L'Ami tiu Peupte, Sudbury, Ont
L'AMI DU PEUPLE
AU SERVICE DE VOTRE
Journal hebdomadaire public et imprime par � Les Arts Graphiques Limitee �
Par le D� Adrien Plouffe
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Fonde"
en
1942
122 rue Elnre.
Association des Hebdomadalrea de L<anirue Frangaise dn Canada - Central Press Canadian - Canadian Weekly Newspaper Association
Directrice Redacteurren-chef
Mme Yvcmne I^mieux Germain C. Faucoh
Autorlafi comme envoi postal 2e clasie � Ministers dea Porte* - Ottawa
EXEMPtES M NjGA WOE
Je denongais, la semaine dernifere, le "ne- dans une sorte de ca^sole ^
gativisl^Vc^tt^
valeurs, a des demi-philosophes, a tous ces horn- ne split pas encore^ pirvenus a se defafre, au
' ' ''- ' '"- - '-' � ��.�.��.-.: ,:. �* �__----1 � l*~~A A,. rin.t,ttt.n .' ���;':.'..';-.": �.">�"' .. .-'.'..'-A '.; ''.-��'..'�- -V--.'
YmCUJLJ}* fl UC9 V^V'^lKff-~[*-M � "l^rUTTJ-��T^->J-a �� ^TJ -,__��;��� __._.___
mes qui; n'ont jamais reussi eh tou^ sager leurs propres analyses des problenies, leure ^ 1^
prejuges perspmtek-auMls ces
fer, des v6rMs Eclatantes. ^ esprits ^riegatiyistes" qui n'oublient qu'iine cno-
Rien ne trbuye grice au regard inquisiteur se: JUlumer leiir propre lanterne. BEotiens se-de ces pretendus Ubere*s qui offrent au pays raient tous ceux qui n'acceptent point de deses-ses seules chances de^ trouver la luiniere, les �-�"--" �*- --"- *~"^- '- -^^�^^ � i0n^ routes qui ne trompent pas! Imaginez! Ainsi, un pavs, )>ar I'ensemble de sw? crp�n�'n'0��*s et de leurs libres prises de position, fait-il con-naitre a ces fautenrs de trouble, perpetuelle-ment inauiets, mais aui ignorent I'inquietudle vraie qui est a base d'humilit^ et de connais-sance des limites humalnes, au'ils lancent les hauts cris, trpuvent partout des motifs a Jew croissante tristesse, tristesse congenitale.^~
laiciit vuua vi'UA i1** "� *"'vv'i'vv"it' t""^"*' ~~ ~~---
p6rer, de salir toutes les realisations en leur pays. Beotiens seraient les eciiyains et les artistes, et les penseurs qui ne prendraient pas pour argent comptant toutes les turpitudes et les de*hancements intellectuels dont agonisent taht de j^ays, saM pa^e^ - La v^ite, d'ordmaire, est toujours dans un juste milieu. Les extr^mistes, qu'ils soient d'un cot^ ou de I'autre, n'ont toujours r^ussi qu'a envenimer le� situattons, fausser les vraiespers-
croissante tristesse, tnstesse congemwue. �r��T��-----�'--
Certains visages depuis dix ans, depuis pectives/Lorsqite pendant m
vingt, ans n'ont jamais suce qu'etait le sourire, ans, on n?a pu ^ffi^ autre
-��-��� - - w �__�.�._ ^A nnciHnn n^craHv<^: tAhdflnHniisAKv sans-iainais
TAAm^v,: MUKP A* v�*w j*..^.----�� �.�__,.v
la saine joie.de vivre et d'esperer, le bonheur de chanter a un rythme humain qui entravent toute reconnaissance enyers Dieu pour toutes ses largesses et les merveilleuses joies de 1'existence humaine. .:;;:: �, �-.'-'-:: -�;;-.:'";-'��";''/ -:�'.'' �'�
tout irait plus mal qu'ail
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MM0J- V��-'�* ��.� JP"�- .-�� TT7 .."�,--,-..-.�,-.-.- . ��' --.. . -. .-A --..
de position negatives, tendancieuses, sans jamais reconnaitre ce qu'il peut y avoir de bien, de beau et de vrai a 1'ext^rieur de ses propres labyrinthes de pensee, on n'a pas ledroit de pretendre avoir enrich! positivement la patrie et le monde. Ayons le courage de denoncer ce qui dott 1'etre,
� J.X/UJL at .� v**v , ^ . .��� -�- - A------ . ....
politiques auraient atteint le creuset des abimes
des corruptions. Mais par contre, ailleurs, tout
serait conime im so^ ..,.,....,
La politique y v^se�
et de sante dont leur\iprop|re:p'a^y:-;ieur;.:^r^re' dans le pays.
