Imprimerle et bosselage 122 Elm e. Sudbury OS* 3-0700
le 17 mars, 1960
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Fournitures et livres de classe 122 Elm e. Sudbury OS. 34)700
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LES PRIX DE 6ROS ET DE DETAIL DES MEDICAMENTS
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prk de certains medicaments, du manufacturier au pharmacien
;deJ;.de^^:.eB-,:-"si qti&ffi3^^ M. Hazen Airgue, chef pademen-
taire ^;;PSD.-;v'::' �''.�:' "^^.' ;^ :�:�'. -. :;;&;p^rfc ;de3"m<&(Ji!ciaffl^ei^;,0M Oaffwda exigent ^ pdus granite d^ oonsommtateuiis, a-tjil dit, en sugg^rant to teoiue d^e - epgu^
paorlemenliaire 'sur les prix 61e-'; ves,: ies -ecfeiilts /tie' prax,:i^^ueii-. ce d^^
daais la f albridytion des medica-meints et I'tofluenoe nefiaiste de ^laVputoiMete
V "Je> ne; m'eii: prendsI pasi aux pharmaciens detaillants, a dit M. Argue. Les preuves que je possede, ;a-t41; ajoirte^ mdi-quent que les plus grands e"-�(B^^^i^r^l^yifat;;^^;./ le cout de production du manuf acturier et le prix demande au d^taillant par le manuf acturier." iM. ^ ^o^^^fe
par le OonseJl de (travail de London isur la formation dunouyeau \ paoitli iwMquie quie prec<)inlise^ �� le''P9D:;ie1;; 3�-X^giils;icBu: itrayaai;
'duT^3aiiia^;-^ -; '---i;^';��'.;�� '.�'�;;�� Les medicaments vendus soils 1'^tiquette de marques de commerce cbutent souvent plus cher que les m^mes medicaments vendus autrement. Gitaiit "Gilbert PuMattons
^NeVi'V;^T^i^ les de^ ''Tenrajwyc^ dent vi 142,08 le^eiA; tandis que leur prix est seulement de $28 le cent quand elles sont vendues sous leur nom g^n^ri-que de ^oXytetracycliriei-fc^djppi'''11 ^ttiox^ {
;: ta puito >Ti-
gnoraiwre technique du gramd public favorisent une plus grainde di^niaiflde! pour ies; marques; <fe coitimeroe dkws quer ies meines
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isous i leur aibih ^neriqiiue & un
pitix moinS;eleye.' ;; � ;
LB public se fait voler par-
ces hauts piix scahdaleiix^ a-
t-il dit, et un comit� parlemen-
tafre^^d
tode de ceite^ q^
coursi de la ipri^nte session.
Le Jws. pi^SdU: yaccfai ^Salk,
a^fl �jou^
empte diBvC^
pour rendre;justice aux)coh-
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La FTO Veut Une Enquete
LES FRAIS MEDICAUX ONT AUGMENTE DE
55 POUR CENT DEPUIS DIX ANS
La Federation <iu travail de a'Onteto iaidemand6 m gou-verneraent <Ie odrtie piroviiiiice d'Jmstituer une enquete �ur T'afu memtattaon des Ms medicaux, a fait, savoir D. Dave Archer,
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piharm^ens de 24 pour cent; 'taindfe que les frats d'hospltalisation
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L'echele d^ honorakes de l^Associaitdon de� med'e^ de
lX)nta^';�^vm^ii^;a;l cinq- arsons
qu'Jl y ait �u un sembbrA de con^Miion avec les r^presentanfts 'dw;iCoBiskrani^^ ;-----yl- -:;': ;-v.-v.
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VOUS AUSSI, SOYEZ PRECIS
Assurez-vous que la suscriptlon dB vos lettres et colls porte les
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� le jTorifi! et le pr6nbm du destinaiaire.
� t.e^urn|i;():et1a ru0, pu bien le numfirp de la ;l HroMrural^^p^
^ ;^� ^LaJy) llfr :pu" jp|^^ ^: Uf^y^ce |o|^
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Pour Vancouver, Winnipeg, Toronto, Ottawa, Montreal etQu6^
Spiwwiiiiil^^
�^%th:!s:;.SV.'M�A'tK.M#^^!*X^Kj#J^^^
FOSTES OANADIEHNES
Paroles cel^bres:
"Anssi longtcmps que je serai premier ministre du Canada, PERSONNE, ne souffrira du chomager
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Qui done a prononc^ cette parole, au cours de la dernie-re campagne electorale? Nul a�tre hque M^ John Diefen-baker actuel premier ministre .�:� de notre pays. ^ '^:Y:lyr^','� A la r^lire aujourd'hui, on se demande ilequel d�s deux ele-mants qu^ele contient ^rend cette declairaition plus meprisable. Bsexie le meprtis qu'eMejpefflete pour 1'intelligence des 4�lecteurs? Est-ce; le mepriis qu^elile; lieilete d'im polijtisoien^.qui Mse-or^ nKt-' gkiien? :'::.:.'.^" ^.':';v:':-"�:'-��. ^'
Ou bien, en effet, Itf. D^-enbaker etait serieux quand il a prononc^ cea parolBs et, dans ce cas, il devrait pr^sen-"ier;'sa^dein^^.^;-:;':^^ -(\ :<:'��: '-'�'-'��� ' Ou 'Wenil etalit aissez naif pour CToire que flte proWeine diu cli6> mage ^ i^i^ avee quelques mMons consacres a des travaux d*hiver/ et jatars"^ 'politiqiie est celui d'un enfamt. ';; :Heteis,: "ia' 'v4^/';ir^e;:'pro-bablement dams une troisdeme 'e^l^a!ld|ph,-^Tplllt �p^^:.'^^f^i. que M. IWefenbaicer;a Mt con-fiance a 4'iJtodiftferenoe todittion-neile du peuplecaraadien en oet-te mattiere. II s'est dit qu'a moins d'aitteindre les proportions catas-tropMqiras que nous avows con-,nues daife lesVaniii^."tii^^^fe' chdmage etait un fleau que les Canadiieins enduirenit assez bien.
