L'Ami du Peuple Sudbury, Uni
L'Association professionnelle
fed
R�dig� en collaboration avec l'Union des Cultivateurs Franco-Ontarlens (Nipissing-Sudbufjr)
da "C��**'Mne de l'organisation corpom-
m, M ,TB�!lard Ar�8' *�'� Nos 889-2W de la publication
mensuelle de l'Institut Social Populaire (2l�me �dition 1946 com-
�?$&,�> efl>U'�S!,8�paf Ie 1SvJV Albert �Nimbai, s.J.. aumftnler 8ault�8te!.Marie.) "" rranc�-�ntarlel� P�* le dioc�se du
CONCLUSIONS: ORGANISATION del� Soci�t�(suite et fin) 0.: Quelles conclusions pouvons-nous tirer des principes ex-
pos�s dans ce chapitre? R.:Nous pouvons, de ces principes, tirer deux conclusions:
1) Etant que la soci�t� est un organisme d'ordre moral, compos� d'orga�ies divers exer�ant une fonction d�termin�e pour leur bien propre et pour le bien du tout, le r�gime d'organisation sociale par CORPS VIVANTS ORGANISES appara�t donc comme le r�gime vers lequel tend NATURELLEMENT la soci�t� civile; ,_
2) Etant donn� que la soci�t� professionnelle est l'un des organes naturels de cette soci�t�, elle exige donc un r�gime d'organisation sociale jjui lui reconnaisse, en plus de l'existence, une certaine AUTONMIE pour remplir sa fonction naturelle: ce r�gime, nous allons voir, c'est le r�gime corporatif. NOTE: Voici d'un �minent sociologue une page qui r�sume ' tr�s bien ce chapitre pr�liminaire:
"II Y f sur la soci�t� deux conceptions absolument diff�rentes. La premi�re que j'appellerai mat�rialiste et m�canique. La seconde, vivante et organique. Pour les tenants du premier syst�me, la soci�t� est une cohue d'atomes individuels, plus ou ?noins ing�nieusement agenc�s par la main de fer de l'Etat, un m�canisme de rouage qui s'engr�nent les uns dans les autres, et qui ob�issent � l'impulsion d'un moteur central.
"Pour les autres, la soci�t� est un ensemble det groupes vivants, lumineusement coordonn�s en vue de la fin g�n�rale, ayant chacun sa fonction propre et son autonomie relative.
"Regardons, non point au dedans de nous des abstractions vides de r�alit�, mais devant nous les choses elles-m�mes, telles qu'elles se d�veloppent au cours de l'histoire, et nous verrons que la soci�t� est un IMMENSE ORGANISME CORPORATIF � partir de cette premi�re corporation naturelle et n�cessaire qu'est la famille jusqu'� la grande corporation, l'Etat, en passant par ces corporations interm�diaires, filles de la premi�re, origine de la premi�res les municipalit�s, les provinces, sans oublier les associations ^professionnelles qui groupent les hommes vou�s aux m�mes occupations, ayant, par cons�quent, les m�mes int�r�ts.
"Entendu dans son sens large et �lev�, le REGIME CORPORATIF EST LE REGIME NATUREL DE LA SOCIETE HUMAINE." (R.P. de Pascal)
QUESTION: En guise de conclusion � cette premi�re section de nos cours, il me semble que nous pourrions demander � nos membres en assembl�e d'essayer s'exprimer en leurs propres mots ce qui est, d'apr�s la doctrine sociale de l'Eglise, la fa�on naturelle d'organiser la soci�t� humaine.
Nouvelles
SOI� AUX FRAISES
ET
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Dimanche le 17 Juin
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VAL-RITA
Le secr�taire de la, F�d�ration de l'U.C.P.O. du dioc�se de Hearst M. Laurent Fortin, nous trarisme l'invitation suivante qui int�res sera, sans doute, tous les mem bres.de l'Union des Cultivateurs de la r�gion Nipissing-Sudbury "La F�d�ration" ~de 1UG.F.O. du dioc�se de Hearst, me demand� de vous transmettre une invitation notre prochain congr�s dioc�sain I! aura lieu � Moonbeam, le 28 ao�t 1956. Nous vous serions reconnaissants de transmettre notre invitation aux principaux organisateurs de votre U.C.C.F.�. Ils seront bienvenus aussi -nombreux qu'ils) le voudront. Le" th�me du est : l'organisation de la
profession."
