychose de guerre. Ce n'est, pas que celle-ci sbit impossible Mais entre l'impossibilit� et l'in�-vitabilit� . d'une catastrophe, il y a toute la diff�rence qui existe en: tre le salut et la mort du monde. M. Churchill veut que ,1'on t�che � en arriver � une entente avec la -Russie, tout en consolidant les forces occidentales et en donnant une nouvelle extension aux pac -tes de s�curit�. ^ ,
M. Churchill et l'Espagne
; L'une des parties leE plus int�ressantes du discours de M. Churcrill se rapportait h.l'Espa -gne. Il a pr�conis� l'admission de ^elle-ct � rOrganis�tfon'des Nations- Unies. "L'aide indirecte que l'Espagne nous a accord�e durant tputes lar guerre fut un service immense, a dit l'orateur. N'oublions" pas que l'Espagne a refus� de fa-�CllHer : le* mouvement des Alle-n^s^y^w.Gibraltar et qu'elle les a emp�ch�s de p�n�trer �n Afrique.On� ne ptfut dire que l'Espa-
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