l'ami du msm
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LIMMACUL�E
Lorsque nagu�re au rocher Mass�bielle, Vous d�voiliez votre'bont� pour nous/ Vous paraissiez resplendissante et belle En souriant �| l'enfant � genoux.
. Vous lui disiez: "Je suis l'Immacul�e; "Qu'on vienne ici m'invoquerj chaque jour, "Puiser et boire � ma source sacr�e, "Et ressentir l'effet de mon amour."
A vos enfants daignez sourire encore, M�re, daignez nous sourire toujours; Vous que jamais vainement l'on n'implore, Accordez-nous Votre puissant secours.
MIETTES HISTORIQUES
R�signation Chr�tienne
VIEINDBEbT, 9 DE{Ci3MBRI3,rX9>9.
La source
La source tombait du / rocher Goutte �. goutte � la mer affreuse . L'oc�an, fatal au rocher, Lui, dit: "Que me veux-tu| pleureuse?
Je suis la temp�te et l'effroi ; Je finis ot� le ciel commence. Est-ce que j'ai besoin de toi, Petite, moi qui suis l'immense?"
� La source dit au gouffre amer : "Je te donn� sans bruit ni gloire, Ce qui te manque, 0 vaste mer!" Une goutte d'eaif qu'on peut boire".
Une m�re d'une nombreuse, ta mille, vivait depuis plusieurs mois dans l'attente douloureuse de la mort de son fils a�n�, qui venait de terminer ses �tudes. Un pr�tre fut charg� de lui annoncer qu'un autre de ses fils venait de se no y�r... Il se rendit aupr�s de cet te pauvre m�re ei ma�trisant avec peine son �motion, il lui dit qu'il venait lui annoncer une triste nouvelle. Elle crut d'abord qu'il s'a gissait de son fils malade, mais le pr�tre lui dit qu'il �tait question d'un autre membre de sa fa mille, elle se jeta � genoux .et lui dit: "Mon p�re, b�nissez-moi a-vant de m'annoncer la triste nouvelle afin qe j'aie la force de la supporter." Le pr�tre la b�nit -ej; elle lui dit: "Maintenant, parlez, mjoi p�re. " II paria et lorsqu'il e�t fini-, lt m�re lui dit: "C'est-terrible mais que lav�iont� de Dieu soit faite. "L� bon et cher enfant a-vait communi� le matin pour bb tenir la gu�risotti de son fr�re mourant. Et lorsque le pauvre malade lui-m�me apprit la mort de son jeune fr�re, 11 d�ploya le m� me sang-froid que sa m�re, la m�me r�signation et se consola comme elle par la pens�e que son fr�re avait communi� le matin.
L 0. DAVID
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Victor Hugo �
Le fr�re J�suite Gilbert du Thet
En 1611, les P�res J�suites Pierre Biard et Enneuond Ma8S�*; & ^ .rtv8Jenl';��-\�c^
leur apostolat aupr�s des sauva, ges, Au mois de Mai 1613, le Pi�re Quentin et le fr�re coadjuctenr Glibert et Thet venaient pr�ter mal^ forte aux p�res Biar et Mass�. Deux ans de s�jour � Port Royal avaient d�montr� aux p�re� J�suites l'impossibilit� de fixer le centre de leur mission � cet endroit � cause, probablement, d� la difficult� d'y attirer les sauvages. Aveo la permission du roi de France, ils transport�rent le si�ge de leur mission sur un ��tro point de la m�me c�te,-qu'ils - nomm�rent Saint Sauveur. Les trois P�res J�suites et le fr�re du Thet �taient � peine �tablis � St-Sauveur. que les Anglais, Sous le commandement de Samuel Argall,
arriv�rent a l'improviste. Le navi-
re de la petite colonie,, le "Jouas" se trou�t .dans le port. .Ils l'at-
les ;Fran�ate ne s'attendaient, pas � "�tre attaqu�s. Il n'y avait pau m�me de canonnier � bord. � La premi�n� escopeterie, dit le P�re Biard, fut terrible du c�t� de l'Anglais, tout le navire �tait en feu et en fum�e. De notre part, on r�pondait froidement, et l'artillerie �tait muette Le capitaine Thory criait bien: "L�che le canon, l�che, mais le canonnier n'y �tait pas Or, le fr�re Gilbert du Th�t, qui, de sa vie, n'avait �tS peureux ni couart, entendant' ce cri et ne voyant personne ^qui o-b�it, prit la m�che et nous Apparier aussi ; fort que l'ennemi Le mal fut qu'il ne mira pas. S'il e�t fait, peut-�tre y ��rait-il eu. quelque chose pire que le bruit" ;
VARIETES
En revenant de la p�che �
� Hier, je sul all� � la p�che et j'ai rapport� quatre gros poissons. �. Moi, j'en ai rapport�] douze.
� Ce n'est pas vrai,
� Si c'est vrai* c'�taient deux boites de sardines qui contenaient chacun six.
