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LETTRE D'OTTAWA
(suite de la memi�re page) Claxton, ministre de la Sant� nationale et du Bien-Etre social, a annonc� qu'environ un million et quart de m�res de familles ayant des enfants de moins de seize ans � leur charge, toucheront une somme de vingt millions de dollars, lorsque les allocations familiales leur seront envoy�es par la poste � partir du 15 juillet.
Voici la d�claration de M. Claxton: "A partir du 15 juillet, on exp�diera par la poste, des ch�ques d'allocations familiales � environ un million et quart de m�res de familles dans les neuf provinces du Dominion. Ces ch�ques repr�senteront une somme globale d'environ S20 millions par mois, tandis que la somme moyenne des ch�ques sera de $16. R�gle g�n�rale, l'allocation sera pay�e � la m�re dans toutes les provinces. La loi des allocations familiales mentionne que l'argent doit �tre d�pens� � l'entretien, au soin, � la formation, � l'instruction et � l'avancement de l'enfant. On semtble g�n�ralement d'avis que le ch�que soit fait � l'ordre de la m�re vu que celle-ci s'int�resse principalement au soin des enfants.
"La question du paiement � la m�re dans la province de Qu�bec a �t� examin�e longuement et tr�s attentivement. On a �tudi� l'opinion publique � ce propos depuis le d�but de l'enregistrement en mars dernier.
"Le Conseil l�gislatif de Qu�bec a adopt� une r�solution recommandant fortement que les ch�ques soient envoy�s aux m�res de famille dans la province de Qu�bec. Plusieurs organismes priv�s ont exprim� la m�me opinion et les lettres que le grand public nous a �-crites font voir un m�me point de vue, savoir que la m�re re�oive ces ch�ques. ,
"II est �vident, d'apr�s la discussion qui a eu lieu dans la province de Qu�bec, que le tr�s grand nombre des habitants de cette province, qui nous ont fait conna�tre leur opinion, veulent que les ch�ques soient a-dress�s � la m�re de famille. Par cons�quent, le gouvernement f�d�ral a d�cid� que les r�glements devants �tre adopt�s sp�cifieront que les paiements qui commenceront en juillet, seront effectu�s aux m�res des enfants de moins de seize ans, afin de traiter sur un pied d'�galit� les familles et les enfants de tout le pays."
Certaines -remarqes s'imposent en marge de cette d�claration. Il ne faut pas s'imaginer que les familles canadiennes recevront une somme nette de vingt millions de dollars en juillet. Ce montant n'existe que sur le papier. Car le gouvernement f�d�ral reprend progressivement une partie des allocations vers�es aux familles dont le chef gagne de 1200 dollars � 3000, gr�ce � l'imip�t sur le revenu. C'est ainsi que le (p�re de famille dont Le revenu est de 3>000 dollars par ann�e s'il accepte des allocations familiales devra verser un �gal montant additionnel en imp�t sur le revenu: ce qui veut dire que, en r�alit�, il ne recevra rien, puisque le. gouvernement lui retire d'une main ce qu'il lui donne de l'autre. Ceux qui gagnent plus de 1,200, mais moins de 3,000 dollars par ann�e verront leur imp�t rajust�, de sorte qu'il devra employer 10, 20, 30 pour cent, et ainsi de suite, suivant le cas, de son allocation familiale,, pour faire face � la majoration de son imp�t sur le revenu.
LE GOUVERNEMENT 'PROVISOIRE POLONAIS Maintenant que Londres et Washington ont reconnu le nouveau gouvernement provisoire polonais, Ottawa suit. Rien ne montre mieux comlbien notre politique �trang�re est conditionn�e par celle de la �Grande-Bretagne et des Etats-Unis. M. King a tent� de justifier l'attitude de son gouvernement. "A la ��conf�rence de Crim�e, en f�vrier 1945, a-t-il dit, il fut convenu entre le pr�sident Roosevelt, M. Churchill et le mar�chal Staline, que le gouvernement provisoire de Varsovie devrait �tre r�organis� sur une base d�mocratique plus large et inclure des chefs d�mocratiques de Pologne m�me et ides groupes exil�s. Il y eut, � ces fins, des conf�rences antre chefs polonais, ainsi qu'entre eux et une commission form�e des ambassadeurs � Moscou du Royaume-Uni et des Etats-Unis et du commissaire du peuple aux Affaires �trang�res de l'Union des r�publiques socialistes sovi�tiques. A la suite de ces conf�rences, fut constitu� uTTgouvern�ment polonais d'unit� nationale; le 28 juin 1945, lequel a maintenant �t� r�connu par les trois grandes puissances .participantes de la conf�rence de Grim�e, ainsi que par la France.
