a
s
d-�
�-
M
�-
If
lit
in u-u-
Be n-
lIS
lut
n
n sr*
t�f!
a-
4*L
m
�S"
-al
REGIONAL DE L'ONTARIO NORD
%f-; ^SOI�BOBT ONTARIO, VENDREDI, 1? D1MEBRE; U49�
LE NUMERO: 6 SOUS
/�il
I*"
Que
les r
s futures entre France et Allemagne ?
LES PLtFS PDISSAMTS DIESELS DU CAIADA
y
a
de rt-
�-
nr nt �
es er lt� m-nt
a*:
de
�
1er
tl-ne
as
rites' � ree
�e-W-la-�-KM) le-m
BU- t.
:;-:%.::^:fte
? L'Accord de Petersberg conclu entre les trois haute commissaires alli�s de l'Ouest et le Dr Adenauer, par lequel la r�publique f�d�rale allemande g adh�r� au statu/ de la Ruhr et les Alli�s ont convenu d'un arr�t partiel des d�montages, constitue un commen-sement d'int�gration de l'Allemagne de l'Ouest dans la Communaut� europ�enne Nous n'avons pas l'intention d'entrer dans le d�tail de cet accord ni d'en souligner la port�e lointaine. Nous pr�f�rons souligner la tache difficile qui est celle de Robert Schuman, miaistro des affaires �trang�res de la France, et de M. Adenauer, chancelier de la r�publique f�d�rale allemande. Le dialogue entre ces deux hommes d'Etat est relent! et souvent interrompu par les clameurs qui s'�l�vent de chaque c�t� du Rhin.
La position de M Schumau est simple: Tint�gation de la R�publique f�d�rale allemande dans l'Europe occidentale est une n�cessit�; mais toute �volution dans xette voie, doit tenir compte du besoin de s�curit� de la France. L'attitude de M. Adenauer peut se
possibles la reconstitution de for* ces arm�es. En d'autres termes* aucun r�armement de l'Allemagne n'est envisag� ou discut�. En ce qui concerne les d�montages, la haute commission a revu la situation � la lumi�re des assurances donn�es par le gouvernement f�d�ral. Un certain nombre d'usines seront biff�es de la liste des r�parations et le d�montage de leurs installations sera sup:i'iifli:. Cependant, � les -usinas ��ttf^onUvs m:-pourront, �tre resta us�es .eu r< e v p�es fiuavee 1 au-.c-risation de 1 Oi fice de sSeiin�" militaire. Les usi-n�s ft�i le s d�montages ont �t� suspendus seront remises � un contr�le ad�quat, afin que l'on ait le garantie du respect des. limites fix�es � la -production de � l'acier. (11, 1 millions de tonnes par ann�e). Plus simplement, � cela slgni fie que 83 pour cent des '.isiries de. guerre ont �t� r�duites � l'impuissance.
Le statut de la Ruhr �
L'adh�son de la R�publique f� d�rale allemande au statut de la Ruhr constitue encore une garantie de s�curit� pour la France. Par l'accord de Petersberg, le gouver-
ramener � ceci: L'Alllemagi�e ne nement allemand a manifest� son d*oit rien faire qui puisse donner intention de demander son admis-
t
Un locomotive diesel g�ante, � lignes a�rodynamiques, la premi�-ie du^genre � dire affect�e � un service �de trains-voyageurs au Ca-a^�t�itemise, ces-Jours d�r*
que; & la Orange, 111. Cette pute* sant� machine de 2,250 chevaux fait "partie, d'une commande do tr�is semblables qui serviront &
bora, � droite dans le m�daillon, vice-pr�sident de General Mfitors et directeur du service de la force'
'motrice �lectrique, a remis � M.
compl�ter^dtewllsatlon dF ^Hn.R. Crump, � gauche, un Iwler
fig-jtWW Mftt ^ff fPfffl S��t Les 11,0,8 Pr^uiiers arr�t�s dans u ^^f^Vf"1- -ne'chambre d'h�tel sont, Russe*
deianxMa*de $10.00
Des billets jie $10.00, des faux mais parUculi�rement bien imprim�s circulent � Sudbury. La police a, � date, effectu�s cinq arrestations dont quatre hommes et1 u-ne femme � se sujet Les quatre premiers avaient de# faux billets en leur possession. Plus de |400.0v en faux ont �t� trouv�s sur eux.
ne
Godin, Loob Conto. Jim Lawson, Kenneth Merrll. - Tous donn�rent leur adresse comme �tant de Sud-' bury. Un cinqui�me a �tre arr�t� fut Roy St-Denis qui le fut � Toronto par la police de cette ville. |1 avait aussi un "rouleau" substantiel sur lui.
La police ne croit pas cepen? dant qu'un tr�s grand nombre de billets aient eu le temps d'�tre �chang�s.
On loi d�cerne un Dipl�me de G�molog�e �
l'Impression � la France que sa s�curit� soit mise en cause. MM. Schuman et Adenauer partagent donc une conviction commune: la s�curit� de la France constitue la pierre angulaire des relations franco-allemandes. Mais h�las! leur'tach�' n'est pas facile, car l��li�liiiirsmtira';'1iiM^r' irrma^> � <H�
^rer l� maximum davantage la e la situation,
nt
m-it-
ig-
IS ut oc h�
ie-
on
m m
m
II
SU
il!