Bien renseign� � UN MONSIEUR, qui vient douter; un ^rcean;de fanfare, ~,<! "
Ml
Les Canadiens ont obtenu Calum Mackay, �toile aile-gauche de 22 ans des Capitals d'indianapolis de la Ligue Am�ricaine de Hockey, en �change pour le v�t�ran aile-droite Joe �arveth (ci-dessusji en plus un certain montant d'argent
le g�rant-g�n�ral .des Canadiens, Frank Selke. Cependant CarvetlT n'est, pas all�; �V. Indjanapolis, mais au lieu, il ; s'est rapport� � son ancien club; le D�troit Red Wings. Le D�troit est le club qui a donn� naissance �- l'�quipe
non d�voil�. C'est ce qu'annonce j d'indianapolis..
num�ro neuf, monsieur.
g|Do^
LE "MUSICIEN, consultant gra' vement son- carton:, �- "C'est: l�
dans le corps, dont '.I mourut le peu apr�s un coup de mousquet lendemain. Au dire du P�re Biard, lo fr�re, du Thet mourut avec confiance, r�signation et d�votion. Au d�part .de Honfi�ur,/ en pr�sence de tout l'�quipage, il avait deman; d� �. Dieu de mourir" en travaillant � la conqu�te des �mes, et au salut des sauvages. L'humble fr�re fut donc le 'premier religieux et peut-�tre le premier fran�ais � donner sa vie sur le soi canadien pour la foi et laj �, France ~?-t '�.
Bulletin des Recherches histori-Le pauvre fr�re du Thet re�ut ques 1934.
"Repose en paix! Au revoir, &vl ciel s'il y a encore de la place."
arriv�.
Lui � Tu aurais d� l'�pouser a-
"=|^Sni�>r":\:--. "-';r.:'-_f-r:.:: .">. '^;/\:'^:>v:'-/i�Srv'-" Elle �� C'est justement ce que? j'ai
Une belle coquille �
Un imprimeur, avait re�u d'un client ; la commande ; d'imprimer cette d�dicace sur le ruban d'une couronne mortuaire: "Repose en paix! au revoir.
UW heure plus tard, le client t�l�graphie: "Pri�re d'ajouter "au ciel" s'il y a encore de la place."
Le lendemain � horreur! � jour de l'enterrement, lorsque la couronne fut accroch�e � l'arri�re du corbillard, on pouvait lire eh : lettres d'or sur fond vtoj�i
V
du/
&MPMOIAAFIN * DE PILLEZ SANTIAGO, '. VILL� DE L'!NTʣ1EU&, MQf&AU COMMANDE A0OB�UCAl4IEBS;mm TANfDEUX NAVRES. IL ETUDIE UN PIANOS D�BARQUEMENT DANS UN PETIT VILIAGEQE LA C�1E' 1
L'APPIZOCHE OE DEUX f OUI-.MAl* LE NAVIBCi �$TDIFFICILE (PLUS ADI�IMUteR:.VA5-TU JC'KTOW�LANOO-1 0E8ACQUER DE NUIT, /V�U� PARVIENNE CAPTAINgWOBSAM.fi AV; SANTIAGO/.
fais \nf�v JACkMA^DEaAi� que te. hommeser ceewe
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MOeOAM^AlOj^ME POUVONS LEV�g. DE dAhl�OKi CWIWU^IAPEINE...JE SU�X'ALpADE OU tWItWU^�JMMPLOaE VOTK� PIT��?$
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reux. � - � De Ronald _~ ' La bont� dans les /apports est le principal charme tfe la irte. % Lacordaire �
LES OUVRIEBS A^Bi|aOS ^ ONT RAISON DE BECL�jHEB DES HAUSSES DE SALAIRE^ . ' � Suite de la page 3 � � �
production de . charbon telle que les compagnies auraient cong�di� des employ�s � droite et � gauche," si Lewis ne les-avait, pas l�i-
m�m�;retir�s. �^l.:i;:;^Z--';i:>Z''i^:^^ ^%ypth�se de ces Journaux que, si Philippe Hnrray (�t les autres chefs syndiqu�s) cessaient de r�clamer des salakes plus �lev�s, �tv laissaient la comp^^e-payer ce qu'elles l�s: croient iinJsoiinable, il s'ensuivrait un flot tatonompu des revenus pour-Ies employ�s et de bonnes affaires en g�n�ral, est �galement �njt��j^^
"Ce syst�me a d�j�, �t� mis � l'essai, et il provoque d,'in�vita-blea ^d�pressions; La part du salari� dans ^es
tion doit �tre assez forte' pour lui
permettre d'acheter ce qui se
profit; autremehii,,: le cycle de '>
rindustrie cesse d� fonctionner,
les usines' b<b ferment^ilo^ch�mage
sur^enti;^tHo^^^
:;3'^anss^lon|f�^^
triels, en qn�^'de'i^tt^'inslt'
tent^p^up|aug^^
pour ' les, baisser lo^q�e les a-
m�liorattohs?de la �roo'uction le
P^e^ejtein^^n^s^^d^^s- : \
moyens pratiquer
employ�s. :Lej fait que nci� connaissons du ch�mage en certaines r�gions prouve que ' cet �quilibre n'a pas Jt� maintenu; que les chefs ouvriers agissent dans l'int�r�t' g�n�ral: quand Ils Ir�ciament que lej salaires ;soi^ :aii|i
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