le 26 man, 1959.
L'Ami du People, Sudbury, Ont
PAGE 5
�;
m
<s
5'"
Cerveau 6lectronique imbatable
^�^^
.,, . . -,
MM; Fnmk Andenon (i fatehe) et Robert Cody, rfputfe eomme Jovevn d'echees de premier* force, oe tout pas tontefob de iaflle ft loiter eontre le oer?etu electronigne i 1'arriere-plut. Celoi-ci lenr � fait .eneabser pres'de 190 revera Ion de parties d'eehees dispntees dans, on laboratoire a rUniventte* de Toronto. Precfeons one llncenteoi dh-posltif ne dispute qoe des fins de rencontres, alors qo'Q ne reste plus qn'une disaine on one dootalne de pieces sor la table carrelee. H sntftt de cinq on six seeondes an eerveao flectroniqne pour prevolr chaqne monvement, tandis que ~* rivanx hnmains jonLssent de tout le 'temps vouln.
Ecole Normale de 1'Universite d'Ottawa
j /
COURS OFFERT. Un cours d'une ann6e preparant aux certificate interimaire et differ^ de premiere classe et au certifi-ficate interimaire et differ^ de premiere classe et au certifi-les ecoles primaires de 1'Ontario dans lesquelles le francais est matiere d'enseignement approuvee par le ministere de" I'lnstruction publique. /
CONDITIONS D'ADMISSION:
(a) Pour le certificat interimaire de premiere classe: (Elementary School Teacher's Certificate)
(i) detenir un grade universitaire approuve
OU
(ii) avoir passe avec succes les examens en huit matieres de la Xllle annee. Une de ces matieres doit &re 1'anglais (literature ou composition) et 1'autre de
(iii) avoir complete la premiere annee du cours de la Fa-culte des Arts de 1'Universite d'Ottawa a condition que ce cours comprenne English 1, la, Ib et francais
1.
OU
(iv) avor Complete la premiere annee du cours de la Fa-^ tio^o^^
(b) Pour le certificat diff^re de premiere classe (Deferred to
avec succ^
anneft IWe de ce^ m
ture oil composition) et i'aUtre le francais (litterature
;.";.:.;.;'..;:;:ou composition. ;� ^i-./.-^^
(c) Pour le certificat interimaire de seconde classe: detenir le "Dipldme d'ecole secondaire, cours general" com^rta)^
:l-/^:: et la c^^itttn^^n^ ��'..�iV:'-- ('� ,.' �
OUVERTURE DES COl^S:'^ iuin?les ^sie^^
'Wan^^^^
ENTREVUES: Les cs^dats. doiventise presenter devan^le Comite d'admission. Les eleves des ecoles secondaires (High Schools) desir^yd*lffieT ^ i'Eb^ 4'ptta^a dew*^^ diaire-du Mncip^^ ^
1^ felre a cet eff et; au
Principal o^il'Ecrte J^rm :' rue; '$tti$^
^^g^iij^^-:^i^:
L'Ami du Peuple
Casier Postal 696, ;Sudbuiy^lpntario.
Nom... AdreaM
(/Here <f ecrire lisiblement)
LES LIBERAUX EN GUERRE
CONTRE LES REVUES
OBSCENES
X,
Les revues pornographiques ont ete qualifiers de "dechets a-mericains" et de "cancer de no-tre societe" a la Legislature de rOntario alors que les d6put6s liberaux demandaient qu'on les banissent de la province. Le chef liberal, M. John Wintermeyer, a dit que des revues spnt distributes i travers la province "sous le d^guisement du r6alisme et de 1'art"..
II a declared "Je dis sans Equivoque qu'un des cancers de no-tre soci6t6 est la circulation sans restriction de revues pornogra -phiques parmi nos jeunes. .
"C'est une disgrace pour les habitants de 1'Ontario de per -mettre que cette situation continue."
Un depue rural, M. Ross Whi-cher, liberal de Bruce, a depose un paquet de revues sur les pu-pitres de la Legislature, disant qu'elles avaient ete pbtenues a quelques pas des Edifices du par-lement.
"Je suggere aux d6put6s de se rendre a n'importe quel depdt de journaux et de voir ces re � vues ainsi que des adolescents reunis pour les regarder, dit-il. Plusieurs actes de violence ont
� commis par des jeunes gens qui avaient d'abord lu des revues de cette sorte.
