1951.
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salle Sampo .*a salle �tait oin�s. M. et ut ensuite en portait alors un chapeau res bleus et
� Salle Sam-
R. Clouthier, e O. Desjar-et Mme Nel-�nine Shank, G�rard, Mlle et Mmes Ca-d Lapalme, J. Dharette, LA. aulne, M. et
M. Georges ttur Charette, :es Goodman, rmaine, Gas-e et Pauline rernand Chaque, Claude e Charette, tbr Longtin, ne M. Shen-�enkarUk, les quelques au-Idme R. Tur-; M. Armand �t Mme Fred f f ; Mme O. � T. Turgeon, et Mme Phi-:; M. Orner ake, MM. Al-ilph Trbttier, Lake; M. et innpw Lake, ?opper Cliff; harette, Han-ert Charette,
Roger Cha-Tos Thibault,
au banquet tcourt, et F.
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Rlchea en �nssovnpM.,'i>#urellefl, h�ritiers, de la;. moiti� d'un yast� continent, les..jOanadiens sont ri-tches, davantage encore, par deux igrandes cultures qui s'offrent ��ha-icun d'eux.
n est n�cessaire, croyons-nous, de s*ari^r<,atielque8 i lois, �fln r de ^eu*..nfire|Hlro:Compte ce qu'est le Canada .et ce qM'il pourra;�tre.;de
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re .nouvelle et appel�s, coude � coude, � b�tir une nation nouvelle.
Les. fils de la vieille France furent les premiers �; parcourir ce vaste pays, � en d�couvrir les possibilit�s, les richesses et � y �tablir la civilisation, toujours, les Canadiens de toute origine, garderont un souvenir reconnaissant de ces premiers d�couvreurs, des intr�pides missionnaires qui, au prix de leur vie apport�rent la foi chr�tienne en Am�rique du Nord, de tous ces h�ro�ques colonisateurs, ces coureurs des bois que ni l'indien ni la fatigue, ni le danger n'emp�ch�rent d'avancer.
Apr�s la cession du Canada � l'Angleterre, les anglo-saxons graduellement comprirent .qu'ils devaient rendre hommage � ces premiers canadiens et � leurs descendants, et que leur langue et leurs coutumes devaient survivre � jamais sur la terre d'Am�rique.
Le peuple anglais, lui-m�me, un m�lange de ga�liques, de bretons, de romain, de celte, de danois, de normands fran�ais, de huguenots, fran�ais, devait comprendre que, plac� sur une base bi-culturelle, le Canada serait appel� a un brillant avenir.
Ce caract�re. bi-ethnique, le Canada ne le perdra jamais. L'Union entr�, les fils 4es deux grandes civilisations ne pouvait se faire et ne pourra durer que sous le signe de la fraternit� humaine d'une r�ciproque et intelligente compr�hen-phis- grand bienfait qui nous soit si0n, d'un mutuel respect, venu de la Providence.
Cette-union a permis de r�aliser Car,n'est-il.pas, providentiel qu�*|de grandes choses.puisqu'elle adonn�- naissance � la nation .canadienne.
main.
: Un- '�tapie* ��gard- sur la carte (g�ographique, apporte d�j� beaucoup de fiert� dans de' coeur du canadien; cette vaste terre qui va d'un oc�an � l'autre, dont le nord lie perd aux confins glac�s du.mon-jde'. cependant que le ..sud. s'appuie sur un voisin aussi puissant que camarade. Tout cela repr�sente avec ses cit�s; ses villes, ses vil-plages, ses fermes, ses richesses du sol et sous-sol, ses grandes ressources hydrauliques, un h�ritage � nul autre pareil.
Cette fiert� bien, l�gitime devient une ardente joie de vivre, quand on -constate- que - sur cette- vaste �tendue; vivent treise--millions de citoyens, libres, .industrieux et prosp�res, constituant un peuple libre, une nation d�mocratique.
i .H�ritiers, de. deux, grandes cultures, la,fran�aise et l'anglo-saxonne, \�� Canadiens peuvent puiser aux sources d'une, grande civilisation chr�tienne-�t d�mocratique.
�i Ce caract�rebi-culturel du peuple canadien, est sans1 doute aucun, le
Jes fils de deux grande) peuples se soient ainsi rencontr�s sur une ter-
Nous devons continuer dans cette voie d'unit� afin que s'�tablisse, s'�panouisse une culture v�ritablement canadienne.�
C'est en partant du principe m�me; de l'Acte de 1867: un pays bi-ethnique, o� il n'y a ni vaincus; ni vainqueurs-mais des citoyens poss�dant des droits �gaux; que l'on a pu atteindre un si grand d�veloppement en si peu de temps.