Tous ceux qui seraient int�ress�s � se rendre au congr�s d� nos confr�res du dioc�se de Hearst sont pri�s de communiquer aveC le secr�taire r�gional, M. Lucien Cazabon de Cache Bay. FIELB
Une pr�sence tr�s imposante se rendait r�cemment � une conf�rence tr�s pratique et tr�s appr�ci� pr�sent�e par M.'l'agronome F. Millette. Nous croyons que ce genre de conf�rence serait des plus utiles � nos nembres si nos techniciens en agriculture pouvaient nous rendre ce service. En remerciant M.. Millette les membres ont exprim� le d�sir de le revoir bient�t au syndicat de Field.
Il a �t� propos� par M. Hubert Lavergne et second� par Emile Labelle que le Comit� R�gional de l'U.C.F,0, tasse les d�marches n�-
Le Pain
II est n�! Gloire vu, feu cr�ateur et divin
Car, dans le four profond clos comme un tabernacle
Le feu, seul et secret en m�rissant le pain
Vient de consommer le miracle!
Une derni�re fois le bl�, qui ne meurt pas
A d'augustes douleurs s'est offert en victime;
Victorieux enfin de ce dernier combat
II na�t � son destin sublime. ,
II a conquis enfin la supr�me bont�.
Le pain, chair de sa- chair et fleur de sa substance
Se r�v�le, incarnant le bl� ressuscit�,
Sous ses obscures apparences.
Car il a d�pouill� tout vaine splendeur;
Son aspect est sans gloire, et ses traits sans prestige,
Et nos yeux ne voient pas l'�clat int�rieur
Que d�robe l'humble prodige.
Pourtant, sit�t qu'il na�t, l'�me qu'il*porte en soi
Atteste la vertu dont elle surabonde;
A peine d�livr� du four qui le re�oit
Dans son ombre ardente et f�conde.
Le pain myst�rieux livre au vent voyageur,
Et m�le � la lumi�re et s�me par l'espace
IM subtile, la chaude et vigoureuse odeur
Qu'exhal� son �tre vivace.
Reconnaissant l'esprit des beaux �pis d�funts, La terre le respire et tressaille ravie � Et les hommes joyeux hument dans ce parfum Le parfum merveilleux et profond de la vie.
Louis MERCIER
essaires pour obtenir les services r'un v�t�rinaire bilingue pour notre r�gion. Cette proposition fut accept�e � l'unanimit�. Deux autres propositions furent pass�es et soumises au Comit� R�gional;, la premi�re, � l'effet d'approcher
le d�partement des chemins pour obtenir l'�rection d'une cl�ture le long du chemin entre Field et De-saulniers; la seconde, que l'on demande au D�partement d'Agriculture d'Ontario de d�frayer le
transport de la chaux .dont les cultivateurs ont besoin pour leur ferme.
VBBNEB
L'assembl�e exprima l'opinion qu'il serait utile � tous les membres de l'Union de recevoir des mots d'ordre de la direction de l'Union pour tout ce qui concerne les probl�mes d'administration r�gional, par eremple: mots d'ordre aux producteurs de pulpe; etc.
MOD�LES DE MAISONS LNH-L'apparence spacieuse de ce bungalow i trois chambres dessin� par P. Meschino, architecte de Toronto, devrait �tre d'un attrait particulier pour plusieurs futurs propri�taires. La grande chemin�e, les larges fen�tres et l'entr�e impressionnante rehauss�e de deux carr�s de plantation, contribuent tous � un ext�rieur attrayant
L'architecte a pris un soin particulier dans la distribution de l'espace � l'int�rieur, en s�parant bien les chambres du reste de la maison. L'emploi efficace qu'il a fait des fen�tres d'angle, assure un bon �clairage du salon-salle � manger, lequel contient un foyer avec �tre en tuile, servant de point de d�part pour la disposition du mobilier. La cuisine bien con�ue, contient une suffisance d'armoires, et elle est facik d'acc�s de la salle � manger et de l'entr�e arri�re. Une autre particularit� est le compartiment s�par� dans la salle de bain, � v
Cette maison a une aire de parquet de 1,268 F.'c<Js carr�s et un cubage de 27,000 pieds. Elle mesure a'l'ext�rieur 48 pieds sur 29 pieds. Les plans de cette maison d�sign�e comme mod�le 250, peuvent �tre obtenus � un co�t minimum, de la Soci�t� Centrale (l'Hypoth�ques et de Logement.