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L'AMI OU
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L'Initiation aux affaires
Pourquoi, pourquoi tant de maris attendent-ils d'�tre rendus � l'article de la mort, pour initier leurs femmes � la conduite de leurs affaires ? v
Voil� une question qui m'intrigue, chaque fols,que Jje vois une veuve aux prises avec une succession pMs ou moins embrouill�e, on avec la direction d'une entreprise dont'elle ne conna�t pas le premier mot Vous me direz qu'il existe pour pal- ' lier cet �tat de choses, des notaires judicieux, des soci�t�s de fiducie irr�prochables; mais, sans vouloir soup�onner le moin-" drement l'int�grit� de ces uJtiKes institutions, ni l'efficacit� du d�vou� tabellion, ami de k famille, je pr�tends que leur seule intervention ne suffit pas pour ramener compl�tement le sentiment de s�curit� au foyer priv� de son chef.
Qui donc, plus que la m�re, a int�r�t � voir prosp�rer le s patrimoine, � en �tendre m�me x les bienfaits aux g�n�rations � venir, � pourvoir � leur instruction et � leur �tablissement, sans toutefois priver ses propres enfants du strict n�cessaire?
La7 mettre en tutelle, au point de vue mat�riel, c'est proclamer � laj face du monde en g�n�ral, et de sa famille en particulier, qu'elle n'a pas de jugement, qu'elle ne sait pas compter; c'est diminuer son prestige aux yeux des gens et son autorit� aiu sein de sa famille. Et c'est ainsi que l'on voit des femmes admirablement dot�es et � sens pratique, r�duites au rang de petites filles irresponsables, par/ des testaments -ridicules et injustes.
Par bonheur, il se fait dans ce sens, un heureux r�tablissement, chez nos jeunes m�nages ou la confiance r�gne et o� les �poux n'ont pas de secrets l'un pour l'autre. La jeune femme, initi�e aux affaires de son mari dont elle suit les progr�s avec le plus vif int�r�t, est heureuse de faire les sacrifices n�cessaires pour vivre en dedans de son budget Elle est sa v�ritable partenaire � qui il peut se confier, voire m�me demander un avis, car deux t�tes valent toujours mieux qu'une..
. Evidemment, ce syst�me id�al ne saurait fonctloimer, dans
lent leurs �conomies en dehors dev leur foyer. Il n'a sa place * que chez les gens heureux. C'est donc une r�cette,de bonheur que je vous donne ici, messieurs, en vous conseillant d'accorder votre confiance, toute votre confiance, � vos moiti�s, en les tenant parfaitement au courant de vos affaires, ne serait-ce que pour les emp�cher* de vous r�clamer la lune, si vous n'�tes pas en mesure de la leur donner!
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Q. � Nous sommes
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enfants nous en ayons"eu!;un|�uei
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beaucoup de peine.
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II gagne un assez bon salaire. Je trouve"qu'un foyer� ; Ban�; enfant c'est quelquechose de bien triste.
Rf �� Vous avez raison; m�lfl iin�rjvh'�: peut-�tre pasctert^ de
ter un enfant, dont il faudra assu rer l'avenir et il craint d� ne pas pp�vbirK poursuivre ^ette *&�b* comme il le voudrait Je ne vous conseil pas d'aller .��.suP'.yCe
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Sommes
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PELERINS DE LA LUMI�RE
Nous sommes dans l'Ann�e Sainte... Les grands p�lerinages de l'Ann�e Sainte vers la ville-Eternelle sont commenc�s... Des groups nombreux se pr�parent � partir... Les p�lerins devont se rappeler les conseils que leur a donn�s Sa Saintet� le Pape Pie XII... Ce n'est pas un voyage de plaisir que les p�lerins entreprendront, un voyage de touris<$s> mais bien un p�lerinage de pri�re et de p�nitence...