"A la conf�rence de San-Fran-�cisco, le secr�taire d'Etat des Etats-Unis proposa, le 23 juin, au nom des d�l�gations des Etats-Unis, de l'Union sovi�tique et de la Chine, qu'une place fut r�serv�e pour la si-.l
gnature de la Charte par la Pologne, qui deviendrait ainsi membre original de l'Organisation des Nations-Unies, une fois reconnu le gouvernement polonais provisoire d'unit� nationale, qui �tait alors en voie de constitution. Cette proposition fut
adopt�e � l'unanimit�. Les puissan-
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ces repr�sent�es � la conf�rence de Crim�e, ayant maintenant, avec d'autres, accord� leur reconnaissance, le gouvernement canadien a d�cid�, afin de conserver ses relations cordiales avec le peuple polonais, d'accorder lui aussi sa reconnaissance au gouvernement provisoire, avec lequel il compte �changer, en temps voulu, des repr�sentants diplomatiques."
Ce que M. King ne dit point, c'est que ce gouvernement polonais provisoire dont il est question tout le long de sa d�claration est en majorit� compos� de communistes qui ne repr�sentent pas 1 pour cent de la population en Pologne, et impos� � ce pays par la Russie qui, en se d�barrassant du seul gouvernement l�gal de la Pologne, veut faire de ce pays un Etat vassal de Moscou, et faire accepter par lui, le d�membrement de la Pologne effectu� par Hitler et Staline au profit de la Russie. Ce que M. King ne dit pas, c'est que, � la veille de la d�claration de la guerre actuelle en 193S, la Grande-Bretagne s'�tait engag�e � d�fendre la souverainet� et l'int�grit� territoriale de la Pologne
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contre quiconque et que
Londres
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aujourd'hui viole son engagement Ce que M. King ne dit pas que la politique tenue par la Russie envers la Pologne avec la complicit� des grandes d�mocraties occidentales, c'est exactement la politique d'Hitler envers tous ces voisins. Ce que M. King ne dit point, c'est qu'aujourd'hui les grandes d�mocraties occidentales approuvent que la Russie pratique la m�me politique qu'elle condamnait chez Hitler et pour laquelle ils se lanc�rent dans le pr�sent conflit.
La Pologne est immol�e, une fois de plus, bien qu'elle f�t notre alli�e valeureuse. Elle est sacrifi�e � la Russie. C'est un crime international, dont, un jour, le monde devra rendre compte. La Pologne est moins bien trait�e que maints de nos ennemis vaincus. Le Canada, en rccon-
l/AMI DU PEU PI. F
J.-E. LACOURCIERE
AVOCAT
ELM, E.
SUDBURY
TEL.: 8-8221
Mme Bruno Jaus, et Mme E. Pr�vost. Au choeur de chant, un neveu, M. Jos Cassio et Mme Bruno Jaus, MM. Fex, Couture, L. Martin, O. Dubuc et L. Legault. Portaient les fleurs ses petits enfants: Cl�mence Lecoupe, Jeannine Ouel-lette, Rolland Lecoupe, Rolland Dutrisac et un petit-neveu, Rolland Robillard.
Offrandes de fleurs: M. et Mme Aza Paiement, M. et Mme Nazaire .Vaillancourt, M. et Mme Albert Lecoupe, M. et Mme Emile Ouel-lette, MM. Paul et Pitt Trottier, M. et Mme Eug�ne Laurin; M. et Mme Ren� Desch�nes; la famille Bel-court et la famille Dutrisac.
Offrandes de messes: M. et Mme Jos Robillard, M. et Mme Emile Gagnon, M. Real B�lisle, La Ligue du Sacr�-Coeur, M. et Mme Fred Boyer, M. et Mme A. Barbeau, M. et Mme Orphila B�langer; M. et Mme Lorenzo Dutrisac; M. et Mme Phil Cherette; M. et Mme Gaston Dutrisac; M. et Mme Joseph Cassio, M. Albert Gagnon, M. et Mme Ab�ude Watier, M. et Mme Ar-,thur Simard, M. Agis Watier, M. et Mme Eddy Dutrisac, MM. Henri, Constant, Arthur, Fernand Dutrisac, M. et Mme Albert Lecoupe.