Cest l'esprit qui devra toujours nous guider en :vue d'une- union de plus en plus �troite entre Canadiens de langue et de pratiques religieuses diff�rentes.
Le Canadien doit se sentir chez-lui At �tre fier de son tire, en n'importe quelle partie de son paya; l'isolationiame qui a pu caract�riser certaines p�riodes difficiles de notre histoire,-est � jamais disparu.
Souhaitons, que d'un bout � l'autre du Canada, dans chacun, de nos foyers, dans chacune de nos �coles, on comprenne davantage l'importante d'inculquer prof ond�ment dans le coeur des jeunes, en sentiment patriotique �unanimement ressenti bien qu'interpr�t� dans l'une ou l'autre langue du pays.
La langue qui permet l'expr�s-sion de la pens�e, permet aussi d'exprimer la foi qui -Vit en nous. On prie Dieu en n'importe, quelle langue; les Canadiens peuvent exprimer, dans la langue de leur choix, des sentiments patriotiques unanimement partag�s.
A l'occasion de cette."Semaine de l'Unit� Canadienne", par la,presse hebdomadaire, tous les canadiens de langue fran�aise offrent � leurs concitoyens de languie anglaise, > une franche, : une amicale, une loyale poign�e de main.
L'Association des Hebdomadaires de Langue fran�aise du Canada,
Semaine de l'Unit� Canadienne
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D'un jae�jan a i'ajitre, �ette.ann�e, les canadiens .sont Invit�s � penser tout sp�cialement � l'unit� canadienne, au cours de la semaine qui ira,� du;dM ojnini.autprtmter � Juillet
j L'id�e d� cette semaine de l'unit� raaadisane wa -><st� con�ue �- par les deux, graj^lesassaciations.de jour-peux hebdomadaires (Association des Hebdomadaires de Langue Fran�aise du- Canada et Canadian WeeUy Newspapert Association) qui en assurent, aujourd'hui, la r�alisation.
Les Canadiens; n'ont jamais �t� tr�s conscients de leur propre unit�; trop.habitues.� penser selon la province qu'ils habitent ou le groupe ethnique auquel ils appartiennent, lajangue qu'il� parlent, les canadiens ne pensent pas assec souvent au Canada tout entier, comme leur, �patrie. �. �
Les deux associations de > journaux hebdomadaires sont convaincues que les canadiens sont beaucoup plus unis qu'ils ne le croient g�n�ralement et �llesj d�sirent, par le truchement de cette semaine de l'unit�, canadienne, faire mieux comprendre, � tous, le fait de Tunit� au sein de la nation canadienne.
Dans tout pays aussi vaste que le n�tre, se trouvent �videmment quelques diff�rences r�gionales, mais le syst�me- de vie d�mocratique des canadiens, notre conception de la libert� . individuelle, la fiert� de tous dans l'oeuvre de progr�s de notre jeune nation, tout cela d�passe de beaucoup toutes diff�rences qui pourraient exister.
Les Canadiens, cependant ne connaissent � pas suffisamment leur propre histoire et sont .souvent plus familiers avec l'histoire d'Angleter-
re, de France ou des Etats-Unis qu'avec celle du Canada et des grands hommes de notre histoire. Un "quiz", par exemple, sur les P�res de la Conf�d�ration, pourrait embarrasser � bien de� canadiens.
Si cette "semaine de l'nnit� canadienne" peut accomplir �ealesasnt deux choses : faire, eomprendre �uix canadiens les progr�s r�alises par l'unit� nationale depuJa Ja� Conf�d�ration et convaincre tous les canadiens de la n�cessit� de>se,mieux conna�tre les uns les. autres - afin de renforcer le sentiment qui doit naturellement. noua.unirr.no9< associations d'hebdomadaires aurant atteint leur objectit
Tous les canadiens se doivent de' travailler � rendre de la nation de plus en plus unie. Cette tache exige les meilleures pens�es et les efforts de chaque citoyen. Cest donc une occupation de tous les jours.
