Le aeul hebdomadaire de langue fran$aiie de la region de Sudbury
"- �� n ot t AI i I' ��
Notre Devise:- ft crami JJieu, cfur -/tbnei' et n at point dautre cratnte (Racine)
f,
^ "
ffj-
ei
VOL.
Sudbury, Out, le 17 mans, 1960
le numero: 7 sous
QUAD ONCLE POLEON..
Une situation comme celle repr^sentee dans la photo du haut cause beaucoup d'ennuis et nos voisins du sud de 1'On-tario en ont eu plus que leur part ceit hiver. Pr^dire la venue des tempetes n'est pas mince affaire! De nos jours cependant, .des moyens scien-tifiques rendent la tache plus facile. Des. ecrans de radar peuvent vous montrer la position, la viteisse (Tune, tempete dans im rayon de 150 milles.
j, r- ' > . . _.���� .. I' -" . , "i t V "� *'"' �1 1 '. "?�1*3'l "-"U iffe*- L ' ,r
!,J-
�!<� . - �' ' ''--',- 1 ' f * ' "-. ^'l<t''" '** '
crs 6crans. Si notre Homine \ pr6voit dans le bon sens,-tt fait bien son travail... si ga tourne autrement, il devient un imbecile.
; . . . decide de planter son pommier!
L'AFFAM CASTEX
,i DLR: Bn marge d^s.demi'Eirs dev&loppem'Bnils nous reproduisons 3i un 6diitprM de Pierre Vigeant du journal Le Devoir.
1JES TKAITES DECLABES ET MILITANTS
Toutes leg nations du monde ont eu leurs traitres, surtout aux
. peiiodes les plus sombres de leur hlstoire. La nature humaine, avec
ses "passions et ses faiblesses, est la meme partout. D*ordihaire,
cependant, lea traitres se cachent Ils s'excusent et tentent de se
justifier, ils preiendent servir la cause qu'Us trahissent. n est
'- extremement rare que des traitres se soient glorifies par leur
' trahlson. <7est pourtant 1'attitude que viennent de prendre a Pene-
�; tanguishene le cure de la paroisse de Sainte-Anne, Mgr Jean-Marie
'� Castex, et son acolyte, le maire Jerome Gignac.
Ceux qui pourraient etre tentes de croire que nous enflohs la voix et que nous forcons la portee des.termes, nous les renvoyons a la depeche de la Presse canadienne qui rapporte les declarations du cure et du maire de Penetanguishene et que le 'Devoir1 a publiee recemment comme les autres Journaux. Ils y liront en toutes lettres- que Mgr Castex a declare que <'cela me blesse (qrfon 1'ait appelS Judas), niais je continuerai d'etre "en faveur de 1'anglais." Ils verront que le cure 's'indigne de ce que la faction opposee veut tout sdmplement rendre la ville 100 pour cent fransaiee". Ils constateront que le maire Gignac considere comme "tout a fait idiot de donner tant.jilimportance au fran�ais". ' , .
Comme on le volt, le cure et le maire de Fenetanguishehe ne se contentent pas de demander que Ton fasse tres large la part de 1'anglais, ils reclament la suppressions du francais.
A 1'appui de' aa doctrine du reniement, M-gr Csstgx invoque' des faits et des arguments qu'il importe de refuter sans dela'i.
� Ainsi 11 s'eii prend aux Soeurs de Ste-Croix et aux Freres du Sacre-Coeur de 1'endroit qu'il accuse de soutenir le mouvement francais. n a affirme que les Soeurs et les' Freres n'ont pas permis aux instituteurs d'assister aux .reunions des parents et instituteurs de langue anglaise apres le pretendu insucces de leurs ef.orto pour crier une association francaise. II est pourtant normal que lea instituteurs et mstitutrices des ecoles bilingues sfoccupent de I'Asso-cbfibh des Parents et Instituteurs en laisdant Jeurs coUegues des ' ecoles de langue angla^s'occuper de ia Parent-Teacher Aasoctotion.
r-.-T r^kjL�.'i>'>%ii;iJ^�.-'-'iifti*�iii�iijii'�!MU�s�(rfl"'. �"^\1>a;ttu-'-la'"> f"**'""1' <^A i'A.a�AAiiittn
a change quelques jours plus tard pour un aumonier de langue francaise. II pretend maintenant que Tassociation a echoue, ce qui voudrait dire qu'elle n'a pu siirvivre aux coups qu'il lui a portes.
Mgr Castex a declare au representant de la Presse Oanadienne que le fait de vouloir faire de Penetanguishene une ville 100 pour cent francaise serait tres bien si Ton etait dans le Quebec mais qu'il s'agit de I'Ontario ou 1'anglais est la langue principale. H ne parait pas savoir que le francais est langue officielle dans toute
(suite a la page 10) ;
^^'^^^ \ >t ,' V A
*, . *'
NEIDI
1'I.N.CO. EN
-.- i ' **
V
-Rage 10 -
r
1 �",(
KiJ , fo - �
IT')!"
l^-u* ffk '
fe ~
I'iJ,.
Ls i
Kir I
pt � ($# * 1*0'
Irr
nvjri^
t:;-
&-:
^
,;^ /
Iv".
$�?' W
w entre
*� __ -
i *'
prix de gm etde il des medicaments
i ^
- Page 3 -
. , ,.
Seront-ils tout slmplement Mr. and Mrs. Tony Jones? Ou bien le mariage du Prlntemps de la Piincesse Margaret et de Anthony Armstrong-Jones apportera-tnil un jtitre a rancien photographe de la bonne soci6t4 london-ienne? Une attitude royale ressort ^le cette^ photographic nofficielle~dstine'e a comm^morer l'6venement des fiamjailles. La date du mariage a 6te fixee au d6but de mai.
l^Mr.- -
' t%?;r ,l * * ? AWiM^y,
; " f
::;:il
m