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L'Awl du Peuple, fiudbury, Ontario, 31 ao�t, 1951.
ASSUREir DE LA VALEW DE VOTRE E&5PL1HMNT
Quel ce soit le genre de maison ' pour cent ru co�t de la maison nue vous ayez l'intention de cons- ;x:lon la s:j:;Tne de travail qu'o; truire, vous pouvez �tre assur� que .vige de lui.
cela exige beaucoup de pr�parations I T . , -.,,�,_>**
Le in:1, principal de 1 architecte
���::ra (�; jir�p.'ircr les plans de mai .x:i- s..:.o.! ,'e-s go�ts et les exigences ';e votre faraille, tout en tenant compte de vos conditions financi�res. Il discutera avec vous tous .t:; :�. jKCls de la construction. 11 vous donnera des conseils pour � iu�iiner certaines d�penses, non es-scnLit'iles afin de vous permette u.: c,'...l.uiie la maison, tel que : . '� .'ct''>".ulez. L'architecte est is.'.rj.'lie^ient un artiste et il doit, 1 -�;� con.�'J<.)ucnt, �t:e familiaris� a-wce toiis les d�tails du terrain o� v mi, vo.lu p;opo:ior. de construire, Si la mai-t.j.1 ne d'harmonis� pas a-'. (.x; l'e; >.:. ...Cfuiea:., il lui sera tr�i i-i'i.oi:.. c.c la rendre attrayante, .m;, que soit son talent.
T^orkju'il- aura obtenu une id�e �- ;a.jtc Jf; vos pr�.�i'encos, il pr�pa-rrrn. uu croquis pr�liminaire de la T . '.son. .ai vous l'acceptez, il con-! son travail en pr�parant-
et do surveillance. En" confiant, le pro;:ot fi'Un- architecte, vous fers?, �n placement sage qui .vous �vitora bien des difficult�s. Un architecte cv..v.�0 habituellemnet de 6 � 10
.les �pures d�taill�es et les devis. A-vec les �pures et devisi vous poss�derez tous les renseignements concernant la construction, le genre de mat�riaux utilis�s, leur qualit� et leur quantit� ainsi que les d�tails au sujet de l'enipbc?-ment de la maison sur la propri�t�, es instructions n�cessaires pour le -rassemen.t la disposition dea trottoirs et de l'entr�e de cour et les renseignements au sujet de tous lus services essentiels.
Si vous le pr�f�rez, l'architecte o carrera des soumissions pour la construction bas� sur les plans et ''evis. Par la suite, il v�rifiera tous les facteurs avant de vous les soumettre. Une fois la maison termin�e, il fera une inspection g�n�rale et obtiendra les garanties n�cessaires pour la toiture, le syst�me de chauffage et tout autre aspect de la construction.
(Ceci est le dixi�me d'une s�rie d'articles publi�s dans l'int�r�t de nos lecteurs qui songent � construire ou acheter une maison.)
Conseils relatifs au-sevrage des agneaux -
les pacages sont pauvres, il est re-commandable de servir, pour h�ter ! l'engraissement, une ration de moul�e. Un m�lange compos� de 200 i livres d'avoine grossi�rement mou-: lue, 100 livres d'orgue moulue, 10C livres de son et 50 livres de tour-Ottawa, � Le sevrage des a-! �leveur de mmtotns 'oit viser, s'il teau e lin convient bien � cette fin. gneaux n'est pas une op�ration t't p:-or3".irc ?M agneaux le plus II faut commencer � distribuer la, tr�s compliqu�e. Cependant, il doit ; cc;-jr.o!;^ lue'jnf'jrt possjble, dit M. moul�e en petite quantit� et aug-�tre pr�vu et. ex�cut� � temps, si; M. G. Lalar.de de la f.tation. Exp�- nneter graduellement, jusqu'� 1 li-l'oi} vont en tirer tous les avantages! rimontrle de Le:moxville, P. Q. , yre ou 1% livre par t�te et^par
'jour pour les agneaux de 65 � 70
possibles. Laiss�s sur des p�turages d'herbe
Si les a.frnea�x ne sont pas pr�^s i{vreg r;c:ir lo -��'lai->h� � cinq mois, c est
Le poids id�al pour le march� est de 80 � 90 livres. Cela ne .veut pas n�cessairement dire qu''in ?.gn?au
.�0___^____ .-.-- de ce poids porte le fini qu'exip� le
mois et demL C'est''le but que .tpi:t.-;:en!; ou en parti PS � de, tr�fle. Si march�. C'est pourquoi il est tr�s
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/rage
Sire vers l'�ge de quatre, � quatre ! sur un bon' p�tniwge 'orme totaler
� � ....... . p > i-'i�1**^"'1^!1
R�sidus de r�coltes et protection du sol -
Ottawa, � Les recherches sur les sols et l'exp�rience pratique ont d�montr� que la restitution de tous les r�sidus de r�coltes au 30! es ossentiell� au maintien du pouvoir de protection du sol et � la protection de ce dernier contre l'�rosion.
Il se peut qu'il ne soit possible ti utiliser la paille et autres r�sidus de r�coltes confine fourrage grossier pour les animaux, mais on peut s'en servir a/ec pr^rx xorrner un paiilis superficiel ou un compost que l'on r�pand � ia sur-.ace �t enfouit au moyen de la herse � disques.
Une exp�rience sur la lutte contre l'�rosion � la station exp�rimentale du jii%s!�ou.a a rcveie yue l'ap-plicutiuu fioua .01 me de ptuliis su-preiio.cl de ceux uuuius de paillt. u. i�cre r�prime pie^que �nti�r.-1 �rosion alors que la perte cie ooi au*' un len'aiii nu adjugent o�-.jvait a lii Loiiiiw � l�cr^. jj'autreo onc �galement
que l'enfouisspment dp '1""1V ^-">.^r^ de paille � l'acre r�duit les pertes de sol de moiti�.
Des �tudes effectu�es en Illinois ont d�montr� que la p�n�tration d<? la .plaie sur un paillis de paille est deux fois plus grande que celle sur un terrain nu; la quantit� d'eau de ruissellement est donc moindre et le pouvoir de conservatfon de l'eau du sol plus grand. L'utilisation appropri�e de la paille et autres r�sidu de r�coltes qui autrement se-.raient perdus, affirme M. G. B. Whitesid�, sp�cialiste en soi � la Ferme Exp�rimentale de Charlotte-town, aiderait beaucoup � conserver les ressources en sol de l'ile du Prince-Edouard et des autres provinces c'e .l'Est. Lorsqu'on utilise des substances fibreuses telles que la paille et le vieux foin, M. Whitesid� souligne qu'il est recommanda-ble d'apliquer de l'azote aux cultures suivantes.
emportant de von1 � ce que Ducaux soient siu' de bond gea durant tout l'�t�. 11 uu ruo .une i.iciUeure piXK.ucuun U pour la m�re,, un deveio^p plus rapide et un fini puis ae i atjuta.u ^a �d.iu^
Dis-moi qui tu fr�quentes
Un jeune gredin, d�j� condamne sept ou huit fois, passe devant lo tribunal. "Comment,' c'est encore vous?" s'�crie le juge: "voila ou vous m�nent les mauvaises compagnies."
� Les muavaises compagnies'.' Mais je passe ma vie a^ec les magistrats et la po.nce: '
C'EST CE
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