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CARILLON
par H. LARyE
L'Angleterre et ses colonies mirent sous les ordres du g�n�ral A-bercromiby 50,000 hommes,
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quels la ' Nouvelle-France n'avait � opposer que 6,000 hommes seulement.
Perte de Louisbourg Cependant, avec cet esprit chevaleresque qui ne leur a jamais fait d�faut nos p�res ne recul�rent pas devant les dangers de cette lutte supr�me; et l'h�ro�que Mont-calm �crivait au ministre de la guerre en France: "Nous combattrons, nous nous ensevelirons, s'il le faut, sous les ruines de la colonie..."
D�s le mois de juin 1758, les Anglais envahirent le Canada par trois points diff�rents: Louisbourg, Carillon et le fort Duques'-ne. Louisbourg, dont la garnison, compos�e de 7,000 'hommes, �tait d�nu�e de toutes ressources, fut oblig� de capituler. Pour la premi�re fois, durant ce si�ge, on voit figu-
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rer le nom du g�n�ral Wolfe. Bataille de Carillon
Le g�n�ral Abercromby commandait en personne l'arm�e dirig�e contre le fort de Carillon. Cette arm�e �tait forte de 16,000 hommes, auxquels Montcalm, second� par L�vis et Bourlamaque, ne put opposer que 3,000 soldats et miliciens.
Le 8 juillet, sur le midi, Laver-di�re, Abercromby marcha contre les retranchements fran�ais avec beaucoup de vivacit�; son arm�e �tait divis�e en quatre colonnes, dont les intervalles �taient occup�s par des troupes l�g�res. On laissa l'ennemi s'approcher jusqu a quarante-cinq pas; l� on l'arr�ta tout court, par un feu aussi juste que bien nourri. Pendant sept heures, les colonnes anglaises s'arhar-n�rent � enlever le retranchement, et firent six attaques cons�cutives. Enthousiasm�e par le courage h�ro�que de Montcalm, sa petite arm�e se battait avec joie et avec un entrain admirable. Une attaque sur le flanc gauche de l'arm�e ennemi fut vigoureusement ex�cut�e par M. de L�vis; tandis que du c�t� oppos� la flottille anglaise de la rivi�re de la Chute fut repouss�e par le canon de Carillon. Enfin A-bercromby, apr�s un combat opini�tre, battit en retraite; il avait perdu 377 'hommes tu�s ou bless�s, dont 37 officiers. Les Canadiens, partag�s en quatre corps, sous M. Raymond, de Saint-Ours, Lanau-di�re et de Gasp�, se distingu�rent beaucoup pendant cette m�morable journ�e. Le soir de la victoire, l'heureux g�n�ral �crivait, sur le champ de bataille m�me, � M. Do-reil, son ami: "Ah! quelles troupes, mon cher Doreil, que les n�tres! je n'ai jamais vu de pareille."
Au Fort Duquesne* M.de Ligneris, charg� de la d�fense du fort Duquesne, crut devoir l'abandonner � l'approche d'une arm�e anglaise de 6,000 hommes.
Ainsi se termina la campagne de 1758. La belle victoire-de Carillon avait, pour cette ann�e, sauv� la colonie, .et .retard� , d'un. : an. la. prise du Canada par les Anglais.
Situation du pays Cependant, le pays se trouvait toujours dans un �tat de p�nurie extr�me. La r�colte avait �t� mauvaise; les habitants appel�s sous les drapeaux pour la d�fense de leurs foyers et dispers�s aux quatre coins de cet immense territoire, avaient laiss� aux femmes et aux enfants le soin de cultiver la terre. Ajoutez � cela les exactions toujours croissantes de l'inf�me Bigot qui avait tax� le bl� jusqu'� trente-six et quarante livres le mi-not, ajoutez l'esprit de jalousie et de d�sunion qui existait entre les chefs, et surtout entre M. de Vaur dreuH, gouverneur de la Nouvel-'le-France, et le marquis de Montcalm, g�n�ral en chef des arm�es du Canada; ajoutez enfin le manque absolu de secours du c�t� de la m�re-patrie qui g�missait alors sous le gouvernement faible et corrompu de Louis XV, et vous aurez une id�e de la sombre perspective qui s'offrait pour la campagne de
Le culte des
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fondateurs
1759
(� suivre)
A lire:
'DAKAR�
II y aura bient�t trois si�cles que Mgr de Laval, Marie de l'Incarnation, Marie Catherine <#e Saint-Augustin, Marguerite Boui-geoys, ont abord� aux rivages de la Nouvelle France. Ils ont communiqu� le b�n�fice de la R�demption. Cela dans la personne de nos anc�tres. Mais nous sommes toujours, nous aussi, darv> notre XXe si�cle, les b�n�ficiaires de leur apostolat, car ils vivent et agissent toujours dans leurs oeuvres et les institutions o� ils se perp�tuent, et leur sainte vie est. pour toute la dur�e de notre nation et du temps, notre mod�le.
