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L'Ami du Peuple, Sudbury, Ontario
�le 14 novembre 1963
LE COURRIER
.... c� vous regarde
��'- .'�' ,.'. �. .��'par' .',��' �" �: '�". '"-".
Henri B�chard, S.J.
vke-postulateur national de la
cause de la v�n�rable Kateri
Tekakwitha
Au XV��e si�cle, par rapport � unfils de imndarin du C�leste Empire pu a un prince du sang de la dynastie bourbonne ou � un petit de grand chef indien du Nouveau Monde, la v�ritable p�dagogie familiale consiste, comme aujourd'hui d'aile�rs, � bien ;l'�duquer, 'H' pourra ainsi, une lois d�gag� de l'autorit� des siens, se commander � lui-m�me. Ce^ d�gagement r^uilite de son adaptation ; progressive � la vie adulte dans son milieu et selon � son origine. �� �.'.�'!'; ;'::'\.-
Enfaiit, touit comme saint PaulV la yierge aghi�r� a ob�i en enfant. Ce n'est que plus i^ qu'elle parviendra au libre ac-iquiescement de fia volont� � celle d'a�trui. H s'agira alors de la r�alisation d'un 'hiission qui d�fasse le petit cercle d'un ordre quelconque.
Ag�e de quatre ans, comme je l'ai d�rj� �crit, Tek�^kwitha perd ses parents; Un oncle s'en : charge, ou mieux ses tantes.
iDans lacabane iroquoi)se^c;�st la femme- qui est ;dfficiellement ma�tresse. On la consid�re comme la source de toute vie. A ce titre; la peine du t^on ne
I s'appliquera pas; on exigera plut�t en r�paration du meurtre d'une l�inine, la mort "de deux hommes. !La cabane, l'am�nagement et la prog�m'ture �ppar-(bt�nrient � la femme. Pareille-inent, les terres-du clan, et jusqu'aux cimeti�res. Elle jouit du droit souverain de choisir parmi ses fis le candidat au r^g de chef .Son autorit� s'inv pose ^au" point que d'un mot elle puisse; emp�cher ses-gar�ons .d-aler-'-� la guerre. EUe repr�sente sa famille ou se fait repr�senter non seulement au conseil du clan (Kateri faisait partie de celui de la Tortue) et � celui de la tribu, mais encore � celui de la coni�d�rationTdes Cilnq-C�ntons. Aux cheftaines incom-be-.;la responsabilit� de^^ pr�lever les imp�ts en^nature^ pour les f�tes, pour les assembl�es ^* 'n�r�les et pour les n�cessiteux Elles veillent � la politique de l� nation comme au tr�sor public, compos� de nacre, de pelteteriies et \d'�lir ments. C'est en vue de la pr�parer � ce r�le �ventuel que se poursuivra l'apprentissage � la vie de la jeune Tekalwitha;
Pour plus de renseignements au 'sujet du Lys^des Agniers, ^criv�zimoi au Centre Kateri, a/s ER. PP. J�suites, �; Caugh-n�waga (Qu�bec). � :
ONTARIO
Avis
D'AUDIENCE PUBLIQUE
pr�liminaire pour les m�moires concernant
L'ASSURANCE DES SERVICES MEDICAUX
\
Ces audiences publiques pr�liminaires seront tenues aux O�
droits suivants:
Windsor-Salle du Conseil, H�tel de Vfflo 10.00 ajn., les 3 et 4 d�cembre
Toronto-Edifice Galbraim, Universit� de Torcmto 35, rue Saint-Georges, Salle 202, 202A 10.00 a.m.,les iT�f IZd�cembw 10.00 jungles 7 et 8 janvier x 10.00 a.m., les 14 et 15 janvier 10.00 ajnJ, les 21 et 22 janvier 10.00 a.m., les 28 et 29 janvier _
H s'agit d'audiences pr�liminaires et non pas final� , m�moires seront pr�sent�s, par un l'organisation ou par toute personne m�moire, ou par leur avocatroonsefl.
faire compara�tre des expert-jur�s pour eux.
