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pomme de ter-ve et � rende-� la vari�t� Ka-par contre est � maturit� in-rendement rap-[ontagne Verte, ces deux varie-les m�mes �on-[pntagne .Verte.
3 princesses se >arler la langue
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HONE 3-052S
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Le Discours
LBOPOLD RICHEB
puissant, path�tique, bonhomme, .plua enti�re soHdarit�. humoristique, f�brile et fier. Chur-chll demeure l'un/des meilleurs 6-
le �Is�ours de Winston Churchill rateurs politiques de notre �poque.
Cor�e la guerre � cori-pendant! que se
l'�coutant, je l'imlagin�iB se tteu** toujours penoam que.;-��� r lecouwn, JB "^_ .
poursuivent lesinterminables et�dandidant de nenrosit�, s appuyant
*^ . . ...<� . i__A�!.._._ i'nnt�a Vi&aitflnt. DeBraV-
ffttjaremment inutiles pourparlers tant�t sur ^i�ttee; et puisque le monde ant m�me dans la meilleure tra-toujours en �bul- : dition britannique, jouant la co-
L'Angleterre, a dit Churchill aux membres du Congr�s rie demande pas de l'or. Voici ses propres paroles: Je ne suis pas venu ici pour vous demander d� l'or, mai� d* l's> cier| nOn pour vdus demander des faveurs, mate de l'�quipement �I "�" " � ;" -for
l�
C� que 1�
*** d�fenses
militaire*: ��* >� **�*� pas
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.
de
,*>*riant d� flu�. et de.
sans aucune K�sitAtioh. U veut �& ,. int �'appuyer feir l'Euro!*, in cas fle besoin: d'o� �a suggestion �fc l�irt recdniiftltre se* grandes alliances. Mais, j� l� craln�, c'�At ii un syst�me r�volti. un sytiH�tt� qui appartient � un autre �ge. Lis) nation�, pas plus que le* tndtvldttst n'ont pas la facult� de revenir �ft arri�re et de recc/mr*'encer leur Ce qui �*t fini est fini:
h�ritier au roi Farouk), je tiendrai d'en faire }e sujet de mon propos. Quoi dire, en effet, de ces situations inextricables qui peuvent aboutir aux d�nouements les plus inattendus ou se prolonger in-dfcfiniment, laissant le monde dans un �tal de constante inqu�t�de? Je pr�f�re dire un mot de "M. � Winston Churchill. J'ai �cout� � la radio le discours qu'il a prononc� jeudi dernier au Congr�s de Washington. Cet �tonnant vieillard
dans un sourire s�r de sa force. Et puis, qu'on l'aime o� qu'on ne l'aime pas� admettons qu'il poss�de une rare ma�trise de la Vangue anglaise. Il a le souci du mot juste de l'effet savamment pr�par�, de l'expression frapp�, de la,synth�se rapideet affirmative. L'Angleterre ne demande pas de
bien propre, � de l'auditeur
l'or.
j'ai l'air de faire l'�loge de quipement,
pr�cis�ment l� le don de l'orateur.
" * �� * ' ' !
Mats � la r�flexion, l'auditeur se ressaisit Et U fait le raisonnement tr�s simple que l'acier aujourd'hui (comme toujours d'ailleurs) vaut de l'or et qu'il laut de l'or pour en produire. Fournir l'�-
---'-'� . :� -..A;^
l'usure �vidente ^des'l'homme d'Etal britannique, Non! c'est aussi accorder ann�es tout vert encore d'une a-' je fais l'�loge de Torateur, ce qui noua gressivit� attard�e. ! n'est paa la m�me .chose, Nous a-1 Am�ricains
sans une
doute,
for�e*' �fin leur
Le premier ministre anglais �
_____. ^rl� d� l� Russie �t i� nouvelle
:'Token menace chinoise (ces remarques �� montrer au monde ce propos, �taient' destin�es � * Parlant d� consommation �m�ftcaihs). En son* et d�* projets d'union mis j m�( M, ft�urchil� � fait un effort
Et tout en leur
vons eu un homme qui ressem, demandant de l'acier et de l�qulpe
:*> wt �^^ * ��
de l'avant par le Continent; il a d�clare nettement que la fusion n'�tait pai le i�ui moy*� d'urriv�i1 al* fin rtr�e; U y Viusti le syst�me dec grmndra alliances,
M. Churchill ne rejette pas l'Europe. Mal�, comme U l'a d�j� dit au g�n�ral de Gautte, �"il avait � choisir1 entre VEurope et la mer (entendons les dominions et les colonie.
