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PAGE QUATRE
L'AMI DU PEUPLE
f LA !�**�.� A ��I de retour de Coniston. M. Gauthier I L'abb� Groulx a merveilleusement
�LolGISUlfOlfl i re�ut des soins m�dicaux. r�sum� ce que devrait �tre l'�co-
^�iWIB�H^HWB H Tur Qt TWmo Al-f-rew� .ParrHnal vi- nnmip r-anarlipnnp-frannaise.
Chelmsford, (D.N.C.)�La derni�re soir�e du bazar eut un succ�s surpassant tous les autres. Les paroissiens de notre ville ont montr� qu'ils' s'int�ressent beaucoup aux oeuvres. Durant la soir�e il y eut diff�rentes surprises, entre autres une somme d'argent offerte � celui qui venait de plus loin, fut gagn� par le soldat Paul Farmer. de Vancouver, en cong� dans sa famille. La com�die "Chez le marchand de musique" fut tr�s applaudie du public. Mlle Roberte Michaud, de Sturgeon Falls, accompagn�e par sr\ m�re au piano, rendit plusieurs chansons qui furent tr�s go�ter par le public.
Mme Joseph TouriPny et se� deux filles, de North Bay, visitent M. et Mme D. Guindon.
On apprend que Mlle Bergeron de Sudbury, se rendra � Chelmsford tous les samedis pour enseigner le piano. Elle se retirera chez M. Guindon durant son s�joui dans notre ville.
Mme Achille Michaud, de Stur-geon Falls. visitait son fils, M. l'abb� Jacques Michaud, dimanche dernier. Elle �tait accompagn�e de sa fille Roberte.
M. et .Mme Alfred Cardinal visitaient des parents ici en fin de semaine.
M. et Mme L�o Brisson �taiem en visite chez des parents dimanche dernier.
Mme Thomas Laforge, de Sudbury. passe quelques jours parmi nous.
M .et Mme Albert Dupuis, de Sudbu'Xy, rendaient visite � des parents et amis dimanche dernier.
St-Charles, (D.N.C.)�Les Crois�s de l'�cole du village f�tent leur patron. Saint Stanislas.
Vendredi soir, le 12 novembre, les Crois�s et les aspirant crois�s de l'�cole du village, donnaient ^� la salle paroissiale une jolie soir�e � r�cr�ative pour f�ter Saint Stanislas, patron de la Croisade Eucharistique. L'entr�e �tait gratuite et un nombreux auditoire vint encourager nos jeunes acteurs et actrices.
Voici le programme de la soir�e:
1. Bienvenue � l'auditoire.
2. Orchestre et chant.
3. Marche de la Croisade.
4 Monologue. La dent de sagesse.
5. Dialogue. La f�te de grand'-m�re.
6. Chant, Appel � la neige.
7 R�citation, Un h�ros en parole.
8. Chant mim�: II faut savoir souffrir.
9. Sayn�te: Une lettre � la Vierge
10. Chant mim�: C'est comme �a dans la Croisade.
11. Dialogue: Le ma�tre et l'�colier. ,
12. Chant rythm�: Les cloches du hameau.
13. Chanson anglaise: The Crocodile and th� lady.
14. Chant dramatis�: La derni�re lettre d'un martyr.
15. Sayn�te: Rien sans peine.
16. R�citation: Mauvais caract�re.
17. R�citation: Comment on mar* cte. ,
18 Visite d'une charmante n�gresse et d'une gentille chinoise. Chacune nous fait conna�tre son histoire et l'�tat actuel des missions catholiques. Elles savent toucher l'auditoire qui verse $5.00 dans la lanterne chinoise et.$7.50 dans la s�bile de la n�gresse.
19. Allocution de M. le Cure.
20. F�licitations de M. Osias La-pens�e, commissaire de l'�cole du village. Il sait se rendra agr�able aux �l�ves de l'�cole en leur donnant cong� de le�ons et de devoirs pour lundi soir.
Samedi matin, le 13 novembre, les m�mes �l�ves assistaient � une messe dialogu�e dont ils avaient fourni les honoraires. Il y eut communion g�n�rale et chants. Au sortir de l'�glise, ils se rendirent � l'�cole pour un go�ter, suivi de bingo. M. le cur� et Mme Aline De Guill�re leur firent l'agr�able surprise de les honorer de leur pr�sence. Cette f�te demeurera longtemps grav�e dans les esprits et les coeurs.
�Mme Arthur Simon est de retour de l'h�pital o� elle re�ut des pansements pour une blessure � la jambe.
M. Germain Brisson, de l'arm�e canadienne, stationn� � Valleyfield, MM. Lionel et Edgar Brisson visitaient leurs parents, M. et Mm<* M�d�ric Brisson, la semaine derni�re.
