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NOTRE DEVISE: "JE CRAINS WBU, CHER AHNBR, ET N'AI POINT D'AUTRE CRAINTE" - Racine
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LE 22 SEPTEMBRE. 1950
LE NUMERO: f SOUS
Mesures prises par le Gouvernement � la session d'urgence
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!L� CirliBinriweraat visite l'Ao�riqie
LA POLITIQUE (FEDERALE
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'�:�.".'".;' ''.' �/:��6''.���';.;���'.::;'��.:�;; . � Le parlement a �t� ajourn� vendredi apr�s que la sanction royale eut �t� donn�e au budget sp�cial augmentant de $59,000,000, au moyen de nouvelles taxes les revenus du gouvernement f�d�ral.
L� Chambre des communes et le S�nat reviendront en session le 14 f�vrier prochain mais le pr�sident de la Chambre, M. Ross Macdonald a Instruction de convoquer une session plus t�t ai la situation internationale s'aggrave.
L'ajournement de la Chambre n'a pas eu le caract�re de solennit� qiie j�'on rembarque g�n�rale ment aupt |c�r�jn!po|�s de prorogation. Le jug� Hubert T^schel-reau, de la Cour Supr�me du Canada, a accord� la sanction royale au budget sp�cial en l'absence du gouverneur g�n�ral. Il n'y a
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pas eu de discours du tr�ne puisque la session n'�tait pas prorog�e "mais Simplement ajourn�e. L'assistance n'�tait gu�re nombreuse � l� derni�re s�ance car un grand nombre de d�put�s et de s�nateurs avaient d�j� quitt� la capitale.
LJ� session d'urgence n'a dur� que 18 jours de s�ances. Pendant cette br�ve p�riode, les l�sisla-teurs ont cependant accompli un travail consid�rable. Voici les principaux projets de loi adopt�s au cours de la session:
l;4<0n.' a d'abord r�gl� la gr�ve qui paralysait les services ferroviaires depuis neuf jours,, le 30 ao�t. Le gouvernement a ordonn� la reprise du travail aux meilleures jonditions offertes par les compagnies ferroviaires en accordant- un d�lai de 30 jours pour discuter les questions en litige. � Suite � la page 6 �
Sollicitation pour les oeuvres de ohiril�
RED FEATHER
Son Eminence le cardinal Bu-;ainsi qu'� plusieurs endroits des
g�ne ftisser�r�;; ^ de Rome, s��r�-
Uiir�:fit� la;^ol�gr^ation; du^^ ori�nt^Wp
Etats-Unis visiter des communaut�s religieuses. Tout le' voyage
compagner jusq'au train: Mgr Paiul-Emile L�ger, archev�que de Montr�al; le cardinal Tiss�rent;
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LA GRANDE CAMPAGNE DE SOLLICITATION IDE LA FEDE-RATION DES OEUVRES DE CHA RITE COMMENCERA THES PROCHAINEMENT. ;� ;.;;,, ;.,:���
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On nb�BV�pprend qu'il y aura une assembl�e du Red Feather on ^F�d�ration ifles oeOTipBS^:"C5harfr
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" Andr� LAFLECHE
' <Daus le domaine de la politique internationale les �v�nements �ont � la fois si nombreux et si importants qu'il est impossible d'en donner une id�e, compl�te en 'une simple chronique. C'est le cas de le dire: l� contenu serait plus grand que le contenant. On peut tout de m�me d�gager la ligne de for.ce des principaux faits. Il y a incontestable durcissement, de la politique des nations occidentales. En m�me temps que les EtatSrU., appuy�s "par leurs principaux alli�s, prenaient la r�solution de se r�armer, ils donnaient sur les champs le bataille de Cor�enne nouvelle preuve de force. L'offensive des armes am�ricaine�, depuis si longtemps attendue, a en-. lin �t� d�clanch�e. Sous le commandement personnel du g�n�ral MacArttiiif) Am�ricains et Sud
\ Cor�ens: -^t'-ip^� ;des ;d�ba^ue^
ments spectaculaires, destin�s � encercler les arm�es Nord-cor�ennes.
Les op�rations se poursuivent. Et on a lieu de croire qu'elles seront couronn�es de succ�s. En tout cas, le moment est venu -pour la Chine communiste 'et pour la Russie, mais plus imm�diatement pour la Chine, de prendre une d�cision d�cisive. Qu'elle abandonne les Nord-Cor�ens � leur sort, et les op�rations cor�ennes ne seront plus qu'une affaire de quelques mois. Mais que la Chine communiste entre dans la m�l�e, appuy�e de la Russie, et ce sera la guerre, avec un grand G. Pour l'instant, c'est l'expectative. Tout est dans la balance. Et l'Organisme des Nations Unies n'est pas ma�tre du Jeu. Ce qui se passe aux Etats-Unis.