Les p�lerins ne devrbnfpas oublier qu'ils sont des t�moins du Christ, de aon Eglise, et qu'ainsi toute leur conduite doit porter la marque de leur �tat.. Un baptis� n'a pas le droit de se conduira comme un pa�en, comme si Dieu n'existait pas, comme si la vie surnaturelle n'�tait pas la vraie vie,... Demandons � la Retoe.de l'Ann�e Sainte de .pr�parer tous les coeurs des p�lerins � ce voya-, ge, � ce s�jour dans l� Ville-Eter-elle, dans les diff�rentes Sanctuaires c�l�bres "de la chr�tient�
...Des p�lerins de la lumi�re, voil� ce que devront �tre ces voyageurs qui iront se 'tremper dans, l'atmosph�re de Rome, :. Afin q�w' .es nons-catholiques, et JeS pa�ens puissent vraiment, camp:
beaucoup t
ils mal^il^jp�^slQnnV.-y^.^�^-,^ qui ne partagent pas. notre ' foi, justement parce,que leur vie n'�tait pas en accord-avec leur-fol
...Se dire catholique, et agir en tout comme .d�s pa�ens; cela ne marche pas,.. Se dire,catholique et ne pas imiter-le� vertus de J�sus et de Marte, cela ne marche pas... Se pr�tendre catholique, et vivre selon �les/ modes pa�ennes, cela est un mon sens... 5
Nous sommes en pleine Ann�e
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Ji>C'est la bonne heure, o� la lampe s'allume; Tout, eBt% calme et consolant, ce soir, � "^ Et le silence est'tel, que l'on entendrait choir � Des plumes. . ~"
V '
C'est la .bonne heure o�, doucement, / S'en; vient-la Wen^im�e, Comme la brise on la fum�e, Tout doucement,1 tout lentement
Elle ne dit rien d'abord � et je l'�coute, Et.son ftm�, que j'entends toute, Je la surprends luire et jaillir Et je la, baise sur ses feux.
' / v
C'est la bonne heure-, o� la lampe s'allume,
" O� les aveux /
, De s'�tre aim�s le Jour durant,
PU fond du coeur profond mais transparent,
S'exhument
Et l'on dit les simples choses:
,Le fruit qu'on a cueillf dans �e jardin;
La fleur qui s'est ouverte,
D'entre les mousses Vertes;
tdr ,
Et l� pens�e �close, en des �mois soudains, Au souvenir d'un mot de-tendresse fan�e Surpris'au^ fond d'un vieux tiroir, /Sur un billet de l'autre ann�e*.
Emile VERHAEREN
Suggestions de Receites Faciles
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..y >.:"., .}.. .. '_____. '/^�K.. fe \ '.^Jjgkfcft
moiti� blanche et moiti� seigle.-l de poudre � p�te, 1
me de couronne et cuire t four mod�r�, cuiller" � soupe de rhun. ali m�l�ge. Ce sont les quantit�s mier^pass�, 1 oeuf l�g�rement bat -pour un g�teau de 6 � 9 poaces.
rance du monde. cathpU
tenter d''�^
�T�B&I d�cor
plj^d}-d'ni
mjw^�d'�tite�rtSpi�| ^|ra|t|^M|RE�^;::.
^;%ejjn^;|',qu^'jlt^ ......i^�wf�l�
l'Anne^ Samterm^bien^e^-^ moins -actifs ;;de-Vi�ett�'jjABn�e^�jie gr�ces que-ne�s;nou^v;d�v^;^^
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M�lez efc tamise^es J secs. Ajoute? les autres, Bien,,bat-tre . 15 ' minutes ou plus al posai cuiller � th� de soda � p�te, l < bl�^ Versez! dans un, moule en for-
cuiller 'ai th� de sel, 1-2 cuiller ft th� de cannelle, 1 cuiller � th� de gingembre, 1-2 tasse & th� de
1 -, \
COURBER DE COUSINE BLANCHE*1 I
'Four, commencer la Tourn�e 'Aen beaut�
'�_..; v ...:.*. ,j �' �. -��* . ' *^ j�'Vi;-"rt'p 1 r 1 .-. - �
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m'�crit- "Quels' de beaut� � obser-
ver au lever?"
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Mode Canadienne du