Bouquets spirituels: Mme Alex-ina Lecoupe, M. et Mme Jos Robillard, M. et Mme Fred Boyer, M. et Mme Eddy Dutrisac, M. et Mme Albert Gagnon, M. et Mme Emile Gagnon.
Cartes de sympathies et visites � la maison: M. et Mme Joseph Robillard, Sudbury; Mme J. Lafon-taine, Blezard Valley; M. W. Chevrette, Parry Sound; M. et Mme Gaston Dutrisac, Hanmer; M. et Mme Constant Dutrisac, Levack; MM. Henri et Fernand Dutrisac, Blezard Valley; Mlles Berthe et Th�r�se Paradis; M. et Mme Aza
nus vaincus, uc ^a^aua., .-" --��: | -j/nerese .raracus; ivi. ei mme .n.z.ci naissant le gouvernement provisoi- pajement, Mlle Eeline Dutrisac, re de Pologne, se rend �onrplice^de | Avela Belcourt, Laurette_et_ Jean-
ver.
ce crime. Le premier ministre King n'a pas � se vanter de son ignominieuse reconnaissance. Ce sera une tache ind�l�bile dont le Canada ne pourra jamais compl�tement se la-
;r.
Il est bien difficile de concevoir que la Pologne puisse, sous le contr�le d'un gouvernement compos� principalement de communistes, s'exprimer librement dans' des �-lections. La Pologne continuera de conserver nominalement son ind�pendance sur la moiti� de son territoire d'avant-guerre, mais elle ne jouira point de r�elle ind�pendance.
Apr�s s'�trs battue jusqu'eu dernier homme sur son territoire et sur tous les th��tres de guerre alli�s, la Pologne qui avait pris les armes avec nous pour la d�fense de son ind�pendance, da sa libert� et de son int�grit� territoriale, se trouve dans la m�me position que si, ayant pris les armes contre nous, elle e�t �t� vaincue. Voi�� un crime abominable. La .conscience humaine proteste l�-contre. Elle protestera jusqu'� ce que r�paration compl�te ait �t� faite.
ne Belcourt. M. et Mme Eddy Dutrisac, M. et Mme Phil Chevrette, Sudbury; Mme Alex Lecoupe, M. et Mme Ren� Desch�nes, de Tim-mins: M. et Mme Emile Ouellette, M. et Mme Albert Lecoupe; M. et Mme Lorenzo Dutrisac, M. et Mme Nazaire Vaillancourt, de Timmlns; M. et Mme Pitt Trottier, M. Fred Trottier, M. Paul Trottier, M. et Mme Hughes Paiement, M. et Mme Donat Paradis. M. et Mme Thomas Bertrand, M. et Mme Emile Watier, M. et Mme Dassise Watier, M. Ignace Watier, Mlle Lucie Watier, M. .Arthur Richer, M. et Mme Oli-da Robillard, M. et Mme Rom�o Fredette. M. ~ - � -Mlle C�cile
M. le R�dacteur,
Vous n'�tes pas sans avoir eu vent de la rumeur voulant que bient�t il se fonderait un autre journal fran�ais dans la r�gion. Ce journal, on parle m�me d'un quotidien, est cens� �tre fond� par un certain groupe que vous connaissez et qui, parait-il, veut fonder un journal ind�pendant. Ind�pendant pour eux, vous comprenez, c'est �tre de leur parti, de leur dire, les flatter pour tout ce qu'ils font. Un journal ind�pendant d'apr�s eux, voyez-vous, c'est un "papier" qui dit qu'une de leur tra�trises nationales serait une action patriotique, etc., etc----
Que pensez-vous de tout cela? UN LECTEUR. � �
Note�Nous sommes en effet au courant de la rumeur. Est-elle fond�e! M�me si elle l'�tait, il ne faudrait pas s'alarmer trop vite. Depuis 3 ans que ce groupe veut d'une fa�on plus cach�e qu'ouverte' plus hypocrite que franche, l� disparition de l'Ami du Peuple. Cette feuille, m�me pauvre comme elle l'est, les g�ne! Pourquoi? Parce que l'Ami du Peuple veut le bien du peuple, non pas leur propre bien �go�ste au d�triment de la cause fran�aise et du peuple. Parce qu'il veut abolir le patriotisme de la piastre tel qu'il existe chez un bon nombre parmi eux. Parce qu'il veut la v�rit� et la justice! Parce qu'il veut � chacun selon son d�! Pas de fleurs � la trahison et aux actes bas!