Entendons par cons�quent � notre tour l'invitation de Dieu � Isra�l: Consid�rez le Rocher d'o� vous avez �t� taill�s et la carri�re d'o� vous avez �t� tir�s. Consid�rez Abraham votre p�re et Sarah votre m�re qui vous a enfant�s" Revenons enfin � la pens�e de ce? qui nous ont enfant�s � Dieu et dont nous sommes les fils pour l'�ternit�. Elles sont notre gloire. Nous devons �tre leur couronne et leur joie. Nous les avons trop ignor�es et nous n'avons pas su placer une confiance suffisante en elles Pourtant, en elles nous avons toujours des intercesseurs^ et des protecteurs assidus aupr�s du tr�ne de Dieu. C'est leur pri�re incessante qui suspend au ciel notro Eglise et notre patrie canadiennes. Tout ce qu'il y eut de bon et de durable dans notre pass�, tout ce qu'il y a de saint dans notre pr�sent, nous vient d'eux. Et notrp avenir ne sera qu'une promesse vaine et illusoire si nous ne leu^ demandons pas de nous aider � le pr�parer. Si, par le .pass�, nous les avons laiss�s tomber dans l'oubli, le devoir que nous impose la reconnaissance n'est que plus urgent. Certes, tous les saints de 1 E-glise universelle sont n�tres. Rien de plus normal cependant que les �mes canadiennes, dans un immense et irr�sistible �lan de gratitude et de confiance, -se portent d'abord vers ceux qui sont plus particuli�rement de chez nous e1 qui ne cessent de demeurer'parmi nous. Puisque, dans les desseins de la Providence, ils sont nos m�diateurs oblig�s, ne serait-ce pas r�pondre � toute la pens�e de Dieu que de leur remettre avec foi le soin de nos destin�es terrestres et surnaturelles?
Mais II. y a plus. Nous avons � r�parer un trop long oubli � leur endroit. Les tributs d'honneur humains que nous pourrions payer � leur m�moire seront toujours indignes de leur m�rite. Ce qu'ils attendent de nous, c'est l'hommage de nos coeurs et de nos �mes dans une exaltation o� l'Eglise infaillible atteste leur saintet� � la face du monde entier. S. Em. le cardinal J.-M.-'R. Villeneuve. O. M.I .
Vient de para�tre, dans la collection "Textes", No 3* LE CULTE DES FONDATEURS DE L'EGLISE CANADIENNE par S. Em. le Cardinal J.-M.-Rodrigue Villeneuve, O.M.I. Prix: $0.15 l'unit�; $1.50 la douzaine. Port en plus. En vente au Bureau de Propagande, le (Messager Canadien, 1961 est, rue Rachel, Montr�al.
Avant-poste des deux h�misph�res par .Emile Lengy�l. Traduit de l'anglais par Georges Strem.
Ce livre vient � son heure, au moment o� les Am�ricains Jettent dans la balance tout le poids de leur gigantesque effort de guerre. Une , recrudescence d'activit� sur tous lefs fronts indique que l'heure de la d�cision est arriv�e.
Dans DAKAR on verra l'importance de cette ville tropicale dans les op�rations m Mita 1res0 qui vont se d�rouler au cours des mois prochains. Ma�tre� de Dakar, les Allemands auraient menac� les Am�riques. Mat� tr�s de Dakar/ les Am�ricain* sont aux portes de (''Europe subjugu�e.
Voil� pourquoi il faut llr� DAKAR; il vous �clairera sur l'importance vitale de ce bastion de l'Afrique, porte de l'ancien contient. (Notes de l'�diteur).
Un volume de 296 pages, une carte ,et deux hors-texte.
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de, de M. Esdras Minville. La plupart des membres se sont d�j� procur� le premier. L'�tude de "Question nationale" formera une partie de notre programme cette ann�e. Les points trop bri�vement esquis�s seront appuy�s et compl�t�s par "Invitation � l'�tude" et autres volumes.
Le cercle sera abonn� cette ann�e � "Relations", revue sociale et �conomique des P�res J�suites, "Ensemble" revue destin�e � l'�tude des coop�ratives et � l'Aclion Nationale. Cette derni�re revue, gr�ce � une propagande efficace de notre vice-pr�sident, compte plus de quatre-vingt-dix abonn�s du coll�ge cette ann�e. Elle est en effet la revue indispensable � tout patriote, � tout Canadien fran�ais.
Roland Bordeau propose l'�tude du R�glement 17 dans les classes d'El�ments, de Syntaxe et de M�thode. Cette �tude serait donn�e aux �l�ves au moyen de cours sp�ciaux, avec l'assentiment du P�re Pr�fet des �tudes.