M. Maurice Rivet, de l'arm�e, est actuellement de passage � St-Charles.
M. et, Mme eHnri Cl�ment, de Sudbury, ainsi que leurs enfants visitaient M. et Mme Isaac B�-dard, dimanche dernier.
M. et Mme Roger Gauthier sonx
Blezard Valley
Blezard Valley, (D.N.C.)�Mlle Rollande Clouthier, de Toronto, passe quelques jours chez ses parents, M. et Mme Thomas Clouthier. .
M. Olivier Chartrand est de retour dans sa famille apr�s un s�jour assez prolong� dans l'ouest canadien.
Dimanche, le 14. � deux heures trente en l'�glise paroissiale eut lieu la b�n�diction du Saint-Sacrement. A 3.00 heures M. l'abb� Filiatreault b�nissait le mariage de Mlle Jeannette Paquette � M. Phil�mon Trottier. La ravissante mari�e, v�tue d'une longue toilette en sheer, avec un voile trois-quarts plac� en halo, entrait au 'bras de son p�re. Son bouquet se composait de jolies fleurs blanches et rouges. Apr�s la c�r�monie religieuse on servit un go�ter chez M. Orpher Paquette, de Bonin-ville. Le jeune couple partit ensuite pour un voyage a Montr�al et les environs.
A M. et Mme Ernest Laurin (n�e Alice Carri�re) est^n�e une fille baptis�e sous les pr�noms de Marie-Madeleine, parrain et mar-
nomie canadienne-fran�aise.
"Un patrimoine national, je veux dire un. sol et un sous-soi fructifiant principalement pour les nationaux;
"Un travail dirig� principale� ment par les nationaux et fructifiant principalement pour eux;
"Le fruit de ce travail, c'est-�-dire le salaire, l'�pargne, restant principalement aux mains des nationaux et fructifiant pour eux".
Devant les dangers qui nous menacent et l'immensit� de la t�che � accomplir, l'union de tous s'impose.
L'accessoire nous divise, l'essentiel nous unit. Le d�tail nous s�pare, le principal nous rassemble.
Autour d'un chef national porteur d'une doctrine de salut, faisons bloc pour pr�parer aux g�n�rations futures de grands lande-mains.
(Gonzague de Rey-vient l'Allemagne.
les trait�s font peser sur elle. Perdre une guerre, perdre des territoires, cela, elle l'aurait accept�e. Mais elle n'a point accept� l'issue du proc�s que les Alli�s lui ont intent� devant l'opinion publique, comme elle n'a point accepte da-voir �t� si longtemps trait�e de barbare...1; '" J~ TD~"
nold: D'o� ------ � ,,,-.-
chez Pion, Paris, 1939, r��dition canadienne en 1943, en vente au Devoir, $1.25 l'unit�). Le m�me e-crivain avait, en 1943. �crit dans son Europe Tragique, entre autres choses ceci: 'Supprimez 1 Allemagne par la pens�e et vous constaterez tout ce qui manquerait a la civilisation moderne. L'absence de la France serait un vide, celle de l'Allemagne produirait un ralentissement".
L'on pourrait multiplier presque � l'infini les citations d'auteurs fran�ais .anglais, am�ricains, qui n'ont aucune raison d'aimer 1 Allemagne, ne l'aiment pas, la d�testent m�me, mais concluent tout comme de Reynold de leurs �tudes sur cette nation qu'il serait impossible de penser � la supprimer,
JEUDI, 25 NOVEMBRE 1943
France restaur�e, les All�-r�fl�chiront peut-�tre, a-
douciront par un lent retour au christianisme la violence- qui bouillonne chez eux", (page 412).
Influence de L�on Bloy au Canada
"L'influence du grand Vindicateur ne saurait �tre consid�rable au Canada � l'heure actuelle. Les consignes de l'admiration nous viennent de France. Or, en France, jusqu'� ces derni�res ann�es, Bloy n'existait que pour quelques dilettantes des tournois h�ro�ques et pour quelques chr�tiens suspects vou�s � un amour de Dieu un peu scandalisant, un peu trop en dehors
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, �------ , , . cruel de tenter l'entreprise, quel-L�s arm�es allemandes du temps e maj qu6) depuis trente ans� ��sent ont certes commis des cri- surtout l'Allemagne ait fait � la
oo in.rmalifia'hl oc* o�l oc r�n+ .0+0 .... �. * T 11___�._*.: 4. ,� ,/^^\ i-�'oct
mes inqualifiables; elles ont �t� civiiisation � l'humanit�. Ce n'est barbares � fond, depuis 1939, com- j certes pas en traitant ce pays de me l'�tablissent les campagnes de �nation de parano�aques", en con-Pplogner^de Gr�ce. d'Italie, o� de� seinant de l'exterminer, de fait, g�n�raux jadis alli�s de l'Italie " " "*
viennent de d�truire villes et vil-
villages, d'incendier la biblioth�que de Naples, comme la ville m�me, et se pr�parent maintenant a raser Rome, pour peu que les Alli�s persistent � tenter de les chasser de ce territoire.