Province seraient privesi Oh voudim
existe^sftrement de beauj de|Weh et de ^rai en dehors de nous! Et alors nous serons des
dans la cite et
R()GfiRB^IEN
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h ^m^m^ rEglise-Unive^
one , ,
r ce^ tene canadienne-fran^aise de J6sus a c^rtainement r6alis6 en lui le sommet
sge duTpSt Zuvement moidM dans les deux ordres: celid des Epousaflles, et
de s � eSKft le Chef de la Sainte. celui de la patenrite, Jfl;n'est pas le pfere du
pas en vata choisi la ville de Marie, Christ, selon la chair. Mais i Dieu seul sdt a quel-
vS-MARBE), pour le haut- les, prof ondeurs la paternitf de Joseph a puis6
qui ^nous r6vele de plus en plus en Dieu, a qui tout est possible, parce qu'Il est
du fS PuS de J6sus, et qui 1'Infini. Nos mots humains resteront toujours
- touH�veK inadequate devant cette sublime grandeur de la
SainSFamffle, dont Joseph a M le Chef in-
divine de 'Marie. L'histoire humaine, malgr6 contestable.
QUAND ARRIVERONS-NOUS A TUER LA NEGLIGENCE?
Les Oaraadiens de^enserat, tihalqiiie onra6e, pMeuns oentaines d� millions de dflfens en soins m^dJoaux et �m mMcommts. JOir, pam ces 'gens, il y en a time rouMtulde qui ne veulent lien entendfre -aux consols cte gnos 'ban sens que leur pirodiilguent les medeoins ihygi'enistes. Is ^buisent de Mooal, is abusemt des deloes de la toble. Is laibusent de tout. His one piennlenN: aucum letxiercioe. Us me dorment, pas la'ssez.et la comedie se termine par une molaidie qu'His amraienit pu evlter. Et, ie oorable, c'est qu^ ce moment-!^, ils ne vont pas oomsuQiter Je meMecm! Non, ills se isodgnent a iraveuglette, ce qui permet a telle maladie de s'aggraverV ��� � - ....... ..... ^, | (
Fensez-y 'bien et demandez-vous si oe systeme s'apparente Jie molin^emenit au sens commun. Et quamd jdes |mdffiere et des millers de Canadians agissent ainsi, demand-ez-YXDOis s'il est etomimamt qu'ils dependent pluaieurs centaines de mfflons par annee en soins professionnels et en remedes! '
�On lie pent pas eviter toutes lies maflialdies!
� D'aooord, mais neuf foils suar dd!x on peut eviiter 1'aggrava-$m de la mafliaidie ou ses comipMcaltions.
Au tad, oe que le medeoto ihygieniste vous ensedgme, ce n'eat pas complique", c'est unie m6tihode ibasee BUT ume fivre de science et sur une tonne de bon sens, -Rien de plus. En 1960,
qui done peut itgnorer cetta vMt6 lumiifeuse? Qui done peut Tester (ignorant deviant les sadmeis leconis de ir'hygienie, qui'?
iCertes, ill peut y avoir encore queliques iigmorants dans les coins ^loignes dies 'grandies viles. H y en a de moms en modus, mais ffl y en a encore. Manis aiujourd'lhui 1'enineimi no. 1 des medeoins 'hygi^nisties, c'est une sadoite dont 1'e inom n'est pas au calendirier, c'est sainte Negligence. Entouree de rimdifference, de I'insouoiance, de I'a-peaiipres, de I'apaltMe ou de i'imiconscience, i^admte Negligence mene Ote ball Et c'est la vondie emdaablee ou un trop 'grand nombre des ndtnes se preporent, par lieur culte a 'Sainte Ndgligemce, a la maladie, a la maladie qu'ils n'eviteront pas et dont list ne sauront pas prlvenir raggravation! � :-' x \ ' \-
Devamt oette situation d6sesp6rairi)e,.l�is ddscdpl^es de Pasteur coritmueht de ise dresser, �n
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Ibnl^ii^i^'fi^
oommenoent a
toutes ses grandeurs, ne sera pas assez tongue pour que les the*ologiens arrivent a cerner routes les richesses interieures contenues dans cette realite sublime: un Homme-Dieu, et sa Mere,
�^;i|'-j^:^irc^^ '^�^w^-^yj^^i^iaL^^i^, .^.in^Tr: rivehpp^";::^;j;e^|M^^ 'n'e^perhi^^di^^tiet;^^
reaitie supiunc. uu aumuic-v��/��>,:.vT ^~ -~T ' ; n es
mire 'iafi^:---^^^^^1 P*^ fet-$t } Mysore oe I'lMarhalteJl/etiMiiie^^
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�?coinp|pdi�tu^et^
i'^^^^ss^si^iia^^
BOUTS"
hommes, et 1'homme que, de toute eternite, Dieu avait choisi pour couvrhr par son silence et ses hautes vertus, le Mystere insondable de I'lncarnation du Verbe.