On demandera aux participants de � pifeenter qu�te t�wm� et les conclusions de leur .m�moire ainsi que lents �corn-seront libres d'�laborer tari Worie devto
\
devant la Commission d'Enquetejwunont
les membres de la Commission d'Enqu�te.,
H sera permis aux personne^rai goumm�ttH�t im in�moi�
de pr�senter des renseignements suppl�mentaires gfto�et
des documents. Ceux<i seront conside^cwn�p�cesjusfr
fic�tives et plac�s au dossier de la � Commission. W leronl
num�rot�s par ordre de pr�sentation.
RAPPEL: Les m�moires (25 exemplaires) rot 1� PW�*� pro
avant le 15 novembre au secr�taire.
Pr�sident du Conseil
Battra 418,67,roe
?r i TiOionto T�l�phone 38-4024,
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Pour admirer Monseigneur de Laval
Quand la mort vint prendre Monseigneur de Laval, apr�s un demi-si�cle en terre canadien* ne, on reconnut en lui la vigie qui avait su guider � bon port l'Eglise naissante du Canada, �difi�e et f�cond�e par ses �mi-nentes vertus.
Pendant les vingt derni�res ann�es de sa vie, il s'�tait retir� au s�minaire. C'est l� qu'il vivait dans la plus grande humilit�; c'est l� qu'il continua de purifier son �me par la pri�re et la mortification, et de la pr�parer pour le Ciel.
Ce n'est pas tant la figure alti�re du premier �v�que d'un vaste continent qu'il nous faut v�n�rer, que le saint homme qui sut se d�tacher petit � .petit de lui-m�me et de tout ce qui lui �tait cher. Voyons sa vie dans son ensemble et avec son couronnement, comme celle de saint Pierre. Jugeons son oeuvre � la lumi�re de son �poque. Nous admirerons Monseigneur de Laval sans r�serve.
Le Comit� des Fondateurs de l'Eglise du Canada,
R|dio H^p^
�I^RS^p
LOTM, 25 nov. Rosaire St Laurent AA;: Eotr� 0 et 100 degr�s ide charit�. :
MARDI, 26; iiov. Rosaire St -Laurent A.A.: Un^ beau portait defainttle.;
' MEBlCSREDIj 27 nov. Soci�t� catholique de la BiMe: Les livres
;detaB^:';:;.>V:-',";;:'/-''-'^ '^
.* JEODi; 28 rioy; S. ExceiUence Mgr Bernardino Pin�r�:;i t-'�^i-se dirige ia r�forme sociale; ;
V��NiDRiEDI,^29 liov. S. Excet ileii�� Mgr Bernardino ;Pinera: L'Eglise dirige la r�forme sociale. ;y'.-;i:// '.r:.\;^: ;�;':;,
Pr�paration � l'Immacul�e-Con-
;� >.v-:;!:-:: '�'''.cept^on V'-:,':..;-v M:"
SAMEDI, 30 nov; G�rand Des-chamjpis, SJM.M.: Marie miracle
de;ifteu./ -:.//> :>;''-'';"\'":y;':'Y>';;;;;
DIMANCHEi, 1 d�c. Je�iiHPaul Michaud, S.M.M.: La M�re du Sauveur, d'apr�s la Bible.
En attendant le grand
d�part* � �
Pour l'�me chr�tienne, la mort n'a pas cet aspect d�sesp�rant et sombre qui fait la terreur de ceux ,<pi m'ont pas la foi. P�ur_j&Ue, mourir, c'est entrer dans La patrie, c'est arriver enfin au terme du voyage de la vie, apr�s son p�lerinage sur terre.
UPr^I)RAPJpU^y;.-;,^:>;�/:': 'X � :. ; ;�:'
|sult� de^to
sera axxiompli par arr�t� minist�riel ou si la question serait �soimise;i-��j;^paife
;|I; Pear^ a a^ii^ dre sous p^�^^e d^ tantes questions de politique et de pm�dttres 'f^^f^.-^-'�t-\ qu'on ne pouvait pas en discuter convenablement durant la p�riode des questions.
'Le chef de l'opposition a alors r�clam� l'assurance que le choix du drapeau ne sera pas fait par arr�t� nihiist�r^ prem^ ^miniis^�^pea^ p^n^;q^ luiBorder cette(assurance.
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