ne
s'en approchait le plus, celui - que entendu durant l� guerre
n'approuvais pas sa politique, savoir dans des cas corn-
JJ U 1CUV, UbTUI.V �-"-----------
m�ricains qui sont all�s l'entendre mais l'entendre,
comme on va � une pi�ce de th��- dons oratoires exceptionnels, mais
tre, un plaidoyer d'une rare habi- ' ->��~�.��� n0n M. tiolitiaue.
leti�. Le discours de Washington a
�t� de beaucoup sup�rieur � celui
d'Ottawa, qui aVi�it �t� tr�s quel-
cpnque, cousu de lieux communs
sur l'empire, l� solidarit� du Com-
monwealth et coetera. A Washing-
ton on a retrouv� le Churchill des
grands jours ou du moins ce qui
je
II_____
me ceux-l�, distinguer l'orateur de l'homme politique. L'homme d'E-, tat a des int�r�ts qui ne s'accordent pais avec ceux de notre pays. Je dirai davantage: l'hommie d'Etat britannique poursuit une politique aux fins nationales �go�stes, � une ' �poque ou les Nations doi-
� '���-. � _
AOTTURES D'UN
vent pratiquer la plus franche, la
sup�rieur mais a �t� acclam� comme un chirurgien exp�riment�, se demande aujourd'hui dans quelle voie il doit se lancer.
UN BEAU CHOIX DE
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d�couvert sa
^&&t�\^&*&
siir la personne de soldat� cor�enp bless�s,1 que les journaux en ont parl�. Par la ,s�i>, la marine
1^
�::;u;A:;>^
MERCURY 1948 - camion,Se livraison, Vi tonne, avec chauiirene; d�glac�urs � vitr�s :?� ) en bonne condition -.>-_�_._...^_. $1195
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CHEVROLET 1950, camion d& livraison, % 4�^^
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lonn�, ayant tr�s peu roul� -_��_ $1395
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^;>^; tonne, .---_-_^----
F�RGO 1936,vcamioii de livraisonJ------^--$195.00
Elles soiit toutes mises en �tat de fcnctic^e^
"C'est dur de ee llb�ret,^ l'habitude d'�tre un Impotteur," a-t-il d�clar� froidement.
Carri�re mouvement�e
Sans Avoir J�inals �todl� Mom le� oolleges, Ferdinand Waldo Dem�r* qui a 80 ans, �'e�t fait passer �reo succ�s pour un docteur en philoto-phie et un �mhient Molofue H il a en du succ�s comme professeur de physchologie dans un coll�ge, et comme moine trappiste. x
Pourtant, sa carri�re d'imposteur sera plus difficile maintenant, avec son coup de ma�tre quand 11 s'est son coup de ma�tre quand il s'ej fait passer pour un chirurgien e1, r�ussi de remarquables intervenu ons chirurgicale� dans la
nadienne VA ramen� et Ta licenci�.
au Canada
remarquable, mais J . voyage ait �t� aussi fructueux qu'il ne le souhaitait Jusqu'� prcuV� dti contraire� je maintient l'attitude d� r�ticence que j'expliquais la semai* ne derni�re. Sans doute, les Etats-Unis aideront l'Angleterre. Mais ce sont eux qui m�nent le monde occidental aujourd'hui. M. Churchill a mieux r�ussi � Ottawa qu'� Washington. je cromprend pourquoi, mais je ne m'en r�jouis pas.
