L'AMI DU PEUPLE
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R�dacteur,-
pour l'aimafble 'com-plinTient que vous m'adressez dans votre "tribune libre" du 2 mai dernier. Sans le vouloir, Vous m'avez fait jaillir � l'es^
'ijprit.jces paroles que vous reconnaissez sans doute, bien
'qu'elles ne soient'pas de vous:, "Le style, c'est l'homme m�-j
*�
me.
�videment, ma lettre n'�tait plus tout � fait � la page, apr�s avoir moisi dans vos Bateliers durant pr�s d'un mois. Vous ne pouvez tout de m�me pas, raisonnablement, me reprocher de n'avoir pas �t� au
\i LIBRE"""""""""""""""""^
publier hors de saison et sans avertissement; puisque j'avais signal� que la discussion avait d�j� dure outre mesure Cette ruse, de votre part, se passe de commentaires.
"La. Soci�t� Historique", me dites-vous, "n'a jamais �t� en cause, ni le choix de ses pr�sidents ou encore de ceux qui pr�sentent les conf�renciers". Peut-�tre auriez-vous d� ajouter: "dans votre pens�e"? � Car, quels �taient donc ces "certains personnages" ...� la derni�re assembl�e de la Soci�t� Historique" contre lesquels M. Lemieux "croyait de son
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bli� votre premi�re lettre sans votre permission apr�s que le journal vous e�t mis au cou-
a dit entre autres choses dans sa pr�sentation de 25 minutes du Docteur Hurtubise qui devait
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rant ^de certaines choses. Il,� son tour pr�senter le conf�-
ce que vous ave�j publi� dans vos colonnes du 11 avril au 2 mai. Le sens le plus; �l�mentaire de la d�cens� vous enjoignait, il nie. semble, de publier cette lettre en temps et lieu ou de vous abstenir de la
courant, le 4 avril dernier" de|c-?voir^e pr�munir les Cana-
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diens- Fran�ais" dans ses simples remarques" du 21 mars dernier, sinon un pr�sident d'office et un conf�rencier pr�sent� par un pr�sident honoraire, tous trois choisis par les directeurs de la Soci�t� Historique ?� J'ai peine) � croire iue ces paroles visaient les artistes au programme musical.
Si M. Lemieux n'avait rien � dire contre "certains personnages" en tant que membre de certaine soci�t�, son bon juge ment aurait d� le pr�venir que l'occasion qu'il choisissait ne se pr�tait gu�re � un �pan chement fie bile. Et s'jl n'avai iarl� qu'� son tour, il-se serai �pargn� tout le mal d'inciter ses amis �" organiser une assembl�e politique contradictoire, d'inventer des histoires d� pers�cution et de se poser
faut �tre honn�te. Votre premi�re lettre adress�e le 16 avril parvenait � L'Ami du Peuple le 17 avril et ne pouvait pas para�tre dans le journal du 18. Ceci se comprend, de soi. Vous �tiez cependant^ au courant de ce qui a paru le 11 avril.
Dans le num�ro du 13, il n'y avait qu'une tribune libre traitant des biblioth�ques scolai-
rencier, les paroles suivantes: "LE TITRE D'HONORABLE
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en martyr. Il n'aurait pas non �'lus, apr�s avoir lui-m�me, et d�lib�r�ment, attach� le gr� Jot, senti le besoin" de se disculper en s'�criant, dans le pathos de sa page �ditoriale du 18 avril dernier: "Qui a soulev� tout cet incident?"
Comprenne qui pourra. Quant � moi, M. le r�dacteur, si pouf m�riteij de comprendre, � votre sens, il faut applaudir, sans discernement, � tout ce qui se chante dans, votre journal, je pr�f�re ne pas comprendre.
De ma part, la discussion est close. Vous pourrez r�p�ter que je suis un imbiecile, si ce proc�d� vous accomode; vo lecteurs seront bien aise de :onstater, une fois de plus, ue tous les imb�ciles, Dieu merci, ne sont pas afflig�s d la m�me manie.
Craignez Dieu, cher Abner Sudburyi et aimez votre prochain.
Recevez, je vous pri�, l'expression d� ,mes remerciements pour l'hospitalit� que vous voulez bien m'offrir dans les colonnes d� votre journal Fernand Morisset
A �
res de Hanmer, une courte lettre de Jean Morin sur la question pr�sente et un court �ditorial sur une question autre que la pr�sente, � savoir la propagande injuste faite contre le journal. Le 25 avril, num�ro de P�ques, il ne parut rien sur cette question. Votre premi�re lettre parut au num�ro suivant le 2 mai. Le journal ne vous a donc pas tromp� et si vous avez depuis �t� mis au courant de certaines choses qui vous auraient emp�ch� de publier votre premi�re lettre, vous auriez pu notifier le journal ou au moins vous pourriez avoir la franchi se de nous admettre en quoi vous �tes maintenant �clair� ; niais votre seconde lettre est absolument tacite sur ce point. �Vous faites ensuite allusion � la Soci�t� Historique, et � cer-
N'EST PAS A LA HAUTEUR DU DOCTEUR HURTUBISE. LE DOCTEUR HURTUBISE EST LE PLUS GRAND PATRIOTE, etc...,QUE LE DISTRICT DE SUDBURY AIT CONNU..., QUOIQU'EN PENSE UN CERTAIN PETIT GROUPE".
