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Perc�, au Coin du Banc,' o� il a rencontr� sa belle inconnue. M�tropole est entendu du lundi au vendredi, de 7 h.15 � 7h. 30, au r�seau Fran�ais de Radio-Canada.
M. Trygve Lie, secr�taire g�n�- ; ciies sur le sucre aide le Bureau ral des Nations unies, est un an- dos standards des Etats-Unis dans cien ministre des affaires �tr'an- une �tude du contenu min�ral des g�res de la Norv�ge.
La Fondation pour les recher-
dents humaine afin de contribuer � diminuer la carrie dentaire.
I/dmprim�-bract, journal, bro-Yregrettera pas chure, livre, ne reste-t-il pas encore le principal agent qui alimente et forme les esprits? C'est que son action n'est pas passag�re comme celle du cin�ma ou de la radio. On s'arr�te � ce qu'on lit on m�dite sur un passage aussi longtemps qu'on y trouve mati�re � r�flexion, on' peut m�me le reprendre le lendemain et tant qu'on veux pour se nourrir, s'imbiber de sa substance: F�jr p�n�trer dans les foyers des publications saines, substantielles �levantes c'est un des meilleurs moyens de les chritiani-ser. Pour comm�morer le 40i�me anniversaire de sa fondation, l'Institut Social Populaire veut faciliter cette p�n�tration. Il offre un grand nombre de ses publications sur la doctrine sociale de l'Eglise � des prix excessivement bas. Qui veut se constituer � bon march� une excellente biblioth�que en trouvera ici l'occasion. Cette offre durera environ quinze jours, du 22 septembre au 8 octobre., Qu'on yi-site durant cette quinzaine les' E-ditions Bellarmin, 8100 boulevard Saint-Laurent, coin Jarry. On ne le
stin�tion pour les combattants anti-nazi -
Quatre Allemands, qui ont combattu le nazisme, seront l'objet d'hommages officiels. Le cardinal Vcn Galen, archev�que du Munster Celui qu'no appela le "Lion de Munster" aura un monument � Cloppenburg; en l'honneur c'e Mgr Bernard Lichtenberg, qui trouva la mort dans un camp de concentration, Une �glise seront construite dans les environs de la prison berlinoise o� il fut emprisonn�; une journ�e de pri�re annuelle� tiendra � Berlin � la m�moire du Dr �rich Klausener, pr�sident de l'Action Catholic berlinoise, assassin� en 1934; enfin le proc�s de b�atifi-
� Ces obligations rapporteront 3.21% par ann�e, si elles sont conserv�es jusqu'� l'�ch�ance
� Limite d'achat: $5,000 par personne
� Elles peuvent �tre encaiss�es en tout temps, � leur prix d'achat plus les int�r�ts
Caract�ristiques des Obligations d'Epargne du Canada. Ech�ance: 10 ans et 9 mois de la date d'�mission. Dix coupons de m�me valeur y sont attach�s. Le premier coupon couvre une p�riode de 1 an et 9 mois, il est payable le premier ao�t 1953. Les autres coupons sont payables le premier ao�t de chaque ann�e jusqu'� l'�ch�ance des Obligations. Si les Obligations sont encaiss�es avant le premier ao�t 1953, elles rapporteront 2% d'int�r�t simple par ann�e (calcul� sur une base mensuelle). En effet;3V2% pour 1 an et 9 mois revient � 2% par ann�e. Le rendement annuel augmente d'ann�e en ann�e � mesure qu'on encaisse les coupons et atteint � l'�ch�ance une moyenne de 3.21% par ann�e.
Semaines sociales europ�ennes -
Outre la semaine sociale de France qui s'est tenue � Montpellier sur "La Sant� et la soci�t�" et dont plusieurs jpurnaux canadiens ont donn� un compte rendu, la troisi�me "Semaine social catholique allemande", s'est d�roul�e' � Munich du 30 ao�t au 3 septembre; Le th�me g�n�ral �tait la Fa imille. fiarmi les sujets trait�s signalons: Les exigences social et �conomique de^�la lamille; les exigences chr�tiennes de la morale du mariage; le*"tk:oit de l'enfant � la vie; le salaire familial; les droits et les devoirs-des parents. Du 22 au 28 septembre s'est aussi tenue � G�nes la 24i�me "Semaine socia-,1e en Avril.
PARLER IE
�E RENDE/MENT AUGMENTE D'ANNEE EN ANNEE
EN VENTE � PARTIR DU LUNDI 15 OCTOBRE
chez les courtiers de placement, dans les banques ou par retenues sur le salaire
I
Obligations ci Epargna
DU CANADA
;so.oo �� $100.00
"Ce que l'on en fait!"
J'ai pass� une veill�e fort int�ressante l'autre soir avec mon ami Jean � converser sur une foule 'de sujets d'actualit�. Ce que l'on peutien aborder des questions au cours de quelques heures. Chose �trange,'la plupart ces probl�mes discut�s touchaient des l�gislations gouvernementales, au point qu'� la fin de la soir�e, Jean me fit remarquer qu'on ne pouvait presque plus parler de rierf sans que l'un ou l'autre gouvernement soit la cible du d�bat.
Je r�pondis que cela �tait logique � puisque l'action d'un gouvernement quel qu'il soit affectait de plus eh plus en nombre plus consid�rable d'adtivit�s humaines. De sa naissance � sa mort, un hp.mme est aux prises avec quelque loi gouvernementale. Qu'il travaille ou se repose, qu'il soit malade ou en sant�, il paie des taxes ou re�oit des allocations. Qu'il soit patron ou employ�, artisan o� � sa retraite 'il doit � chaque jour faire cas d'une foule de r�glementations.
, L'un des incidents not�s durant la soir�e touchait l'aventure en �-lectrific�tion rurale du gouvernement de l'Irlande du Nord. J'avais en effet lu tout derni�rement que l'a Commission d'�nergie �lectrique de ce pays avait d�cid� de fournir l'�lectricit� ^aux fermiers avec l'entente qu'iis s'ach�teraient des trayeuses �lectriques, des centrifuges et autres �quipments de ferme mus � l'�lectricit�. '
Le gouvernement de l'Irlande du Nord d�pensera quelque"$5.9 millions pour r�aliser ce "'projet fort louable. Il est �vident qu'en encourageant le d�veloppement de l'agriculture, on.encourage l'industrie de base d'un pays. C'est aussi, une fa�on indirecte de r�duire le co�t de la vie. Toutefois, la commission �lectrique s'est aper�u que les fermiers achetaient des. grill�-pains | et des radios plut�t que de l'�quipement de ferme. Comme r�sultat, la commission menace aujourd'hui vu ..couper le courant qui ne sert pas aux fins pour lesquelles il avait �t� tout d'abord accorder..
Mon ami Jean cri riant n'a fait qu'un seul commentaire sur cet incident touchant l'aide de l'Etat. "C'est bien simple, dit-il, le gouvernement n'en a pas assez fait. Il lui fallait en plus d'installer les lignes �lectriques acheter les trayeuses et autres machines pour les fermiers et les leur donner gratuitement. Comme cela, il n'aurait pas d�pens� l'argent des contribuables pour rien."
C'est sans doute une fa�on de solutionner le probl�me et il semble bien que c'est ce genre de solution que les gens r�clament de plus en plus chaque jour, en oubliant bien entendu qu'ils devront payer un jour ou l'autre pour tous ces cadeaux qu'ils se font par l'entremise du gouvernement.
A Saumier (Qufebec-Presse)
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