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PAGE I
L'AMI' DU PflOPUD
VENDREDI, 13 JANVIER, I960
Cercles Lacordiires et Jeanne d'Arc �
Le 17 d�cembre dernier avait lieu, � la salle paroissiale, la fondation d'un cercle Lacordaire et Sainte Jeanne d'Arc 'et l'initia? tion des premiers membres. Lanc� il y a !� peine trois mois sous, l'instigation 'de notre d�vou� aum�nier l� R�v. P�re Gabriel Forest, le mouvement � pris de l'ampleur. Douze membres recevaient leur insigne tandis qu'une quarantaine ont d�j� sign� lourd cartes.
Aur�s quelques �nots de bienvenue, � nos nombreux visiteurs, de notre pr�sident M. Emmanuel Charbonneau on proc�da � l'initiation des membres.
M. Hormidas Pitre, dans une causerie fort go�t�e de tous, nous fit voir les m�faits de l'alcool chez l'individu, dans'l� famille et dans, la soci�t� Un programme de m�si que, de chants mim�s, .etc. ex�cut� par les membres et quelques amateurs invit�s fut fort appr�cie. Dans une courte allocution, M. L�o Vigneault, pr�sident du cercle de Sudbury, qui s'est tant int�ress� � la fondation de notre cercle s'est dit enchant� des r�sultats ob'te-nus.
ST-CHARLES
Le 1er janvier M. Doris B�dard conduisit d'urgence son, fils Maurice � l'h�pital de Sturgeon Falls pour un op�ration � l'appendicite. Nous lui souhaitons un pomp-te r�tablissement.
Derni�rement, M. Albert Giroux se rendait aux fun�railles de sa m�re Mme F�lix GJroux d'Embrun, d�c�d�e apr�s une courte maladie dans un h�pital d'Ottawa.
A l'occasion,au 1<mr de l'An- M,
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des parents et amis pour souper / et veiller mentionnons de Sudbury M. et Mme Jos. Cardinal, M. et Mme Armand Lagrandeur et MM Jos Lagrandeur - Jos Cardinal et Lionel Cardinal.
A l'occasion des f�tes, M. et Mme Alex- Lamontagne, M. et Mme L�on Gour, ainsi M. et Mme S�v�re B�dard rendaient visite � des parents de ' Sudbury.
A la f�te des rois, 1 y eut une messe sp�ciale pour les enfants � 10 hrs; l'�glise �tait remplie d'enfants et de parents. Il y a eu la procession de l'Enfant-J�sus et un _. sermon pouf les enfants. Le R.P. Sylvestre b�nit la foule, et pour terminer la f�te ce fut la distribution des bonbons b�nis � tons les enfants-et le reste fut donn� aux parents. La messe se terminait par la b�n�diction du Tr�s Saint Sacrement. >
Les �coles de la paroisse ont ouvert les portes apr�s la fin des vacances des f�tes.
II y a un peu de grippe et d� rhume un peu partout dans la paroisse.
La voix Pipe
CAPITALISTE...sans coeur ..
Cette perversion de la propri�t� priv�e de la terre (par l� mainmise des puissances capitalistes) est grandement dommageable. Le nouveau propri�taire n'a plus ni attachement ni, int�r�t pour cette tetr^'qu� tant de g�n�rations-ont cuk|v�Havec amour. De m�me, il -est'sans coeur cour les familles*
fef-
travaillent et qui y demeu-
;N�t�ns cependant que ce n'est, pasjt� utfe Cons�quence Vie l'insti tutfofc de la propri�t� priv�e comme telle. L� o� l'Etat s'appropria enti�rement le capital et les mp yens de production, les int�r�ts de l'industrie et du commerce ext�rieur, et donc des villes, ont aussi la pr�pond�rance. Sous les r�gimes �tatistes, l'agriculteur souffre encore plus que sous l'empri se capitaliste. - j
" S.S. Pie X�I, nov. 1948
HNNY HAZARD
~Tlum... Voil� SHnk qui s'en Vient... pour proc�der � mon ex�cu-tion II faut que je le .�re�oive comme il se doit,'
4m. DHL uno TUITUIJU tTroiCATMi�, wc�u> meurs JESE�VEU.
3e ne <jom-prerfds pas� Qu'est-ce En voil� une belle vous a fait
Oui,, c'est ce que je cedoutais, II nous faut sortir d'ici au plus vite... mais vivants! J'ai une 1-d�e... <
Le prince'../tl/ vont le tuer! ,11 faut le sauver.*.. Je vous 'expliquerai, cela ;
r�ception! Je viens changer di'id�te? * Velours? Que , pour-vous tirer I.; '� Je-croyais que .'
d'affaire et vous vous m'en me 'sautez dessus liez � mort!
venez-vous faire ici?
C'est cela! >Fai tetf-I�ur-iig�e d'entrer!
Aie! Etes-vous fou? Les sentinelles vonf, revenir � la 'courte !�
. IL,fa^� que ^e .u. "regarde de plus I, ' � 'pr��,-��^ m'�s-r
Vjoil� qui est parfaireomme * ex�cution. seule balle .et pouf!
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