Aux Etats-Unis les �v�nements vont beaucoup plus vite qu'ail-
d'unifier les qu�tes qui se font � Sudbury afin d'�pargner aux gens des sollicitations ennuyeuses et continuelles et aussi de venir en aide d'une fa�on pratique et technique aux diff�rentes soci�t�s qui en font partie. r
Comme on sait le Camp Lavigne et l'Orphelinat d'youviUe'font par
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fort bien, en l'occurence, avoir �t$ inspir� par des motifs �lectoraux a remplac� M. Johnson par le g�n�ral Marshall au Secr�tariat de
'W op uofljsod Louis Johnson avait �t� affaiblie par les critiques des congressistes et des journalistes. Il ne s'est d'ailleurs ,pas fait pri� pour d�missionner. Le rappel du g�n�ral Marshall � ce qui parait �tre un poste de toute premi�re importance est significatif. On dit qu'il se ra dor�navant l'homme le plus puissant, apr�s M. Truman, aux Etats-Unis. Le poste qu'il a accept� d'occuper s'av�re plus important que celui de Secr�taire de la D�fense.
Il d�tiendra des pouvoirs extraordinaires. Non seulement il lui appartiendra de d�finir la politique militaire de son pays, mais il aura son mot � dire dans l'�laboration de la politique �trang�re.
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On exposera, � ' cero le probl�me du Red J'eather pbur les canadiens fran�afe et ra ex-, piiquera, � ceux qui -ont bien voulu accepter d� soUiciter, l� mani�re dont ce sera fait cette ann�e. , ,'; ' �.-.�.!-�.'-'-.;^v..-.! .'''.'%�.''
On invite tous ceux qui ont des questions � poser ou des probl�r mes � r�soudre � se rendre �- cet-to assembl�e. � :
Le but de la Red- Feather est
^iP^PS^K^I^^^^f1'?^^ Ifaia !letf 'canadien fran�alsrib�n�-
fIcient eh plus des sommes qui sont donn�es aux autres soci�t�s comme la Croix-Rouge, les garde-malades V; 0; N., le Children's Aid, les Scouta, la Cour Juv�nile, le St John Ambulance, etc.
C'est donc un avantage consid�rable pour les citoyens de Sud-� Suite � la page 2�
be, des citoyens de Magog s'�talent ligu�s pour boycotter leurs barbiers exigeants. Ils ont lanc� un mouvement pour se laisser pousser les cheveux et pour se raser personnellement. Lorsque les cheveux devenaient trop longs, la 11 gu� organisait le transport dans des camions dans des villes vol sines pour obtenir des coupes de cheveux � meilleurs prix.
Ce boycottage de trois semaines a port� fruit. Les barbiers de Magog viennent de r�tablir les prix � 55 sous pour la coupe de cheveux et de 3{f sous pour la barbe.
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Une Attaque contre l'Allemagne de l'Onesl s�rail une attaque confre
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Les Etats-Unis, la France et ". 'l'Angleterre'se sont".,engag�s � "consid�rer toute atta'que 'contre ; l'Allemagne, occidentale' ou contre � Berlin, d'o�, qu'elle vienne, comme une attaoue contre eux-ra�me.
Les trois puissances occidentales ont aussi convenu de" �lettre fin a l'�tat de, guerre ave^'tfAUer magne le plus t�t possible aQu de
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�onsplider. leurs relations "pacifi-^ues et amicales" avec l'Allemagne occidentale. V
Ces d�cisions importantea ont �t� annonc�es � l^ew York � la fin .de la_^conf�renc� d'une semaine entre ^les ministres des Affaires Etrang�res des trois grandes puis-sanoea occidentales. t
Les trois ministres ont aussi approuv� la fortnation"4 d'une for�ai mobile pour l'�lle.magne de V��-est mais elle sera soumise au contr�le du gouvernement f�d�ral en 'CM;;;^tog�nce^:'i^v-�'':':>;K'Vv-;:v .-':; ���,
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ment d�cid� d'augmenter leurs effectifs en Allemagne occidentale pour renforcer la s�curit� int�rieure et ext�rieure du -pays.
Les barbiers de Nagog
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L�s barbiers de Magog ont baiss� pavillon devant la campagne entreprise, feontre fe, iha�sse des prix pour les coupes de cheveux et l� barbe. Depuis qu'ils avaient hauss� : les prix pour � les cheveux a 70 sous et �( 50 soual pour la bar-
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Nouvel Ex�cutif au Cercle P�dagogique Jacques-Cartier -
Mercredi dernier., le Cercle P�dagogique Jacques Cartier se r�unissait pour �lire un nouvel ex�cutif pour l'ann�e scolaire 1950-51. Voici le r�sultat de l'�lection: Pr�sident, M. W. Forget; Vice-Pr�s., Mlle Y. Pilon; Secr�taire, Mme L. Q. Biais; Tr�sorier, M. A. Langdon. Conseill�res, R�v. Sr St-Fran�ois, directrice des �coles do la ville, R�v. Srlflarie R�gina, Mlle A. Laframboise, Mlle J. Charron, Mlle L. Desautels.
Ville de Sudbury
PROCLAMATION .
Par la pr�sente, je "-proclame que l'heure solaire "Eastern Standard Time" sera en force dans la ville de Sudbury a partir de 12:01 A. M. dimanche, le 24 septembre 1950,, et je demanderais n toutes les maisons d'affaires et aussi � tous les Citoyens de reculer leur horloge d'une heure avant le coucher samedi soir
Data au bureau du maire Le 20 septembre I960
W. L. BEATON, MAIRE
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