M
.^^mmm^BM^,,..........
Apr�s uejpt�etoe avec le Pape
Mgr GEORGE MELANSON (� gauche,) �voque de Chicoutlmi, (au centre), Mgr ARTHUR D'�UVIL-LB, �voque de Saint-Hyacinthe, Qu�bec, sont, vus id avec Mgr
PAUL-EMILE LEGER, recteur du coll�ge Pontifical canadien � Rome, apr�s leur audience* avec le Souverain Pontife, le 1er d�cembre. Ils sont pris Ici dans la Loge Mantovani du Vatican.
Ci-d�^8U3� M- Roger Dumoulin, de la' Bijouterie Biais � qui "Institut'Gemologlque de l'Am�rique d�-t^rnait r�cemment un dipl�me a-^wc� en Th�orie sur la science 'de la Cem�logle ou l'�tude des
m
..V�';..... ...�.!,....... � ..... .
- .Pour ' acqu�rir ce dipl�me, M. Dumoulin -a du -compl�ter quatre cours"ipar correspondance de_m�me que-les s�ries d'examen qui suivirent.
I^acqulBition dei^e rare:dipl�me par M. D�^umoulln, outre �e fait qu'il fui icdnt�r# une ma�trise personnelle dans-. ��tade et la science du- d�$Npuu&� ajoute & la valeur de la Bijouterie Biais, lui dpnnant un personnel de haute qualification. i
Nos f�licitations � M. Roger Dumoulin" et � la Bijouterie Biais.
Cae Interview de M. Adenauer
Quelques jours avant la roucou tre � Paris de MM. Acheson, Bevin et; Schuman, le chancelier de l'Ai lemagne de l'Ouest accordait une Importante Interview au journal :DIB ZEIT, interview qui marqua us tournant dans les relations franco-allemandes. A la question: quels sont selon vous les obstacles concrets qni rendent difficile une entente franco-allemande, M. Adenauer fit cette r�ponse. "Il y a naturellement la Sarre. Mais permettez-moi tout d'abord d'�carter" .cette question. Car le probl�me de la Sarre comme d'autres ne sera tien compris que ei'on le consid�re dans l'ensemble du besoin de s�curit�: il en est de m�me pal exemple pour les d�montages. La ^Question sde la s�curit� est en ef-f�jt.le,point essentiel des rapports ffaoco-airemands; elle renferme ttssile8 obstacles r�els, les obstacles concrets qui s'opposent � une entente. Et toute la question se Ar�dtiit essentiellement � une question de mesure, de danger de d�passer la mesure �tant des deux c�t�s. Si la France exige trop de s�curit�, sans tenir compte des n�cessit�s les plus �l�mentaires du c�t� allemand, notre attitude ne saurait manquer de se raffermir. Si inversement, nous sommes pr�ts � n'offrir que trop peu de s�curit�, la France ne saurc'.t par--venir � une entente avec nous. Il s'agit donc de trouveria juste mesure de s�curit�." L'accord de" Petersberg est venu confirm� les dispositions d'Adenauer.
sion comme membre de l'autorit� internationale de la Ruhr, o� il n'est repr�sent� pour le moment que par un observateur. La Ruhr, trouvera sa place dans un syst�me �conomique europ�en auquel l'Allemagne sera associ�e. Avec raison) M Adenauer a soulign� que ^^api�JBaii nullement
l'autorit� de la Ruhr, car ce pays a d�j� perdu sa souverainet� par la capitulation et les d�cisions de .Londres. Le seul moyen pour l'Allemagne de seul moyen pour l'Allemagne de pouvoir renvoyer un repr�sentant allemand au sein de la dite autorit�, �tait d'accepter d'en faire j partie. Le chancelier a d�clar� nettement que l'Allemagne demanderait une r�vision de certains articles et il a affirme que la voix germanique serait entendue par les puissances signataires lorsque ces derni�res discuteront des modifications. En d�finitive -M. Ade--r Suite � la page 12 �
11
11
La s�curit� de la France �<
En effet, l'accord de Petersberg consacre la s�curit� de la France. Il indique que le gouvernement ai Iemand affirme sa ferme volont� de maintenir la d�militarisation du territoire f�d�ral de s'efforcer d'emp�cher par tous les moyens
Le C.P.R. ne contribuera pas au tunnel
La demande d'un subside de $100;000 du C.P.R. par la ville de Sudbury a �t� refus�. C'est la r�ponse par lettre donn�e par le Vice-Pr�sident de la compagnie D; S. Thompson. Cet argent devait servir au projet du tunnel, dont on voulait que le Canadien Pacifique en paye une partie. La lettre disait aussi que le chemin de fer C. P. n'�tait pas oppos� cependant h la construclion dJ tunnel pourvu que la ville en d�fraye tout le co�t
LA RESISTANCE EN ROUMANIE �
Selon les nouvelles qui nous-parviennent e Roumanie, la r�sisi_ tandje -�i l'toppresston devient�de plus en plus active. On signale des �vasions spectaculaires de prisonniers politiques, des d�sertions en masse de militaires et surtout des sabotages dans les usines. Cest en Vue de pr�venir dete agissements plus grave que .le gouvernement a institu� la peine de mort pour les �lits politiques et les actes de sabotage de la production. (S.P.C.) 1