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Lisez et faites lire L'Ami dvi Peuple
Le nouvel
i�PHOUlQUE
est-elle exacte?
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PLUSIEURS VOUDRAIENT QUE L'EGYPTE NE FASSE QUE JOUER LA COMEDIE
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NOTRE HERITAGE CULTUREL. L'Ami du Peuple, Sudbury Ontario, i janvisr, 1981 PAGE 11
ricain. M. Gouin nous fournit un ! Ne SERREZ PAS TROP
exemple particuli�rement frappant de ce d�saccord qui exist� entr� nos sentiments int�rieurs et notre l'-a�on de nous ext�rioriser.
La St-Jean-Baptiste a �t� c�l�br�e, cette ann�e, avec encore plus d'�clat que d'habitude. Tout cela est excellent, tout, cela est magni-fique^et il convient de se r�jouir de l'ampleur que prend, d'ann�e en ann�e, la c�l�bration de cette f�te. Mais, chose �trange, alors que f la c�l�bration de notre f�te nationale prend chaque ann�e, une ampleur plus grande, le visage de notre province s'am�ricanise,, d,ann�e en ann�e, � un rythme effarant.. Nos chars all�goriques qui �voquent nos traditions, nos origines et nos sentiments tran�ais, d�filent � travers des rues tapiss�es d'en-. seignes r�dig�es en angia.s, des en- j soignes que nous avons nous-m�- j mes pos�es � la devantures d'�ta- i blissements qui nous appartiennent.,
Il y a l� uri non-sens-auquel nous ne pensons pas suffisamment; : un non-sens que nous devons fair�\ dispara�tre. j
Il importe donc, conclut M. Goui�i, que nous nous mettions: d�s maintenant � l'oeuvre, suivant les diverses formules que nous �tu- j � Me�kor le singe, est arriv� :vp: i ma�tre � l'h�pital militaire du dierons au cours de nos c'iuserie3 avion � Oklahoma City, o� il est camp Chaffee, dans VArkansas. afin que l'an prochain, la c�l�bra- ;��devenu l'animal pr�f�r� du Ca":o-. Seulement, comme les r�glements tion de notre f�te nationale se d�- i ral Melvin Hough, 24 ans un grand i�itaircs re permettent pas d"ani-roule dans un cadre qui soit vrai- bless� de la Guerre de Cor�e. Le maux dans les h�pitaux, le 60ldat aient en harmonie avec nos tradi-1 petit sing� est un albino originaire v�t�ran ne pourra voir son petit tions et nos sentiments fran�ais, j du Br�sil, il suivra son nouveau : ami qu� des intervales espac�s.
Il faut manger quai�d m�me !
. Ma�'fr� la guerre,' malgr� les " cor�ennes se servent ici d'ancien.- les -p^sagers- et 'les- rotra;r.s .de >, ar-dWaru�s communistes et Am�rl- fl�aux pour battre; le grain ^'^-.m^5i iea ccmbats et les deslruc-cai^s c�i reviennent de faire en- as-ont absolument besoin pour qu�te� :--ur- un m.craillage par avion rvivre. Il faut, penser avec phV.... en territ-oire neutre, les ' -emai� . ce pauvre peuple qui a con.
tions � cinq pu six fois ds �t plus aux m�mes cndr.it::.
Le Grand Lac des Esclaiei avec une profondeur Ce 2,C64 pied; est le lac le plus profond do �] l'Am�rique du Nord.
Les Indiens Sioux erraient r.utV�-fols dans un 'veste territoire <yi. �'�tendait du; haut Mississippi ^Jusqu'aux montagnes Rocheuses.
La premi�re ligne , donnant un service r�gulier de navires � travers TAUantique eut pour point 4e d�part Liverpool, Angleterre, LW 1840.