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PAGE QUATRE
Un congr�s sans pr�c�dent^
(rapport retard�) On en parlera pour longtemps de ce congr�s, et avec raison. Jamais manifestation �tudiante ne fut si bien r�ussie. Gr�ce � l'organisation presque parfaite, la journ�e se passa sans trop de f�cheuses aventures. En effet, si ce n'est que les quelque 250 qui faiblirent, tout marcha sur des roulettes. Et le soir, c'est le coeur plein de joie mais l'�me triste que tous quitt�rent le stade. La Messe pontificale Une grande-messe pontificale c�l�br�e par Son Excellence Mgr Charbonneau, archev�que de Montr�al ouvrit la journ�e. Son Excellence �tait assist� de Migr Paul Ber-nier, secr�taire fran�ais du comit� des �v�ques canadiens; le R-P. Victor Villeneuve, OJVLL, aum�nier g�n�ral de la J.O.C. et le R.P. Raymond Dunn, S.J., agissaient respectivement comme diacre et sous-diacre.
Le R.P. Emile Deguire, C.S.C. pronon�a une br�ve allocution. La messe termin�e, Son Excellence Mgr Charbonneau fit la lecture de deux messages, l'un de S. Em. le Cardinal Villeneuve, et l'autre du d�l�gu� apostolique, Mgr Ildebrando Anto-niutti, apr�s quoi il salua les nombreux �v�ques et repr�sentants des autorit�s civiles. Il termina en nous lan�ant ce message: "Mes enfants, mes �tudiants, apprenez le plus possible, car il faut aimer la v�rit�, se familiariser avec elle et lorsque vous l'aurez trouv�e, ne craignez pas de la suivre l� o� elle vous conduira."
La Parade
Apr�s le d�ner, la parade se forma au rythme des chants de folklore, les 30,000 �tudiants et �tudiantes d�fil�rent dans un ordre impressionnant. Les milliers de spectateurs ne pouvaient en croire leurs yeux tellement l'ordre et l'entrain r�gnaient. Sorti du stade Delorimier, le groupe monta l'avenue Delorimier jusqu'� la rue Radhel, et l�, il contourna le parc Lafontaine sur ses all�es nord, ouest et sud pour ensuite revenir au stade.
La Soir�e Apr�s le souper, on nettoya le
AMI DU PEIIPLF
et la d�pr�ciation et l'int�r�t sur la mise en fonds on obtient un tota de $40.00 par mois ce qui est un loyer trop �lev� pour la classe laborieuse du pays s'il est vrai que dans un budget familial bien balanc� l'item loyer ne doit pas repr�senter plus que le cinqui�me du salaire mensuel.
terrain et quelques br�ves allocutions furent prononc�es par Mgr Arthur Douville, �v|que de Saint-Hyacinthe, M. Orner C�t�, secr�taire de la province, M. Harry Berlines, de l'universit� N�tre-Dame de l'In-diana, et par Mlle Jeanne Benoit et M. Jean Dostarler ...
"En avant toujours, fiers, pieux et conqu�rants" fut le mot d'ordre que nous laissa Mgr Douville. M. Orner C�t� affirma que toute la province �tait fi�re de la jeunesse �tudiante. Au nom des Etats-Unis, M. Harry Berlines salua les �tudiants canadiens et fit un parall�le entre notre h�ritage catholique et le travail � r�aliser aux Etats-Unis. Mlle Jeanne Benoit remercia tous ceux qui apport�rent leur concours au succ�s du Congr�s. M. Jean Dostaler termina les allocutions en parlant du m�tier �tudiant.
Le jeu de la fiert� �tudiante �crit par Roger Varin se d�roula sous sa direction. Ce fut un spectacle grandiose auquel particip�rent quinze cents �tudiants sous la direction du R.P. Legault et de quelques-uns de ses Compagnons de SainULaurent. Personnalit�s religieuses et civiles
En plus des personnalit�s nomm�es plus haut, on pouvait voir dans le sanctuaire: NN. SS. Desmarais, d'Amos, Lafortune, de Juliette, Douville, de St-Hyacinttie, Roibichaud, de Moncton, Pelletier, �v�que auxiliaire de Qu�bec, Mgr Albert Valois, vicaire g�n�ral du dioc�se de Montr�al et directeur dioc�sain de l'Action catholique, le chanoine Lionel Groulx, l'-hon. Ad�lard Godlbout, chef de l'opposition provinciale, et M. Caimilien Houde, maire de Montr�al.