Nous continuerons aussi l'oeuvre du parler fran�ais. Nous avons remarqu� avec plaisir une grande a-m�lioration de la mentalit� fran�aise dans notre centre coll�gial. L'oeuvre de l'an dernier � eu d'heureuses r�percussions.
L'A.C.J.C. se promet, de plus, de faire venir � Sudbury des orateurs c�l�bres ou des organisateurs patriotes. Elle veut r�pandre le livre fran�ais et augmenter l'atmosph�re fran�aise en g�n�ral par la propagation de cin�ma fran�ais et de la chanson fran�aise.
Elle offrira aux �l�ves une salle de lecture plus fournie, plus vari�e.
La discussion fut longue et vive. Tous les membres, sans exception, promettent une activit� intense. Rarement a-t-on vu groupe si d�cid�.
Le cercle acceptera quelques nouveaux membres. Le conseil se r�unira bient�t pour discuter la question.
Le SECRETAIRE
On pardonne tant que l'on aime.� La Rochefoucauld.
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On n'ose plus offenser ceux qui pardonnent toujours. � A. D'Hou-detot.
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Ce que le monde vous pardonne le moins, peut-�tre, c'est de vous passer de lui.�Karr.
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Tant qu'un peuple n'est envahi que dans son territoire il n'est que vaincu; mais s'il se laisse envahir dans sa langue, il est fini.�
FIDES
pr�sente le 4e tract de la
collection "QUESTIONS SOCIALES"
Bases d'une cit� heureuse
ACJC
au co
Premi�re r�union samedi dernier. Le m�me groupe se r�unit. Nouvel aum�nier, cependant. Le P�re T�s-sier est remplac� par le P�re Pesant.
Le P�re Aum�nier, apr�s nous a-voir transmis la b�n�diction du R. P. Electeur "pour ajouter d�s le d�but � notre oeuvre nationale les lumi�res d'en haut," nous exprime ses sentiments envers la race canadienne-fran�aise. Il nous d�finit le pourquoi de nos lettres en d�veloppant bri�vement cette v�rit�: "Langue, gardienne de la foi."
L'�lection de nouveau conseil: Laurent Charette avait l'an dernier donn� d�s preuves de grcand d�vouement. Il a �t� r��lu pr�sident au premier tour de scrutin, Edouard Del Guidice est �lu vice-pr�sident, Alcide Causaubon, secr�taire, Donald Smith, tr�sorier, et Roland Ma-lo, conseiller.
Remerciements des nouveaux �-lus: Invitation � la coop�ration et promesses d'activit� intense.
Le pr�sident nous propose deux volumes "Notre question Nationale, du P�re Ares, et Invitation � l'�tu-
"INVITATION A L'ETUDE" Le livre vedette
Depuis longtemps un petit trait� de sociologie canadienne-fran�aise s'impose. L'institut de Recherches Economiques et JSociales le livre au public dans la premi�re �tude de SOTX. pr�sident, M. Esdras Minville.
"Le question nationale a fait l'objet de milliers de discours, rarement d'�tudes pouss�es et syst�matiques. Nous en sommes encore � nous demander ce que nous d�fendons quand nous nous d�fendons nous-m�me. Rappelons le mot de Laurier � Bourassa "La province de Qu�bec n'a pas d'opinion. Elle n'a que des sentiments".
�La vie nationale est autre chose qu'une suite de r�actions ou de la volont�. Si nous voulons d�passer le stage de la survivance et acc�der � la vie nationale, � ce degr� de r�alisation de lui-m�me o� un peuple exprime sa culture marqu�e de son g�nie,propre, il nous faudra par del� le sentiment atteindre � la pens�e constructive, source de progr�s.
Rien ne r�pond plus imp�rieusement aux besoins de l'heure et aux d�sirs de la jeunesse qu'une sociologie appliqu�e au Canada fran�ais. Savoir ce que nous sommes et de l� d�duire ce que nous devons vouloir.
Monsieur Esdras Minville pr�sente au public cette synth�se qui r�sume 25 ann�es de r�flexions. Le nom de Minville suffit � la jeunesse. Elle sait que la pens�e est �nergique comme l'auteur. C'est un livre qu'elle conservera sur sa table de travail. Jeune, lis-le et tu ne seras pas d��u?
On trouvera, dans ce tract, les "boussoles indestructibles et infaillibles" d'apr�s lesquelles nous devons nous guider dans l'�laboration du nouvel ordre social � instaurer d'abord dans la famille puis jusque dans la vie internationale.
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La doctrine contenue dans ces tracts est pr�sent�e sous la forme d'un dialogue pu d'un cercle d'�tude populaire qui en rend la lecture tr�s
int�ressante.
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