Si vraiment l'Allemand �tait
raine, Maurice Laurin et C�cile Laurin.
La 'famille A. Guimond, par 1 entremise de L'Ami du Peuple, de-sire remercier les parents et amis, pour 'les nombreuses offrandes ae messes, bouquets spirituels, 1�|6, fleurs et t�l�grammes, les sinc�res t�moignages de sympathies, dans leur douloureuse �preuve. Un 'merci sp�cial aux Dames de bte-Anne de la paroisse.
Le Bloc
tout ce qu'�crit lord Vansittart, comment qualifier la conduite du Royaume-Uni d�s apr�s Versailles? Londres avait obtenu qu'on lui remit les escadres allemandes, en 1919; et la City se reprit, cette flotte � peine coul�e � Scapa-Flow � n�gocier avec Berlin, lui pr�tant de l'argent par millions de livres sterling, s'entremettant ensuite pour faire diminuer les versements en argent � la France ravag�e par les arm�es de Guillaume II; de toutes fa�ons, Londres se d�sint�ressa net, apr�s 1920, de chacune des violations
OC-J.J-J.CI.il b V*�^ �*� �-�-�.-------------------- , ^
que l'on r�soudra le probl�me allemand. On n'enferme pas plus u-ne nation de 70 � 80 millions d'hommes derri�re les barreaux d'une cage, qu'on ne peut la supprimer. Il faut t�cher � s'entendre pour la rendre inoffensive, pour en arracher jusqu'aux racines les plus profondes de 1 esprit militariste qui bouche l'horizon, e* remettre sur la voie du christianisme v�cu l'Allemagne et les Allemands. Ce serait difficile autant que p�nible? Certes. Impossible? Rien n'est impossible � ceux qui ne travaillent ni dans un esprit de lucre, ni mus par une yolont� dt vengeance. C'est un autre auteui de langue fran�aise, de nationalit� fran�aise, celui-l�,' Albert Rivaud (Le Rel�vement de l'Allemagne, Colin, Paris. 1938), qui, apr�s ax voir �crit dans la pr�face de son livre: "Hitler a sauv� l'Allemagne, mais en l'appauvrissant Intellee
successives du trait� de Versailles tuellement et moralement...
Le Bloc est une sorte de mouvement d'auto-d�fense d'un peuple spoli� qu'anim� encore la volont� de vivre.
Ce mouvement est politique en ce sens qu'il cherche par des mo-yens l�gaux dans le cadre des institutions pr�sentes � s'emparer du pouvoir pour assurer la grandeur du Canada, pour faire rayonner la civilisation fran�aise, et pour redonner aux n�tres la possession de leur province. , .
Notre mouvement a ceci a original qu'il veut instaurer un ordre chr�tien. Si nous ne faisons pas baigner notre civilisation dans une atmosph�re chr�tienne, U est a peu pr�s certain que la loi du primo vivere" deviendra la mesure de toute chose et nous retournerons petit � petit � une sorte d& cannibalisme social.
Le Bloc Populaire veut travailler � r�aliser la souverainet� r�elle du Canada en le d�barrassant de certaines servitudes indign�s d'un pays adulte, en enseignant aux Canadiens par une �ducation politique un amour exigeant de la patrie. Par patrie il reconna�t le sol sacr� o� dorment les ossements des p�res et la semence des petits-fils, les si�cles encha�n�s de l'histoire et les perspectives de notr& civilisation. , ,
Le Bloc Populaire se reserve le droit de proclamer laneutralit� du Canada dans toute crise internationale qui ne met pas en danger les int�r�ts du pays.
Le Bloc Populaire refuse d'assumer des responsabilit�s internationales qui lui sont impos�es par une autre puissance.
Quatre civilisations se partagent aujourd'hui l'Am�rique. La civilisation portugaise fleurit au Br�sil, la civilisation espagnole rayonne sur tout le reste de l'Am�rique du Sud, la civilisation anglaise marque de son empreinte "les Etats-Unis et une partie du Canada; il appartient � Qu�bec de porter ici le flambeau de la civilisation fran�aise.__ :
Pour remplir leur mission historique, les Canadiens fran�ais doivent contr�ler l'�conomique.
