te'13 janvier, 1066
L'Ami du Peuple, Sudbury, Ontario
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LE
DOMIHICAL
"La paroisse est un centre de secours mutuel
o� doit r�gner le pr�cepte de la charit�"
PAUL VI
� La c�l�brait'ion cte tov Mease face au peuple comporte de s avantages pasltoraux, en favord-fsanit to1 p�al�c�pation aot�ve des fk��les dieinand�e par te Me Con�ue du Vatican. Oependant, il ne faut pas exag�rer ^importance. : .-��.."� �''����/.. � : V �'." "�
Les itexfbes �tuirgkjuies offJe�ieOis , imdiiqiuent d^bord claireinent que la c�l�brati�on face au peuple n'est pas ob�gatoire* ma�sr permise, sans doute en ckmmiartt � cette soluitJon le sens d'une ..oraein!tiail^'.-.;;!Lfe pliujSj .assez ;'r�-cewnment, (te Conseil p^ ; l^ap-plication unD�cret ix�nc�iaiiire �sur te (liturgie, dans sa r�ponse np. 91 � une question pos�e, '-'< affirmait ce. qui sudt: "� la Messe c�l�br�e selon les normes du nouvel! Grdo, les fjd�les paritiici-�pent (tir�s bien, m�me si l'a�utel est ib�ti de telle mani�re qu� le c�l�bivant ' toura^-le dos au peuple". Cependant il ajoutait, comme on fadmet d'ailleurs partout, que ''toute ta liturgie de Bai parole se c�l�bre face au peuple".
Par ailleurs, dans ta transformation des �glises, al ne faut pas oublier ou sous^estimer la pr�sence r�elle du Christ dans la Sainte EucharMie. L'Instruction pour Implication du 'D�cret conciliaire sur la liturgie d�termine, comme solution premi�re
AI) PEUPLE
pour le Tabernacle, de le "placer au milieu de l'iauM majeur"; c'est ion secqintd lieu qu'on d�t q�'ilT peut �tre plac� aussi sur "uni autel mineur, mais qui surpasse vraiment l'es autres". Bt poiuitenity dans certoaahm �glises, il faut chercher -.-'le' Tabernacle avant de; l� ; d^uvrir! C�eitte-InsteTOt�ii^ aussi quel-
qu�s .autan�s soliafiions que peut ;<appteo|iiv�r ro�dinaione du leu;: et effil� iagioute que '"iM est permis �4e c�l�brer la Messe facea� peu-; iple, in�me s^l y a sur l'autel uoi Tabernacle petit sains doute mais
� te pLace habiHuieUe dans l'�giJse diu Tabernaclle. C'est le centre o�, rjradiiitoonnell'emenit, se f�'.?init l'attention et �ia,pri�re.des fiM�ies: des transformations mal pr�par�es peuvent nuiire gravement, en rompant avec les usages, au sentiment de la pr�sence de Dieu que rBuchamsitiie soutient si eMoaceoinei�lt''.
Oviila MBLANCON, cjs.c.
Hausse du salaire
mnmum en
.Dans son adaniiiiablie encyclique sur la Sainte ��chaiistie,
S.S. iPaul V� 'iiiiiid!ique itr�s fermement que le Tr�s Sa��t Sacrement "diailt^�tirie conserv� dans l'�glise, i�n un endroit tr�s digne, avec ile plus d'iwnneur pos-isJble,. sdon les .lois 'l�turgiqu'es" (no. 68). C'est pourq'Uoi, comme la.^aisaJit remarquer tr�s justement un �v�que, il faut mesurer "la gravit� de l'enjeu quand il s'agit de pr�voir une modiifka-
TORONTO .r-r Une de la toi du saXa�re miinimum est entr�e en voigueur � travers itoute la province de POnitanio. Cattie ' dispasiitaon ponte � $L25 le saiaiire horaiire mimimum des travailleurs de Usa xxmstouotion, et � $1.00, celui des empitoy�s de �'BiraJustde en g�n�ral, ,des h�tels et tes restaura<nits sans d'istiinotiiion du sexe. 'Ceitite mesure faut partiie d'un, programme de mise en applcatiton graduiele d'une loi du saDsaine miincmum adopt�e en juin 1963.
12 janvier � F�te de la bienheureuse Marguerite Bourgeoys, fondatrice de la Congr�gation de Notr<> Dame.
Elle s'�teignit � la lumi�re de la terre le 12 janvier 1700, pour ressusciter � la clart� du ciel. Toute sa vie, M�ro Bourgeoys chercha l'effacement Mais son nom fut immortalis� et son oeuvre re�ut la reconnaissance officielle de l'�glise Dans le d�cret romain proclamant l'h�ro�cit� de ses vertus. Sa Saintet� Pie X la compare � l'ap�tre saint Paul. C/est la premi�re fois dans l'histoire de l'�glise qu'une femme est mise en parall�le avec l'ap�tre des nations. En 1950, l'Eglise lui accorde lesJionneurs de l� b�atification. Depuis ce jour me: morable, la figure d� M�re Bourgeoys rayonne sur le monde et sa gloire rejaillit sur notre, patrie, le Canada. Gom-mer quoi Dieu exalte vraiment i s'abaissent, coivi'or la promesse du
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^ CONFIANCE EN DIEU
// y a une grande diff�rence � avoir confiance en Dieu quand on a tout le n�cessaire ou quand-on-arien.
(SAINT FRAN�OIS XAVIEH.)
Ceux qui sont �prouv�s par la maladie, la pauvret� ou la souffrance morale, ceux-l� savent � quel point il faut M-soumettre en mettant son esp�rance dans la pri�re. C'est
ainsi qu'ils sont r�confort�s par notre P�re �t tous. Leur pri�re -sine-�re. pleine d'esp�rance et de reconnaissance, leur vaut l'assistance sympathique des �lus du ciel, ces grands amis de Dieu.
Les Fondateurs de l'�glise du Canada sont pr�s du P�re pour appuyer les requ�tes de la grande famille d�s vivants. Ils se rappellent les moments difficiles de leur vie et font tout pour nous aider, nous qui sommes les descendants d�j� g�n�ration d'hommes etj de femmes qu'ils ont aim�s et secourus sur la terre.
Merci � la population
de l'Ontario -6,000 adoptions
en 1965
: Photos Courleiy ol The Toronto Ttleiti�i
Tous ces enfants ont itrouv� cette ann�e de nouveaux parents et un foyer. Des couples ont adopt� ces gar�ons et follettes comme deuns propres enfants. Ils ont maintenant un toit qui leur procure toutes les joies d'une Vie familiale.
Des centaJnes d'enfante attendant �ncore. Ce sont �des 'gar�ons et des f�iles de tous les �ges, protesitainits et catholiques, d'origines iradiales nomibreuses. Ce sont, tous de bons -enfants, aussi aimables que ceux que vous 'rencontrez tous �les jours sur les terrains de j'eux de votre voisinage. 1s veulent �tre adopt�s, devenir de nouveau, membres d'une famille.
Nous solicitons pour Oe bien-�tre de ces enfamts, des parents adoptiifs plus nombreux. Vous en serez ravis, si vous pouvez offrir � ces enfants l'amour qu'ils ont besoin et le confort d'un foyer. Parmi ces 'gar�ons et ces fidiettes � un ou plusieurs d'entre eux � pourraient remplir^ votre vie d'un bonneur nouveau.
Au sujet d'adoption, consultez votre Soci�t� d'Aide � l'Enfance
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Province d'Ontario
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