Roland MAiLO, Ottawa
Cette loi
(suite de la page huit) mum de vingt ans dans les cas ordinaires. Une personne d�sireuse de se construire une maison ayant une valeur d'emprunt de $4,000 devra verser une somme initiale de $400.00 ce qui laissera un solde de $3,600 remboursable en 20 paiements de $22.61 chacun comprenant la partie remboursable-d� capital et l'int�r�t.
Cette loi semble � premi�re vue, marqu�e au coin de la perfection, mais on s'aper�oit 'bien vite si on se donne la peine de l'approfondir, que dans le cas de plusieurs grandes villes canadiennes, elle ne peut servir aux fins pour lesquelles elle a �t� cr��e. Si au versement mensuel de $22.61 on ajoute les taxes " " ' les assu-
, une r�serve raisonnable pour l'entretien
municipales et scolaires, rances contre l'incendie,
La nouvelle soci�t� des nations
Une fois de plus l'humanit� souffrante adh�re � une dharte de s�curit� qui est sens�e la pr�server d�sormais des cataclysmes mondiaux. Les quelques soixante nations r�unies � San-Francisco en sont venues � une entente apr�s deux mois de d�lib�rations. Est-ce que cette nouvelle soci�t� des nations promet plus que l'ancienne? Voici ce que nous allons �tudier.
D'abord la conf�rence de San-Francisco repr�sentait mieux le sentiment mondial parce qu'il y avait plus de nations pr�sentes qu'au congr�s de Gen�ve. De .plus, les peuples fatigu�s des guerres parurent sinc�res dans leurs revendications pacifiques. Cependant au moins deux des trois grandes puissances veulent une fois de plus se servir de la nouvelle soci�t� pour faire triompher leur �go�sme. Ceci affaiblit beaucoup 1'effectrvit� de la charte de San-Francisco.
Les (principes fondamentaux de la charte sont inspir�s en quelque sorte d'une connaissance plus r�fl�chie des besoins du monde pr�sent. Si nobles que soient les principes, il faut pour les mettre en pratique la bonne volont� de toutes les nations. Ce qui manqua surtout au plein succ�s de la conf�rence, ce fut l'absence d'une autorit� religieuse. On a �cart� le Paipe, comme on l'a fait en 19GL9. Celui qui s'est constamment tenu sur la br�che ipour r�clamer '� temps et � contre-temps la justice et la charit� dans les relations internationales avait certainement le .pouvoir d'inspirer les d�l�gu�s d'un sentiment chr�tien.
Les petites nations d'Europe ont parl� plus fort que d'habitude � San-Francisco. Elles ne craignirent point de s'affirmer en s'opposant contre le droit de veto de la Russie, des Etats-Unis et de l'Angleterre. Malheureusement leur voix n'a pas �t� �cout�e. Ce droit de veto affaiblit consid�rablement la confiance que nous serions enclins � avoir dans une v�ritable paix. Comment pouvons-nous esp�rer que la Russie, �par exemple, qui a incorpor� � ses �tats sovi�tiques la Lettonie, la Li-thuanie et la Finlande malgr� la protestation de ces pays, puisse normalement ne pas se servir de son droit de veto pour arriver � ses buts? Comment pouvons-nous esp�rer que l'Angleterre ne s'abritera pas de son droit de veto pour mousser ses int�r�ts imp�rialistes, quand on voit d�j� des agents anglais susciter des r�volutions dans les colonies fran�aises? Les grandes nations invitent constamment les (petites puissances � la paix, mais il semble bien que les (conseill�res ne pr�chent gu�re par l'exemple.
L'attitude des d�l�gu�s � la fin de la conf�rence fut pour une bonne part tr�s logique. Dans son.discours, le feM-mar�chal Jan Christian Smuts a dit que la charte elle-m�me ne valait rien si les peuples'n'aspiraient pas � une paix .durable. Il exprima sa confiance dans le nouvel organisme international � condition que les trois puissance ne se servent pas de leur droit de veto. A Ottawa, au cours de sa visite, Smuts avertit les Nations-Unies de ne pas enterrer leur hache de guerre, de .continuer l'entrainement militaire obligatoire et de rester constamment sur le qui-vive. Nous voulons la paix � tout 'prix et nous pr�parons la guerre?
Le .pr�sident Truman a prononce le dernier discours de la conf�rence. Il a surtout demand� la b�n�diction de Dieu sur tout les pays en leur donnant la paix. Il a affirm� sa confiance dans les peuples et il a incit� tous les d�l�gu�s � faire accepter par leur parlement la nouvelle charte. Son discours fut un plaidoyer pour la paix dans le monde.