par Berlin jusqu'� 1938 inclusivement, tenta m�me d'apaiser le Fiihrer par une politique qui a-boutit au d�sastre de septembre 1939 L'Angleterre en avait eu assez de la guerre de 1914 � 1918, elle ne voulait pas recommencer, elle donnait fair-play � Berlin, dit-on alors et depuis. Mais si l'Allemagne �tait d�s ce temps-l� la nation, le peuple dont on sait ce qu'e� dit lord Vansittart, comment se fait-il qu'on ne l'ait pas vu, que l'on ne s'en soit pas avis� avant
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- VIANDES
MARCHAND DU COIN
conception de la vie repr�sente un recul affreux � l'�gard du christianisme. Elle r�tr�cit, elle limite, elle ampute l'�me humaine. Poui mieux coordonner les efforts, pour mieux fortifier la cit�, elle �te aux individus une partie de leur substance spirituelle", fait sienne cettt id�e: "Devant une Europe unie,
de la "mesure", du juste milieu. (Nous comprenons ais�ment que l'abb� Bethl�em ait excommuni� L�on Boly, mais nous n'avons jamais compris que l'abb� Calvet, le moins "p�dagogue" de tous els docteurs, n'ait pas �cras� de tendresse dans ses bras le sublime chevalier de tant de causes belles et sans d�fenseurs.)
N'ayant donc re�u ordre d'aimer L�on Bloy ni de la Sorbonne, ni des Facult�s catholiques, ni de la Croixr ni de Fran�ois Veuillot, ni du P. Bellouard, � ni de L�on Blum, nous nous contentions de Copp�e et Bour-get, Copp�e nous apprenant � souffrir, et Bourget � ... bien vivre!" Et le chroniqueur cite l'influence d'Asselin et Grignon-Valdombre. "Nous ne pensons pas que la religion de Bloy ait d�pass�, au moment o� nous �crivons, le cercle des �fervents lecteurs des deux pol�mistes mentionn�s.
A la tribune des �coles, Bloy "ne vaut pas l'honneur d'�tre nomm�". Nous savons pertinemment que, dans l'une de nos plus anciennes universit�s, Bloy a �t� port� au pilori avec un courage enti�rement digne d'une si glorieuse op�ration."
N.B. � Provenance: Carnets Viato-rien; auteur: "Pammetis".
(Londres.- � Les compagnies de chemins de fer se sont impos� un rationnement sur le charbon, pour le chauffage des stations et des bureaux, �conomisant ainsi 13,000 tonnes par ann�e. L'an dernier, la p�riode de chauffage dans les trains fut raccourcie au printemps et � l'automne; environ 30,000 tonnes de charbon furent alors m�nag�es pendant l'ann�e.
c 'H y a pis que la servitude: c'est la servilit�.�L. Depret.
,
soit pas avis� avant 1939, � Londres? Lord Vansittart tenait des leviers de commande puisqu'il dirigea un temps les services de la police secr�te du Royaume-Uni. Et il laissa tout faire? Ce que Londres fit pour aider au rel�vement de l' Allemagne, 'cela se serait fait malgr� la parfaite connaissance de la situation telle que l'expose cet auteur anglais attach� au service permanent des Affaires �trang�res pendant des� ann�es? Ce serait � croire ou que l'Anglais a manqu� de perspicacit�, de p�n�tration, de sens divinatoire; ou que Hitler s'est � ce point jou� de Londres, que Londres n'aurait rien vu. rien pressenti de ce qui se pr�parait, et se serait fi� au peuple allemand. Pourtant, depuis des ann�es, ce n'�tait qu'un ramassis de bandits, selon lord Vansittart. Il ne donne donc pas de la perspicacit� de sa nation une haute id�e, � supposer que ce qu'il dit de l'Allemagne, en 1943, f�t vrai bien avant la guerre, conmit. il le pr�tend.
Que penser donc de cette th�b-. rie d'une Allemagne � fond bar-foare< que d'aucuns proposent de supprimer, de mettre en veilleuse pendant au moins cinquante ans? Des esprits plus justes, plus avertis, et qui ont �tudi� de pr�s l'Allemagne, avant et pendant la crise hitl�rienne* voient et raisonnent d'une autre mani�re que lord Vari-sittart, � propos de cette nation Tel ce Suisse d'esprit � la fois philosophique et chr�tien, Gonzague de Deynold, �crivant juste avant septembre 1939: "Le peuple allemand est un tr�s grand peuple. Race indomptable, 'que les obsta^ cl�s ont toujours stimul�e, j amais arr�t�e, dont la force d'expansion s'exerce dans tous les domaines et qui, dans tous les domaines, a su ouvrir des voies nouvelles.. L'histoire de l'Allemagne est celle d'un peuple malheureux. . . Elle a perdu la guerre (en 1918) sans a-voir �t� suffisamment vaincue. Sa puissance d'expansion a donc �t� refoul�e, mais, non d�truite ... Elle ne s'est pas r�sign�e � la condamnation morale dont elle a �t� l'objet devant la majorit� de l'opinion publique, elle ne s'est pas r�sign�e aux charges financi�res que
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