Canadian W�ekly Newspaper Association
P. H. LAPORTE
> COMPTABLE ;UCjBNOlB VERDHCATB^-M
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La maison Herder
: La grande maison d'�dition catholique Herder c�l�bre cette ann�e son 150� anniversaire. Ses dirigeants ont pu restaurer l'immense �difice quadrangulaire situ� dans la ville de Fribourg en Bres-lau, et que les bombardements a-vaient s�rieusement endommag�. Ce n'est pas d'ailleurs la premi�re vicissitude que 'dut-supporter cette ' entreprise familiale, dont les chefs actuels appartiennent � la quatri�me g�n�ration des fonda-
teurs. En 1801, lorsqu'elle d�buta, comme sous le r�gne plus r�cent du nazisme, multiples furent les obstacles dress�s sur sa route. La foi robuste de ses dirigeants allemands en triompha.. Leur oeuvre et de nouveau en pleine activit�. La c�l�bre encyclop�die illustr�e "Der Grosse Herder",. de r�putation internationale, est maintenant remplac�e par une �dition plus modeste en trois volumes "Des Neue Herder."
EVANGILE
f EVANGILE DU SEPTIEME DI-
iMm�m^Asyg� LA
< V127VVO0TJR .
j En, ce .tempsrl^,. J�sus dit � ses djfloiples: Gardez-vous des taux pn* U^)tes,qui.viennent �.vous sous des V�tements. de brebis, tandis qu'au 4edans.ee sont des loups ravisseurs Vottaies reconna�trez � leurs- fruits. ^lAUIe-tron .des, raisins sur des ' nlnea, ou des figues sur des ronces? .Atari, tout bon arbre produit d� b^ (fruits; mala tout mauvais ar-b^^p^ultr de mauvais^ fruits. Un JTbr�JKm ne pfut produirevde.maur vais.fruits,,ni un arbre mauvais iproo^iira.de bans, fruits. Tout arbre quii^e produit, polnt-,de bon fruit aantr,�Ojup�F.et,,j�t� au; feu. Vous >es*tcoBnaItres, �io^oMiim� fruits. Ce ��.sont pas .{tous ceux qui me disent: Seigneur, Seigneur qui entreront dans 1er royaume des deux; mais celui qui fait < la volont� de mon Pire ^ui est, aux Cieux, celui* l�isnti-era daris le royaume des Cieixx.
PENSEE jpour AUJOURjyHUI ?lM gr�ce *4e Dieu, c'est la vie �ternelle." La vie se manifeste par les actes. Tout comme Ue bons arbres' nous rdevoas porter .-ne t bons fruttai tNona.�ntendoos:auffisam-mant tda pieuses ; niaximes, mau^ no�M4ie soyons pas t assez de bon-
gneur, JumraiiCMasa A-faire, ce.qui ^msou devant vos; yeux"
Calendrier Religieux de la semaine
VENDREDI, le 29 juin, -p�tres Pierre et Paul.
SAMEDI, le 30 juin, � Comm�moration de S. Paul, Ap�tre, S. Martial, �v�que.
Juillet 1950 .Mois.du pr�cieux sang et de Ste Anne;
DIMANCHE, le 1 juillet, � FETE DU PRECIEUX SANG, Solennit� des SS. Ap�tres Pierre et Paul.
LUNDI, le 2 juillet, � Visitation de la Sainte Vierge.
MARDI, le 3 juillet, � S. L�on H, pape, conf., S. H�liodore, Ev.
MERCREDI, le 4 juillet, � S. Uldaric, �v�que, Ste iBerthe. abbess�
JEUDI, le 5 juillet, Saint Antoine-Marie Zaccaria, fondateur des Bar-nabites. S
Un'IlidM
�JKoiie.
Avec la prochaine ann�e acad�mique 1951-52 commencera � l'Universit� Pontificale Gr�gorienne un Institut de Sciences sociales, destin� aux eccl�siastiques d�sirant acqu�rir une connaissance plus compl�te'des sciences sociales, afin du pouvoir, en conformit� avec lea directives contenues dans les documents pontificaux, enseigner la sociologie dans les > s�miniares � et les �coles eccl�siastiques-et:pr�ter leur assistance sacerdotale aux oeuvres sociales. L'�troite connexion des probl�mes sociaux avec la vie religieuse des peuples fait sentir la i rrande n�cessit� d'un tel1 Institut, dans une? Universit� eccl�siastique, surtout � Rome, dont le caract�re international, rend i possible une vision ,plus, universelle ; des probl�mes, dans leurs rapports -avec l�.".doctrine chr�tienne. Le voisinage du Si�ge de Pierre favorise aussi l'examen plus approfondi de ces probl�mes � la lumi�re de la doctrine sociale de l'Eglise.
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