Quand � notre premier ministre, Mackenzie Kuig, il s'est content� de vanter la nouvelle, charte en lui trouvant toutes les vertus imaginables. C'est malheureux que le chef d'un pays qui veut devenu- la plus importante des �petites nations, n'ait pas plus de jugement dans les af- i faires internationales. Au dire de plusieurs commentateurs le. discours du chef du Parlement fut � peu pr�s vide de sens et d'aucune valeur pratique.
H nous reste � esip�rer que la charte de s�curit� mondiale assurera au monde une paix relative. H est �vident que l'effort fait en ce sens, est plus coh�rent que celui de 1019. Esip�rons, en d�pit des nuages noirs qui s'amoncellent, que le bien triomphera de l'esprit du maL
��.:.� OVEDC1HEL
La vie au grand air
Vivez � l'air et au soleil, exposez votre literie au soleil tous les matins; brossez vos v�tements loin des pi�ces ou vous pr�parez ou prenez vos repas, et ne laissez pas les enfants jouer avec vos chaussures.
Habituez-les � se laver les mains avant les repas, � brosser leurs cheveux et leurs v�tements, � changer de chaussures en rentrant.
Ayez un garde-manger prot�g� des mouches et n'admettez pas que le boulanger d�pose le pain � m�me le sol, devant votre porte: ayez un sac de toile � cet effet.
�D�sinfectez, de temps en temps, vos brosses � dents, � mains, � habits, en les trempant dans de l'eau additionn�e d'eau de Javel, d�sinfectant par excellence.
Lavez soigneusement salades et fruits. Les fraises poussent sur le fumier et le fumier contient des colibacilles. Lavez vos fraises, a-vant de les sucrer.
Si vous avez pris froid, prenez de l'alcool et tenez-vous au chaud.
Ne buvez pas d'eau douteuse. Faites-la bouillir. Mettez ensuite, dans la carafe, un ou deux petits cristaux d'hyposulfite de soude pour d�sodoriser et d�colorer i'eau. C'est ainsi que les coloniaux �vitent la dysenterie.
Sachez, si vous ouvrez une bo�te de conserves et constatez qu'une toute petite partie seulement est avari�e, que les microbes ont r�pandu leurs toxines dans toute la Do�te: jetez-la!
Apr�s un repas douteux, mangez des vitamines C que vous trouvez dans les citrons et les pamplemousses.
Ne d�passez jamais un certain degr� de fatigue si vous ne voulez pas que les microbes profitent de votre moindre r�sistance.
Si vous soignez un malade, ayez une blouse sp�ciale que vous ne portez que dans sa chambre; couvrez vos cheveux et d�sinfectez-vous fr�quemment les mains et le nez.
Faites d�sinfecter la chambre et les effets d'un grand malaue par e service d�partemental.
Et... ne vivez pas dans la crain-e de la contagion, un syst�me nerveux "en �tat de peur" �tant moins �sistant qu'un" autre.
celle dont il est ici question. A-vant qu'il ne soit trop tard, avant que les ouvriers des usines, origi-naires des campagnes, n'aient d�pens� tout leur avoir, c'est le temps pour ces fils du sol de partir avec les leurs, de s'en retourner chez eux, � la terre nourici�-re.
C.-E. COUTURE
LA TYPHO�DE
Au cours des trois prochains mois, la typho�de fera de grands ravages dans notre population, surtout chez les gens qui visitent nos plages et les r�gions �loign�es ch�res aux vill�giateurs. En 1941, il y a eu durant ces trois mois 333 cas de typho�de et en 1942, 195 cas. Si l'on tient compte du fait que cette maladie dure en moyenne six semaines, exige trois mois de convalescence et cause une faiblesse g�n�rale dont on ne revient qu'au bout de 5 ou 6 autres mois, il para�t infiniment plus sage de prendre toutes les mesures propres � l'�liminer. La typho�de est �mine-ment contagieuse. Par cons�quent, si vous allez � la campagne ou dans une agglom�ration dont vous ne connaissez pas l'�tat sanitaire, soyez prudents. Sachez d'abord quelle est la qualit� de l'eau et du lait en cet endroit. Si l'eau provient d'un aqueduc approuv� par les services d'hygi�ne ou d'un puits prot�g� contre toute contamination,
JEUDI, 12 JUILLET 1945
vous pouvez l'utiliser. Si vous n'avez pas la certitude absolue que l'eau est bonne, saine, vous ne devez jamais vous en servir sans l'avoir fait bouillir, que ce soit pour boire, pour les soins de la bouche ou pour la cuisine. Tels sont les conseils que donnent les hygi�nistes u minist�re provincial de la sant� et du bien-�tre social.