�'fK^^^^^^id'^^
eux connaissent la gSne et
'.i^^^^^i^^flm^A'^::: ploi, les autres consentent a passer cette misere sous silence, pourvu qu'ils alent le ven-
W'tre*'~P�e�i^:;l^r^uiKfde?-M�^iMci*#
piiMD|^^S5�S3pSft3'>
On^
o^^yiSqit^^^
presMent de la Ohambre des
communes, M. Roland Michener.
Refusant une motion qui avaat
pour^d^alulitjiri^
.ts^'^ile\pIloblen1!e.:Wg!e^'��.:du' chdmage, rhonorable president
a^idfiito^^V::::^-:'-.'--^.';��'� :^:^ �' "La question du chdmage
n'est pas urgente. Le probleme du chomage n'est pas nou-veau, il est continuel''.
'Peut^m dire' ptos diadiremenit merit qu'on se fjjcfhe pas maH; die ia- misere.-.dj�^.6iuiiTO?:;-0i!!p plus d'un demi-miMion de ci-toyens ailent perdu leur gagne-pain-''ret;",floa^ft. prives de ieur ir^ivenui''.' ceflia"' iti'est"'paisr"' wfgeoat:
Mads quest-ce done qui peut etre phis urgent, saiul peut-etre uin<e atttaque otnnee contre ie pays?
On oomprenid, cependant, que les conisemteurs aaemu voulu faiire die islence sur cette question. Oar, aipres 'k promesse qu'on a lue plus haiut, apres tou-tes espeoes de visions plus ou moins reaistes comme le deve-iloppement du Gowid Nord, le gouvernement actuel a toujouirs refuse de prendre par les cor-�nes te tawreau du chdmage.
Les prets a Thabitation:
LES BANQUES NE POURRONT OBJENIR QUE 6 POUR CENT
OTTAWA � Le ministre federal des travaux publics, M. Walker, a Misse' entendire en fin de semaine que 1'on n'augmen-tera pas He itaiux d'interet que les bamques peuvenlt exlger dans le 'but de flies intiiter a panticiiper plus 'aotivement aux prets & llia-que le 'gouverniement
'Le mM'stre, qui parlat, mix Communes, alors que la Otom-bre etadt invtee a porter de $1,000,000,000 a ,$1,500,000,000 la isomme d'largenit que la �0-ciete cenitrale d'hypotheques et 'de logement est aiuitorisee a pre-�ter directement aux construe-iteurs d^haibitotjionis, a Mt itemar-quer que les oapitaux prives dis-ponibles pour ce genre de prets sorit mainteniaint plus conisdde-iraibles qui y a queftque temps. , U a,egaliemeatd6ela!r6 que. si to Stkri^ ce(ntaiato,^d*ypoth^ ques ^tait d^bordee de demiatn-des de prdts <et qu'il falait pro-ceder a une repartition, Sa preference serait acoordee aux gems ayanlt un revenu de $5,000 ou moins.
M. Waftker a dtt, diautre part,
invditaraiit les deman-deurs de prets directs a voir d''abord si I'ume des 82,000 mai-isons pi^sentement en conistiruc-tion ne leur convdendiradit pais.
Les preteuirs prives s'etaient retires graiduelenrenit du marche jusqu'en d'ecembre dernier, aloirs que 'lie gouvernememt a porte a 6 et % pour cent le taiux d'in-teret sur lies prets de Socieie cenitrale. Le ministry a admis, cepenidant, que lies bamques qui, eles, me peuvent encore exiger que 'six pour cent diinteret ii'ont pas boug& ___.
De toute ifiacon, les bainquds d'exdiger 6 et % pour cent pour des prets consemtis en vertu de la Loi maitiiioniaile du togement
"D'afJeuins, a dJt M. Wafllker, une telle autorisation pourrait inciter les ^banques a demander | tin Uaux d'aartere|.plu^ eleve que six pour'cemt' poiir" d'auires' do-main'es d'activrt^ bancaire.
Done, si Hes 'bamques pamtiioi-pent a ce progirainim'e de prets I Phalbiitatdon, eleis devront se oontenter de six pour cent d'im-teret.
spreo. llane
RAPPORT ANNUEL 1959
PAIEMENTS AUX ASSURES
� ASSURANCE EN VIGUEUR
ACTIF $1,352,185
$68,405,016-
$6,277.310 | $465,757,481
4J959 $2,990,917 | $8,449,778 $564166,027
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"JOINDRE LES DEUX BOUTS"
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