"Ces obsc�nit�s devraient Stre tenues gloignees de nos garcons et de nos filles. Gela ne fait qu'inciter leur curiosit& et des pensees indecentes dans leur
'arie5
� Faire Part
� Serviettes
� Remerciements
Etc.
i
Consul tez
T**
Arts Graphiques Ltee
08.34)700'
SERVICE DE 24 HEURES
f
122 Elm E. - Sudbury
PRIBRB BFPICACE A 3IARIE, REEVE DES COEUR8
O Marie, 'Relrte des Coeurs, avocate des causes diaesp^rfies, M^re si pure, si compatissante, M6re du Dlvln Amour et pletne de lumlire divine, Je mets entre Vos mains si tendres, lea favours que nous attentions de vous aujourd'hut. Regarder nos misfires, nos coeurs, nos larmes, nos pelnes interleures, nos souffranees; vous pouvez. nous �xaucer par les mfirltes de votre divin Flls, J^sus-Chrlst. Nous pro-mettons, si nous sommes exauc^s, de r�-pandre votreXffloire et le Vous falre con-naltre sous le tltre de MARIE, RBINE OES COBURa EJxaucei-nous prts de votre autel, ofl tous -les jours vous don-nee tant de preuvea de votre puissance et amour pour la KueYIson de J!ftme et du corpe. ___
Nous esp4rons ~contre toute espe>ance: demandec a .Jesus notre ^uerlson, notre pardon, et notre perseverance finale.
O Marie, ReJne des Coeurs, guerlssez-nous. Nous avons conflance en vous. (3 tola).
�^
Recftes cette priere 9 Jours consecutifs, se confesser et falre la salnte Communion.
BiR.
cerveau.
"Elles sont toutes des rebuts americains, voila ce qu'elles sont, et on devrait les interdire de la province."
Le procureur general, M. Ro � berte, a dit que son comit6 sur la litterature indecente a obtenu la promesse des r distributees que les revues douteuses seront retirees des depots et qu'on est en train de regler les procedures a ce sujet.
De plus, dit-il, les autorites fe-derates pensent a inclure une nouvelle definition de 1'obsceni-te .dans 1'amendement au code criminel.
La nature de la pr6sente definition refere au materiel ten-dant a corrompre ceux dans les mains desquels ces revues pour-raient tomber.
M. Roberts a defie M. Whicher d'emporter ses revues devant un avocat de la Couronne et de lancer une accusation eontre les de-positaires impliqu^s.
"Vous vous trompez d'homme, a repliqu6 le depute liberal. Cette accusation sera lancee. Voy-ons seulement si vous engagerez des poursuites".
- * -LA FLAMME BLEUE
ENCORE EN VEDETTE
M. Frost a dit r�cemment au chef du parti CCF, M. MacDo-nald, qu'il lui faisait penser "a un cochon dans son auge". n 1'a accuse d'etre un "l�che" et un >pecialiste de la destruction des reputations.
Ces mots aimables ont ete pro-nonces au cours d'un violent de-tot sur le gaz naturel. II y a plus d'un an M. MacDonald avait re-/eie qu edes ministres conserva-teurs ontariens avaient transige sur des actions de compagnies ie gaz naturel. M. Frost a d'abord ni�. H a mfeme somm& le :hef CCF de retirer ses paroles, et 1'a menace de poursuites de -vant les tribunaux. Mais quel -lues semaines plus tard trois mi aistres etaient pris la main dans le sac et dSmissionnaient.
M. Frost a ordonne une en -quete-maison, falte par son procureur general. Le gouverne - ' ment a et6 blanchi. A I'Assem -blee legislative de Toronto M. MacDonald a demande une en^ qu6te royale. n a dit que d'au-tres perspnnalites politiques e-taient meiees a ce scandale. n a mentionne le nom d'un juge de la Cour supreme de 1'Ontario. Ce juge, a-t-il dit, a aide une com -pagnie a obtenir une franchise a-lors qu'il etait maire de Sudbury.
w AMENDE HONORABLE
Le, premier ministre Frost s'est amende devant 1'Assemblee legislative durant la seance qui a succede a celle ou il avait fait usage des termes 'pourceau', 'de^-formateur' et 'fletrisseur de reputations" a regard du leader PSD de la Chambre, M. MacDonald.
"J'etais, je crois, extremement irrite. Je retire ces paroles et je suis tout dispose a m'excuser", a-t-il declare. Rappelons que le debat orageux au cours duquel il s'etait abandonne a ces ecarte de langage avait ete consacre aux placements dans les compagnies de pipe-lines de gaz naturel.
M. Frost a continue neanmoins a reprocher au chef social-demo-cratique d'avoir "porte atteinte au prestique moral de la Cham -bre" en insinuant qu'on avait a-madoue des deputes en leur donnant des actions des compagnies de gaz naturel.
RAJUSTEMENTS
Le premier ministre Frost a annonce de nouvelles classifications pour environ 600 employes civils de 1'Ontario. Le rajuste -ment donnera a ces employes environ $700,000 de plus par an -nee. Les rajusteraents en question viendront s'ajouter a d'au -tres se chiffrant a quelque $13,-000,000 et effectues au cours des derniers mois.
"Alors, m a appele
lemedecin et..."
Un accident...une maladie soudaine...
La premiere chose I laquelle on pense, c'est de tellphoner au m^decin.
En cas d'urgence, votre le'le'phone vous procure une aide rapide, et son utilit6 est incalculable. Le simple fait de savoir qu'il est la, jour et nuit, prSt a vous servir, est, en soi, un r^confort.
Toutes ces choses inappr^ciables�etbien d'au tres encore �le tdl^phone vous les procure...et il coute si peu!
LA COMMQNIE MLT^LifniONE KLL DU CANADA
PP
y, -?.(,'�?.5