Depuis trois ans, ami lecteur, nous attendons aor�s l'acte d�cisif des membres de ce groupe n�faste qui scellera d�finitivement leur sort, les montrera en plein jour et sous leurs vraies couleurs: c'est alors que nous pourrons jaser. La population du district pourra iuger de la Bassesse de cette SUD-.'-�op�e �lite. Elle en apprendra de bonnes ^sur son compte. Ces gens veulent la lutte et la guerre, et bien, ils l'auront, voil� tout. Nous ne craignons pas l'issue. Et nous .verront bien qui en sortira plus di-minu�. plus d�figur�. Nous verrons bien oui se fera le plus "ab�m�": ce groupe de politicailleux retors et rompus � tous les travers, ou l'autre groupe de jeunes, de moins jeunes aussi, qui n'ont t>as de caisse �lectorale pour les aider, mais oui veulent justice, qui veulent le bien de nos classes agricoles et ouvri�res, qui veulent de l'honneur et de la fiert� dans notre vie nationale et politique. !
Jeunes, nos fr�res, nous n'avons [
JEUDI, 12 JUILLET 1945
pas l'argent du Parti, nous n'avons pas l'astuce et les moyens malhonn�tes de ces arriv�s qui nous ont fait jusqu'ici un monde et une vie aussi mis�rables. Mais nous avons pour nous la foi dans nos destin�es, la jeunesse, nous avons la v�rit�, c'est �a qui est la vraie force. Avec cela il n'y a pas � craindre la lutte et si elle vient, disons-nous-le, ce sera une lutte jusqu'au bout, "to th� finish". Il y a assez longtemps qu'elle aura dur�. Nous avons autre chose � faire pour l'avenir que perdre notre temps � combattre des gens sans scrupules et sans honneur.
Ami lecteur, attendons donc. Que les Canadiens-fran�ais de la r�gion se pr�parent en silence � l'action. Nous leur laisserons la premi�re manche mais la seconde sera n�tre, nous en r�pondons.-��C.L.
Cette loi sur l'habitation
Le gouvernement f�d�ral semble croire en la v�racit� du vieux proverbe qui dit: quand le b�timent va, tout va, et c'est pour cette raison �videmment, qu'il a �tendu notablement la port�e de la Loi nationale sur l'habitation. Cette loi pourvoit � la construction de nouvelles maisons existantes ainsi qu'� l'am�lioration des conditions d'habitation et de vie tant dans les cit�s et les villes que dans les r�gions rurales du pays.
Aux termes de la nouvelle loi, un particulier qui poss�de un terrain sur lequel il d�sire construire une maison s'adresse � une compagnie de pr�ts autoris�e, qui apr�s certaines formalit�s d'usage, si elle consent � pr�ter de l'argent, soumet la requ�te avec les renseigne-voulus � l'administration nationale du logement pour que celle-ci les examine et les approuve. Les compagnie de pr�ts et le ministre des Finances s'associent alors pour l'octroi d'un pr�t sur premi�re hypoth�que conjointe en leur nom.
Les nouveaux contrats comportent pour l'emprunteur un taux d'int�r�t de 4% pour cent et des remboursements qui deront �tre effectu�s dans une p�riode maxi-(suite � la page quatre)
Jean-Louis Paradis, Fredette, Gracia et
O.-J. GODINB.A.
