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JOURNAL REGIONAL DE L'ONTARIO NORD
� NOTRE DEVISE : "JE CRAINS DIEU, CHER ABNER, ET N'AI POINT D'AUTRE CRAINTE" � Racine ! 7 SUDBURY, ONT., 25 AOUT, 1950
LE NUMERO* 6 SOUS
De plus en plias, les A:
IL PORTE TOUTES SES RICHESSES SUB
�ricains placent d'importants Capitaux aufCanada
LA POLITIQUE FEDERALE
Pa: la BtJP
Le gouvernement f�d�ral se pro-
qui r�clament une telle mesure, mentations de salaires.
Dans un m�moire soumis � un Le gouvernement f�d�ral revient comit� parlementaire, le Congr�s cette ann�e � l'ancienne formule
pose de lancert aux Etats-UiUs une((jemanae de stabiliser imm�diate- denvoyer des d�put�s de l'oppo-�mission d'obligations au montant ment ies ainsi que le main-jsition avec la d�l�gation gouver-
I
Ce jeune Cor�en emporte*tout ce qu'il poss�de sur son dos, sur^ une- route quelque part en Cor�e.
On voit des cas semblables par milliers fuyant les arm�es d'invasion rouges. 1
Soixanti�me Anniversaire du Boerenbond �
Le Boerenbond belge, la grande association des agriculteurs de Leigique vient de c�l�brer le soixanti�me anniversaire de sa f on-dati�n.D'importantes manifestations auxquelles particip�rent plus, de
dix mille cultivateurs et qu' honor�rent de leur pr�sence, de hautes personnalit�s (civiles et religieuses, eurent lieu � Louvain. Le 'Souverin Pontife adressa an pr�sident une lettre de f�licitations Le Boerenbond comprend actuellement 100,000 hommes et 90,000 femmes; Il a rendu de nombreux services � la classe agricole.
O) ELLE MONTRE SON SATOLB FAIRE EN ANGLETERRE �
BARBARA* �NN SC�TT,"n6{r� "Jo^ lie champion�e mondiale du patinage de fantaisie, sourit a Bon ar-
riva an palais St-James, � Lon-
dres. Elle' fait montre actuellement de son savoir faire & l'Ar�na Harringa^ de Londres. , , ;
.de $50;000,000 pour retirer la moi ti� d'une �mission de $100 millions payable le premier octobre 1960: Ces obligatins seront rembours�es le premier octobre prochain. .
Les nouvelles obligations porter ront un int�r�t de 2 % pour cent et seront remboursables. en 1975.
Le ministre des finances souligne que le rachat des obligations permettra d'�conomiser une somme consid�rable en , int�r�t.
Uhe^utre mesure �conomique du gouvernement canadien ai port� des fruits int�ressants.
Au minist�re des finances on estime que la r�gie canadienne sur les importations a entra�n� l'�tablissement au Canada de nouvelles entreprises d'une valeur d'environ
$ i;8�o;ooo,ooo.
Cette r�gie est en vigueur de; puis ' 1948 et elle est" actuellement �n vole de dispara�tre graduellement. ^Sle ^a*favoris� le -d�velop-^toement de plus de 500 industries ^anufacttiri�i-es- au- Canada. La ? raajepre partie de-ces -nouvelles entreprises sont �tablies dans les prcvhhrts^ce�^trales de Qu�bec et d'Ontario. mais les au-
-Il/J�Tne = bonne' partie -des .c�pltauxl investis dans ces entreprises nou-veles viennent des Etats-Unis et d'hommes d'affaires qui n'auraient pas fait de tels placements sans la r�gie sur les importations.
On croit au minist�re des finances que ces industries survivront et continueront � produire normalement m�me lorsque 'la; r�gie de� Importations sera ^disparue.
Si le probl�me des -importations a �t� r�solu d'une mani�re satisfaisante , la question des exportations pr�sente des difficult�s consid�rables.
Ainsi, au moment o� les experts pr�disaient une r�colte de bl� tr�s abondante, on donnait � entendre qu'il restait encore au Canada plus de cent millions de boisseaux do bl� de la r�colte de 1949.
Si les chiffres sont exacts, le Canada aurait pr�s de 650 millions de boisseaux de bl� � vendre. Ceci repr�senterait un revenu :-de 11,300,000,000 au prix actuel du march� mais il est fort possible que leCanjada ne veuile pas ou ne peuve pas vendre plus de 76 pour cent de ce bl�.
La guerre en Cor�e a eu des r�percussions sur le�'march� canadien. Certains consommateurs se sont'h�t�s � acheter des marchandises qui �taient devenues rares pendant la derni�re - guerre de crainte : que de nouvelles restrictions soient impos�es. D'autre part, des profiteurs- ont entrepris d'accumuler des r�serves lde ces marchandises afin de pouvoir les vendre plus cher si - une raret� survient
: Ces-manoeuvres entreprises en d�pit deB avertissements du gouvernement qu'il n'y avait pas de danger de p�nurie ont eu pour cons�quence d'entra�ner une hausse des prix.
D�s lors s'est pos� de nouveau la question du contr�le des prix comme ce fut fait pendant la derni�re guerre.
I^e Congr�s! Canadien du travail qui groupe 480,000 ouvriers canadiens est �a nombre de ceux
tien et l'am�lioration de la r�gie des loyers.
L'organisation ouvri�re souligne que les salaires sont d�termin�s par contrat pour un an, il con-
nementale aux conf�rences internationales.
Quatre d�put�s des trois partis de l'opposition feront partie de la d�l�gation canadienne � l'asaem*
viendrait alors de maintenir lesjbl�e g�n�rale des Nations Unies prix � un m�me niveau pour lit � Lake Success, le 19 septembre
m�me p�riode.
Le Congr�s Canadien fait aussi remarquer que les salaires n'ont pas augment� aussi rapidement que les prix depuis l'abolition de la r�gie et une nouvelle hausse entra�nerait in�vitablement une nouvelle s�rie de demandes d'aug-
prochain .
Le chef de la d�l�gation canadienne sera le ministre des affaires .ext�rieures, l'hon. Lester B. Pearson, et le vice-pr�sident sera l'hon. Hugues JLapointe, .ministre des affaires des anciens combattants.
Ville de Sudbury
SOUMISSION
/Des� Soumissions Scell�es seront re�ues .par (le, soussign�. ; Jusque MIDI LE 2-SEPTEMBRE'1950, T�ur l'achat de'500 pieds ^de *c�r^ft�SI^'r�gulier de lWt�boy&n deJdouble. epatosear et doubl�' en caoutchouc avec raccords "Pin Lug".
�La�plus basse ou n'importe.quelle-soumission pas n�ceseal rement accept�e.
L.N. HOUCK, Sous-Commis, 83 rue Cedar, Sudbury, Ont.
Ville de Sudbury
LISTE D E V0TEBRS
Des Soumissions Scell�es seront re�ues par le soussign�, jusqu'� MIDI, SAMEDI LE 2 SEPTEMBRE 1950, pour imprimer la Liste des Voteurs de-1950.
La plus basse ou n'importe quelle soumission pas n�cessairement accept�e,
L. N. HOUCK, Sous-Commis, 83 rue Cedar, v Sudbury, Ont.
au profit de la paroisse St-Eug�ne
MARDI - le 29 ao�t 7h.30 du strir
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