"Je lui ai dit d'attendre au lendemain matin," raconte -Dvina:-*. "Ce soir-l�, Je suis rest� d n; ma-cabine et j'ai lu un ouvrag�e sur l'art dentaire. C�tait un-^ ^ci'-tir�� nouvelle pour moi. Le lendemain matin, j'ai inject� de la no:'o.ft-i,ifl dans la m�choire du comt^a-.dant et la dent toi sortie comme par enchantement." Soi . ... ^ s�rieux s'est pr� �nt� ci "vpT^n-bre quand on lui. a amen� un soldat sud-^Cor�en, qui avait r balle pr�s du coeur.
ua�
Demara admet^ qu'il ahne "couper au plus court" et tt a r�ussi �;)8�.:;fa^,>"pa^s^;,pwtt un �mln�nt universitaire, "� assiste "�''^d�s.;f eori^ g�te d'Mutateurs^ st� souMief de police, sold�t am�ricain, matelot et deux fois infirmier dans un h�pital. ^:'-\-'::^--''-'-,^^-^''':'-''---\-
H s'est servi de -penthoth�l �jm.
D fut un Jour professeur de psy, j me anesth�sique et II a ensuite a-choktfe a� coll�ge 8a\nt^Martin, gi ropidtment, en^ ouvrant la pbi-de Lacey, Washington. Demara dit j trlne du patient au mo>� .'.nci,
" '"� �-'"� �"�'-" -i/- ' � --- ,..,__�
0 ne fut pas nerveux "M�me si j'avais voulu �tre n�r> veux. Je n'aurais pas -y dit Dnodum, "A peu pr�s tout to
monde � bord du n�u,. ' Bardait travailler par-dessus mon �-paule."
�ue JF t^ch� �e professeur est facile. "Je n'avala qu'� lire le� manuels plus vite que, mes �l�ves," �''lui. "L> .-.netiJ-ur..-'moyen d'^p
ouekjue chose, c'est enco-
re de l'enseigner.
aions au-'essua du coeur r-t k� long du thorax.
"Je me suis limit� � un grand principe," dit-il. Le r-
pe,
le moins 19 faut recoudre."
,t
Voyez l'un ou l'autre de nos 3 vendeurs fran�ais toujours � votre disposition
comme
ons chirurgicales oans � ��� �� pwtt|�r(J canadienne, BOUS un nom d emprunt.
\ in maison de ses parents^ k Lorenoe, Massachusetts, Demara a i acuit� l'histoire de sa vie � un r�dacteur du magazine.... Life, qui : en fait le'r�cit dans sa livraison du 28 janvier. '
donn� ^ 4�ta�to 8Ui
Apr�s avoir trouv� la balle a u-ne fraction de pouce du coeur du
Demara a utilis� le nom et les dipl�mes du docteur Joseph-C. Wt>
..e Grand *aa^, Nouveau-
fameuse aventure bless�, Demara dit qu'il a craint
de la Mar ne >n une h�moragie. Il a soutir� l� bal-
il a �t� accept� le et rempli la piaie de mousse
comme li��nant<hir�rgien, en collo�de, un ag.ni de coa^Mkm
derniers -on, l'a attach� � H a cousu !es incisions et ^nv,,op-
naval'de Halifax En con- p� la poitrine de l'op�r�. Puis; il
Ses ouvr�es, n a r�ussi � a inject� � son paUent MniHion-
disposer de. cas de nmtlne et il a SOO^ille unitfe ^> ^ -...> �*:*
tralt� dti
d� phsychia- 12 Heun*
.�tait et quittait
1� *� -t
na� -.
mar-
d'autres
exploits ant�rieurs.
MEREDITH CONNELLY MOTORS
250 Frood Rd. T�l.: 3-3633
, Damara a �galement r�us �: -.V.au-
�ne fols instatt�: � bord du de^-,,^ ^^^ �n Cor�e. Il a entre n: uga, son premier probl�-j^trM explolts> r�u8*i Vacation
d'un poumon.
H avait lu auparavant, .^.n^^lf�. journaux, le r�cit de l'op*rafon dont le roi George VI a �t� l'ob-Jct.
mand�
BRUNET & �Ul��WELL
74 HUE B�RGIA t�JEPBOire: 34M42
SPECIALITEES EH CHAUFFAGE
'' :. -'.'., "'�.'-�'� � " ' '..��� : � ' ' l
Fournaises Gilson � Air Chaud et Climatis�
"C'est dur de .^e lib�rer �'<� t'hs-bitudc d'�tre un imcosteur,"
La vertu est belle . . . quand elle est voil�e. Il faut qu'elle s'ignore elle-m�me pour �tre b�nie de Dieu et agr�able aux hommes.