AVOCAT
Edifice Frontenac - Sudbury 18 Durh.am nord - T�l. 4-4091
Th�r�se Pr�vost, Mlle Jeannine Ouellette. de Timmins; M. et Mme Lionel Pr�vost, M. et Mme Alphonse Pharand, M. Maximin Pha-rand, M. et Mme Eug�ne Laurin, M. Albert Pharand, M. Lucien Pharand, M. et Mme J.-Emile Ga-enon, M. et Mme Fred Boyer, Mme Roger Bergeron, M. Albert et Ab-bie Gagnon, M. G�rard Biais, M. et Mme Damien Biais, Mlle Rolande B�langer, M. Adrien Bru net, M. Vital Miron, M. L�onard Miron. de Sudbury, M. et Mme Joseph Casso, M. Rom�o Cassio, MM. O-ide et Ovila Me th�, M. et Mme O. O. Pr�vost, M. et. Mme E. Pr�vost, Sr., M. V. Laurin, M. et Mme H. Lalonde. M. et Mme Orphir Pa-quette, Mlle Florence Paquette, M. et Mme Lucien iRain ville, M. et Mme Louis Eainville, M. et Mme Eug�ne Lafontaine, M. et Mme H. Watier, Mlle Jeanne Belcourt, M. David Henri, M. et Mme Roger Henri, M. et Mme L. Frappier, M. et Mme Willie B�langer, Mlle B�atrice Pr�vost, M. et Mme R. Charpentier. M. et Mme Glen Dennie, M. et Mme Roland Labre, M. et Mme Antoine Tessier, M. et Mme Paul Legault, R. P. A. Vaillancourt, de Sturgeon Falls; M. et Mme Jos Kingsley, M. et Mme A. Simard, M. Laurent Simard, M. et Mme Arthur B�guin, M .et Mme Alphonse B�langer, M. et Mme O-sias Paquette, M. Ernest Labre, M. et Mme A.-J. Simard, Mme P. B�lisle, M. et Mme William 'B�langer, M. Adrien B�lisle, M. et Mme E. Pr�vost, M. et Mme Azarie Paiement; M. Aur�le B�langer, M. Elo-rie Trottier, M. Arthur Simard, M. Lomer Vaillancourt, M. et Mme H. Marier, M. et Mme Lucien Gui-mond ainsi que beaucoup d'autres.
Les fun�railles �taient sous la direction de J.-B. DucharmeT~^~
"L'Ami du Peuple" offre ses sinc�res sympathies � la famille en deuil.
Fun�railles de M. J. Dulrissac
M. Joseph Dutrisac, cultivateur bien connu de Blezard Valley, est d�c�d� � l'h�pital St-Joseph, de Sudbury, �-l'�ge de 67 ans. N� a St-iDominique, Que., il vint s'�tablir � Blezard Valley en 1890. En 1909 il �pousa Mlle Rosanna Robillard. Lui survivent onze enfants; sept gar�ons et quatre filles: Eddy, de Blezard Valley, Lorenzo, Gabrielle (Mme A. Lecoupe), C�cile (Mme Emile Ouellette), tous trois de Timmins, Gaston, de Han-mer, Arthur, de Windsor, Gracia (Mme Phil. Chevrette), de Sudbury, Constant, de Levack, Fernand, Henri et Eveline � la maison; quatre belles-filles et 14 per tits-enfants; et une soeur Mme Aza Paiement, de Blezard Valley.
Le cort�ge quitta la demeure pour se rendre � l'�glise St-Rosaire de Blezard Valley. Un service diacre et sous-diacre fut chant� � neuf heures par le R. P. A. V�illah-court; aid� des $R. PP. Charpentier et Filiatreault. Dans le choeur le R. P. Dufresne.
Le d�funt �tait membre de la Ligue du Sacr�-Coeur et en re�ut les honneurs. Les porteurs �taient ses neveux: MM. Dassise, Agis, E-mile, Ignace, Ab�ude Watier, et,
Hughes Paiement. Touchait l'or- La r�putation est la seconde �vie gu�, une petite ni�ce du d�funt, de Thoonme.�JBossuet.
Jeu. ven. sam. les 12,-13, 14 juillet
'TLOWING GOLD"
avec John Garfield et Pat O'Brien "TRAIL TO GUiNiSIGHT"........................ Eddie Drew
Lun. mar. mer. les 16, 17, 18 juillet
"HOLLYWOOD CANTEEN"
Toutes de grandes �toiles � l'�cran. - .et en plus pour votre divertissement: "THE SCAIRLET CLUE" .... .. ... . avec Sydney Toler
et derni�res nouvelles
Commen�ant dimanche � minuit et lun. mar. mer les 16, 17, 18 juillet
FREDRIC MARCH � BETTY FIELD
'...... .-'�� - dans � ........
Tomorrow The World
Venez au REGENT, le tr��tre le plus frais � Sudbury.
Th��tre CAPITOL Sudbury
Commen�ant dimanche � minuit et jusqu'� jeudi les 15, 16, 17, 18, 19 juillet
Roddy McDowaH ^Preston Foster Rita Johnson
-dans -
Thimderhead
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