Je suis certain que vous d�-
i ""
plorez avec moi de telles paroles � l'accent de d�fi, � l'oc--asion (l'une r�union de notre Soci�t�. Et vous qui aime? l'ordre chronologique : "Qui donc a suscit� tout cet incident ?" .
Voil� M. Morisset la base -le cette pol�mique et ce que l'Ami du Peuple et ses collaborateurs ne peuvent pas admettre.
Nous ne pouvons pas tol�-"�r que la Soci�t� Historique serve d'instrument � certains personnages' pour aider leurs � oints de vue politiques Nous croyons sinc�rement avec preuves � l'appui que le docteur ' Furtubise1 comme homme pu-: lique et repr�sentant politi-nue a manqu� � sa parole ; et cherchez avec vos partisans ime phrase dans tout ce qui s'est publi� dans l'Ami du Peu-
pas que Notre Pr�sident ou autre puisse �mettre des opinions tels que celles cit�es plus haut qui ne peuvent avoir
qu'une vis�e politique. __
C'est l� le "bobo" de cette pol�mique et t�chons d'�tre plus consciencieux � l'avenir pour ne pas pousser l'orgueil et le parti-pris au point de se servir de ce que nous avons de meilleur et de -plus cher � la suave partisannerie politique.
Je vous remercie M. Morisset de l'int�r�t que vous ipportez � la question et j'esp�re vous avoir �clair�; si non veuillez nous envoyer voire billet que nous publierons nous disant que vous approuvez les paroles dites ipar le jugt Plouffe et que d'apr�s vous il sied que l'on r�p�te de telles choses aux assembl�es de notre Soci�t� Historique et que "le petit groupe" n'a pas le droit d'y r�pondre.
Osias Godin
. - , ...... - ��� - � "��" uu i cu-
tains personnages que le jour- 1 pie qui attaque autre chose nal aurait critiqu�s. Veuillez ! <"'."� sa conduite d'homme) pu-croire M. Morisset, que'TAm�' b'lique et de politicien. du Peuple a. toujours suppor-j Pourquoi M. Morisset vo�t� et supportera toujours no- (Iriez vous permettre que l'on
*...� *�-U1 - O - - ' t* ' T-T� . ' � . \ f \ -
tre noble Soci�t� Historique et je regrette �� comm.e vous que cette pol�mique ait �t�.
� i � --��- ^
soulev�e � l'occasion d'une de
es reunions. Voici le mal
en question.
. Son honneur le juge Plouffe
t ' " j � ^- � �-� 11
r�p�te de telles paroles; et pourquoi m�lez .vous � tout �a les noms d'autres personnages ? Pour ma part, je. d�sire que notre Soci�t� Historique demeure ce qu'elle est sans entrave et je n'admets
o � �.-��'
Note
II m'a �t� remis aujourd'hui le 15 mai, une troisi�me lettre de M. Morisset, cette derni�re �tant une copie de votre seconde, except� que vous sein-blez maintenant attribuer le retard de la publication de la premi�re non pas au fait de la ruse du journal de l'avoir pu-'�li�e apr�s qu'on vous e�t mis au courant de certaines choses dans le journal ; mais plut�t maintenant � la ruse du r�dacteur d'avoir remis votre 'remi�re lettre pour pouvoir m�rir une r�ponse.
Nous ne publierons pas cette lettre pour ce changement seulement, le reste �tant semblable � la seconde. -""Nous vous aurions, permi de
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Cher Monsieur,
Je suis -heureux de pouvoir vous offrir ma collaboration sur cet important sujet et; je tiens � vous remercier'de l'occasion que vous mettez � ma disposition pour aider � �clairer vos lecteurs.
Je voudrais apporter quelques pr�cisions et renseignements en r�ponse � la lettre de Monsieur Fernand Morisset, publi�e plus haut, pour qu'enfin cette pol�mique ne dure pas �ternellement.
Je con�ois, M. Morisset, qu'il n'est pas toujours agr�able ! d� se faire dire que nous n�' sommes pas au courant de la question en dispute. Cepenr dant, j'esp�re sinc�rement que "'explication suivante vous ai-der�i ''�'.'./-', � ' ' ';' , ''['�'.' �Dans votre second paragra-, phe, M. Morisset, vous reprochez; au; r�dacteur d'avoir pu-
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