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La Cdmmissipn du pr�t agricole canadien; vientde publier son port annuel pburffann�e termin�e, lye 3l1 mars 1949. Cet organisme est une agence, gouvernementale f�d�rale qui consent d�s pr�ts hypoth�caires aux fermiers;; il fonctionne depuis plus de vingt ans. .
' Le rapport d�montre que la Commission, a consenti $4,919,800 en pr�ts au cours de l'ann�e pr�c�dente et constitue le plus fort volume d'affaires trait�es par la Commission au cours des douze derri�res ann�es. Depuis 1929, il a �t� pr�t� plus de 65 millions de dollars aux fermiers canadiens et le placement actuel, en hypoth�ques sur les fermes; d�passe 24 millions. Le fait qu'environ 96 p. 100.de tous les pr�ts en premi�re hypoth�que consentis par la commission n'avaient pas d'arr�rages d'int�r�ts .� ,la fin de l'ann�e fiscale, d�rnoiitr� la, solidit� des conditions �conomiques de nos fermiers. Les arr�rages d'int�r�ts au SI mars 1949 se chiffrait par 0.317 p. 100 seulement du capital dans l'histoire de l� Commission,
Les fonctionnaires d� la Com-,.mission affirment qu'il n'existe u-ne tendance ; marqu�e vers l'agrandissement des fermes surtout dans les provinces des Prairies et que plus du tiers de l'argent emprunt� est affect� � l'achat des; fermes ou de terres additionnelles. Ils font aussi remarquer qu'une bonne partie de l'�mprUnt courant sert � l'achat de bestiaux et d'instruments ou. � l'am�lioration; des fermes, contrairement � ce "�. -qui se passait il y a quelques ann�es �-lors que /l'argent emprunt� servait � payer les dettes accumul�es
;La Cpmmissiom pr�te Jusqu'�, ;$�.OOO en premi�re hypoth�que � k'rembburBabiscni!
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additionels jusqu'� concurrence de
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dett�a/ acheter struments et , terres, ainsi que pour r�parer les constuctions^ ou -fairo d'autres am�liorations ' sur1 l� fer-;
me.
�Je ne connais aucun iendroit o� lia connaissancejdes probl�mes fpn-damentaux de la vie, et �el (TSnri-chissement de " l'esprit :i ; puissent s'accomplir plus facilement., que. sur la ferme", voil� ce que disait rhbnorable MUton F. Gregg, C. V., � un groupe enthousiaste de membres de cercles de -jeunes cultivateurs,, venant directement de l'Exposition Royale d'hiver, � Toronto, et r�unis; � un d�ner tenu: � leur honneur au '" Ch�teau Laurier, ;� Ottawa, le vendredi 18 novembre. �. V:"'-.';'-. ��""'' - '��..��/�'V:''�<'
Remplacent le tr�s honorable James G. Gardiner, ministre de l'Agriculture; 'qui n'avait pu assister au d�ner, le mhiistre: des Affaires des anciens combattants a comment� une remarque faite par S. Exo. le Gouverneur G�n�ral qui, �> vec Lady Alexander, avait �t� pr�sent� au groupe � Rideau Hall le matin. Le vicomte �lexander avait formul� des remarques au sujet "des gar�ons et; des filles chanceux �troitement associ�s � l'agrieultu-
M. Gregg les encouragea��:;� bien prot�ger leur hi�Mtage j�ti � cplja^ bojrer � la cons�rvatioh d�s; res^ sources productrices d'aliments1du pays- II d�clara �gal�meitit; ;aux $&: n�s
lois et des taxes, mais; qu?Hs sont
le peuple; et
qu�r qu'ils
jouer et qu'ils devront voir � ce
que le Canada, et �ventuellement
tout l'univers, soit bien gouvern�.
Apr�s le d�ner, et avant de retourner chez eux dans les diff�rentes-provinces du Canada, les jeunes cultivateurs assist�rent �; l� s�ance de l'apr�s-midi de la Chambre des Communes et visit�rent les chambres; du Parlement, y compris la Tour de la J?aix et la Chambio du Souvenir. , ;
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� ceux qui en ont -encore moins.
�; Lacordair� .-.'. La charit�, c'est tout' le chris-
tianisme.
Bossuet
La gloire et' ta charit�| c'est de de-
viner.
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.sont,
tout smplement ;des b�timents, des
La Cie des TaiDenrs Garean
Habits pptir Hommes et Femmes Mode ;dn Temps
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C'est la question que j'ai pos�e a l'a
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des Redmen de; McGill,'
tfdri^ leur , couine la prochaine $. Onvlui/�^ promis:-vi'J�rtrV^
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Je cherchais iustemeht � �quilibrer le budget fam�- �; liai ef |e (yi qvpyqi que/comme ^1^ famille, i'aVqis fqnf' de di�perew q^� ; W ^rie me restqif^i^ de^^m^ ; - ^ '
;.. ! H 'm'mdiiqua un plan d'�pargne tout simple dwt�n� ' ^�tifja^ qu'un^yisHe chez le barbier, ce^pjan;^s^
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11 non n un Rvofftrna :'.'�lti. H'o-rnAi^oVino' �htia onrinArli-' 'niialiriiio
Je dois beaucoup au syst�me de rqtatipta que j'ai suivi au Instru^ irienti� perfectionn�s que j'ai PJvSn* quand � mes moyens p� v
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; toute8;;les parties de tibn, �aujr livres sur > ou J'ai conseils
et�ttux conversations que J'ai eues avec ; un grand � nombre ; ; d'agriculteurs canadiens, anglais, �cossaisr irlandais. Il est rare qu'on s'entre-tienne ragricqltaje avec un homme
d'exp^rieice flfcns^q��r^
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B^^ttenii^ .���i"--v.'."---'''vr '^j'*%v
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