- On dit communement que la profonueur oes lacs, situ6s en pleine montage, Squivaut a la hauteur des monts qui emergent Ainsi, pour
de trop pour les Choeurs des Anges et 1'Assem blee de tous les Saints, pour exalter la grandeur et la mission unique de ce trio, incomparable
;Tripl^qu^:;^>q^:S'^ ::d'anl6ur>4e^pie^^:r^^
�-: 3:;�" n?^/'p^en:l)^^ a fixe au;jler:;^^i(i^;^:S;�J
naUtclir QeS; fflUB� ^H^1- c^r*jpr"-.". ^r^� �~~: � � a IlXe: all ,<J.cr;Uioi; la,"icirC:; w<;:^.o.;:.;�p�acj^i�':;f�iwo���.;
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CKSO-TV, dimanche 20 mars, 12.30 p.m.
QUEL EST LE BUDGET DE LA PROVINCE?
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Si on vous posalt cette question: "Quel est le 'budget de la province de Quebec?" Que irepondriez-vous? .
Oette question, mous llavoms posee a nombre de caitoyens, en ces demieres eemaines, a Quebec, a Trods-Riweres, a Berthier-ou a MontneaiL Le public est peu renseigne sur le sujet.
Pourtant, 1'argent de 3a Province, c'esH notre argent, celui de tout -le monde, du plus niche, comme du plus pauvre!
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A l'<Kx^i)on de cette .^mission, nos cameras out pen6tr6 dams le bureau de M. Roger, Stanton, C.A.,
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le inle^ii^:iM^ sb^w^iidevMi^ Vntip^
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tout homme appartient au monde du travail) un Modele, et ce modele est un chef-d'oeuvre de silence, d'humilite, > de urete, d'obeissance.
oeil humain ne pourra scruter jamais dans toutes ses dimensions ce Mystere de I'lncarnation'que
-- - _._ j_ i� -x�.v.�
c�estl 0as ^ f0yer quc ia societe sera sauvee. JfeuSj Marie et Joseph nous apprennent ce qu'est
ses menso . uSj ae
Joseph a ete appeie a.couvrir de son ombre. UN VERITABLE FOYER, selon le Coeur de Dieu.
."TV^V. * �._'xv^^^^tAMa AAMn.mn>hNmt an Pimm � . t >'- *
�jfu. a nvtr, wj^r*'*" �� I"---------
Certes les theologiens decouvriront, au cours des ans et des siecles, dans dimensions toujours
ROGER BRIEN
'"���� �'^�^:i:a^^p-^^;^^s?^p^;g^
r\^^i^-^f|1�ij!i!gij
':�'����- i'/j^vft^^^^l?!
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i L'Ami du Peupie^s slii-lii W^M itf:4s^>: ?: :^^'^ VCa^er^Po^{8^/:;Sudl^^(^
Nonx � �. Adrease
(Pritrcftcrirclisiblement)
Ecoutez
"frangais - 550
du revenu, pour le gouvernement de la province die Quebec. M. Stanton Mstera sur les points suiyiants: les tirodis prancipaaes depenses du budget et les trois primcipes sources de revenu, ainsl que revaluation des depenseis provincMes pour Hels aamees 1929, 1939 et 1959. M. Stanton expMquena de mecanisme qui sert a to- preparation du, -budget; comment Sargent est percu et comment dl est dpems^; le rdle die fAssemlblee, de 1'Executif <et des
tPour computer ces explications, M. 'Marcel Belanger, C.A., professeur >a fe FajcuDte de Oommerce 'de rUndversite Laval a Qi^bec, fera ime eMiude detaiid^
1 commeratera <tecun des cMffres en repondant aux qoiestions de l';anfinateur, M. Jean-Paul Lefebvre. '
Oette etude �sMdtement objaotive que nous predetttons dans lie seul but d'mfonner ^pportena un peu de ilumiere sur ime structure adminiistratiivie quelquefoiis compMquee. \
SOLUTION No 5
iv�i'Mni;�3i':Hii*^�-'.'
raHn ran uaa 0
n CIBK anaaaa Btaaannuraa sin! aran! nira a an;
ataaa a a.a'ga.aa
anian o aan0.agai ana?] mm paaoga ancinw' Haanfia. a.g
na'na'yja'an Qa.aa. a
0 Q[| BS EJCia BEia
,iW'.vv-**(ii".*i�i'"iViii�>av'.f'.'*-iAi ".'� �'�'-..�'
es txemblements
fp|Sfl|Siii|;Wri;
'"-';� Hi: <'�<.-f,,-iM'".^'i-"\'i*'r ���'��.-�'�!'..
�oem^^Aiiie;::
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smii^sdeimareei:
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