Quand vous buvez du lait, soyez s�r qu'il a �t� pasteuris� ou pasteurisez-le vous-m�me en le faisant bouillir trois minutes � gros bouillons. N'absorbez jamais un lait non identifi�. Le fromage de type canadien doit m�rir au moins 90 jours. Assurez-vous de son �ge avant d'en manger ou d'en offrir � vos enfants, car chaque portion doit porter la date de (fabrication, disent les hygi�nistes.
N'aceptez jamais d'aliments� mollusques en particulier�qui ne viennent d'un �tablissement reconnu hygi�nique. Craignez les mouches comme la peste. Enfin faites-vous vacciner contre la typho�de � l'avance, soit plusieurs semaines a-vant votre d�part et vous passerez vos vacances dans une plus grande s�curit�. Vos enfants seront mieux prot�g�s. Vous serez moins inquiets.
La d�cision est souvent l'art d'�tre cruel � temps. �Henri Bec-que.
Quand tu vois un aigle, tu vois une partie du g�nie. L�ve la t�te. �BiLAKE.
De refour � la colonisation
Nous avions � nos bureaux 'autre jour un groupe de tr�s int�ressants visiteurs. Il s'agissait d'un homme de 59 ans avec cinq de ses gendres. Le beau-p�re et e mari de sa fille a�n�e arrivaient ,out juste d'un voyage dans l'A-bitibi o� ils sont all�s s'enqu�rir des possibilit�s de s'�tablir sur la erre. Tous quitt�rent la campagne au d�but de la guerre pour venir tenter fortune dans les industries. Ils poss�dent donc les qualit�s voulues pour faire un succ�s de leur entreprise en colonisation.
Cependant, alors m�me qu'ils ont gagn� depuis 1940 des salaires assez �lev�s, .ils n'ont pas r�ussi � �pargner autant qu'ils ne e l'�taient promis. Le plus fortun� a mis de c�t� quelque $500. Les autres pourront partir avec des montants variant de $200 � !300. Ces montants, ajout�s aux octrois du gouvernement, leur )enmettront de s'�tablir convenablement, surtout, comme ils en-;endent d'ailleurs le faire, s'ils :oop�rent �troitement.
�Ce cas sort un peu de l'ordinaire. La famille de cet homme se, compose, de sept filles et d'un gar�on. Le fils, le dernier-n�, a; 8 ans et doit accompagner son >�re. Les sept filles sont mari�es a des gars d'habitants qui tous, somme leur beau-p�re, s'en vinrent en ville en 1940. Aujourd'hui, �pour racheter leur erreur", comme ils se sont plu � le dire, ils d�sirent s'en retourner tous ensemble � la terre. Bien entendu, chacun am�ne une nich�e d'enfants assez consid�rable. D� plus, ils se rendent compt� de la valeur du geste qu'ils sont_x�solus de poser. "La ville", ils sont l�-dessus tous d'accord, "n'est pas l'endroit pour �lever des enfants". Du point de vue de l'ind�pendance et de la s�curit� qu'elle offre, elle ne peut se comparer en aucune fa�on au mode de vie qu'est l'agriculture. '
II est; des centaines de familles, venues en ville elles aussi au d�but de la guerre^ qui auraient tout avantage � suivre l'exemple-de
Pour vos revues et vos journaux pr�f�r�s adressez-vous, venez ou �crivez � la
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El�gante revue populaire abondamment illustr�e, litt�raire et -politique. Mensuelle. Ch.........,.10c
La Revue Populaire � La Revue Moderne La Petite Revue:
�l�gantes revues, tr�s lues � cause de leur roman complet. Mensuelles. Revue Populaire, 'Revue Moderne, ch. 15c.�-La Petite 'Revue, ch...........10e
"Le Film":
Revue traitant de cin�ma. Mensuel. Ch.........10e
"Le Samedi":
Magasine hebdomadaire, abondamment Illustr�, renomm� pour son feuilleton. Ch...............10c
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JOURNAUX "La Boussole":
journal ind�pendant et bl-mensuel. Enti�rement au service de la cause fran�aise en ice pays. Ch.....5c
"Le Bloc":
journal hebdomadaire. Organe officiel du Bloc Populaire Canadien. Tr�s � la page et franc, c'est le meilleur journal politique au Canada. Le directeur en est L�opold Richer, f*uh des plus comp�tent de nos journalistes au patriotisme �prouv� et �clair�. 5c
La Patrie,______.07
Le Petit Journal, .05 Le Photo Journal, .05
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